Textes issus des fouilles de Kamina
Genèse du manuscrit numéro 9
Genèse
Nos jours sont gravés dans les cieux de toute éternité. Dans l'infini sans épaisseur d'où sont issues toutes choses, il fut dit depuis toujours que ce jour brillerait. Le vent qui souffle porte en lui quelque chose de l'Éternel, quelque chose qui vient de plus loin que le plus lointain passé, d'un âge plus profond que le fin fond des âges.
En ces temps immaculés d'avant le premier conflit, en ces lieux de pure et de parfaite unité, par-delà le chaos et les choses finies, un éclair jaillit dans l'obscurité profonde. L'équilibre divin, qui règne hors du temps pour les siècles des siècles, subit en son sein d'étranges tourmentes. Des forces occultes s'opposèrent et enflammèrent la nuit, des milliards de rêves possibles fusèrent des profondeurs de l'infini, les visions de cent mille mondes s'engendrèrent au cœur du chaos primitif. Tout l'univers du possible a pu s'étaler ainsi dans cet instant figé.
Puis un œil s'est ouvert sur le mystère du jour déployé. Par le concours de puissances inouïes, des regards émergèrent et façonnèrent des mondes. L'œil de Dieu, jadis infini, en milliards d'éclats se dispersa dans les ténèbres, comme autant d'étincelles dans la nuit qui brillent à chaque instant de leur présence.
Histoire de la religion par Consius
De la guerre des Dieux.
Mon projet est de permettre aux étudiants d’appréhender les écritures d’une nouvelle manière afin d’en comprendre mieux le sens et de ne pas entrer dans ce cercle vicieux qu’entretiennent ces illettrés présent dans bien des villages et des lieux de pauvreté et qui ont une approche de la religion qui tient plus de la superstition que d’une réel croyance. Pour se faire résumons un peu ces livres complexe et poussiéreux que sont Les Saintes Ecriture.
Penchons nous tout d’abord sur les guerres des Livres ; La guerre de l’égo, La guerre du mortel et La guerre du vengeur.
Il est dit dans Les Saintes Ecritures qu’ « Aux premiers jours Le Saint Solaire apparu sur terre pour l’irradié de bonté et créer son peuple, le peuple solaire » Avec évidence ; Les humains.
Mais les humains, immortelles et élus des dieux préfèrent oser les défiés « Dans leur folie ils embarquèrent dans d’immenses navires forgés dans l’onyx pour rejoindre Sieoep, Terre des dieux parmi l’astre stellaire. » Alors Pélor les puni en donnant naissance à Morte.
Schéma classique, l’égo des hommes les mènent à leur perte, symbolisée par la déesse de la mort.
S’ensuit une myriade de visions cauchemardesques autour de la mort :
«De ses entrailles sortirent les atroces maladies ; la famine, la peste et l’infection [..]Le sang coulait à flot, les pères tombaient prés de leurs fils ,les fils tombait prés de leurs ainés »
Les hommes sont déchus ils expirent les uns après les autres, leur nombre chute.
Mais, au lieu de demander le pardon à l’astre divin, ils se mettent à adorer Morte « Reine de tout leurs pêchés ».
C’est le premier pas de la déchéance, l’homme soumit à la mort.
Là commence l’avènement des morts Le second livre des saintes écritures dans lequel est raconté comment les hommes durent se défendre face aux adorateurs de La Nécromancienne. C’est finalement l’ailée qui les sauve en s’interposant entre Le Dieu aux tournesols et La Necromancienne.
Mais en échange elle réclame un tribut, la soumission au temps et un sacrifice « Dans sa grâce et sa haute majesté, L’intemporelle servi ordonna aux hommes le fils de leur ainé. »
Les dieux réclament toujours quelque chose pour leur service. Ici, pour que la mort ne les frappe pas tout le temps elle les soumet au temps.
Là commence la troisième guerre, Le chef des hommes refuse de donner son fils, son frère Aeter « main de la justice » dispose du poison sur son arbalète, il meurt en mangeant le cerf qu’il a chassé.
Aeter devient donc l’ainé et le chef de la tribu, pris de remord il enterre son frère et décide d’épargner son neveu.
Malheureusement les dieux trompent l’œil d’Aeter qui au cours d’une partie de chasse tue son neveu.
Le pacte est scellé et les hommes deviennent soumis au temps. En même temps apparait le début de l’ère de la trahison.
