Diabète

« Le diabète est une maladie chronique qui se caractérise par un excès de sucre dans le sang ou hyperglycémie. Il existe 2 principaux types de diabète, dus à des dysfonctionnements différents : le diabète de type 1 et le diabète de type 2.


1) Le mécanisme général du diabète : Le diabète est une maladie chronique caractérisée par la présence d’un excès de sucre dans le sang appelé hyperglycémie. Il est avéré si le taux de glycémie à jeun est égal ou supérieur à 1,26 g/l ou 7 mmol/l de sang lors de deux dosages successifs.

2) Le rôle de l'insuline : L'insuline, fabriquée par le pancréas, est présente en permanence dans le sang. Son rôle est de maintenir la glycémie autour de 1 g/l lorsque les apports de sucre sont importants : l' insuline est une hormone hypoglycémiante. Lorsque le taux de sucre s’élève, par exemple après un repas, le produit plus d’insuline pour ramener le taux de sucre dans le sang à un niveau normal.

L'insuline permet aux cellules de l’organisme de capter le sucre qui circule dans le sang selon leurs besoins (par exemple cellules musculaires au cours d’un exercice) et de l’utiliser pour le transformer en énergie. Si nécessaire, elle permet le stockage du sucre non utilisé, dans le foie ou les cellules graisseuses.

Si l’insuline est en quantité insuffisante ou si elle est inefficace, le sucre s’accumule dans le sang et la glycémie augmente de façon excessive : c’est l’hyperglycémie. En l’absence de traitement, cette hyperglycémie se maintient à un niveau trop élevé : c’est l’hyperglycémie chronique qui définit le diabète

3) Les 2 types de diabète

On distingue 2 principaux types de diabète :

  • le diabète dit « de type 1 », dû à une absence de sécrétion d’insuline par le pancréas ;
  • le diabète dit « de type 2 », dû à une mauvaise utilisation de l’insuline par les cellules de l’organisme. Son développement se fait très progressivement, de façon insidieuse sur de nombreuses années.


Le diabète de type 1 survient le plus souvent chez l’enfant, l’adolescent et l’adulte jeune. Il est beaucoup moins fréquent que le diabète de type 2.

Dans le diabète de type 1, le pancréas ne fabrique plus d’insuline de façon suffisante. En son absence, les cellules ne peuvent plus utiliser correctement le sucre qui circule dans le sang. L’hyperglycémie apparaît rapidement, dès que le niveau d’insuline devient insuffisant.


Le diabète de type 2 survient généralement après l’âge de 20 ans, mais peut parfois apparaître dès l’adolescence. Il est le plus fréquent et concerne environ 90 % des personnes ayant un diabète. Il touche 4 % de la population en France, soit environ 2,5 millions de personnes. Ces chiffres augmentent chaque année.

Le développement du diabète de type 2 se fait sur plusieurs années, en 3 étapes :

  • tout d’abord, les cellules de l’organisme deviennent résistantes à l’insuline. Cette résistance est normale avec l’âge mais elle est aggravée par l’excès de tissus gras en cas de surpoids et d’obésité. Ce stade s’appelle : insulinorésistance. Le glucose s’accumule dans le sang et une hyperglycémie s’installe progressivement ;
  • l’organisme tente de s’adapter. Dans un premier temps, le pancréas augmente la production d’insuline : cela s’appelle l’hyperinsulinisme ;
  • après plusieurs années (10 à 20 ans), le pancréas s’épuise et ne peut plus sécréter suffisamment d’insuline pour réguler le taux de sucre dans le sang : c’est le stade d’insulinodéficience.

Après plusieurs années d'évolution, des complications par atteinte des artères et des nerfs peuvent apparaître. Un traitement et un suivi médical adaptés permettent de les limiter ».


LIENS VERTEBRES ORGANES

  • Lien vertèbres et organes : Ici le pancréas est en lien avec la D7, D8, D10.
  • Vous devez installer (gratuit) Adobe Flash Player et l’activer pour visionner et accéder au schéma interactif afin de découvrir les organes rattachés à chaque vertèbre et les troubles de la santé qui y sont liés (liste non exhaustive). Je constate que la D7 est en lien avec le pancréas, les îlots de Langhérans et le duodénum ; concernant les symptômes possibles : diabète, ulcère et gastrite.


Je souhaite partager des informations à ce sujet car Jacques Gesret a abordé cette pathologie ainsi que Michel Montignac (Méthode Montignac). J’associerai les recherches de J. Gesret au diabète de Type 1 et celles de Michel Montignac au diabète de type 2.


