mea culpa


Voici l’histoire d’un citoyen ordinaire qui a eu l’impudence d’envisager l’hypothèse que Sainte-Hélène a peut-être été leurrée par l’hébergeur de son site Internet.

N.B. : l’anonymat des « équipiers » du site de la mairie a été respecté : j’ai appelé mon premier contact « équipier X » et celui qui a pris le relais pour me répondre « équipier Y »

Le 9 mars 2010, j’adressais le courriel suivant à « l’équipier X » du site Internet de la mairie de Sainte-Hélène (extraits) :

« Je n'arrive pas à me loguer sur le site de la mairie.

J'ai essayé de m'inscrire sous un nouveau pseudo sans plus de résultat.

Pourriez-vous ajouter au forum, à la rubrique "site de la commune" le nouveau sujet suivant?

Merci.

Titre : Nouveau site Internet de la mairie

Le 13 octobre 2008, vous annonciez que vous aviez trouvé un fournisseur de sites qui ne facturait que 75 euros par an ses prestations. « Pas de piège », disiez-vous « il s’agit du site des communes, qui se garde une page publicitaire ».

Rien d’inhabituel car la plupart des sites vivent grâce à la publicité. Google et les autres.

16 mois après, dans le compte-rendu qui est paru dans le journal Sud Ouest du 22 février 2010, le lecteur est informé que « plusieurs frais sont à prévoir : 1 320 euros pour le contrat de cession de droits du site Internet de la commune et 466 euros pour le contrat de maintenance du site ».

N’avez-vous pas l’impression de vous être fait « appâter » par un prix attractif de première année pour être mieux « tondu » par la suite ?

Combien coûtait le premier site de la mairie ? Ne suffisait-il pas simplement de le « réveiller » ?