A son retour le fantôme de son frère vient l’accusé d’avoir commis le meurtre. Les anciens du village se disputent, certains vont chez Aeter. Ils torturent sa femme, tuent son fils ainé et brûle sa maison.
Aeter décide de les poursuivre avec son armée.
Commence alors la première guerre de l’humanité.
C’est à ce moment qu’apparaissent les deux dieux ennemis Le Vengeur, sous la forme d’Aeter et Le Sombre Arbalétrier sous la forme de son frère.
Ainsi se termine la déchéance humaine, avec progressivement l’apparition de la mortalité, de la souffrance et de la trahison.
Si vous avez des questions sur la religion vous pouvez me les poser, je tenterai d’y répondre avec des articles tels que celui-ci.
Maitre Consius, Enseignent du Cours Religieux
Extrait des lettres : Lettre II
Face aux problèmes de classifications religieuses qui règnent au sein de votre nouveau monastère je vous envoi la liste que j’ai écrite de mes propres mains il y a de cela seize années et destinée aux étudiants des arcanes célestes.
Maitre Consius
Le Panthéon des 13:
Dieux dit « Du bien » :
-Pelor, Le Dieu solaire aussi appelé : Saint Père, Le dieu aux tournesols, Le Protecteur ou Orim
Patron des médecins, des forgerons et des agriculteurs.
Gardien du château, des murailles et des forges.
Arme de prédilection : Le marteau de guerre
-L’archer céléste aussi appelé : La main de la justice, Le vengeur.
Patron des maitres archers, des assassins et des veuves.
Gardien de la demeure.
Arme de prédilection : L’arc
-Tyr, Le Rédempteur, Le Paladin Sanguinaire, L’épée céleste.
Patron des élites, des serviteurs et des cuisiniers.
Gardien des plaines ensanglanté et des cuisines.
Arme de prédilection : l’épée bâtarde
Dieux dits « du secret » :
-L’œil, gardien des secrets
Patron des amnésiques, des fantômes et des ivrognes.
Gardien des écoles et des places.
Arme de prédilection : Le poison
-Le Grimoire, Le Saint Patron des mages, Le Grand Erudit
Gardien des bibliothèques
Patron des magiciens, des sculpteurs, et des érudits.
Arme de prédilection : La baguette
Dieux dits « de la nature » :
-Lunea, Sainte patronne des elfes :
Patronne des endormies et des loups garous.
Gardienne des bosquets
Armes de prédilection : L’arc long et le cimeterre
-L’Ancien, Doyen de la forêt aussi appelé L’arbre millénaire ou l’Ent aux cent vies.
Patron des druides, des arbres et des vieux.
Gardien de la forêt
Arme de prédilection : Le bâton
-Urgrim aussi appelé Le Centaure ou Le cri de la forêt.
Patron des rodeurs et des créatures de la forêt.
Gardien des grottes.
Armes de prédilection : les griffes et les crocs
Dieux dits “du mal”:
-Morte , “La morte” aussi appelé Mère des cafards, Reine de la putréfaction, La pestilente ou encore La Nécromancienne .
Patronne des Nécromanciens, des fossoyeurs, des pharmaciens, des harpistes, des cadavres et des condamnés.
Gardienne des cimetières, des mausolées et des tombeaux.
Armes de prédilection : La maladie et le fléau
-L’Ailée* Aussi appelée La Lente au sablier, La faucheuse ou encore La Prêtresse de la délivrance.
Patronne du sommeil, des soldats et des morts.
Gardienne du temps
Armes de prédilection : Le sablier (le temps) et la faux
*Souvent confondue avec Morte et est souvent considéré comme un dieu mineur.
-L’enterré aussi appelé, Seigneur des liches, L’impérissable, Le dépossédé.
Patron des liches et des vampires.
Gardien des morts-vivants.
Arme de prédilection : Le sceptre.
-Le Sombre Arbalétrier aussi appelé L’ennemi du vengeur ou Sang Noir.
Patron des Arbalétrier, des assassins et des brigands.
Arme de prédilection : L’arbaléte
Autres dieux :
-L’Acrobate aussi appelé : Pére ménéstrel, Roi des Lutins, L’ami des voleurs, Le magicien des basses terres, le saint joueur de billes, Langue-habile, La patte chanceuse ou encore le trop-nommé.