1) Concernant les recherches et observations de Jacques Gesret :

« En préliminaire, pour avoir une solide base de départ, je vais citer un extrait d'un document médical référent en la matière, je ferai mon commentaire ensuite :

II. HISTOLOGIE DES ILOTS DE LANGHERANS

L'unité fonctionnelle est donc l'îlot de Langherans. Il s'agit de groupements cellulaires de 20 à 300 µ de diamètre. Ils correspondent à 1% du poids du pancréas. Ils sont entourés par une membrane au contact de laquelle on trouve de nombreux capillaires. De nombreuses terminaisons nerveuses appartenant aux systèmes sympathique et parasympathique entourent les îlots. Les diverses cellules des îlots de Langherans ont un aspect fonctionnel sécrétoire avec présence dans le cytoplasme d'un abondant réticulum endoplasmique associé à de nombreux polysomes, des mitochondries et surtout des granules sécrétoires. On distingue 3 types cellulaires :

-les cellules bêta (ß), situées au centre des îlots, sécrétant de l'insuline et constituant 70% des cellules des îlots de Langhérans.

- les cellules alpha (a) sécrétant le glucagon et constituant 20% des cellules,situées le long des axes vasculaires

- les cellules delta (d), à la périphérie, les moins nombreuses, sécrétant de la somatostatine pour la plupart ou de la gastrine.

- les cellules F sécrétant le polypeptide pancréatique.

Je reprends cette citation extrêmement importante :

"Ils sont entourés par une membrane au contact de laquelle on trouve de nombreux capillaires. De nombreuses terminaisons nerveuses appartenant aux systèmes sympathique et parasympathique entourent les îlots."

Pourquoi le mécanisme de régulation sanguine ne serait il pas identique au niveau des capillaires de la membrane entourant les îlots de Langherans ?

A partir de l'instant où l'influx sympathique - issu de la medulla, passant par les trous de conjugaison des vertèbres dorsales, formant à cet étage les nerfs splanchniques, dont une partie va innerver le pancréas - vont donc avoir une action imparfaite sur certaines zones de celui-ci ; les îlots ne seront plus alimentés correctement par des capillaires vasoconstrictés et de ce fait vont tout simplement être détruits !

Alors dans ces conditions, le diabète ne serait pas une pathologie du système immunitaire !

Un autre cas de figure : j'ai découvert que ce principe de vasoconstriction conduisait à des destructions vitales, en observant des cas d'alopécie et en corrigeant les problèmes qui les déclenchaient.

Tant chez l'homme que chez la femme :

    • une surproduction de testostérone (analyses le prouvant) avec pour origine des problèmes lombo-sacrés - logique, toutes les commandes génito-urinaires en sont issues, sympathiques (lombaires) et parasympathiques (sacrum);
    • ajouté à la zone métamérique cutanée dépendant dans sa majeure partie de l'OAA (Occiput, Atlas, Axis), encore logique de par la liaison crânio-sacrée

conduisent à une forte vasoconstriction de ces zone métamériques contenant des récepteurs à la testostérone, à la perte d'irrigation des bulbes capillaires et à la perte du cheveu qui en dépend. Ceci est le résultat de constations!»


Réponse de J.Gesret à un internaute :"...ma méthode donne d'excellents résultats chez l'enfant (seulement) avant que son pancréas n'ait atteint sa taille adulte. Après, on peut juste le stabiliser pour que son problème n'augmente pas.

Pourquoi ? Je l'ai déjà expliqué, mais peu importe : chez l'enfant, les cellules se multiplient (une cellule donne autant de cellules que nécessaire) jusqu'à ce que l'organe ait atteint sa taille et sa fonction "adulte". Ensuite cette multiplication cellulaire s'arrête et est replacée par une division cellulaire (une cellule ne donne qu'une cellule qui la remplacera).

Je ne peux donc prévoir à l'avance si ce sera l'arrêt total et le retour à la normale ou une stabilisation du fait que la multiplication n'existe plus, seules les cellules existantes seront protégées contre une destruction."


Réponse 2 : "Bonjour Hélène, je vais répondre point par point à vos questions. Il est très difficile de fixer un âge auquel le pancréas atteint sa taille définitive car l'âge d'un enfant n'est pas celui de son étét civil, mais de son état osseux ; pour connaître l'âge réel il faut effectuer une radiographie de la main et analyser son ossification.

Avant 7 ans, je pense que le pancréas n'est pas encore "adulte", mais en toute franchise, je suis incapable de vous donner un âge précis !

Ce qui déclenche un diabète n'a rien de psy ni de viral.

Si nous avons un schéma type du diabétique, c'est que nous avons effectué des centaines d'observations répétées qui nous ont permis de dégager des constatations permanentes.

En gros, c'est une réaction du système immunitaire sur cet organe, car il est trompé par des informations censées en provenir, nécessitant de détruire ce qui est considéré comme "étranger au corps".

