Nos paroles ont de l'importance ! Ce que nous disons peut avoir un impact sur notre vie et sur la vie des personnes autour de nous. Au travers de ce plan, comprenez et apprivoisez l'impact de vos paroles, vous êtes des porteurs de vie et d'espoir...
Avez-vous déjà imaginé vos paroles comme étant des êtres vivants, capables d’actions bonnes ou mauvaises, capables de travailler en votre faveur ou contre vous, capables de construire ou de détruire?
Pure imagination? Possible, mais pourtant nos paroles ont bien plus d’impact que nous ne le pensons, à commencer par nous-mêmes.
Il n’est pas question de tomber dans les extrêmes en laissant croire que tout ce que nous disons arrive, mais il n’est pas question non plus de tomber dans l’autre extrême qui prétend que l’on peut dire n’importe quoi sans qu’il y ait jamais de conséquences.
Je pense sincèrement que, si nous faisions ce travail de mettre ‘une garde à notre bouche’, notre vie de tous les jours en serait grandement améliorée.
En effet, la Bible nous dit que la langue est un tout petit être qui a une puissance extraordinaire, comme le gouvernail d’un navire qui est bien petit par rapport à la taille du bateau mais qui détermine à lui seul la destination de celui-ci.
Quelle belle analogie! Nos paroles déterminent notre destination. Un bon exemple à cela est que le salut passe par notre bouche, en effet il est écrit dans Romains 10: 9 «Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus,…».
Si Dieu a destiné notre bouche à être l’instrument d’une chose aussi cruciale que le salut, ne croyez-vous pas qu’elle soit un instrument déterminant dans notre vie?
Alors aujourd’hui est un jour nouveau, aujourd’hui est le jour ou je vais remettre ma vie en alignement avec la Parole de Dieu, aujourd’hui est le jour où mon bateau va prendre le bon cap, le cap de la destinée parfaite que Dieu a pour moi, et ça commence par un réajustement du gouvernail.
«Seigneur, surveille ma bouche, garde la porte de mes lèvres.»
Les Psaumes 141:3 PDV2017
«Regardez les bateaux! Ils sont grands, et ce sont des vents très forts qui les font avancer. Pourtant, c’est avec un petit morceau de bois qu’on les dirige, et ils vont là où le pilote veut. La langue, c’est pareil. C’est une petite partie du corps, pourtant elle peut se vanter de grandes choses. Regardez! Il faut seulement une petite flamme pour mettre le feu à une grande forêt.»
Lettre de Jacques 3:4-5 PDV2017
«Est-ce que ta bouche affirme devant tous que Jésus est le Seigneur? Est-ce que tu crois dans ton cœur que Dieu l’a réveillé de la mort? Dans ce cas, tu seras sauvé.»
Lettre aux Romains 10:9 PDV2017
Dans Jérémie 1: 4-10, Dieu appelle Jérémie qui lui répond de manière sceptique, ce à quoi Dieu réplique : « Ne dis pas: Je suis un enfant. »
C'est intéressant de voir que, lorsque Dieu parle, souvent nous essayons de changer ce qu’Il dit, comme si nous voulions reprendre Dieu, pensant que peut-être Il aurait fait une erreur. J’ai un scoop pour vous : Dieu ne fait JAMAIS d’erreur!
Je sais que cette phrase peut en choquer plus d’un et, si c’est le cas, ce n’est pas parce que vous êtes mauvais ou que vous n’aimez pas Dieu mais c’est probablement parce qu’il y a encore des blessures qui n’ont pas été guéries par rapport à des évènements passés qui ont remis cette affirmation en doute.
En d’autres mots, votre expérience personnelle a, pour une raison ou pour une autre, pris le pas sur la Parole de Dieu et, au lieu de rendre vos pensées captives à l’obéissance de Christ, vous avez soumis la Parole de Dieu à votre raisonnement humain, ce qui a toujours des conséquences néfastes sur une vie.
Alors comment changer ? En demandant pardon à Dieu pour votre attitude et en Le laissant guérir votre coeur et changer votre entendement.
Jérémie a fait l’erreur de penser que Dieu se trompait mais, une fois que Dieu l’a repris, il a changé son langage et il a accordé ses paroles à celles de Dieu.