Patron des roublards, des bardes, des acrobates, des joueurs et des pécheurs.
Gardien des ruisseaux et des casinos.
Armes de prédilections : Les cartes (la ruse) et la dague
A cette liste de dieux s’ajoute une vingtaine de dieux mineurs, dont 4 autres dieux de l’assassinat, 1 dieu messager, 1 dieu du repos, 2 dieu de la chance dont 1 pour les récoltes 3 dieux de régions, 1 dieu des mers et 1 des montagnes, ainsi que 7 autres dieux associé à des groupes ethniques et à des communautés isolé.
La graine du monde - Sel'ek Esuï ( Cosmologie Saurus )
Les 4 mondes et les 4 progeniteurs
Génése:
Svil'flëyn ( Celui qui croît ) née du néant fit le premier pas. L'onde zizgagante du mouvement prit deux sens : Shaluk (Le Passé) et E'lg (Le futur) destinés à se rencontre au bout du monde et former la bulle, bordure de Svil'flëyn.
La lumière de son œil traverse les 4 mondes à la suite pour se nourrir de l'onde permanente contenue dans la bulle. En premier il s’élève en El'ô ( Les cieux ) où les Ëvflaëk (Les Ailés ), qui descendent du Elkaïrïn ( Le Loup Blanc ) lui procurent l'aether. Puis il traverse Shël Eynn, où la vie grouille de d'enfants de Aesguae ( L'Arbre ) qui le peignent de Shëïss ( Le Nectar de l'Âme ). Il s'enterre ensuite dans les profondeurs de Kklss où vivent les Keïf ( ondes-joyeaux ) qui s'accrochent à leur mére Sï'l ( L'Iris ) pour retomber le long de son prochain parcours. Enfin, il gît dans l'EïKksar où L'ïllï'ïyl( Les Sans lumière ) issus de Shifv ( Le non-être ) se repaissent de ses larmes.
L'arc de notre monde, Shël Eynn dure le plus longtemps. Les âmes privées de corps sont aspirées par le grand regard de lumière alors que celles qui renaissent descendent en rejoindre. Celles qui sont aveugles sont déchirées et mélangées au nectar, flux invisible vertical. Celles qui par la procession se défont sans heurte de leur présence charnelle accompagneront Svil'flëyn lors du prochain cycle et pourront choisir le corps de leur prochain passage.
Les Keïf, qui habitent dans le 3e monde se renouvellent dans l'oeil du monde et descendent sur les 4 mondes sous les couleurs des minimales. Ces êtres sans présence charnelle émanent d'une pure aura dont les alignements optiques offrent à chacun l'aspect qui lui convient. Ils se déversent en mourant dans le cœur du monde dont les deux artères qui forment le flux vertical des âmes assurent la transmission du mana, carburant de la vie.
Manuel du Noiroroo
Les Arbres cytariens :
Ces arbres gigantesques aux feuilles d'or croissent à la lumière du soleil et produisent une fois par an un fruit unique du nom de Nedea. Ces fruits produisent une quantité prodigieuse d'énergie.
Le Nedea: Matériel alchimique de lumière pur de très haute puissance ce fruit enivre l'esprit de celui qui le mange apaisant l'ensemble de ses maux en le plongeant en transe régénérant. Les elfes solaires, petites tribus des forets éparpillé utilise la Nadea pour leur magie soit en l'utilisant via la transe des chamans soit en l'accompagnant d'autres éléments pour leurs potions. Ils sont ainsi capable de communiquer avec l'esprit végétal et de le faire prospérer jusqu'à l'état provisoire de seigneur de la fôret, l'Ent. Ils créent également des potions rallongeant l'espérance de vie de toute créature vivante. La nedea est également un poison des plus virulents face aux morts vivant les brulant comme l'acide.
La légende parle d'un endroit caché au milieu de la forêt ou vit le Dieu de la forêt, un Ent cytarien immobile dont les racines s'étendent par-delà les terres qui connait toute les langues et tous les savoirs des peuples. On dit que cet arbre donne naissance chaque millénaire à un fruit, ce fruit sacré est le Nedea solaire dont on dit qu'il donne la vie éternelle à celui à qui il est offert.
