Les enfants à qui on fait subir des electrochocs peuvent ètre rendus handicappés à vie parce que de tels "traitements" peuvent endommager leur cerveau en plus des souffrances infligées aux jeunes victimes forcées de subir cette forme de torture "médicale", ce qui réduit plus encore leurs chances de guérison.
Généralement, la sécurité des personnes exige que dans tout batiment toutes les précautions possibles soient prises pour qu'aucun contact ne puisse se produire entre l'électricité en service et le corps humain : les électrochocs font partie des aberrations médicales qui consistent à soumettre des personnes enfants et adultes qui sont déjà en mauvaise santé mentale à recevoir des décharges de courant au travers de leur cerveau, qui est l'organe le plus sensible et le plus important du corps humain puisqu'il commande tous les autres organes.
De plus, les résultats positifs de telles pratiques empiriques n'ont jamais été prouvés.
Il semblerait que les professionnels de santé qui prescrivent de tels "traitements" pour leurs patients ne les ont jamais essayés sur eux-mèmes pour voir quelles conséquences en résultaient.
"En tant que directeur de l'International Center for the Study of Psychiatry à Bethesda dans le Maryland aux USA, presque chaque semaine je reçois des appels, des lettres ou j'ai des interviews avec des patients dont le cerveau a été endommagé résultant en dysfonctionnement mental permanent du fait d'électrochocs. L'histoire est toujours la mème" (Dr Peter R. Breggin).
L'usage de tels procédés dégradants montre l'incapacité où se trouvent ces psychiatres à utiliser la psychothérapie, les traitements par médicaments le plus souvent ne conduisant pas non plus à la guérison des patients mais plutot à leur intoxication et leur dépendance vis à vis de ces substances dont il peut leur ètre difficile ensuite de se libérer, malgré tous les effets secondaires nuisibles causés par ces drogues légales.
Le fondateur de ce projet de milieu thérapeutique a eu l'occasion de connaitre l'exemple d'un homme autiste àgé de la quarantaine qui avait passé la plupart de sa vie en institutions psychiatriques. Non seulement il y avait été maltraité par un patient violent et en faisait toujours des cauchemars, mais lorsqu'il fut soumis à des électrochocs ils ont oublié de placer entre ses dents l'habituelle plaque de caoutchouc pour absorber la pression massive de ses machoires lorsqu'elles se contractent sous l'effet de la douleur terrible causée par le courant électrique traversant son cerveau : ses dents s'étaient auto-broyées !
Pas étonnant que de telles tortures n'ont aucun effet curatif, elles ne sont que des traumatismes supplémentaires dans l'existence de telles victimes.
La pratique des électrochocs est une preuve flagrante du manque de connaissances, du manque d'efficacité et par dessus tout du manque d'éthique professionnelle : tous les docteurs en médecine doivent préter le serment d'Hippocrate lorsqu'als reçoivent leur diplome, "Avant tout ne pas nuire".
Les électrochocs sont une honte pour tout le monde :
Honte pour les pays qui n'ont pas de loi pour les interdire.
Honte pour les officiels qui ne les refusent pas.
Honte pour les psychiatres qui les prescrivent.
Honte pour les parents des victimes, mais peut-ètre ces parents ne sont pas mème informés des "traitements" pratiqués dans les hopitaux psychiatriques ?
Comment une torture pourrait-elle guérir des personnes déjà souffrant de graves perturbations ? Si la torture avait un effet curatif, alors les survivants des camps de concentration nazis devraient après ètre en bonne santé mentale, idem pour les enfants maltraités.
Une telle absurdité est difficile à croire, elle est si contraire aux valeurs humaines et au bon sens qu'il est difficile de concevoir comment une telle pratique atroce a-t-elle pu ètre créée puis autorisée sous couvert de "science" dans des pays qualifiés de civilisés !
Il est particulièrement lamentable que les professionnels de santé qui soumettent leurs patients aux électrochocs ne trouvent rien de mieux à faire pour venir en aide à ces personnes en souffrance : seulement leur faire encore plus de mal et les handicaper plus encore !
Mais peut-ètre ces agissements sont tout à fait délibérés : ces patients ont souffert d'abus multiples dans leur enfance aux mains de leurs parents ou d'autres criminels, puis ensuite aux mains de professionnels en hopitaux psychiatriques als ont subi d'autres abus tels que injections répétées de médicaments psychotropes, enfermements, camisole de force, contentions, douches froides, électrochocs ou pire. Tout cela les dégrade plus encore, le résultat final étant que leur personnalité est telle qu'als ne pourront jamais témoigner des abus qu'als ont subi tout au long de leur vie : les criminels maltraitants sont assurés de l'impunité, als peuvent utiliser pour leur défense l'argumentation selon laquelle leurs victimes sont folles ou psychotiques, leur témoignage ne peut donc pas ètre retenu.
revu 2016