Sur le continent de Drahinor la plupart des mariages ayant lieu sont des mariage religieux et sont dans presque tout les cas, à de rares exceptions près, organisé et célébré par l'Ordre de la Foi, organisation monopolisant et dirigeant la foi en Drahinor.
Les mariages sont donc célébré par un prêtre (ou un membre de plus au rang de l'Ordre de la Foi). Ce dernier marie les deux personnes sous le regard des dieux. Le symbole est extrêmement fort, les deux marier sont ensuite considéré comme étant lié comme une seul et unique âme dans deux corps. Une dualité qui n'est pas sans rappelé Drahir et Nor.
C'est pourquoi le divorce est entièrement proscris par l'Ordre de la Foi et par le royaume d'Aeter. Cela est vus comme un parjure envers les dieux eux-mêmes. Dans le cadre de la Noblesse, la fuite d'un mariage, ou d'un marier après mariage est sévèrement réprimander par les juridictions royals. Dans la noblesse par exemple, la sentence est la déchéance de tout titre et propriété, ajouté d'une peine additionnel pouvant être un Exil, un envoi au Mur d'Aeter, ou encore la Mort. De plus l'Ordre de la Foi excommunie ces personnes qui sont donc mis en marge de la société et vus comme des pestiféré porteurs de malheur.
Dans le cadre du décès de l'un des membres des mariés, l'Ordre de la Foi est assez stricte concernant les personnes de la basse société. En effet, ces dernier n'ont pas le droit à un second mariage. Les marié étant sensé ce retrouvé, toujours lié, après la mort, dans le royaume de Valor. Concernant la noblesse et la royauté, bien que cela puisse être mal vu, elle ne peut pas l'imposer n'ayant pas encore ce pouvoir sur eux.
Certaines races, font, par coutume, par manque de foi, ou simplement de temps, des mariages non religieux. C'est à dire non dirigé par l'Ordre de la Foi. Parmis les races ayant coutume de ce marier sans intervention de l'ordre de la Foi on retrouve deux races : les Fées, et les Désarites.
Les mariages fées sont assez simple mais prenne plus de temps que les mariages religieux. La promesse de mariage doit, par l'un des parti être donné l'autre. Il s'agit d'une fleur, la Nalihiral (qui signifie en langue ancienne la "lieuse" : voir Herbier de Drahinor ). Cette fleur doit ensuite être accepté par l'autre partie qui devra la mettre en pot et la poser sur une fenêtre de sa maison pour annoncer à tous la nouvelle fiançailles.
Ensuite, souvent une petite semaines après, les parties doivent tout deux partir dans un lieu reculé et remplis par la nature. Foret, Bosquet, ect. Dans ce lieu, ils doivent y passer deux nuits entière durant lequel les parties "consomme" leur union. Une fois de retour, toujours dans un lieu remplis par la nature, le doyen de l'une des deux familles doit alors lié les deux êtres par des paroles en langue commune sous le regard de la nature. et pour confirmer à tous que ses deux êtres sont lié dans cette vie.
Mais ce lien n'a de perpétuité que dans une vie. C qui signifie qu'une fois l'un des deux décédé, le surviant peut ce remarier sans être mal vu par ses paires fées.
Les mariages désarites sont aussi dans de nombreux cas non organisé par l'Ordre de la Foi. Ayant des coutumes différentes et aussi ayant moins de prêtre dans le désert. On retrouve de tradition différentes pour le mariage chez les désarites.
Dans le premier cas : qui est la façon la plus rapide, les deux marié doivent ce trouver au centre de leur famille qui ce réunit en cercle autour deux laissant un espace d'environs trois mètres au centre pour deux marier qui vont ce lier à vie. Tout deux récites alors de prière et des promesses qui sont faite directement au désert lui même personnifié parfois sous la forme d'un grand serpent des sables.
Dans le second cas : qui est plus long. Le male du couple est enterré à moitié dans le sable sans eaux ni nourriture durant trois jours pour prouver sa volonté. Une fois ressortit des sables il est habillé de ses plus beaux habits avant d'être amener devant la marier qui elle aura passer ses trois jour à ce préparer. C'est alors en petit comité composé uniquement des parents direct de deux mariés que les prière et promesse sont échangé avant que le couple ce déshabille, toujours devant leurs parents, là, un tatouage est apposé de façon traditionnel sur le bas ventre de chacun identique, pour les lié dans toute leur vie.
Les lycans ne parle pas de mariage mais de "Lien de vie". Leur conception de "mariage" est assez simple. Pour eux c'est lié leur être mortel à un autre pour partager le cycle violent de la vie. Une fois lié ils agissent comme un micro clan, devant toujours ce ranger du coté de leur partenaire même en cas de désaccord face au clans ou autre, et doivent ce protéger et partager les taches ensemble. Ce lien ne peut être brisé que par la mort d'un des deux, le "remariage" est autorisé et même encouragé pour faire perdurer le clan.
Leur rites marital s'approche, étrangement, de celui des fées sur certains points mais reste assez différents.
Tout d'abord, le ou la lycan / lycane doit demander "la main" *(la pate)* de son aimé au père de son conjoint. La demande peut être accepté ou refusé. Les lycans se base souvent sur la puissance pour décidé si oui ou non il acceptes la demande. Si le lycan est trop faible se sera un refus pour que la ligné ne soit pas affaiblis. En cas de refus, cela s'arrête là. Le seul recours possible est devant l'alpha du clan qui peut obliger à accepter la demande mais c'est particulièrement rare qu'il outre-pace la volonté du père.
En cas d'acceptation de la part du père, la cérémonie est souvent faite dans la semaine suivante. C'est la chamane du clan qui lie les deux être en leur faisant tenir par la main droite une branche d'arbre droite recouverte de Drouat des Amants qui doivent avoir été récolté par les mères des "mariés". Après une cérémonie que les lycans considère comme magique mais dont seul les chamane ont le secret, les deux lycans doivent partir seul dans la foret ou plaines de leur clan pour consommer le mariage en pleine nature durant au moins deux à trois jours avant de revenir au clan.
Enormément de couples lycans gardent leur branche recouverte de Drouat des Amants précieusement comme un gage devant la nature de leur lien.