La crise politique de janvier 2024 est un évènement politique et intérieur qui s'est déroulé en nesquacie à partir du 6 janvier 2024, et qui durait encore au 24 janvier 2024.
Le gouvernement Akemi-I, en pleine révolution historique, décide de changer le régime politique en Nesquacie à travers un référendum : la 1ère République, avec Basto Komitz Président.
Cette décision est très risquée, car à présent que le modèle politique est contesté, des factions anti-gouvernement émergent légalement, à l'instar du parti royaliste komitzien (pour un Basto Komitz Roi), incarné par Vukrym Benaroz.
Le 9 janvier, la Nesquacie est tiraillée entre des personnes voulant la nouvelle république et des royalistes, dont Benaroz. Mais dès le 8 janvier, d'autres mouvements émergent, certains voyant en l'instauration d'une république communiste une bonne idée, ou d'autres créant la scission du parti royaliste komitzien : c'est le début du royalisme "variabiliste" (pour une autre personne en tant que roi). La RTK, la radio et télévision nationale, imagine même dans un sondage le même jour, la possibilité d'une "République communiste".
A 12H47 l'état d'urgence est décrété par Komitz et Evan Billeau, le ministre des armées. Le gouvernement annule les prochaines élections présidentielles logiquement prévues pour le week-end suivant. Ce même gouvernement se donne ce temps indéterminé pour passer en procès les représentants des camps anti-républicains, et lancer des débats avec le peuple pour re-voir ou non lé seconde République.
A 16H14, Kapten et Etang lancement conjointement un mouvement anarcho-communiste, le FIAC, évoquant la dominance toujours importante de Komitz sur cette nouvelle république.
A 18H15, Komitz lance le Transregat, régime provisoire imposé jusqu'au 14 janvier 2024, avec le soutiens de la majorité des personalités politiques du pays. Ce n'est pas un putsch légal, mais il a été approuvé par les dirigeants. La réaction populaire est particulièrement vive : personne n'attendait ce virement et certains accusent Komitz d'être un dictateur.
Le Parlement, la Prékyrïa, n'est pas d'accord avec ce passage en force. Vassili Louchtchenko se range dans l'opposition. Basto Propose finalement une Constitution sous la forme d'un référendum, à 19H50. Elle est largement approuvée par le peuple.
En parallèle, le royaume de Neustrie, micronation dont le chef Stanislas Ier avait refusé une convocation à témoigner, diffuse des caricatures à caractère violent envers la Nesquacie.
Le 10 janvier, le camp royaliste stagne à un nombre élevé de membres. Le gouvernement est encore débordé.
A la suite de menaces de la part de la Fédération de Paname, le serveur est très surveillé le midi.
Le soir, un vote est proposé par la RTK : les royalistes sont alors très présents sur le serveur, momentanément plus que les républicains.
A 22H, une modification du code de la justice prévoit notamment l'interdiction des "groupes, légaux ou non, jugés dangereux, criminels ou qui [...] remettent en question le fonctionnement de la République ou de la démocratie." Ainsi, le Gouvernement à travers une lettre du ministre des armées Evan Billeau, décrète la dissolution du FIAC et du parti royaliste.
Au 11 janvier, la douane était fermée depuis déjà 2 jours que la douane est fermée, et que de nombreuses personnes attendent à la frontière sans pouvoir rentrer dans le serveur.
A l'intérieur, le FIAC conteste la décision de la veille, mais aucun royaliste ne semble montrer de signe de reprise du mouvement.
Ce même FIAC demande un procès contre l'état.
Un compte pro-royaliste est créé sur le réseau social Tiktok, et atteint en quelques jours la centaine d'abonnés. La communication s'intensifie aussi du côté de la République.
Le soir du 24 janvier, des négociations semblent se lancer entre Komitz, Dong-de et Benaroz pour une possible réintégration des membres royalistes sur le serveur principal.
Un putsch a lieu dans la soirée, soutenu par Constantin Alexios, plus connu sous Ozd_borz, afin de renverser Benaroz, dernier royaliste ouvertement Komitzien.
Les négociations tardent et n'avancent que peu.
Un accord est finalement trouvé dans le courant de la journée.
Il est prévu au 29 janvier de réintégrer les royalistes au serveur, selon l'accord du 25 janvier.
L'accord est ratifié par la présidence à 15h36. La crise (ou Guerre civile, appellation populaire sur la fin des évènements) s'arrête à 17H, heure de validation du contrat. Les royalistes sont réintégrés au serveur à
Red Akemi soutient la nouvelle République le 9 janvier au matin mais semble également apprécier l'ancienne.
Une majorité de gens soutiennent la 2nd République, puis l'idée d'une république communiste, jusqu'au soir du 9 janvier où les soutiens sont partagés.
Pour la première fois, l'idée d'un régime sans état est évoquée à travers le sondage, idée évoquée par la branche extrême du FIAC et votée par environ 2 personnes.
La course à la communication entre le compte Tiktok royaliste et le compte du gouvernement est assez remarquable : 91 abonnés gagnés pour les royalistes en une dizaine de jours, environ 40 pour le gouvernement.