"Demandez aux chercheurs pourquoi ils font des expériences sur les animaux, leur réponse sera : parce que les animaux sont comme nous.
Demandez aux chercheurs pourquoi il est moralement acceptable de faire des expériences sur les animaux, leur réponse sera : parce que les animaux ne sont pas comme nous", professeur Charles R. Magel.
Exemple d'une chatte sauvée des laboratoires de la City of Hope aux USA :
"L'implant qu'elle avait sur la tète émergeait dans le pus, et pour empècher l'écoulement d'atteindre ses yeux, elle les gardait à moitié fermés, lui donnant l'air de somnoler..."
Comment avait-elle pu survivre avec cette forte douleur permanente plus infection qui l'atteignait directement dans son cerveau ?
Les résultats des expérimentations ne peuvent pas ètre valides lorsque les animaux doivent subir de telles conditions d'existence. Il semblerait que les chercheurs résolvent le (gros) problème en prétendant simplement qu'il s'agit de facteurs négligeables : en fait, ces "scientifiques" ne peuvent pas concevoir des expériences sans infliger des douleurs extrèmes avec la terreur qui en résulte sur les animaux, et ces individus ne veulent pas se rendre compte qu'à moins d'avoir dans leur personnalité un arrière-plan de sadisme (plaisir à causer des souffrances extrèmes à autrui), als ne pourraient pas commettre de tels actes.
De plus, ces animaux choisis pour ètre victimisés dans ces "expérimentations" dans le cadre de "recherche scientifique" doivent survivre en permanence dans un milieu qui est totalement non naturel : rien à voir avec leur milieu d'origine pour lequel als sont adaptés.
Et pour ajouter encore à l'horreur subie, ces laboratoires sont fréquemment mal tenus, à peine nettoyés, avec la puanteur permanente émanant des excréments.
Comment les résultats trouvés pourraient-ils ètre applicables aux humains alors que les physiologies sont différentes ?
De telles recherches sont en réalité une accumulation de tromperies et de faussetés destinées à faire croire au public que les expérimentations sur les animaux sont nécessaires pour en fait que les laboratoires continuent à faire des profits copieux pour de prétendues avancées de la science.
Lorsqu'occasionnellement des scandales éclatent lorsque de courageux lanceurs d'alerte révèlent les multiples horreurs, le public est choqué : les gens ne suspectent pas que ces expérimentations comportent toutes ces atrocités commises sur d'autres ètres, on ne peut pas imaginer qu'il soit possible d'aller aussi loin en cruauté et ètre grassement rémunéré pour commettre ces actes monstrueux. Dans la société civile, quelqu'un traitant un animal de cette façon serait considéré comme un dangereux malade et des associations se porteraient partie civile.
Les laboratoires de la City of Hope avaient la réputation d'ètre top parce qu'ils recevaient de fortes sommes de fondations plus 5 millions $ par an provenant de taxes fédérales pour effectuer des recherches sur des cancers rares chez les enfants. Le lanceur d'alerte étant un employé aux soins aux animaux a révélé que "régulièrement des animaux meurent avant mème que des expériences soient commencées sur als, et que beaucoup d'autres meurent au début des protocoles. Egalement, on ne donnait pas d'analgésiques aux animaux qui subissaient des opérations chirurgicales majeures : beaucoup de ces victimes ne faisaient alors que se coucher et mourir dans leurs excrétions.
Les laboratoires étaient situés dans des mobiles homes délabrés en dépit des fortes sommes allouées mais n'étaient pas montrés aux visiteurs.
Les atrocités dans ce lieu étaient cauchemardesques, comme de la science-fiction dans son pire aboutissement, avec des animaux horriblement déformés par ce qu'on leur faisait subir, et certains étaient tués par les expérimentateurs parce que ces individus ayant le plus bas niveau d'aptitudes de la profession de vétérinaire parfois les tuaient rien qu'en leur insérant des catheters. Les vétérinaires de bon niveau ne vont jamais travailler dans de tels endroits, la puanteur qui y stagne est sufisamment dissuasive."
