Autour de l'objet

 

Nous rapportons deux définitions de l'objet : "-Chose solide ayant unité et indépendance et répondant à une certaine destination;  -Ce qui se présente à la pensée, qui est occasion ou matière pour l'activité de l'esprit"(1). Nous nous référerons à la seconde définition, ce qui est objectum (placé devant).

La perte de l'objet confronte l'objet au réel. Il nous a paru pertinent d'examiner le rapport à l'objet sous l'angle de sa perte. D'objet, il en est un, qui pour avoir échappé à la vue n'en existe pas moins : "La mort n’est rien… Je suis moi, tu es toi. Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours… La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié. Elle est ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée, simplement parce que je suis hors de ta vue ?"(2). "Un voilier passe dans la brise du matin, et part vers l'océan… Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui. Et juste au moment où quelqu'un près de moi dit : «il est parti !» il en est d’autres, qui le voyant poindre à l'horizon et venir vers eux s'exclament avec joie : «Le voilà !»"(3) L'objet n'est pas autre qu'investi d'une importante charge affective. Au décès de sa mère, G.Flaubert écrit à G.Sand : "Je me suis aperçu, depuis quinze jours, que ma pauvre bonne femme de maman était l'être que j'ai le plus aimé. C'est comme si on m'avait arraché une partie des entrailles"(4). Après avoir brûlé d'un amour passionné pour Odette, Swann s'écriera : "Dire que j’ai gâché des années de ma vie, que j’ai voulu mourir, que j’ai eu mon plus grand amour, pour une femme qui ne me plaisait pas, qui n’était pas mon genre !"(5). Sur une échelle du stress allant jusqu'à 100 (stress maximal), ce que l'on peut assimiler à la perte de l'objet occasionne un stress important, à très important : "Décès du conjoint 100 ;  Divorce 73 ;  Séparation entre les conjoints 65 ;  Décès d’un proche parent 63"(6).

J.Lacan pose la question : "Toute l'ambiguïté de la question soulevée autour de l'objet se résume à ceci : l'objet est-il ou non le réel ?". Mais, interroge-t-il à la suite, "quelle idée nous faisons-nous du réel ? Il convient alors d'appréhender ce que nous voulons dire quand en théorisant nous invoquons le réel. Il est peu probable qu'au départ nous ayons tous de ceci la même notion"(7). Une réponse peut-être à la question de J.Lacan, L'objet est-il ou non le réel", dans le propos de R.Pelsser : "Freud (1917) mentionne que l'identification du moi avec l'objet perdu est un processus pathologique parce que la perte de l’objet se transforme en une perte du moi (la mélancolie)… dans un texte ultérieur (1923), il revient sur le sujet et laisse entendre que l’identification avec l’objet permet au sujet d’abandonner l'objet perdu. Il écrit à ce propos : «Il se peut que par cette introjection, qui représente une sorte de régression vers le mécanisme de la phase orale, le moi rende plus facile ou possible le renoncement à l'objet. Il se peut également que cette identification soit la condition sans laquelle le ça ne saurait renoncer à ses objets…" C’est Abraham (1924) qui introduit la thèse selon laquelle le travail de deuil normal s’effectue sur la base du mécanisme d'incorporation de l'objet perdu. Il note: «La perte réelle d'un objet est également temporairement suivie d'une introjection de la personne aimée… L'effet de choc de la perte est égalisé par le processus inconscient de l’introjection de l’objet perdu…Le deuil contient une consolation : l’objet aimé n'est pas perdu, car maintenant je le porte en moi et ne le perdrai jamais ! …" Chez le sujet normal cette introjection fait suite à une perte réelle (décès) et est avant tout au service de la conservation de la relation avec le défunt, ou ce qui revient au même, de sa compensation»"(8). –A propos d'introjection, nous citons quelques phrases de K.Abraham : "Le Dr Elekes, de Klausenburg, m'a fait part d'un exemple particulièrement instructif de sa pratique hospitalière. Il s'agissait d'une patiente hospitalisée pour dépression mélancolique. Elle s'accusait sans arrêt d'avoir volé. Il n'en était rien. Mais il est vrai que son père, avec lequel elle vivait, et qu'en célibataire elle avait aimé de toutes ses forces, avait été arrêté pour vol. L'affection mélancolique survint à la suite de ces faits qui la séparaient de son père et surtout avaient suscité une réaction psychique profonde dans le sens de l'éloignement du père. L'introjection suivit immédiatement la perte de la personne aimée. C'est maintenant la patiente elle-même qui a volé"; "Dans son Livre du Ça, Groddeck interprète le grisonnement d'un patient à la suite de la mort de son père comme la tendance inconsciente à se rendre semblable au vieux père, à le reprendre ainsi en lui"; "Je me vois contraint à livrer une contribution issue de ma propre vie… À la fin de l'année précédente j'avais été endeuillé par la mort de mon père : ce deuil se manifestait d'une façon que je ne savais pas rapporter alors au processus d'introjection. Un grisonnement marqué de ma chevelure en était le signe le plus évident. Il fut suivi par une réapparition de la couleur de mes cheveux au bout de quelques mois. Je m'expliquais ce phénomène par l'ébranlement que j'avais subi"–(9).  