Je ne crois pas qu’il ait crié haut et fort à tous ceux qui voulaient l’entendre qu’il était prophète des nations, mais je crois qu’il a commencé à se comporter comme tel, tout en réalisant la responsabilité qu’il avait par rapport à ce devoir et à cet appel. Le but ici n’est certainement pas de donner des titres ou des étiquettes mais de façonner ce qui a le plus de valeur, à savoir l’identité.
Une simple question, comment est-ce que Dieu vous appelle ?
«Voici les paroles que le Seigneur m’a adressées: « Avant de te former dans le ventre de ta mère, je te connaissais. Avant ta naissance, je t’ai choisi pour me servir. J’ai fait de toi mon porte-parole auprès des peuples. » J’ai répondu: « Hélas! Seigneur DIEU, je ne sais pas parler, je suis trop jeune. » Mais le Seigneur m’a dit: « Ne dis pas: “Je suis trop jeune.” Tu iras partout où je t’enverrai. Tu diras tout ce que je te commanderai. N’aie pas peur des gens! En effet, je suis avec toi pour te délivrer. » Voilà ce que le Seigneur m’a déclaré. Ensuite, le Seigneur a avancé la main. Il a touché ma bouche et il a dit: « Je mets mes paroles dans ta bouche. Tu vois, aujourd’hui, je te confie une mission auprès des peuples et des royaumes. Tu vas arracher et abattre, détruire et démolir, construire et planter. »»
Jérémie 1:4-10 PDV2017
«Je ne me suis pas écarté de ses commandements, j’ai gardé dans mon cœur tout ce qu’il m’ordonnait. *»
Job 23:12 PDV2017
«Nous renversons tous les raisonnements que des orgueilleux opposent à la connaissance de Dieu. Nous voulons changer l’esprit des gens pour qu’ils obéissent au Christ.»
Deuxième lettre aux Corinthiens 10:5 PDV2017
Notre attitude et nos paroles face aux ‘impossibilités’ de la vie, ont un impact sur notre futur.
Esaïe 54:1-5 «Réjouis-toi, stérile, toi qui n’enfantes plus …! Car les fils de la délaissée seront plus nombreux Que les fils de celle qui est mariée, dit l’Eternel. »
Ne pas être capable d’avoir des enfants est une situation extrêmement difficile. Isabelle et moi-même sommes passés par cette étape. Après trois années de mariage, nous n’avions pas encore d’enfant alors que nous désirions en avoir et savions que c’était la volonté de Dieu pour nous.
Nous avons donc été voir des spécialistes et passé les examens nécessaires, le tout pour nous entendre dire que nous n’aurions sûrement jamais d’enfant et que, si toutefois c’était possible, ce ne serait pas avant minimum dix ans.
Je me souviens que ce jour-là, nous sommes sortis du bureau du docteur et nous avons «refusé» ces paroles. En d’autres mots, nous avons dit à voix haute que nous n’acceptions pas ces paroles sur notre vie, que même si c’était ce que les médecins disaient, nous refusions de les croire.
Pour moi, c’était une déclaration de guerre, pas contre les médecins qui sont, je crois, des personnes essentielles qui font leur travail selon le meilleur de leur capacité, mais contre le très célèbre «c’est comme ça, on y peut rien», cette fatalité qui mène tant de personnes à la mort spirituelle.
A la guerre comme à la guerre, nous avons décidé de jeûner, et nous avons préparé la chambre du bébé.
Quelques semaines après la fin du jeûne, Isabelle est tombée enceinte et aujourd’hui, nous avons deux superbes filles, Sarah et Jennie, gloire à Dieu.
Il est temps de vous emparer des promesses de Dieu, de les déclarer sur votre vie avec ferveur jusqu’à ce que vous les voyiez s’accomplir.
«Agrandis l’espace de ta tente, tends des toiles plus larges pour t’abriter, ne calcule pas tes dépenses. Allonge les cordes et fixe bien tes piquets. En effet, tu vas te répandre de tous côtés, tes enfants vont prendre les pays voisins. Ils vont repeupler les villes abandonnées.»
Ésaïe 54:2-3 PDV2017
«La parole de Dieu est vivante, elle est pleine de force. Elle coupe mieux qu’une épée qui coupe des deux côtés. La parole de Dieu entre en nous en profondeur. Elle va jusqu’au fond de notre cœur, jusqu’aux articulations et jusqu’à la moelle. Elle juge les intentions et les pensées du cœur.»
Lettre aux Hébreux 4:12 PDV2017
«« Ne soyez pas inquiets en vous demandant: “Qu’est-ce que nous allons manger? Qu’est-ce que nous allons boire? Avec quoi est-ce que nous allons nous habiller?”»
