Il n'y a de rien plus précieux que la spiritualité

Honte à ceux qui en font un produit de consommation

Le Divin n'est pas à vendre,

le sacré ne devrait pas l'être non plus

Dernière mise à jour : le 1 / 4 / 2020

Le sens de la vie est spirituel.

S'il ne l'est pas, la vie n'a tout simplement pas de sens.

1 / 7 / 2019

La spiritualité n'est pas une option

Dans le monde où nous vivons, chaque chose a une raison d'être. Même les scientifiques, neurobiologistes, psychologues, athées et matérialistes l'ont compris. Pourquoi sommes-nous alors en train de souffrir, jamais content, toujours à chercher autre chose, toujours plus ? Est-ce que la souffrance serait notre meilleur ami ?

1 / 4 / 2020

Peur de la mort

A l’origine de toutes les peurs, émotions, autant les meilleurs que les pires, sentiments d’insécurité, anxiétés, dépressions, névroses, psychoses et problèmes psychologiques de toutes sortes se trouve bien sûr l’ultime peur de la mort, le démon absolu, qui défie en permanence notre instinct irraisonné de survie. Il serait en effet difficile de concevoir un immortel souffrir de désordre psychique du fait qu’il dispose de l’éternité pour satisfaire tous ses désirs, y compris ceux que les mortels considèreraient comme les plus insensés.

Mais que savons-nous vraiment de la mort et en particulier ce qui se passe après ? Soyons honnête, nous ne savons absolument rien à ce propos. Ce n’est pas un docteur en médecine ou neuroscience, un prêtre ou un halluciné en New Age, qui pourraient répondre à une telle question. La preuve, c’est qu’ils sont tous bien vivants pour en causer et qu’ils ne peuvent évidemment pas savoir de quoi ils parlent.

Quant aux expériences de mort imminente ou hors du corps, les seules preuves qui pourraient faire nous croire que la vie ne s’arrête pas en fait au moment de la mort, elles ne pourront jamais convaincre de leur authenticité une personne, qui n’a jamais vécu de telles expériences, si toutefois elles sont capables de supprimer tous les doutes possibles à ceux qui les ont vécues, ce dont on peut sincèrement douter pour le simple raison que celui qui se pose des questions à ce propos, à savoir le mental et l’ego, disposent bien sûr d’un corps et un cerveau bien vivants pour y réfléchir.

Cela signifie que la peur de la mort ne repose en fait que sur ce que l’on en pense. Mais la vraie question est de savoir pourquoi nous avons peur de cette mort, c’est-à-dire d’une pensée et un système de croyance conscient ou inconscient – il va de soi en effet que la peur de la mort concerne autant le nihiliste pur et dur que le croyant fanatique. Et la réponse est en fait très simple, elle pourrait se formuler ainsi : “Que se passerait-il si la vie en vérité ne s’arrête pas après la mort ?”

Nous pouvons donc facilement en déduire que la peur de la mort ne concerne pas en vérité ce qui se passera après la mort, mais ce qui s’est passé avant de mourir, autrement dit comment nous avons vécu et sommes encore en train de le faire.

En résumé, nous pourrions facilement dire que la peur de la mort ne concerne pas du tout l’inconnu, mais uniquement le présent et le passé que nous connaissons parfois trop bien et qui nous hante toujours. Clairement dit, ce sujet est beaucoup plus à propos de Karma et justice immanente que la mort dont nous ne savons absolument rien.

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