Les officiels mentent facilement dès que le problème est important : tromper le public est tenté sans honte, ce qui correspond aussi à l'incroyable négligence qui règne dans ces laboratoires : comment alors des données fiables pourraient émerger de tels systèmes lorsque ceux qui les opèrent sont dépourvus de sens moral ?
Les expérimentateurs sont également grossièrement ignorants : autre exemple d'un grand ensemble de laboratoires à l'Université de Riverside en Californie. Leurs activités reposent sur la croyance que torturer d'autres ètres pourrait fournir un savoir utile pour guérir des maladies chez les humains, erronée dès le début. Ils croient que l'esprit des animaux est indépendant, existant à part de leur corps. Donc pour eux, les conditions de captivité n'ont aucune importance sur leur esprit ni les multiples souffrances qu'on leur fait subir puisque les supplices sont commis sur leur corps.
En fait, les animaux détenus dans ces centres de torture pires que les camps nazis pendant la Seconde Guerre Mondiale sont sous stress permanents qui altèrent toutes leurs fonctions biologiques, comme les animaux ne savent jamais quand ces humains vont les saisir à nouveau pour effectuer sur als les expériences suivantes, leur infligeant à nouveau des souffrances extrèmes. Comment alors de tels "scientifiques" pourraient-als apporter des connaissances nouvelles issues de ces "études scientifiques" ?
A nouveau, des membres de l'Animal Liberation Front prirent l'initiative de retirer certains des animaux victimisés à Riverside. Parmi als était un bébé singe : "sa tète ne ressemblait plus à une tète. Une boite de plastique vert, presque aussi grosse que lui, était attachée à son crane. Elle pesait si lourd que son cou sous-développé ne pouvait pas en supporter le poids. Il se cramponnait à un baton recouvert de tissu sale, sensé remplacer sa maman, et sa tète tombait constamment sur le coté. Un fil de plastique qui avait connecté la boite à un appareil se balançait près de son oreille..."
Ce très jeune ètre, souffrant déjà de carence maternelle totale puisque séparé de sa mère, était connecté à des machines comme si il était l'une d'elle, et comme si il était insensible à tout ce qui lui était fait : ces "scientifiques" nient le fait que tous les ètres vivants sont animés par une force spéciale appelée vie et qu'on ne peut pas la définir ni la maitriser ni la modifier. Les expérimentateurs peuvent toujours s'adonner à de multiples tortures, als ne peuvent jamais atteindre ce qui fait la vie et ce qui la définit, car ils sont dépourvus de sens moral.
"En dessous de la boite verte avec ses bizarres dentelures se trouvaient des bandages où les yeux du bébé auraient dù ètre. Seules ses minuscules narines et son menton ridé étaient visibles. Sa poitrine avec sa fourrure blanche comme la neige était serrée dans une sorte de bizarre corset avec un harnais. Pour cette expérimentation supposée ètre effectuée sur 24 singes concernant la privation de la vue, les exécutants avaient cousu les minuscules paupières du petit singe, mais le fil utilisé étant trop gros, il avait lacéré les paupières..."
Il n'y a pas de limites pour arrèter des individus malades mentalement lorsqu'als sont encouragés à suivre leurs penchants criminels et sont bien rémunérés parce que soit disant il s'agit d'un cadre scientifique. Cela montre le degré d'aliénation lorsque ces monstruosités sont autorisées dans une société où les citoyens paient des impots pour les financer !
Et il est très irréaliste d'espérer que de telles horreurs puissent produire des résultats utiles dans le domaine de la santé parce que ceux qui conçoivent de telles "recherches" sont dépourvus de bon sens, pas étonnant qu'ensuite les seuls résultats obtenus sont l'indignation du public lorsque l'étendue des atrocités est révélée. Un ophtalmologiste a commenté
- Nous savons comme une poussière dans un oeil peut ètre douloureuse, alors faire tout cela à un bébé singe...!"