Le guide de l’Alchimiste, Livre III par Jolinekey Minerva
La cité des montagnes :
Il existe une cité volante qui s'est un jours accroché à la montagne par une longue rivière de glace formant alors un pont suspendu et traversant les nuages. Beaucoup d'explorateurs sont morts en tentant la traversé du pont mais ceux qui en sont revenus affirment y avoir vu une cité magnifique, peuplée d'étranges créatures. Cette cité est réputée pour conserver de puissants artefacts et la légende raconte qu'il s'y trouve un vénérable dragon perdurant dans les âges qui un jour accordera, à celui qui l'aura trouvé, la beauté éternelle.
Contes pour Enfant
Les frappeurs de Terre :
On dit qu'il existe un peuple dans le sous monde qui fut un jour lointain les cousins des Nains. Ce peuple aurait cependant choisi de rester sous terre là où la lumière jaillit du plus profond de la terre. Ce peuple se nomme les Frappeurs. On raconte qu'ils passent leur vie entière à battre le tambour sous terre et à discuter ainsi avec l'esprit minéral. Ce sont eux qui protègent les nains sous la surface de la fureur terrestre. Aussi, il est dit chez nos amis de la Montagne que parfois lors d'un éboulement ou d'un tremblement ils remontent chercher un de leur frère pour l'amener au profond et l'inviter à ne faire qu'un avec l'esprit millénaire de la roche. Leur magie est puissante, ils auraient le pouvoir de contrôler la terre et de l'agiter le moment opportun, ainsi c'est un privilège chez les nains d'être renvoyé à cette terre profonde et mouvementé du royaume des frappeurs.
Comprendre les Nains par Vid Kain
Les ruines de Liryune et le musée oublié :
Au cœur de la province Nordique, dans les hauts manteau se dressait autrefois une cité légendaire, le joyau du nord la belle Liryune. De cette ancienne cité ne perdure aujourd'hui que des ruines recouvert de glace. La légende raconte qu'au cœur des ruines de Liryune se trouve un magnifique trésor ; le sceptre des neiges éternelles cadeau de la déesse Païenne Mira aux Nordiques. On dit que ce sceptre permet à celui qui s'en sert d'ouvrir le passage au musée perdu dont on dit qu'il recèle des secrets comme le livre des arcanes oublié ou les os du Dracophage. Ce sont probablement des légendes mais moi ; Arckanis Plane Archi-Alchimiste et fondateur du Dôme dépenserai tout ce qu'il faut pour découvrir si la légende est vrai et de me rapprocher plus encore de la pierre philosophale.
Mémoires d’un Mancien par Arckanis Plane
Le Léviathan :
Les Nagas racontent qu’un jour alors que les eaux étaient encore jeunes les anciens tuèrent un dragon qui harcelait leurs troupeaux. Ce Dragon ou plutôt cette dragonne mourut en donnant naissance à autre dragon qui ne put recevoir la mémoire de sa mère, ce dragonnet du nom de Léviathan fut attaché au corps inerte de sa mère et condamner à être enseveli dans la tanière de son ancestral parent. Par chance le dragonnet survécu en s’abritant contre le corps inerte de sa mère. Il grandit ainsi contre sa mère la dévorant à mesure que son corps se développait. Après quelques semaines le dragon se retrouva seul avec les os de sa mère. Il se mit alors à chanter une chanson, la seule chose qu’il avait entendu de sa mère alors même qu’il croissait dans son ventre. Cette chanson qui était en fait le chant des morts draconique libéra un pouvoir puissant et les os de la mère du petit formèrent peu à peu un véritable dragon squelettique qui en s’en allant ouvrit un passage pour le jeune dragonnet. Mais ce que le petit ne savait pas c’est qu’en libérant ce Dragon squelettiques il s’était fait l’ennemi des anciens. Il fut donc pourchassé durant de longues années mais réussi à se cacher suffisamment pour que son existence soit oubliée. Un millier d’année plus tard le dragon s’installa dans les terres les plus sauvages qu’il puisse trouver pour fonder une famille. Mais la vanité des Nagas (note du traducteur : le terme peut aussi être traduit par Dieux des eaux ou anciens) leur fit s’installer au-delà de leurs mers et ils finirent bientôt par former un village tout près de la tanière du vieux dragon. Le Léviathan bien âgée et sage alla alors voir les Nagas et leur proposa un marché ; Il ne dévorerait pas leur troupeau et en échange les Nagas chasseraient pour