2011 - Aujourd'hui

École de Santé des Armées

ESA - École de Santé des Armées

En 2008, dans le cadre de la réorganisation générale des armées et de la transformation du Service, l'ESSA de Lyon-Bron est choisie pour devenir l'unique école de formation initiale des praticiens des armées.

Le 17 juin 2011, le Médecin Général des Armées Gérard Nédellec, Directeur central du Service de santé des Armées, préside la cérémonie de dissolution de l'École de santé navale, en présence de monsieur Alain Juppé, maire de Bordeaux. La fermeture administrative a lieu le 1er juillet 2011. Le 2 juillet, l’école de Lyon-Bron voit sur son site la création de la nouvelle École de santé des armées (ESA).

Désormais il n’y a plus qu’une seule école de santé en France. Elle assure les 6 premières années de formation des études médicales (1er et 2e cycle). Ensuite, les élèves vont à l'EVDG.

A la création de l'ESA, une nouvelle devise mettant bout à bout les deux anciennes et un nouvel insigne voient le jour :

« MARI TRANSVE MARE, PRO PATRIA ET HUMANITATE, HOMINIBUS SEMPER PRODESSE »

Sur mer et au-delà des mers, pour la patrie et l'humanité, toujours au service des hommes.

En 2016, l'École du Personnel Paramédical des Armées (EPPA), qui forme les infirmiers et aide-soignants militaires, initialement basée à Toulon, a été regroupée à l'ESA afin de diminuer les coûts de formation.

Le 1er septembre 2018, le site de Bron prend le nom des "Écoles Militaires de Santé de Lyon-Bron", regroupant en une même structure administrative l’ESA et l’EPPA.


Le jeune qui s'engage signe un contrat qui le lie à l'Armée pour une durée égale à deux fois le temps à la faculté plus trois fois le temps passé en internat, études comprises. S'il désire quitter l'Armée avant la fin de son externat, il doit alors rembourser la totalité de ses soldes perçues, majorée par un coefficient de 1,5. Les élèves de l'ESA sont obligés de loger sur le site de l'Ecole durant leur première année. Ensuite, ils peuvent s'ils le souhaitent choisir de se loger en ville à leurs frais, ce qui leur assure une plus grande proximité avec les hôpitaux lyonnais. En théorie, ils peuvent aussi bien rester et disposer d'une chambre au sein du site de Bron, si la capacité d'accueil le permet.

Allez sur le site de l'École de Santé des Armées pour en savoir plus.