- l'acupuncture classique & L'hypnose - Les patchs ou timbres à la nicotine - Les gommes (ou "chewing-gum")à la nicotine - Les comprimés sublinguaux et les comprimés à sucer - L'inhaleur - Les cigarettes sans tabac - Les psychothérapies comportementales - L'homéopathie et .... Le rebouteux… Et surtout la VOLONTE..
L’état….des messages de prévention sur 40 % du paquet
Finies les petites phrases de mise en garde qui ne représentent que 4 % de la face du paquet. L’avertissement général "Fumer tue" ou "Fumer nuit gravement à votre santé et à celle de votre entourage" devra couvrir 30 % de la face sur l’avant du paquet. Au dos, c’est 40 % de la surface qui sera réservée à des avertissements sanitaires spécifiques, qui réaffirment les dégâts liés au tabac vis-à-vis des maladies cardiovasculaires, de la fertilité, du cancer du poumon ou de la grossesse.
1. Les fumeurs meurent prématurément.
2. Fumer bouche les artères et provoque des crises cardiaques et des attaques cérébrales.
3. Fumer provoque le cancer mortel du poumon.
4.Fumer pendant la grossesse nuit à la santé de votre enfant.
5. Protégez les enfants : ne leur faites pas respirer votre fumée.
6. Votre médecin et votre pharmacien peuvent vous aider à arrêter de fumer.
7. Fumer crée une forte dépendance, ne commencez pas.
8. Arrêter de fumer réduit les risques de maladies cardiaques et pulmonaires mortelles.
9. Fumer peut entraîner une mort lente et douloureuse.
10. Faites-vous aider pour arrêter de fumer : téléphonez au 113 (appel gratuit).
11. Fumer peut diminuer l’afflux sanguin et provoque l’impuissance.
12. Fumer provoque un vieillissement de la peau.
13. Fumer peut nuire aux spermatozoïdes et réduit la fertilité.
14.La fumée contient du benzène, des nitrosamines, du formaldéhyde et du cyanure d’hydrogène.
La mésothérapie est un traitement médical consistant à administrer des médicaments par micro-injections dans la peau. Ni médecine parallèle, ni médecine douce, cette technique se rattache directement à la médecine traditionnelle. Elle est née en France en 1952. Le docteur Michel Pistor, qui l'a mise au point, partait de l'idée que le médicament doit parcourir le plus petit chemin possible pour atteindre l'organe visé. La meilleure solution est donc d'injecter le produit dans la peau, à proximité de la lésion à traiter. Cela lui évitait de devoir emprunter la circulation générale, de passer par l'estomac ou le foie. Ainsi, actuellement, la mésothérapie se définit-elle comme une technique thérapeutique originale, par la micro-dose de médicaments administrés au patient en des sites d'injection bien définis en même temps que sont précisées les indications de ce mode de traitement.
Ainsi la stimulation auriculothérapie/mésothérapie permet sans faille de mettre toutes les chances de votre coté. On va injecter des micro-dose de substance anti-tabac et anti-stress dans le pavillon de l’oreille en y associant l‘acuponcture au laser.
- utilisation d'un substitut nicotinique d'un et d'un substitut au geste grâce à une cigarette électronique de qualité. (Attention car de multiples magasins vous propose des produits plus ou moins contrôlés par les instances sanitaires)
- utilisation d'une stimulation d'auriculothérapie avec de l'acupuncture au laser , associant de la mésothérapie. (On va injecter des micro-doses de substances antitabac antistress dans le pavillon de l'oreille au point strict de la dépendance tabagique du stress et des pulsions alimentaires.
- des rendez-vous fréquents vont suivre l'évolution, permettant de baisser progressivement à votre rythme la dose de nicotine de la cigarette, tout en travaillant sur un concept novateur la « MTMP » MODIFICATION THERAPEUTIQUE DU MODE DE VIE
En effet , la diminution progressive de la nicotine dans le sang, la désintoxication de vos papilles gustatives et olfactives fera pencher la balance énergétique alimentaire de façon excessive entre 20 et 40 % !
