Traditions Navalaises

Les traditions Navalaises

Perpétuées avec intérêt par nos Santards actuels, l’Annexe ne sera pas oubliée.

  • Les familles matriculaires - si à Lyon la Famille choisit son enfant, à Bordeaux, tout était affaire de matricule. Ainsi le 4484 cherchait son papa/maman dont le numéro matriculaire se terminait par le même chiffre (84). Les matricules demeurent mais ne correspondent plus au classement et date d'arrivée à l’École. Cette tradition n'est plus effectuée.

  • Les chants - Trois chant sont appris aux jeunes nouveaux par leurs Anciens. « Les trois navais », « la Navalaise », « Le troubadour ».

  • L’Aiglon : Du nom d’une salle située Place Puy Paulin où se déroulait chaque année une soirée au profit de l’Aumonerie. C’était l’occasion de donner une pièce de théâtre satyrique, écrite et jouée par des navalais et où les clés pour identifier les personnes visées de la strasse ou de la fac étaient assez faciles à trouver. Les titres les plus marquants des pièces jouées ont été : Clystère au poing, Russe Sainte Catherine, Pour quelques Louis de plus, Manions les squaws ou le salaire du trappeur ou encore Mâle Perthuis. Parmi les grands auteurs dont le nom est resté dans nos mémoires, on peut citer Force, Saliou, Ortolan, Rouquet, Hugard et tant d’autres….

Après la représentation, tout le monde se ruait sur la piste de danse au son de l’orchestre de la boîte dont les grands noms étaient Ducassou, Marion, Vaisse, Caillard. La soirée se finissait parfois très tard au bar colo (plutôt punch) ou au bar marine (plutôt whisky) dont les réputations en matière de breuvages alcoolisés n’était plus à faire. Le retour, à pied, par la rue Sainte Catherine et le cours de la Marne était plus ou moins louvoyant.

Autrefois appelée « fête de l’échelle », elle est désormais appelée « Fête des élèves » et est organisée par l'association NDS.

  • Notre lettre - lien entre élèves et leurs aînés. La tradition perdure sur facebook.

  • L’Angiboust.

  • Le repas de la Saint-Luc - repas cohésion en l’honneur du saint-patron des médecins.

  • Les ancres - 2 ancres étaient portées par les brigadiers (les 12 élèves les mieux classés) au collet, et 1 ancre était attribuée aux « élèves d’élite » (le reste du premier quart). Au changement d’uniforme, le col s’ouvre et les ancres migrent sur la manche gauche. Cette tradition n'est plus effectuée.

  • Le repos Navalais - Position adoptée lors du repos sur place, mains derrière le dos avec l'épée.

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