R.Pelsser écrit : "Fenichel résume la position classique de la psychanalyse et écrit que le travail de deuil "se joue en deux actes : le premier consiste à établir l’introjection ; le second à relâcher les liens qui unissent à l'objet introjecté". Le désinvestissement de l’objet introjecté est plus facile que le désinvestissement de l’objet extérieur, parce qu’il est plus aisé de manier le monde intérieur que le monde ambiant. Le désinvestissement de l’objet interne s’effectue dans la mesure où le sujet brise ce qui l’attache à l’objet désormais introjecté ; les liens qui unissent le sujet à l’objet perdu sont constitués de multiples souvenirs distincts ; l’abandon de l'objet, la séparation avec lui implique la dissolution, la désintégration de chacun de ces souvenirs séparément et progressivement. L’internalisation peut modifier la structure psychique du sujet, étant donné que les éléments introjectés pourront par la suite faire partie du moi, du surmoi ou de l’idéal du moi".

Nous nous intéresserons aussi à la réalité de l'objet au cours du transfert. Nous rapportons quelques approches du transfert : "Jean Laplanche et Jean-Bertrand Pontalis désignent le transfert en psychanalyse comme un «processus par lequel les désirs inconscients s'actualisent sur certains objets dans le cadre d'un certain type de relation établi avec eux»… D'après Élisabeth Roudinesco et Michel Plon, c'est à partir de sa mise en évidence des problèmes qu'il a posés dans le déroulement de la cure et des théorisations qui en ont découlé, que la psychanalyse s'est distinguée des autres formes de psychothérapies. Toujours chez ces auteurs, le terme désigne, à la suite de Sigmund Freud et Sándor Ferenczi, «un processus constitutif de la cure psychanalytique par lequel les désirs inconscients de l’analysant concernant des objets extérieurs viennent se répéter, dans le cadre de la relation analytique, sur la personne de l’analyste mise en position de ces divers objets»… Francis Pasche définit ainsi le transfert au sens large : «La reviviscence de désirs, d'affects, de sentiments éprouvés envers les parents dans la prime enfance, et adressés cette fois à un nouvel objet, et non justifiés par l'être et le comportement de celui-ci»… Selon Horacio Etchegoyen: «Le transfert est une relation d'objet particulière, d'origine infantile, de nature inconsciente (processus primaire) et par conséquent irrationnelle, qui confond le passé avec le présent, ce qui lui confère son caractère de réponse inadaptée, déplacée, inadéquate. Le transfert en tant que phénomène du système ICS, appartient à la réalité psychique, au fantasme et non à la réalité factuelle. Cela signifie que les sentiments, les pulsions et les désirs qui apparaissent dans un moment présent et par rapport à une personne déterminée (objet) ne peuvent être expliqués d'après les aspects réels de cette relation mais, en revanche en les référant au passé »"(10). J. Lacan précise : "La «présence du passé » donc, telle est la réalité du transfert. Est-ce qu’il n’y a pas d’ores et déjà quelque chose qui s’impose, qui nous permet de la formuler d’une façon plus complète ? C’est une présence… un peu plus qu’une présence… c’est une présence en acte et… comme les termes allemand et français l’indiquent… une reproduction"(11). Nous citons F. Roustang : "A travers le transfert, cette intense relation affective, dont parle Freud, nous reproduisons le ou les types de relation que nous entretenons avec les autres ; types de relation qui ne sont pas directement ou facilement lisibles dans nos comportements parce qu’ils sont gouvernés par des expériences très anciennement oubliées, passives