Bonne Nouvelle selon Matthieu 6:31 PDV2017
«Oui, le message de la croix est une folie pour ceux qui perdent leur vie loin de Dieu. Mais pour ceux que Dieu sauve, c’est-à-dire pour nous, il est puissance de Dieu.»
Première lettre aux Corinthiens 1:18 PDV2017
Il y a une histoire intéressante dans la Bible par rapport à «la bonne réponse». Nous avons tous, déjà au moins une fois dans notre vie, passé des examens scolaires ; pour réussir un examen, il faut donner les bonnes réponses.
Une mauvaise réponse signifie un échec, cela signifie également que nous n’aurons pas ce que nous sommes venus chercher. J’ai l’impression que nous réagissons parfois comme cela avec Dieu : quand nous prions, nous ne voulons surtout pas dire de bêtises, pour ne pas échouer, pensant que, si nous ne disons pas exactement la bonne «formule», Dieu ne nous écoutera même pas, et nous en sommes complexés. Il est grand temps d’être décomplexé.
La Bible nous parle de la piscine de Béthesda (une piscine avec des pouvoirs de guérison) et d’un homme qui y était depuis des années. C’est là que Jésus arrive et lui parle.
Jean 5:6-9 « Jésus,… lui dit: Veux-tu être guéri? 7 Le malade lui répondit: Seigneur, je n’ai personne pour me jeter dans la piscine quand l’eau est agitée, et, pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. 8 Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche… »
Imaginez que vous êtes malade et que quelqu’un vous pose la question «veux-tu être guéri ?» Je pense que la réponse est très simple : «oui» ou «non», mais certainement pas : « Seigneur, je n’ai personne…».
C’est ce qu’on appelle une très mauvaise réponse qui, selon notre raisonnement humain, devrait conduire Jésus à répondre : «homme de peu de foi, tu n’auras rien», mais, heureusement pour nous, Jésus ne réagit pas comme cela, au contraire, il lui donne ce qu’il n’espérait plus avoir, à savoir la guérison.
Même si vous ne savez pas toujours comment vous y prendre, parlez à Dieu, Il écoute avec amour et compassion.
«Jésus voit qu’il est couché et il apprend que cet homme est malade depuis déjà longtemps. Il lui demande: « Est-ce que tu veux guérir? » Le malade lui répond: « Seigneur, je n’ai personne pour me descendre dans la piscine quand l’eau se met en mouvement. Et pendant que j’essaie d’y aller, un autre descend avant moi. » Jésus lui dit: « Lève-toi, prends ta natte et marche! » Aussitôt, l’homme est guéri. Il prend sa natte et il se met à marcher. Cela se passe le jour du sabbat.»
Bonne Nouvelle selon Jean 5:6-9 PDV2017
«Mais le Seigneur lui dit: « Cet homme est beau et il est grand. Mais ne fais pas attention à cela! Ce n’est pas lui que j’ai choisi. Je ne juge pas comme les êtres humains. Les gens font attention à ce qui se voit, mais moi, je regarde le fond du cœur. »»
Premier livre de Samuel 16:7 PDV2017
«Le Seigneur parle avec Moïse face à face, comme un homme parle avec un autre homme. Puis Moïse revient au camp. Mais son serviteur, le jeune Josué, fils de Noun, reste dans la tente sacrée.»
Exode 33:11 PDV2017
«Quand il apprend que Jésus de Nazareth arrive, il se met à crier: « Jésus, Fils de David, aie pitié de moi! »»
Bonne Nouvelle selon Marc 10:47 PDV2017
1 Pierre 2:9-10 « Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis,…»
Ce passage de la Parole de Dieu est une révélation à bien des titres. Avez-vous déjà pris conscience de qui vous êtes en Jésus-Christ?
Je sais que, pour beaucoup, nous connaissons bien ce passage. Cependant ce n’est pas parce que nous pouvons citer un passage de la Bible par cœur que nous avons pleinement compris ce qu’il implique dans notre vie de tous les jours.
Être un sacerdoce royal implique des droits et des devoirs, c’est une question de position d’autorité. Si, par exemple, je suis en voyage et que je vais loger chez des amis, lorsque je suis chez eux, la politesse veut que je respecte les règles en vigueur dans leur maison, je ne suis pas chez moi, je ne fais donc pas ce que je veux. Par contre, si eux viennent à la maison, ce sera l’inverse, ils devront respecter mes règles et je devrai les accueillir du mieux possible, les droits et les devoirs.
