Conjugaison
Quels verbes ont deux futurs simples ?
Trouvez le passé simple.
voir : vous ___________
pourvoir : vous ___________
pouvoir : vous ___________
savoir : tu ___________
surseoir : vous ___________
déchoir : vous ___________
peindre : il ___________
vaincre : ils ___________
traire : il ___________
plaire : vous ___________
naitre : nous ___________
croire : vous ___________
croître : vous ___________ .
Complétez ces verbes par -èle ou -elle.
elle agn______
il amonc______
il att______
il boss______
il carr______
il chanc______
il se craqu______
il ensorc______
il ép______
il étinc______
il fic______
il gromm______
Tous les verbes en -eler (sauf appeler, rappeler et interpeler) peuvent être conjugués comme geler (il gèle).
Subjonctif ou indicatif ?
Dans quelques cas, il peut y avoir une hésitation : s'agit-il d'un verbe au subjonctif imparfait ou à l'indicatif présent ?
Exemple : ils encrassent (verbe encrasser à l'indicatif présent), il faut qu'ils encrassent (le même verbe au subjonctif présent), il fallait qu'ils encrassent (verbe encrer à l'imparfait du subjonctif)
ils bavassent (baver ou bavasser)
ils bourrassent (bourrer ou bourrasser [Québec])
ils caillassent (cailler ou caillasser)
ils entassent (enter ou entasser)
ils pâtissent (pâtir ou pâtisser)
ils ramassent (ramer ou ramasser)
ils se rassissent (se rassir ou se rassoir)
ils (se) tapissent (tapir ou tapisser)
ils terrassent (terrer ou terrasser)
ils trainassent (trainer ou trainasser)
ils vissent (voir ou visser)
En connaissez-vous d'autres ?
J'ai inséré dans ces textes les participes passés invariables (qui ne peuvent pas être utilisés comme adjectifs). Y en a-t-il d'autres ?
Ce jour-là, il avait bruiné et venté. Le chien avait longtemps marché et pataugé dans la boue. Au moment où un sanglier a grogné, l'animal errant a frémi, rampé puis trotté. Il a tremblé lorsque l'orage a tonné. Il a frissonné, éternué et grelotté quand il a plu.
Un chat sauvage a jailli et miaulé puissamment ; il a zigzagué, voltigé et sautillé. Le chien a gémi, a dérapé dans la boue puis lutté. Son adversaire a chancelé mais résisté, le chien a persisté et survécu, cependant il a boité à cause de ses blessures.
Ce pauvre animal a divagué et a rôdé près du village. Il a geint car il avait jeûné depuis la veille.
J'avais déjà soupé quand il m'a semblé qu'une bête avait pleurniché. Il a trembloté et toussé en me regardant. Il a d'abord renâclé puis n'a pas regimbé pour entrer. Il a raffolé des restes de mon repas.
À ce moment, l'installation électrique a fonctionné : la lumière a clignoté puis brillé intensément. Quand la guirlande a scintillé, l'étoile a étincelé et le sapin a resplendi. Le chien s'est alors endormi et a ronflé paisiblement.
Lorsque Fred a séjourné dans cette région, il a trimé, beaucoup circulé mais a vivoté. Il a accédé à un F2 et y a résidé trois mois.
C'est alors qu'il a tablé sur un jeu de cartes et n'a pas lésiné pour miser de l'argent. Il a d'abord été gagnant et cela lui a plu.
Bientôt, n'ayant plus de ressources, il a menti et a insisté pour continuer. Son auto ne lui a plus appartenu. Sa dette a progressé : les autres joueurs ont tergiversé et transigé puis n'ont plus patienté. Il a d'abord hésité devant leur proposition puis a participé à un cambriolage.
Quand il a sommeillé, les gendarmes ont surgi chez lui. Il a comparu devant le tribunal qui a sévi. À la sortie de prison, il a agi avec de la bonne volonté mais a faibli et a cessé ses efforts. Cela a coïncidé avec la prise en charge par l'éducateur. Il n'a pas daigné lui dire bonjour et n'a même pas bronché à son arrivée. Il a d'abord larmoyé mais il a suffi d'un sourire et ils ont sympathisé. Ils ont souvent correspondu et conversé : cela a contribué à l'aider et a influé sur sa confiance. Il a tâché de s'améliorer.
Il a râlé à l'idée de passer un entretien d'embauche puis a obtempéré. Il a persévéré, n'a pas réussi mais n'a pas démérité. Il a à nouveau douté mais ça n'a pas duré. Reprenant confiance, il a réagi, a concouru à nouveau et cela a marché.