C'est donc que le moment de reprendre une nutrithérapie, d'en profiter pour retrouver son poids de forme sa vitalité et de transformer votre assiette : un partenaire-vitalité-santé-minceur !
Mes 15 ans d'expérience dans ce domaine sont un atout majeur. ( On l'utilisera les principes de rythmo-nutrition, de contrôle de la masse musculaire de la masse-maigre, de motivation-coaching ).
Technique d’origine chinoise, l’acupuncture consiste à introduire de fines aiguilles en des points précis dans les tissus ou dans les organes. Les acupuncteurs considèrent que les piqûres diminuent l’envie de fumer en activant les réseaux d’énergie. L’auriculothérapie permettrait aussi d’obtenir un tel effet en laissant en place un fil dans l’oreille pendant deux à trois semaines. Le laser permet de la même façon de stimuler les points avec une précision et un durabilité accrue…
Résultats : Le ministère de la santé considèrent que l’acupuncture n’a pas fait la preuve de son efficacité dans le sevrage tabagique. Néanmoins, de nombreux anciens fumeurs sont convaincus que cette méthode leur a apporté une aide précieuse. C’est pourquoi les spécialistes du ministère admettent que l’acupuncture peut être utilisée, à condition que le fumeur y croit et qu’il bénéficie, par ailleurs, d’un soutien psychologique et de l’accompagnement d’un médecin.
Avantages :L’acupuncture peut être associée à d’autres techniques de sevrage plus classiques.
Inconvénients : L’efficacité n’est pas suffisante chez les fumeurs fortement dépendants de la nicotine, qui ont besoin d’une aide pharmacologique.
Principe de la méthode : L’hypnose consiste à favoriser le sommeil chez le fumeur dans le but de le déconditionner de ses pensées profondes vis-à-vis du tabac.
Résultats : L’hypnose a longtemps été considérée com me possédant une certaine efficacité dans le sevrage tabagique même si l’on savait que certaines personnes ne répondent pas à cette technique. il faut s'interroger sur la compétence du thérapeute ...
Avantages : L’hypnose peut être associée aux autres méthodes de sevrage et de prise en charge du patient dans sa globalité, souvent en quête d'une meilleure vie dans tous les domaines : bien-être, sport, épanouissement, recherche de valeurs et de nouveaux objectifs de vie à atteindre.
Pour cette technique très intéressante, je travaille avec une thérapeute qui est dans mon cabinet, et beaucoup de patients ont bénéficiés de cette thérapie double permettant de gérer l'arrêt du tabac, le maintien de la silhouette , Une redécouverte de l'énergie vitale permettant d'ouvrir le champ vers de nouveaux horizons personnels et professionnels.
Sachez qu'il existe quatre stades dans le comportement tabagique.
- Le premier stade est celui du fumeur heureux. Pour lui, le tabagisme n’est pas un problème. 50% des fumeurs sont à ce stade. Là, aucune chance d’arrêter dans l’immédiat.
- Au bout d’une période allant de quelques mois à plusieurs années, cette personne peut passer au stade du fumeur indécis : conscient du problème, il envisage d’arrêter dans les six prochains mois. 30 à 40 % des fumeurs sont dans ce cas.
- Ensuite, il y a le stade de l’arrêt, lorsque le fumeur décide puis essaie d’arrêter. Seuls 15 % des fumeurs en sont à ce stade et ont réellement une chance d’écraser leur dernière cigarette.
- Il existe également une quatrième phase appelée phase de maintenance : l'ex-fumeur doit alors tenir le coup. S’il craque, il revient à la phase du fumeur indécis.