L’identité que nous avons en Christ nous confère des droits, ceux de régner, d’avoir de l’autorité dans nos paroles, parce que nos paroles ont de la valeur dans les lieux célestes.
Cela nous confère aussi le devoir de ne pas dire et proclamer n’importe quoi sans réfléchir, un peu comme lorsque les disciples voulaient que Jésus fasse tomber le feu du ciel (…). Jésus avait l’autorité pour le faire mais il avait assez de sagesse que pour ne pas utiliser cette autorité sans se soumettre à ce que Dieu voulait faire. Nous devrions réfléchir davantage, et demander à Dieu ce qu’Il veut afin que nos prières et nos proclamations ne soient pas remplies d’arrogance et de jugement mais plutôt d’humilité et de grâce.
Que mes paroles soient des paroles de vies que je proclame sur ma vie et sur la vie de ceux qui m’entourent.
«Mais vous, vous êtes la race choisie, la communauté des prêtres du Roi, la nation sainte. Vous êtes le peuple que Dieu a choisi pour annoncer les grandes choses qu’il a faites. Il vous a appelés à sortir de la nuit, pour vous conduire vers sa lumière magnifique. Autrefois, vous n’étiez pas le peuple de Dieu, mais maintenant, vous êtes son peuple. Autrefois, Dieu n’avait pas pitié de vous, mais maintenant, il a pitié de vous.»
Première lettre de Pierre 2:9-10 PDV2017
«Une personne qui surveille toutes ses paroles se protège contre le malheur.»
Proverbes 21:23 PDV2017
«« Vous avez appris aussi qu’on a dit à vos ancêtres: “Tu ne dois pas être infidèle à tes serments. Mais tu dois faire tout ce que tu as juré devant le Seigneur.” Mais moi, je vous dis: ne faites pas du tout de serments. Ne jurez pas par le ciel, parce que c’est là que Dieu habite. Ne jurez pas par la terre, parce que c’est l’endroit où il pose ses pieds. Ne jurez pas par Jérusalem, parce que c’est la ville du Grand Roi. Et ne jure pas par ta tête, parce que tu ne peux pas rendre un seul cheveu de ta tête blanc ou noir. Dites simplement “oui” ou “non”. Ce qu’on dit en plus vient de l’esprit du mal. »»
Bonne Nouvelle selon Matthieu 5:33-37 PDV2017
«Alors, debout! Prenez la vérité comme ceinture, mettez la justice comme cuirasse.»
Lettre aux Éphésiens 6:14 PDV2017
Moïse fut un libérateur pour son peuple, cet homme de Dieu a vu de ses yeux des miracles qui dépassent notre entendement : les plaies d’Egypte, la mer qui s’ouvre, l’eau qui jaillit du rocher, la manne et les cailles, la colonne de feu, la nuée, la gloire de Dieu reflétant sur son visage, les tables de la loi, la présence de Dieu manifestée dans le tabernacle, …
Mais toutes ces choses ont commencé avec une seule phrase : ‘Laisse Partir Mon Peuple’, une phrase qu’il n’a cessé de déclarer.
Il est des moments où nous obéissons à ce que Dieu nous dit, nous proclamons Ses promesses et les vérités qu’Il nous a révélées, et pourtant, au lieu de voir un miracle prendre place, nous voyons l’exact opposé, c’est exactement ce qui arrivait à Moïse et Aaron. Dans ces moments-là, la plupart des personnes qui sont autour de vous ne comprennent pas vos décisions, ne suivent pas votre logique. (Il est toutefois important d’avoir une personne d’autorité dans nos vies, à qui nous sommes soumis)
Alors que les neuf plaies d’Egypte ont été démontrées, le Pharaon, au lieu de plier devant Dieu, menace ceux qui communiquent Ses propos, ce qui, à ce moment-là, pourrait facilement être perçu comme un échec, jusqu’à ce que la dixième plaie débloque la situation, afin que la parole prononcée s’accomplisse enfin.
Prononcer les paroles de Dieu n’est pas très souvent une mince affaire. La plupart du temps, le découragement prendra la place de l’espoir mais, dans ces moments-là, n’arrêtez pas de déclarer ce que Dieu déclare, même si ce n’est pas ce que vous ressentez. L’accomplissement des promesses de Dieu n’est pas de votre ressort ; ce qui l’est, en revanche, c’est de croire ce qu’Il a dit et de le déclarer avec obéissance et foi.