ou actives, qui se sont transformées en fantasmes prégnants. Dans l’artefact du transfert, et comme dans un laboratoire, nous répétons à l’état pur notre mode de fonctionnement à l’égard des autres "(12). J.Lacan déclare : "Freud nous indique que l’objet est saisi par la voie d’une recherche de l’objet perdu. Cet objet qui correspond à un stade avancé de la maturation des instincts, est un objet retrouvé, l’objet retrouvé du premier sevrage, l’objet qui a été d’abord le point d’attache des premières satisfactions de l’enfant… Une nostalgie lie le sujet à l’objet perdu, à travers laquelle s’exerce tout l’effort de la recherche. Elle marque la retrouvaille du signe d’une répétition impossible, puisque précisément ce n’est pas le même objet, ce ne saurait l’être"(13). La nostalgie de l'objet perdu serait à l'œuvre dans le transfert au sein d'une dynamique, non pas de répétition mais de présence en acte. Nous citons de nouveau la référence à O.Fenichel : "Les liens qui unissent le sujet à l’objet perdu sont constitués de multiples souvenirs distincts"; c'est donc à travers la présence en acte que l'objet constitué de souvenirs  s'inscrirait dans le réel.

"C'est aux premiers regards portés, En famille, autour de la table, Sur les sièges plus écartés, Que se fait l'adieu véritable"(14). Nous revenons encore vers la phrase de J.Lacan : "L'objet est-il ou non le réel ?". L'objet disparu mais l'objet intériorisé, celui gardé en mémoire, cet objet devenu absent, mais bien réel dans une trace mémorielle. C'est par la communication que la trace mémorielle s'inscrit dans un réel, celui des communicants. "Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux"(Mt 18, 20). Dans l'extrait suivant, C.Frith parle de la reconnaissance de l'objet par l'intermédiaire de la communication : "La communication, lorsqu'elle confronte deux personnes face à face, n'est pas un processus à sens unique. La façon dont vous me répondez change la façon dont je vous réponds. C'est une boucle de communication. De plus il n'y a pas que moi qui essaie de prévoir ce que vous allez dire, sur la base de mon modèle de votre idée. Vous avez aussi un modèle de mon idée dans votre esprit. Vous essayez également de prévoir ce que je vais dire ensuite. Vous allez vous aussi modifier vos propos pour indiquer que votre modèle de mon idée ne parvient pas à prédire ce que je vais dire. C'est la grande différence par rapport à mes interactions avec le monde physique. Le monde physique est complètement indifférent à mes tentatives de l'interpréter. Lorsque deux personnes interagissent face à face, leur échange d'idées est une aventure coopérative. La circulation n'est pas à sens unique. Même lorsque mon but est de vous communiquer une idée, vous allez inévitablement la colorer. Le sens est comme un champ gravitationnel. La Lune tourne autour de la Terre, mais le mouvement de la Terre est aussi affecté par la présence de la Lune. Une communication réussie atteint le point où mon modèle de votre idée colle à mon idée, où je n'ai plus besoin de vous montrer qu'il y a un problème. De façon cruciale, vous atteignez en même temps le point où il n'y a plus de divergence entre votre idée et votre modèle de mon idée. À ce point d'agrément mutuel la communication s'est accomplie. En formant des modèles du monde mental, nos cerveaux ont résolu le problème de comment pénétrer dans l'esprit des autres. C'est cette capacité à élaborer des modèles du monde mental qui a creusé le fossé entre les humains et les autres espèces. Sans la capacité à construire et partager des mondes mentaux, il n'y aurait pas de langage ni de culture"(15).  