Autre exemple d'un laboratoire atroce avec les animaux aux USA :
"dans un bàtiment qui a une allure tout à fait innocente, près d'un hotel et d'un restaurant, il contient un grand nombre de chimpanzés alors mème qu'als sont classés espèce en danger d'extinction et sont protégés par la loi. Mais pour ce lieu aucun problème parce qu'un officiel des National Institutes for Health vient régulièrement voir sur place, il a son propre bureau là pour quand il vient.
Les expériences consistent à infecter les chimpanzés avec des maladies contagieuses telles que SIDA : als meurent le plus souvent, quelqu'uns survivent plusieurs années mais sont rendus complètement fous. Des visiteurs non autorisés sont à nouveau témoins d'horreurs absolues : chaque singe n'arrète pas de taper sa tète contre les barreaux des cages, als sont rendus déments parce qu'als sont gardés continuellement en cage, als ne peuvent que s'asseoir ou se tenir debout, sont seuls et isolés les uns des autres à l'intérieur d'une enveloppe de plastique. Als ne peuvent respirer que par un système de pompe.
Ce lieu est situé dans le quartier des activités pour qu'il soit bien dissimulé puisque l'objet des recherches est sur les maladies contagieuses."
Ces excès horribles peuvent ètre commis parce que le domaine de la recherche est un secteur où le public n'est pas admis. A partir de cette absence de regards extérieurs, les chercheurs dérogent à toutes les lois et principes moraux. Ce qu'als font à des animaux ne serait pas autorisé mème sur les pires ennemis !
Les chercheurs sont des individus malades fascinés par la douleur et la souffrance, qui ne peuvent se satisfaire d'une seule torture : als ont besoin d'assouvir leurs penchants morbides sur de nombreuses victimes jusqu'à ce qu'elles meurent. Ensuite als en prennent d'autres parce qu'als ne peuvent pas s'arrèter, étant sous compulsion depuis les mauvais traitements qu'als ont als-mèmes subis dans leur enfance. Personne en bonne santé mentale ne voudrait commettre de tels actes sur d'autres ètres vivants. A l'origine, ces chercheurs se sont intéressés au domaine de la santé parce qu'als-mèmes ne se sentaient pas bien personnellement. Als ont pu se rendre compte ensuite que torturer d'autres ètres ne leur apporte aucun apaisement.
Le public ne peut pas imaginer que de tels extrèmes de cruauté soient possibles dans ces lieux clos parce que la plupart des gens n'ont pas souffert d'abus majeurs dans leur enfance. Les expérimentateurs peuvent exécuter de telles abominations parce que leur amour propre et leur conscience morale ont été détruits par les mauvais traitements subis dans leur enfance.
Les protocoles de recherche peuvent empirer en cruauté avec le temps parce que les chercheurs ne trouvent jamais assez d'occasions de satisfaire leurs démons intérieurs, mais s'als voulaient effectuer une psychothérapie, en cas de succès als n'éprouveraient plus le besoin de commettre des expérimentations atroces sur des animaux.
Les personnes qui ont une conscience morale sont conduites à des actions illégales parce que les officiels qui sont en place dans les institutions manquent à leur devoir de maintenir un ordre civilisé : dans une société vraiment civilisée, personne ne peut ètre soumis à la torture, cela est clairement établi aux USA par la loi Animal Welfare Act votée par le Congrès, ainsi en France que par la loi de 2015 reconnaissant aux animaux le statut d'ètres sensibles.
Mais aux USA la loi est systématiquement ignorée par les National Institutes for Health et les laboratoires associés, fonctionnant comme les autres agences gouvernementales sur les impots payés par les citoyens, tout comme un programme militaire secret qui est allé jusqu'à faire enlever des enfants, puis les faire torturer pour éclater leur santé mentale en personnalités multiples afin de les transformer en machines à tuer (voir l'histoire du Franklin Case :
(toutes les citations de cette page sont extraites du livre "Free the Animals" de Ingrid Newkirk)
Pour en savoir plus :
www.petafrance.com/campaigns-viv.asp
revu 2016