Le sublime coran

Au nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Que la prière et bénédiction soient sur son messager, Mohammad, le dernier des prophètes.

Amin

Traduction relative et rapprochée " Ne méditent-ils donc pas sur le Coran? S'il provenait d'un autre qu'Allah, ils y trouveraient certes maintes contradictions! " (Sourah An-nissa 4:Verset 82)

Introduction

Les musulmans, pour qui le Coran occupe une place privilégiée, ne sont pas les seuls à qualifier le Coran de sublime. Cette qualité lui a aussi été reconnue par les non musulmans. En fait, même des personnes qui détestent l'Islam ont exprimé leur émerveillement face au Coran. Une chose qui étonne les non musulmans qui examinent le Livre de près est que le Coran ne correspond pas à ce qu'ils s’attendent. Ils partent avec l’idée qu'ils ont un livre ancien qui tire son origine du désert arabe il y a plus de quatorze siècles; et ils s’attendent à ce qu’il ressemble à quelque chose comme ça - un livre ancien centré sur le désert. Mais ils admettent qu’ils sont surpris de découvrir un tout autre genre. En effet, le Coran parle du désert - une partie de son imagerie décrit le désert; mais il parle également de la mer - description par exemple d’un orage en pleine mer.

Témoignage d’un marin

Il y a quelques années, l'histoire nous est parvenue à Toronto d'un homme qui était dans la marine marchande et gagnait donc sa vie en mer. Un musulman lui avait offert une traduction du Coran. Le marin ne connaissait pas grand chose au sujet de l'Islam mais il fut intéressé par la lecture du Coran. Quand il eut fini de le lire, il l'a rapporté au musulman puis lui a demandé, " ce Mohammad, était-il un marin?" Il fut impressionné par la description du Coran lorsqu’il décrit un orage en mer. Quand il lui a été dit, " Pas du tout, Mohammad a vécu dans le désert, " c’était suffisant pour lui. Il a embrassé l'Islam sur place. Il était fasciné par l’exactitude de la description du Coran, car il avait lui-même vécu un orage en mer, et il était convaincu que celui qui avait exprimé une telle description avait certainement été pris dans un orage en pleine mer. L’expression : Traduction relative et rapprochée "d'une vague, au-dessus d'elle une vague, au-dessus d'elle des nuages" (Sourate Nur, 24:40) ne ressemble pas du tout à ce que quelqu'un imaginant un orage en mer aurait écrit. En réalité, ceci provient de quelqu’un qui savait à quoi ressemblait un orage en mer. C'est un exemple de la façon dont le Coran n'est pas attaché à une unité de lieu et de temps. Certainement, les idées scientifiques qu’on y trouve ne semblent pas non plus provenir du désert il y a quatorze siècles.