LES SOCIÉTÉS FACE AUX RISQUES
Introduction
• Documents d'accroche 1 et 2: Photographie de la ville de Quito, 22 août 2015 (Reuters, Guillermo Granja) + carte (DP 8113 / Des hommes et des risques)
• Consigne : Décrire la photographie, puis expliquer à quels risques est confrontée la ville de Quito en Équateur.
• Quelle définition peut-on alors donner de la notion de risque ?
- Le risque est un rapport établi entre un territoire soumis à des aléas et une société qui l’occupe.
- Ainsi quand on dit que les sociétés sont de plus en plus soumises à des risques, il faut envisager à la fois l’idée d’une catastrophe et la perception qu'elles en ont. Pour qu'il y ait risque, il faut donc une présence humaine : il n'y a pas de risque dans le désert.
- Il existe différents types de risques : naturels, technologiques dont les nucléaires. Largement répandus et potentiellement porteurs de catastrophes, ces risques menacent les populations, particulièrement les plus pauvres.
• Problématique : Comment les risques, dans un contexte de changement global (climatique), révèlent-ils l'inégale vulnérabilité des sociétés ?
Quelles sont les caractéristiques qui font de Fukushima une catastrophe ?
Questions de l’activité n°1
• Comment les Japonais font-ils pour réduire la vulnérabilité de leur territoire ?
Questions de l’activité n° 2:
Comment qualifier la résilience de Fukushima et du Japon ?
Conclusion de l'EDC : Réalisation d'un croquis de synthèse (et/ou possibilité de réaliser des schémas durant l'EDC) → à adapter.
Document 1 : Sociétés, risques et environnements (manuel Nathan) à mettre en relation avec doc Magnard p. 46 n° 1
NB : V20 sont les pays les plus vulnérables au monde face au changement climatique.
Document 2 : Les principales catastrophes technologiques depuis les années 1960 (manuel Belin p. 28 n°2)
Activité : À l'aide des documents remplir le tableau suivant :
Question : Montrer que les sociétés font face aux risques de manière différente selon les pays.
Conclusion
L'étude des risques et des catastrophes est une clé de lecture particulièrement pertinente de l'évolution des sociétés et des territoires. Elle permet de comprendre également la vulnérabilité des sociétés et leur résilience. La transformation des risques, en particulier leur globalisation, est un indicateur de la complexité du monde.