Gracieusetés entre voisins, membres du même C.S

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Où je me fais menacer par la présidente du conseil syndical :

Mademoiselle

Je me permets d’utiliser ce mode de communication , puisque c’est celui que vous préférez, pour exprimer deux points qui me tiennent particulièrement à cœur, même s’ils ne font pas référence aux mêmes problèmes.

Boites aux lettres

1 ° ) Votre affichage sur votre boîte aux lettres doit je pense s’apparenter à une provocation ? Nous n’avons pas compris ce qui a suscité cette démarche.

Je vous propose que nous en parlions de vive voix et je me permets de vous demander, au nom d’un minimum de respect des habitants de notre immeuble, du maintien de l' esprit d'habitat communautaire ,auquel vous êtes aussi très attachée, de procéder au nettoyage de votre boite aux lettres.

Blog*site internet

2°) Comme plusieurs l'ont exprimé lors du dernier conseil syndical, votre référence à ABITA est particulièrement choquante. Même si, ce nom est du domaine public je pense que pour ceux et celles qui ont vécu avec bonheur ce 50 ième anniversaire de notre immeuble , ABITA y est fortement associé, hors nous étions 4 cofondateurs de cette association et S F et moi-même n’avons pas été informées de l’utilisation que vous faites de ce nom .

En ce qui concerne le site internet, je suis démunie de connaissance en matière juridique, mais il est préférable que seul votre nom apparaisse, pour éviter toute confusion. Je reste à votre disposition pour en discuter.

Espérant que ce message nous permette d’établir prochainement un dialogue constructif,

Cordialement

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Atmosphère, atmosphère !

Et bien sûr, je me défends...

Chers tous,

Etant donné le ton employé, cela ne me donne nulle envie d'aborder ces deux questions de vive voix, car je n'ose imaginer la hauteur du ton qui serait alors employé à mon égard.

Je répondrais donc aux deux points d'accusations de Madame P, le plus rapidement possible.

Ma boîte aux lettres : tant que mon nom sera vandalisé, je le remettrai, d'une manière ou d'une autre. J'ai confectionné encore aujourd'hui 2 étiquettes (à l'aide d'une titreuse Dymo professionnelle) que je vais poser ce soir. Si elles sont de nouveaux arrachées, je recommencerai.

Je n'ai pas l'intention de laisser le vandalisme gagner la partie dans mon hall d'entrée, et surtout pas à l'égard de ma boîte aux lettres.

Le blog et l'utilisation du nom d'une association qui n'existe plus depuis 2007 :

Le blog est désormais en accès réservé, il est remplacé par un site dont l'adresse ne sera délivrée qu'aux personnes véritablement intéressées par le contenu, qui seraient disposées éventuellement à m'aider à l'alimenter, et surtout, qui n'iraient pas le visiter juste pour le plaisir d'y chercher quelque chose à critiquer.

J'ai eu des échos de votre tentative d'intimidation à l'égard de certain au cours du dernier conseil syndical, au sujet de l'utilisation du mot "abita" ou de celui de "villa des Hauts-de-Belleville" qui n'est qu'une adresse publique, je vous répète ce que cette personne vous a dit : que ces mots ne vous appartiennent pas plus qu'à quiconque, que vous n'êtes pas fondée à interdire qui que ce soit de les utiliser, que ce soit pour une adresse courriel ou en citation dans un blog ou dans un site.

Je terminerai en vous informant que j'ai déjà eu plusieurs réponses à mon annonce de création de site, et des réponses très élogieuses sur le contenu du blog ainsi que des encouragements d'habitants à continuer. Cela compte plus pour moi que votre mauvaise humeur à l'égard de mon travail.

Je ne pense pas que vous ayez le monopole de "l'esprit d'habitat communautaire" que vous aimez tant citer. Acceptez que d'autres l'aient aussi et cherchent à le faire vivre par des moyens contemporains, descendez un peu de votre piédestal de présidente du conseil syndical, revenez un peu parmi nous, et tout ira bien mieux.

Cordialement