lui. Cet accord dura près d’un siècle mais un jour les Nagas voulant plus de pouvoir décidèrent d’entrer dans la caverne du Dragon afin de l’obliger à s’en aller. Hélas, ils ne trouvèrent pas le Dragon millénaire mais uniquement sa compagne et sa progéniture. Dans leur folie ils décidèrent de tuer tous ceux que celui qu’on appelait autrefois « Le Sage Dragon » aimait et quand fut rentré celui qu’on nomme aujourd’hui le Démon blanc il ne restait que les cadavres torturés des petits et la mère gisant dans son propre sang. C’est alors que la haine consuma le dragon ; les souvenirs des morts qui le hante et le hanterait à vie le rendirent fou. Il se mit à haïr tous les peuples des eaux, il massacra non seulement le village qui s’était installer sur sa demeure mais continua de plus en plus en avant dans le territoire des anciens. Jusqu’aux portes de la plus grande cité marine de tous les temps. Aux portes de la ville il demanda à voir les Rois. Quand les rois maudits sortirent le dragon demanda à ce que ceux-ci s’agenouille et demande pardon pour la vanité de leur peuple. Les Rois obéirent, le dragon se calma et on raconte que ce fut le seul moment de mémoire de naga qu’on eut vu un Dragon pleurer. Mais les Rois étaient sournois et avide de revanche. Alors même que le Dragon se retournait pour partir faire son deuil le Roi Mannarch décocha une flèche empoisonné qui parvint miraculeusement à traverser les écailles du Léviathan signant son arrêt de mort. Le dragon alors que sa vie lui échappait se remit à chanter la chanson de sa mère mais cette fois avec un tel désespoir qu’on dit que tous ceux qui l’écoutèrent sombrèrent dans la folie. C’est ainsi qu’il se transforma en démon blanc ; un dragon entre vie et mort condamné à passer l’éternité à haïr la vie et tout ce qu’elle représente. On raconte que ce Dragon détruisit la cité et l’ancienne empire et finit par se terrer au plus profond du monde mais qu’un jour il referait surface pour rappeler au monde la vanité qui les a conduit à leur déchéance.
Auteur inconnu.
Les Mystères des elfains :
Les Elfins communément appellé elfes des forêts sont principalement connu pour des contes tel que l’Elfin mangeur d’enfant ou la chasse de l’elfin des montagnes. Ces contes moralisateur ou amusants sont en réalité bien loin de la créature qu’est en réalité l’elfin. Ces créatures humanoïde bien plus petits que leurs cousins « noble » sont très difficile a trouver mais recéle pourtant bien des secrets. Les forêts qui sépare kamina de la république serait selon toute vraissemblance leur lieu de vie ou ces adorateurs de la nature passent le plus clair de leur temps. Nous répertorions à ce jour trois type d’Elfain : Les Elfins Arboricole vivant en tribu et vénérant les arbres, cette éspéce est assez inoffensive et n’est gére plus qu’une simple culture primitive. Le second groupe de cette éspéce est composé d’individu entre druide et chasseur qui représente des adversaires de taille à tout aventurier digne de ce nom. Enfin il éxiste un troisiéme groupe peu connu dont l’histoire nous parvient de quelques récit et légende que ma longue vie m’a amené à réunir.
Les Shamans du Sylf serait un groupe d’Elfins composés majoritairement de femmes ce qui améne certains de mes collégues à les assimilé aux muses. Ils représentent cepandant une communauté bien plus évolué é sur le plan de la magie, possédant si j’en crois mes sources maints artefacts précieux et un savoir faire unique en matiére d’enchentement. L’exemple le plus probant que j’ai pu obtenir via des recherches sur place est le Baton d’osmose naturelle qui permet à son possésseur de voyager partout dans la sylve via une sorte de systéme de portail planaire de la nature. Mais ce n’est pas tout ; J’ai pu grace à mes recherches collécté suffisament de preuve concernant l’éxistence d’un domaine situé dans la forét ou ces elfes auraient entreposé un artefact au doux nom de Baton d’Aubechêne qui donnerait à son utilisateur la capacité de commander aux ents. Je demanderait donc à notre chére archimage de préter un peu de son or afin de retrouver cette artefact qui il semble évident constituerai une arme stratégique et un renfort pour nos activité de bucheronnage au Sud des villages cotier de la région D’Alkarn.