Le schéma d'un diabétique est le suivant :

- fausse (ou vraie) jambe courte à gauche, entrainant toutes les lésions montantes à gauche

- vertèbre T9 en rotation fixée à gauche perturbant certaines informations venant du pancréas

- point réflexe (j'en ai découvert une dizaine, inédits) du pancréas douloureux

- première côte (système immunitaire, via le ganglion supremum thoracii et le ganglion stellaire) gauche bloquée en rotation postérieure

C'est quasiment le même schéma pour un psoriasis et pour la SEP, sauf que d'autres étages entrent en jeu.

J'ai appelé ces combinaisons émettant des informations anormales : la mélodie vertébrale. Suivant les différents accords, la pathologie est différente.

Je m'explique : pour avoir un asthme à l'effort, la combinaison de deux côtes fixées en rotation postérieure à droite est suffisante (on peut le constater en plaçant l'enfant sur le dos, torse nu, et en plaçant nos deux mains bien à plat sur son thorax ; on constate que la main droite est plus basse que la gauche et qu'à l'inspiration, le côté droit s'élève bien moins que le gauche. C'est de l'examen clinique incontestable et seuls les médecins de très mauvaise foi peuvent dire "je n'y crois pas" !

Alors, pour avoir un eczéma, il suffit d'ajouter aux deux étages émettant des informations que j'ai nommées "nociceptives", l'étage T9 fixé en rotation à droite, perturbant certaines informations du foie, pour donner une projection cutanée au lieu d'une projection dans les voies respiratoires. C'est pour cette raison que, lorsque l'on arrive à soigner l'eczéma en traitant le foie, en échange il y a l'asthme qui resurgit.

Toutes mes explications sont logiques, exactes, démontrables sur n'importe quel cas que l'on me présenterait et IRREFUTABLES.

Le seul problème : la médecine industrielle refuse depuis 20 ans d'étudier mes travaux, SACHANT QUE J'AI RAISON."


Un échange au sujet du diabète entre J.Gesret et une internaute.




2) Concernant les recherches de Michel Montignac :

« C’est la consommation excessive de glucides à index glycémique (IG) élevés qui est responsable de l’hyperinsulinisme.

Contrairement à ce que l’on a cru pendant longtemps, les glucides ne sont pas interchangeables, car ils n’ont pas tous les mêmes effets métaboliques. De plus, on a démontré que leur vitesse d’absorption intestinale était globalement la même, et qu’en conséquence, leur classification en sucres lents et sucres rapides était fausse.

Pour en savoir plus sur l’inexactitude de la notion de sucres lents/sucres rapides

Depuis le début des années 80, on a en effet mis en évidence que des glucides appartenant à la même catégorie (deux amidons complexes comme par exemple les lentilles et les pommes de terre) pouvaient, à calories égales induire des glycémies totalement différentes, allant du simple au triple.

Les glucides ont alors été classés sur une échelle en fonction de leur capacité à élever la glycémie. C’est ainsi que les glucides dont l’index glycémique est bas entraînent une faible glycémie. Inversement, ceux dont l’index glycémique est élevé induisent une forte élévation de la glycémie

La Méthode Montignac est un mode alimentaire équilibré et non restrictif sur le plan quantitatif. Elle est basée essentiellement sur des choix préférentiels d’aliments à l’intérieur de chaque grande catégorie : glucides, lipides, protéines. Ces choix sont fait compte tenu de leur spécificité nutritionnelle (caractéristiques physico-chimiques) et de leur potentialité à induire des réactions métaboliques de nature à prévenir la prise de poids, l’apparition du diabète et des facteurs de risques cardiovasculaires.

L’expérimentation ainsi que des travaux scientifiques particuliers ont montré que lorsque ces pathologies étaient installées chez des individus elles pouvaient même, dans la plupart des cas, être réduites d’une manière très significative par le suivi de la méthode Montignac.

Un recentrage des habitudes alimentaires

La Méthode Montignac consiste à faire un recentrage des habitudes alimentaires en fonction des objectifs que l’on poursuit :

  • maigrir si la surcharge pondérale est avérée ;
  • prévenir le risque de prendre du poids ;
  • prévenir la survenue du diabète de type II ;
  • diminuer les facteurs de risques sur le plan cardiovasculaire. »


Ainsi, il est important de prendre connaissance de ces 2 approches car on peut être parfaitement restructuré avec la méthode Gesret afin que les nerfs, artères liés au pancréas fonctionnent normalement, mais une alimentation, durant des années, basée sur des aliments à index glycémique élevé, peut causer un diabète de type 2.

Personnellement je ne fais pas de régime, mais je m’inspire de ses conseils alimentaires et voici des liens crées par Gilda qui peut vous aider à cuisiner d’excellents plats à index glycémique bas ou moyen, pour perdre du poids ou prévenir le diabète de type 2: