杉山直樹:「生物学が彼に霊感を与えていた」──ベルクソンにおける生物学の哲学的・エピステモロジー(科学認識論)的賭金についてのノート
【要旨】
ヴァレリーが言うごとく、ベルクソン哲学の一つの重要な霊感の源泉には生物学が存在した。それがどういう意味であったのかを、同時代の規約主義ならびにプラグマティズム的科学認識論を背景に置きながら、分析する。
ポアンカレやデュエムによって、数学や幾何学ばかりか物理科学の基礎にまで、我々が自らの基準で選択する規約が存在することが明らかにされた。この考察に強く示唆を受けながら、何人かの哲学者は、物理学を範型とする科学的認識を構成する主体の位置に「精神」を置き直し、その実在性と創造的自由を主張した。ここに唯心論哲学と科学認識論は新たな結合を果たすが、これはカント的な超越論的哲学・構成的主観の理論の改訂版と見られる。
対してベルクソンは、特に生物学に考察対象を定める。そしてこの選択は、これもまた唯心論とエピステモロジーとを密接に結びつけながらも、彼に上述の哲学者とは本質的に異なる哲学を語らせることになる。第一に、我々が生物学的に位置づけられることで、カント的・新カント的な超越論主義は相対化され、主観は自然に内在することになる。そして第二に、生命の認識(それはベルクソンにとって結局、創造的実在をそのままに捉えようとする形而上学に連接される)の可能性の根拠をなすのが、まさにこの我々自身の自然への内在であることが確認される。しかしこの内在は、我々に生命の認識を可能にしながら、さまざまの誤謬をも生み出す両義的なものであって、それ故にベルクソン哲学は時に現象学をも想起させる仕方で「直観」を重要視しながらも、しかし単純な直観主義や超越論的主観を語るのではなく、さまざまの知見を相互調整していく漸進的でホーリスティックな哲学像を提示することとなった。生物学が与えた「霊感」──ベルクソン哲学の特異性を構成する以上の諸点の源泉に、このインスピレーションを位置づけることができよう。
La distance de onze ans qui sépare Matière et mémoire (1896) et L’évolution créatrice (1907) a le plus souvent occulté la continuité de la recherche bergsonienne qui s’est poursuivi de l’un à l’autre. Il fallait pourtant à Bergson qu’il y eut dans le premier l’impulsion d’un problème pour qu’il se mît en route vers le second. La causalité serait le problème laissé en friche par Matière et mémoire. Si Bergson s’était interrogé sur le rôle du corps pour la vie de l’esprit, il lui manquait encore de connaître comment l’esprit pouvait en retour agir – causalement – sur son corps. L’incomplétude constatée, un chantier nouveau s’ouvrait devant Bergson, proposant les articles, cours, allocutions qui suivirent comment autant de jalons posés sur le chemin qui mène vers l’Evolution créatrice où le problème trouvera sa juste formulation – sur le terrain de la vie – comme sa bonne résolution. Rapprochant les deux livres qu’on avait jusqu’ici penser séparément, il s’agit avant même de nous introduire au dernier, d’apprendre à lire entre eux, comme d’autres lisent entre les lignes. Découvrant pour l’esprit une énergie spécifique que celui-ci tire de lui-même et non de la vie physiologique qui la prolonge, Bergson donne à la vie un deuxième sens, plus profond, où la conscience vient puiser son pouvoir causal bientôt pensé comme activité créatrice. S’annonce l’idée d’un élan vital dont notre conscience provient et qui, ressaisie au fond de nous, nous donne de vouloir et d’agir sur la matière, atteignant ainsi par l’intuition la « cause profonde de l’organisation » (PM, p. 28) qu’auront manqué de saisir la science du vivant, laquelle appelle comme son prolongement une métaphysique de la vie. Camille Riquier (A.T.E.R. à l’université Paris-IV Sorbonne)
『創造的進化』における物質と光
ピエール・モンテベロ
ベルクソン哲学を特徴づける問題は、生命と意識と物質界を交流させる「生きた統一」を探し出さんとする意志である。ところで、意識ある生命についての経験から出発し、私たちの経験の証言を導きの糸とする哲学にとっての最大の困難は、この心理‐生命的な経験を物質へと繋ぎ合わせることである。この困難はただベルクソン哲学だけに関わるものではない。宇宙論的な統一性という問いに取り組んでいた、19世紀末から20世紀初頭にかけての自然哲学の多く(とりわけニーチェ、ホワイトヘッド、タルド)にとって、物質をどのようなものとして思い描くべきかというのが一つの大きな問いであったことに、私たちは気付かされる。実際、物質という概念が登場する時、その概念は知的表象という重荷で溢れ返らんばかりになっていて、それら知的表象のせいで、宇宙の「生きた統一」に物質を組み込むことが妨げられているのだ。だから、物質界を自我と同じ本性を持つものとして把握することが『創造的進化』の最も重要な賭金の一つであった、とベルクソンが考えていたからといって驚いてはならない。彼は『創造的進化』執筆後の1908年に、フランス哲学会でこう言っている。「全体は[…]自我と同じ本性を持っており、私たちは自分自身をより完全に掘り下げていくことによって全体を掴むのだと示すこと、これが『創造的進化』の目的の一つでした」(Mélanges, p. 774 ; L’évolution créatrice, p. 248)。
Cet article s’attache à élucider une expression récurrente de L’évolution critique : « Tout n’est pas donné ». On tente d’y montrer qu’elle n’a pas seulement une portée critique contre les contestations protéiformes d’une efficience par soi du temps, mais qu’elle désigne aussi, en creux, une virtualité réelle de la vie, virtualité-limite et problématique où, tout étant donné d’un coup, la vie s’abolirait pour ainsi dire de l’intérieur. Pour étayer cette hypothèse, nous proposons une analogie entre la situation limite vécue sur le plan individuel de la « vision panoramique du mourant », et la pensée limite où nous pousse la spéculation bergsonienne sur la signification du second principe de la thermodynamique dans la naissance et la mort des univers. Sur cette base, nous tentons alors de confronter les usages respectifs que Freud et Bergson font de ce principe de la dégradation entropique, pour mettre au jour les formes de présence, dans le texte bergsonien, de l’attente, de la mise en délais et du retard, conçus comme les opérations qui, en différant la limite interne du « tout est donné », conditionnent de façon immanente la différenciation de la vitalité et de la matérialité et le modus vivendi de leur intrication. Nous montrons enfin comment ces opérations s’actualisent dans l’invention vitale tout à fait primaire, en amont de la disjonction de la vie végétale et de la vie animale, du rythme, dont la signification apparaît alors indissociablement temporelle et économique.
ギヨーム・シベルタン=ブラン:どうして「全ては与えられていない」のか? 『創造的進化』における待機・リズム・遅延
本稿は、『創造的進化』において繰返し登場する「全ては与えられていない」という表現の意味を明らかにしようとするものである。本稿で示されるのは以下のことである。すなわち、この表現は、時間がそれ自体で効力をもっているということについて多様なかたちで現れる反論に対する批判的な射程を有している、というだけではない。生の実在的な潜在性、様々な問題を孕んでいる極限的潜在性においては、全てが一挙に与えられてしまえば生はいわば内側から消滅してしまうのであって、さきの表現はこのことをネガのかたちで指し示してもいるのである。
この仮説を補強するために、私たちは次のようなアナロジーを提示したい。すなわち、熱力学の第二法則が宇宙の誕生と死滅に対してもつ意味についてのベルクソンの思弁をさらに先へ進めたところにある極限的な思考と、「死にかけている人の見るパノラマ的ヴィジョン」という個人的な次元において生きられた極限的な状況とのアナロジーである。この基盤に立った上で、私たちは、フロイトとベルクソンがこのエントロピー散逸の原理をどう用いていたのか、それぞれの用い方を突き合わせることを試みる。そのことによって私たちは、待機、猶予、そして遅延という、現前のさまざまな形態を明るみに出すことができる。これらの形態は、ベルクソンのテクストにおいては次のような働きとして考えられている。すなわち、「全てが与えられている」ことの内的な期限を先延ばしにしつつ、生命力と物質性の差異化・分化を、そしてそれらの錯綜の調停を、内在的な仕方で条件づけている働きとして。最後に私たちは、これらの働きが、植物的生命と動物的生命の分離の前段階、リズムの前段階で、全く原初的な生命の創発においてどのように原働化するのかを明らかにする。リズムの意義はそのとき、時間的であることと経済的であることが切り離せないようなものとして現れてこよう。
目的論と生気論―ベルクソンと合目的性の問題
1907年に出版された『創造的進化』は、2007年に刊行百周年を迎える。これを単なるアカデミックなイヴェントでなく、真に哲学的な出来事とするために、私たちに何ができるか。分子生物学から構造生物学、生命科学あるいは複雑システム科学へと進むうちに、〈目的論〉の亡霊がいよいよ執拗に現れてきている。すでに19世紀後半、生理学者時代のフロイトの師エルンスト・フォン・ブリュッケは、卓抜な言い回しを用いて事態を的確に言い当てていた。「長い間、生物学者は、目的論の前では、彼女なしでは済まされないが、といって一緒にいるのを公に見られたくない女性の傍にいるかのようであった」。この警句は今なお、いや、合目的性概念がその本性に反してプログラムや遺伝子情報という一見客観的で実証科学的、すなわち機械論的な装いをまとわされている今こそ、ますます真理に満ちた輝きを放っている。生気論なしでも、いやむしろ生気論と決別することこそが、目的論の生き残る唯一の方途である、と科学者も哲学者もこぞって「離婚」を奨励しているように見える現状に逆行するかのように、生気論たるベルクソン哲学は目的論との本質的な不可分離性を主張している。そこで、『創造的進化』、とりわけその第1章の目的論に関する議論を大きく三つの場面に分けて丹念に追うことで、ベルクソン目的論の特徴を探っていく。
まず、急進的目的論は未来先取的・予見可能で、その合目的性は職人的なものであることが批判される。もし生命に合目的性があるなら、それは回顧的・予見不可能で、その合目的性は芸術家的なものである。「創造的な目的論」が形容矛盾でない所以である。次に、ベルクソンの批判する「内的合目的性」概念はカント『判断力批判』に由来すること、その真の問題点はそれを暗黙のうちに支えている統制的理念という超越論的構成であることを指摘する。この二点の批判を経て、ベルクソンが「目的論の方向の一つを目的論を越えて進む」と宣言した、その目的論の行方を追う。ベルクソンの目的論的生気論の特徴、それは、神的・超越的な予定調和的視点でもなく、人間学的(有機的)・超越論的な批判哲学的視点でもない、(非)有機的な生気論である、ということだ。
最後に、この(非)有機的な生気論の特徴をさらに掘り下げて理解すべく、ドゥルーズ・ガタリの生気論の類型を借りて、クロード・ベルナールの生気論との比較を試みる。ベルクソン(エラン・ヴィタル)は、カント(統制的理念)・ベルナール(指導的理念)の超越論的な生気論ではなく、むしろライプニッツ(エンレテケイア)の系譜に連なる内在的な生気論であるのではないか。目的論との「内縁関係」を現代生命科学に「認知」させることが問題なのではない。そのような「認知」の一見合法的な正当性の根拠こそが問い直され、ベルクソン的脱構築の問いに付されねばならないのである。
Nous souhaitons insister dans cet article sur un point très important dans l’étude du troisième livre majeur de Bergson.