Pour savoir si vous êtes prêt, une autre méthode plus radicale consiste tout simplement à essayer d’arrêter pendant une petite période (24 heures). Si ça ne marche pas, vous n’êtes pas tout à fait prêt. Réessayez tout de même avec cette fois une méthode ou un suivi pour vous soutenir. En cas de succès, pourquoi ne pas continuer 24 heures de plus, puis encore 24 heures…
Il est similaire à celui des patchs. L’apport de nicotine sous forme buccale soulage les symptômes de manque physique. Le nombre de gommes à mâcher peut être modifié en fonction du niveau de dépendance pharmacologique, lequel est évalué comme pour les patchs par les réponses au test de Fagerström. On trouve sur le marché des gommes dosées à 2 mg et des gommes à 4 mg, mieux adaptées aux gros fumeurs fortement dépendants de la nicotine. La consommation de gommes dure en général trois mois et il est recommandé de ne plus les utiliser au-delà de six mois après l’arrêt du tabac.
Plusieurs essais thérapeutiques ont démontré que l’efficacité de ces gommes est comparable à celle des patchs, avec un taux de sevrage de 19 % à un an. Pour obtenir un effet optimal, les gommes doivent toutefois être bien utilisées (en les suçant au départ puis en les mâchant très lentement pendant 30 à 40 minutes) et la dose et la durée du traitement doivent être suffisantes.
Les gommes peuvent être employées en complément du timbre pour calmer une envie brusque de fumer, non couverte par celui-ci. Elles sont bien adaptées au cas des personnes qui fumaient de façon irrégulière et permettent aux ex-fumeurs de jouer un rôle actif dans le sevrage. Elles assurent aussi le maintien d’une certaine gestuelle.
Le mode d’utilisation des gommes doit être respecté. En effet, si la mastication est trop rapide, la nicotine diffuse trop vite et risque de provoquer une hypersalivation et parfois des brûlures gastriques ou un hoquet. Par ailleurs, la gomme est en partie inefficace lorsqu’elle est avalée car elle est détruite en grande partie dans le foie. Certains ex-fumeurs semblent, par ailleurs, éprouver des difficultés à se passer des gommes.
1. Nicogum 2 mg, Laboratoires Pierre Fabre Santé ;
2. Nicorette sans sucre 2 mg, Laboratoires Pharmacia (10,26 € la boîte de 36, 23,09 € la boîte de 96) ;
3. Nicorette sans sucre 4 mg (11 € la boîte de 36, 25,21 € la boîte de 96) ;
4. Nicorette 2 mg et 4 mg menthe sans sucre ;
5. Nicorette orange sans sucre 2 mg...
L’inhaleur se compose d’un embout avec une cartouche qui ressemble à un porte-cigarettes et délivre de la nicotine sous forme d’inhalations buccales. En cas d’envie de fumer, l’ex-fumeur inhale une bouffée qui lui fournit environ 5 mg de nicotine.
L’inhaleur permet non seulement de soulager les symptômes de manque en rapport avec l’absence de nicotine, mais aussi d’agir sur la gestuelle en mimant l’acte de fumer. Il peut, comme les gommes et les comprimés sub-linguaux ou à sucer, être utilisé en complément d’un timbre.
Les concentrations sanguines de nicotine sont plus lentes à obtenir que lorsqu’on fume une cigarette et le fumeur doit donc attendre pour que cesse son envie de fumer.
Nicorette Inhaleur 10 mg cartouche pour inhalation buccale, Laboratoires Pharmacia, 12,05 € la boîte de 6 & 22,71 € la boîte de 18.
C’est le même que celui des gommes : calmer l’envie de fumer en apportant de la nicotine. Mais, la nicotine est fournie sous forme de comprimés à déposer sous la langue ou à sucer.
L’utilisation de ces comprimés est plus discrète et plus facile que celle des gommes.
Comme les autres substituts nicotiniques, ces comprimés peuvent induire des maux de tête en début de traitement.
1. Nicorette Microtab, 2 mg comprimé sublingual, Laboratoires Pharmacia, 9,99 € la boîte de 30 ; 29,38 € la boîte de 105.
2. NiQuitin comprimés sans sucre à sucer 2 mg et 4 mg, Laboratoires GlaxoSmithKline, 26,64 € la boîte de 72.
Les patchs ou timbres délivrent de la nicotine ce qui permet de soulager les symptômes de sevrage physique en rapport avec le manque de nicotine. La nicotine est facilement absorbée par la peau et les patchs contiennent des doses variables de cette substance ce qui permet d’adapter le traitement à l’intensité de la dépendance pharmacologique. Différents patchs contenant des quantités décroissantes de nicotine allant de 21 mg à 5 mg par jour sont appliqués au cours du traitement qui dure en général trois mois. Les patchs sont collés le matin sur la peau et sont laissés en place 16 ou 24 heures selon les cas.
L’utilisation de patchs est recommandée par les experts du Ministère de la Santé. Même si la motivation est le facteur essentiel du succès, on considère en effet que l’efficacité du sevrage tabagique est doublée par rapport à un placebo après pose de patchs. Au total, 16 à 20 % environ des fumeurs parviennent à s’arrêter de fumer après un an grâce à cette aide.
L’usage des patchs ne nécessite plus aujourd’hui de prescription médicale. Grâce aux différentes doses de nicotine proposées, l’aid e au sevrage peut être adaptée à la situation particulière de chaque fumeur.
Les patchs sont parfois mal supportés au niveau cutané (démangeaisons, brûlures...) et n’agissent que sur la dépendance pharmacologique et non sur la dépendance psychique.
Il existe deux types de patchs :
1. Des patchs délivrant de la nicotine en continu pendant 24 heures : Nicopatch 7 mg/24h, 14 mg/24h, 21 mg/24h (Laboratoires Pierre Fabre), Niquitin 7 mg/24h, 14 mg/24h, 21 mg/24h (Laboratoires GlaxoSmithKline)...
2. Des patchs délivrant de la nicotine sous forme discontinue pendant 16 heures : Nicorette dispositif transdermique 5 mg/16h, 10 mg/16h, 15 mg/16h, (Laboratoires Pharmacia). Prix de Nicorette dispositif transdermique 15 mg/16h : 88,81 €uros pour 28 patchs de 30 cm2.
Technique d’origine chinoise, l’acupuncture consiste à introduire de fines aiguilles en des points précis dans les tissus ou dans les organes. Les acupuncteurs considèrent que les piqûres diminuent l’envie de fumer en activant les réseaux d’énergie. L’auriculothérapie permettrait aussi d’obtenir un tel effet en laissant en place un fil dans l’oreille pendant deux à trois semaines. Le laser permet de la même façon de stimuler les points avec une précision et un durabilité accrue…
Le ministère de la santé considèrent que l’acupuncture n’a pas fait la preuve de son efficacité dans le sevrage tabagique. Néanmoins, de nombreux anciens fumeurs sont convaincus que cette méthode leur a apporté une aide précieuse. C’est pourquoi les spécialistes du ministère admettent que l’acupuncture peut être utilisée, à condition que le fumeur y croit et qu’il bénéficie, par ailleurs, d’un soutien psychologique et de l’accompagnement d’un médecin.
L’acupuncture peut être associée à d’autres techniques de sevrage plus classiques.
L’efficacité n’est pas suffisante chez les fumeurs fortement dépendants de la nicotine, qui ont besoin d’une aide pharmacologique. C'EST POUR CELA QUE J'ASSOCIE CETTE MÉTHODE À DES PATCHS.
L’homéopathie repose sur l’utilisation à doses infinitésimales, obtenues grâce à des dilutions successives, de la substance provoquant les symptômes que l’on désire combattre. C’est pourquoi un extrait de “tabacum ” est souvent utilisé dans le sevrage tabagique.
Ses effets ne sont pas démontrés dans le sevrage tabagique et pour les experts du ministère de la santé, l’utilisation d’extrait de "tabacum" ne serait justifiée que dans les allergies au tabac, lesquelles sont tout à fait exceptionnelles.
Comme les autres techniques non conventionnelles de sevrage, son efficacité n’est pas suffisante chez les gros fumeurs.