La communication est-elle conditionnée au langage ? S.Alix et P.Berstein rapportent des expériences de communication télépathique : "C'est la communication directe d'esprit à esprit. Plus connue dans le grand public sous le terme de «transmission de pensée», elle ne passe par aucun des cinq sens.  «Souvent, lorsque le téléphone sonne, je dis "c'est Untel ou Unetelle" et, lorsque je décroche le combiné, c'est bien la personne à laquelle j'ai pensé. Au début, je pensais vraiment que c'était le hasard, mais cela se produit tellement souvent que je n'y crois plus» (témoignage de Jean-Jacques). «Un jour, je me promenais sur les bords de la Seine avec un ami et, tout à coup, je me suis exclamé : "Mon père est mort !" Il habitait alors à plusieurs milliers de kilomètres. Une heure plus tard, j'ai reçu un télégramme nous annonçant son décès» (témoignage de Guy). Cependant, la télépathie n'est pas un phénomène qui met uniquement en jeu l'esprit ou le mental, mais le corps tout entier : d'innombrables cas montrent des personnes qui ont vécu à distance l'accident d'un proche en ressentant une douleur dans la partie physique touchée. «Un jour, lorsque j'étais jeune, pendant la guerre de 1914-1918, mon frère a été gravement blessé à la jambe. Au moment même où il a été touché, je l'ai ressenti exactement à la jambe... Plus tard, ensemble, nous avons pu vérifier la concordance des événements» (témoignage d'Yvonne). Cette transmission simultanée des sensations corporelles a été particulièrement étudiée par Henri Marcotte. Il l'a nommée «télesthésie» et en a fait une méthode d'entraînement à la télépathie qu'il a enseignée à l'université de Paris-VII en 1975 et 1976 (Marcotte. 1977)"(16).