Nous savons que l’introduction de l’Evolution créatrice commence par le souci de penser le passage de ce qui est vécu par « notre conscience » du point de vue de « notre existence », au point de vue de « l’existence en général » (p7). Ce point de vue n’est plus psychologique, mais cosmologique. Il s’agit de prendre au sérieux l’hypothèse métaphysique selon laquelle l’univers dure. « Il y a une durée immanente au tout de l’univers » (p 11). Mais comment ressaisir cette durée immanente ?
Nous avons mainte fois noté déjà que l’usage ici proposé par Bergson du terme d’immanence est révolutionnaire. Il n’a rien à voir avec le sens que Spinoza donne à ce concept. Pour Spinoza, la substance est en soi. Elle est conçue par soi. Elle est cause de soi et elle est absolument infinie. L’infini s’oppose au fini, comme ce qui est « limité par autre chose par le moyen de laquelle elle est aussi conçue ».
Mais chez Bergson, tout au contraire, la durée immanente prend, soit l’allure de la matière, soit celle de la vie, qui sont des tendances, mais qui ne sont pas des substances. L’élan vital, au même titre que la matérialité, l’extension, la matière, est une force finie. Nous allons focaliser notre attention sur la seconde de ces tendances : la matérialité.
ポール=アントワーヌ・ミケル:『創造的進化』における形而上学的想像力と物質性
この論文の目的は、ベルクソンの第三の主要著作の研究にあたって非常に重要なある点を強調することである。周知の通り、『創造的進化』の導入部は、「私たちの現実存在」の観点という「私たちの意識」によって生きられたものから、「現実存在一般」(p. 7)の観点への移行を思考しようという配慮によって始まっている。この観点はもはや心理学的なものではなく、宇宙論的なものである。宇宙は持続するという形而上学的な仮説を真剣に受け止めることが大切なのだ。「宇宙の全てに内在する持続が存在する」(p. 11)。しかし、この内在的な持続をいかにしてとらえればよいのだろうか。
内在という用語についてベルクソンがここで提案している使用法が革命的であることは、すでに幾度となく指摘されてきた。スピノザがこの内在という概念に与える意味は、ベルクソンの使用法とは何の関係もない。スピノザにとって、実体は即自的なものである。実体は自らによって把握される。実体は自己原因であり、絶対的に無限である。無限は有限に対置される。すなわち、有限は、「他のものによって制限され、それを通じて把握される」ものとして、無限に対置されるのである。
しかし、ベルクソンにとっては全く反対に、物質という様相を呈するにせよ生命という様相を呈するにせよ、内在的な持続は傾向であって実体ではない。エラン・ヴィタルは、物質性、拡がり、物質と同じ資格で、有限な力なのである。我々は、これらの傾向のうちの後者、すなわち物質性に注目するつもりである。
Résumé : La lecture merleau-pontienne de Bergson s’avère particulièrement féconde. Axant, dans « Bergson se faisant », son interprétation sur le thème du « regard », elle en vient à montrer que l’être et l’opération de la vie apparaissent chez Bergson comme une sorte de perception. Comment le comprendre, alors que Bergson ne cesse au contraire d’affirmer que la perception utilitaire qui nous caractérise se contente de découper artificiellement ses objets et que la vie demeure irréductible à un tel processus de découpage ? Peut-être faut-il mettre en évidence au autre sens de la perception que celui mis au jour par le chapitre I de Matière et mémoire d’une perception ordonnée à l’action et aux exigences vitales du corps. C’est alors le chapitre IV de ce même ouvrage qu’il convient d’interroger, en tant que s’y dessine un nouveau sens de l’image comme plan d’apparaître pur donné en deçà des catégories de l’action utile. C’est de ce plan d’apparaître pur que Merleau-Ponty se revendiquerait en dernière instance pour élucider la notion de vie chez Bergson. Ceci permettrait au reste d’expliquer l’insistance, chez Bergson lui-même, du thème de la vision pour rendre compte des propriétés du processus vital. Ainsi, si le modèle de la perception comme activité de découpage d’objets ne permet certes pas de penser la vie, il est un autre sens de la perception qui se profile en filigrane chez Bergson, sens intensif où les catégories d’objet et de sujet se trouvent dépassées au profit de la considération de notre participation au tout d’un univers en mouvement.