«Le Seigneur dit encore à Moïse: « Commande à Aaron d’étendre son bras et de diriger son bâton vers les rivières, les canaux et les lacs. Alors les grenouilles couvriront toute l’Égypte. »»
Exode 8:1 PDV2017
«Il dit à Moïse: « Va-t’en! Attention, ne reviens plus te présenter devant moi! Si tu te présentes encore devant moi, tu mourras! » Moïse répond: « En effet, comme tu le dis, je ne me présenterai plus devant toi. »»
Exode 10:28-29 PDV2017
«Le matin suivant, en revenant à la ville, Jésus a faim. Il voit un figuier au bord du chemin. Il s’approche de l’arbre, mais il ne trouve que des feuilles. Alors il dit au figuier: « Tu n’auras plus jamais de fruits! » Et aussitôt le figuier devient tout sec. Quand les disciples voient cela, ils sont très étonnés et ils disent: « Comment est-ce que le figuier a pu sécher tout de suite? » Jésus leur répond: « Je vous le dis, c’est la vérité: si vous avez la foi et si vous n’hésitez pas, vous pourrez faire ce que j’ai fait au figuier. Vous pourrez même dire à cette montagne: “Va-t’en et jette-toi dans la mer!” Et cela arrivera. Si vous avez la foi, vous recevrez tout ce que vous demanderez dans la prière. »»
Bonne Nouvelle selon Matthieu 21:18-22 PDV2017
«Jésus s’approche et leur dit: « J’ai reçu tout pouvoir au ciel et sur la terre. Allez chez tous les peuples pour que les gens deviennent mes disciples. Baptisez-les au nom du Père, du Fils et de l’Esprit Saint. Apprenez-leur à obéir à tous les commandements que je vous ai donnés. Et moi, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. »»
Bonne Nouvelle selon Matthieu 28:18-20 PDV2017
L’église peut, à certains moments, ressembler à un hôpital, où certaines personnes ne sont pas capables même de parler ou de prier. Je crois qu’il est de notre devoir de parler pour ceux qui n’ont pas de voix, pour ceux qui sont tellement découragés qu’ils n’ont plus la force de prier.
Ces personnes pour qui nous avons de l’affection et qui ne prient plus, sont dans un état qui requiert toute notre attention et notre compassion.
Avez-vous déjà essayé de les aider par un autre moyen qu’une petite parole d’encouragement ou une tape dans le dos?
Nous sommes là aussi pour eux. Quel serait notre désir si nous étions à leur place ? Serait-ce celui d’être jugé, critiqué, dévisagé ? Ou aimerions-nous que quelqu’un se tienne sur la brèche pour nous, que quelqu’un prie pour nous, croie en nous, croie en nos capacités de réussite?
Je crois fermement que, si nous réalisions notre responsabilité envers un frère ou une soeur en détresse, les paroles qui sortiraient de notre bouche lorsque nous leur parlons ou lorsque nous parlons d’eux, seraient foncièrement différentes, ce qui aurait un impact positif inattendu dans leur vie.
Il n’est pas toujours forcément nécessaire de réprimander les gens autour de nous pour qu’ils changent, il suffit parfois d’être simplement à l’écoute, de comprendre, et, malgré ce qui saute aux yeux, de proclamer sur leur vie les paroles et les promesses que Dieu déclare sur eux.
«Des gens arrivent pour lui amener un homme paralysé. Quatre personnes portent le malade, mais, à cause de la foule, ils ne peuvent pas le placer devant Jésus. Alors, ils enlèvent une partie du toit au-dessus de l’endroit où Jésus se trouve. Et, par ce trou, ils font descendre le paralysé couché sur sa natte. Quand Jésus voit leur foi, il dit au paralysé: « Tes péchés sont pardonnés. »»
Bonne Nouvelle selon Marc 2:3-5 PDV2017
«Qui peut les condamner? Personne! En effet, le Christ Jésus est mort, de plus, il s’est réveillé de la mort: il est à la droite de Dieu et il prie pour nous.»
Lettre aux Romains 8:34 PDV2017
«Priez sans cesse. Faites toutes vos prières et vos demandes par l’Esprit Saint! Soyez bien attentifs et priez toujours fidèlement pour tous les chrétiens.»
Lettre aux Éphésiens 6:18 PDV2017