Pouvons-nous rapprocher ces relations extra-sensorielles de l'intrication ? M.Teodorani écrit : "Ces analyses ont donc démontré que le fait de penser à une autre personne qui se trouve loin influence non seulement son système nerveux autonome, mais aussi son cerveau. Le test du flash sur l'une des personnes formant un couple, éloignées l'une de l'autre, est éclairant, tant et si bien que l'on relève ce qu'on appelle une « corrélation EEG » dans des couples séparés. Donc, dans des conditions particulières, le tracé EEG d'un sujet humain privé de toute stimulation sensorielle externe peut être corrélé avec le tracé EEG d'une personne qui est loin. Cela suggère l'existence d'une forme d'interaction énergétique ou informative encore méconnue. Autrefois, on considérait que l'interaction entre esprits était de nature électromagnétique, un lien semble en effet exister entre la production de certains événements mentaux et l'émission de fréquences ultrabasses comme les ELPI, mais tout de suite après la naissance et le développement de la théorie quantique et en perfectionnant les expériences de laboratoire, on s'est aperçu que ces signaux électromagnétiques ne semblent être qu'une «réaction classique» à l'apparition de phénomènes purement non locaux de type mental ou psychique. Par conséquent, le champ qui gouverne ces phénomènes mentaux ne serait pas à l'origine électromagnétique, mais il s'agirait d'un «champ de forme» absolument identique à celui supposé par David Bohm lorsqu'il développait sa théorie du potentiel quantique et de l'ordre impliqué. Comme le rappelle Dean Radin dans son livre Entangled Minds («Esprits intriqués»), nombreuses sont les expériences de ce type qui ont été effectuées dans le monde. Le psychologue américain Charles Tart (dans les années 60), qui parvint même à publier ses travaux dans des revues aussi prestigieuses que Science, est un pionnier en la matière. Douze variantes de cette expérience ont été effectuées par d'autres groupes dans le monde entier ces quarante dernières années. L'une de ces études a même été publiée dans Nature et une autre dans Behavioral Neuroscience. Dans tous les cas, on a relevé des réponses cérébrales simultanées sur les tracés EEG de couples de personnes séparées. En 2003, l'une de ces études a également été publiée dans Physics Essays et enfin dans Neuroscience Letters. Nous ne connaissons pour l'instant aucun mécanisme biophysique en mesure d'expliquer le lien EEG. Dernièrement, pour surveiller le cerveau, on a utilisé la résonance magnétique nucléaire (RMN). Une augmentation très significative de l'activité cérébrale dans le cortex visuel de la personne qui recevait, au moment même où le partenaire (émetteur) fixait une lampe qui clignotait, a toujours été observée. Cette expérience a été répétée plusieurs fois avec succès. Cela prouve non seulement qu'un lien significatif était observé entre les deux cerveaux, mais qu'il était aussi possible de trouver l'emplacement précis du cerveau où ce phénomène survenait. Des expériences analogues ont été réalisées par le physicien hongrois Zoltan Vassy qui a utilisé les réponses données par la conductivité de la peau. Dans cette expérience, deux personnes étaient placées dans des pièces séparées et l'une de ces personnes devait envoyer télépathiquement un message à l'autre. Une décharge électrique était au hasard envoyée à l'émetteur du message, puis trois secondes et demie plus tard, la même décharge était aussi envoyée au destinataire. On découvrit que la conductivité de la peau de l'émetteur durant l'intervalle des trois secondes et demie précédant immédiatement la décharge, augmentait, comme s'il avait reçu télépathiquement un message de l'autre"(17).

Nous avons tenté d'explorer la problématique de l'objet et du réel à travers trois angles différents : l'identification, le transfert, la trace mémorielle. Selon la physique, rien ne disparaît jamais de ce qui a été. M.Teodorani écrit : "Il existe plusieurs théories tentant d'expliquer le champ Psi : de l'inconscient collectif de Jung aux champs morphogénétiques de Rupert Sheldrake en passant par la théorie de champ géomagnétique de Persinger ou au champ akashique d'Ervin Laszlo. Tous ces postulats suggèrent une espèce de «mémoire non locale» qui imprègne le temps et l'espace avec laquelle le psychisme peut résonner. Aucune de ces théories n'est capable de suggérer de quelle façon une information spéciale peut être extraite de ces champs si ce n'est à travers un processus de résonance. Les avis semblent toutefois converger sur le fait que les esprits individuels seraient liés à un esprit plus grand au sein duquel la télépathie et la synchronicité sont possibles".

 

1-Dictionnaire LE ROBERT

2-http://www.charlespeguy.fr/news/30

3-Le voilier.  Attribué à W. Blake

4-Tu aimes trop la littérature, elle te tuera. G.Sand et G.Flaubert

5-https://www.jeromepoiraud.fr/wp-content/uploads/2015/06/Echelle-de-Holmes-et-Rahe-v2.pdf. Echelle de Holmes et Rahe

6-Un amour de Swann. M.Proust

7-La relation d'objet. J.Lacan

8-La perte de l'objet et le travail de deuil au cours du processus

psychothérapeutique. R.Pelsser

9-Perte, deuil et introjection. K.Abraham

10-https://fr.wikipedia.org/wiki/Transfert_(psychanalyse)

11- Le transfert. J. Lacan

12-La fin de la plainte. F. Roustang

13-Le Séminaire, livre IV, La Relation d’objet. J.Lacan

14-Le dernier adieu. R-F. Sully Prudhomme

15-Comment le cerveau crée notre univers mental. C.Frith

16-Manuel clinique des expériences extraordinaires. sous la direction de S.Alix et P.Berstein

17-Des particules à la conscience. M.Teodorani