アルノー・フランソワ:『創造的進化』第四章――諸体系の批判から体系一般の批判へ
『創造的進化』第四章の意味や統一性、そしてこの章があるべき理由は、真理についてのある考え方を批判し、それに取って代わるべきだとされる考え方のおおまかな輪郭を描き出すことにある。批判される側の考え方は、真理と実在の間に明確な区別を設けず、既に与えられているただ一つの体系をなすものとしてこの両者を理解することに立脚している。体系をなすものとして真理を捉えるこうした考え方が必須なものとされるとしたら、それは、絶対的な無の観念によって、そして、その無を唯一乗り越えうるものとしての不変の原理を無の観念に引き続いて肯定することによってであろう。このような考え方は、様々な哲学体系が織り成す歴史のすべてを通じて現れている。そしてそれら哲学体系は、ギリシャ哲学のモデルから本当に手を切ることはないのである。そういうわけで、諸体系の批判を通じてベルクソンが遂行しようとしているのは、まさに体系一般の批判である。この批判を通じて、真理についての新たな理論の可能性が生まれる。そしてこの理論は、哲学の新たな方法、いずれは直観によるものとなる方法を練り上げることへと繋がっていくのである。真理についての新たな理論によれば、真理とは創造されるものでしかありえない。だが創造されたそのとき、真理はやはり実在との合致に至る。批判された考え方との違いは何かというと、いまや実在は、真理と全く同様に、動的なものとして特徴付けられている、ということだ。こうして、直観は創造であると同時に観想である。そして真理は、合致や整合性、明証性などによって定義されるどころではなく、いまや、一定の人間がいるということによって実在の只中に突然に生じる一つの出来事だということになる。このような考え方は、後年、ウィリアム・ジェイムズのプラグマティズムとの論争の際に、ベルクソンによって洗練されていくことになるのである。
Le chapitre 4 de l’Évolution créatrice est un des textes dans lesquels Bergson se penche de manière précise sur l’histoire de la philosophie mais il le fait à partir de ses analyses consacrées aux habitudes intellectuelles qui nous conduisent à penser le mouvement à partir de l’immobilité, c’est-à-dire à le recomposer selon une succession de positions immobiles. Cette problématique n’est pas sans conséquences sur la manière dont Bergson propose une lecture de la philosophie grecque. Il s’agira ici de suivre cette lecture selon deux lignes d’analyse. D’une part, on cherchera à dégager les aspects sur lesquels insiste cette lecture et les points sur lesquels elle fait subir des infléchissements au propos des auteurs anciens en raison même de la problématique de l’Évolution créatrice. Mais d’autre part, ce texte entretient un rapport particulier, selon nous, avec le néoplatonisme. On peut même parler, à ce propos, d’une véritable ambiguïté puisque ce courant de pensée est celui auquel Bergson semble se référer implicitement dans sa lecture et sa compréhension de la philosophie grecque mais il lui réserve en même temps un sort particulier puisque, à travers le cas de Plotin en particulier, il l’exclut en partie des critiques qu’il adresse à la philosophie ancienne. En présentant la « philosophie grecque » comme un objet de pensée unifié et en l’analysant selon un modèle néoplatonicien, Bergson peut mettre à distance cet objet lui-même pour mieux dégager l’originalité de son propre projet mais il reconnaît, en même temps, à travers cet objet, des éléments qui échappent en partie à cette lecture, en particulier chez Plotin. C’est cette ambiguïté, présente dans la lecture de Bergson comme elle l’est, selon lui, dans le néoplatonisme même, que nous voulons ici mettre au jour. Sylvain Roux (Université de Poitiers/PHIER Clermont-Ferrand)