À bas les vieilles habitudes, place aux nouvelles « L’homme est ce qu’il mange » Goethe » …
Les techniques que je vais vous présenter sont conçues pour reprogrammer votre métabolisme et diminuer le stress sur votre système digestif. En appliquant ces techniques vous améliorerez le fonctionnement de votre appareil digestif, en le rendant plus efficace. Vous vous sentirez en meilleure santé, et vous allez perdre du poids.
1. Élimination des kilos superflus.
2. Élimination des toxines diminution des cellules graisseuses.
3. Renforcement de votre système immunitaire.
4. Gain d’énergie.
5. Esprit plus aiguisé.
6. Endurance accrue.
7. Envie d’en accomplir davantage.
8. Meilleur sommeil.
9. Amélioration de la santé et du bien être général.
10. Coupure des liens émotionnels avec la nourriture
En tant qu’humains, notre capacité à nous adapter nous a aidé à survivre pendant des milliers d’années, mais il y a un problème lorsqu’on l’applique à la santé. Le corps s’adapte à une façon précise de manger et vous rencontrez ce qu’on appelle une stagnation dans la perte de poids. Et c’est ce qui vous empêche de perdre du poids au cours d’un régime. Avez vous déjà remarqué que lorsque vous entamez n’importe quel régime, vous perdez du poids au début puis ça ralentit et cela devient beaucoup plus difficile de perdre davantage de poids ? En quoi consiste la solution ?
Se préparer à réussir Pour atteindre la réussite dans tout ce que vous faites, vous devez planifier correctement les choses. Si vous échouer votre planification, vous planifiez d’échouer. Débarrassez vous des vieilles habitudes et préparez vous à découvrir et à utiliser d’autres méthodes pour vérifier et mesurer vos progrès. Une autre façon de se motiver est de vérifier vos vêtements de temps en temps. Tout au long de ce programme, observez comment vos vêtements vous vont. Vous allez vous apercevoir qu’ils deviennent trop larges. Ceci peut être la preuve que vous faites des progrès
Depuis plusieurs années, le jeûne a le vent en poupe.
Est-il une simple mode passagère, à l'instar de nombreux régimes « détox » qui promettent monts et merveilles, ou ses bienfaits sont-ils objectivement démontrés?
Quelles sont les pratiques validées scientifiquement, et quels bénéfices peut-on en a ttendre pour notre cerveau?
Ce dossier invite à faire le point en passant au peigne fin les études sur le sujet. .... cliquer sur ⌵ à droite
Depuis plusieurs années, le jeûne a le vent en poupe.
Est-il une simple mode passagère, à l'instar de nombreux régimes « détox » qui promettent monts et merveilles, ou ses bienfaits sont-ils objectivement démontrés?
Quelles sont les pratiques validées scientifiquement, et quels bénéfices peut-on en attendre pour notre cerveau?
Ce dossier invite à faire le point en passant au peigne fin les études sur le sujet. Un détour s'impose d'abord par le foie et l'intestin, où s'opèrent d'importants changements métaboliques. Puis, retour à notre tête-pensante: car intestin et cerveau interagissent en permanence.
Le jeûne pourrait améliorer notre santé mentale en allégeant notre humeur, en réduisant nos niveaux de stress et en atténuant nos symptômes dépressifs. Selon des données préliminaires, il stimulerait même certaines de nos capacités cognitives. Alors, faut-il se lancer?
Avant de débuter, il importe de bien s'informer: vous trouverez dans ce dossier un guide des bonnes pratiques et des pièges à éviter.
Ventre vide... esprit clair!
Et si arrêter temporairement de manger faisait du bien à notre cerveau?
Cette hypothèse est aujourd’hui de plus en plus attestée par des études, qui révèlent des bénéfices sur la mémoire, le bien-être, mais aussi le stress et les symptômes dépressifs.
En bref Lorsque nous jeûnons, le corps enclenche un switch métabolique qui réduit notamment l'inflammation et libère des endorphines.
Dans le cerveau cela se traduit par une hausse de I ‘humeur, une meilleure vigilance, une réduction de symptômes dépressifs. Selon des données préliminaires, la mémoire et les fonctions exécutives seraient aussi améliorées...
Se priver de nourriture pendant plusieurs jours, sauter le petit déjeuner ou arrêter de manger dès la fin de l'après-midi...
Le jeûne est devenu un véritable phénomène de société, décliné sous de multiples formes: long, intermittent ou encore sec (sans boire ni manger). On lui attribue de nombreux bienfaits avec des promesses parfois très alléchantes: une longévité accrue, une véritable cure de jouvence, ou des capacités de mémorisation plus développées.
Mais est-il réellement bénéfique pour notre santé et notre cerveau?
Que se passe-t-il concrètement lorsque nous privons notre organisme de nourriture?
Nés pour jeûner?
Partons d'abord d'une définition simple: le jeûne, au sens médical strict, est l'absence d'apport calorique pendant plus de 8 à 12 heures. Après une nuit de sommeil, nous nous réveillons donc naturellement à jeun. Et lorsque nous déjeunons, nous mettons fin à la période de restriction alimentaire. Le jeûne, par conséquent, fait partie intégrante de notre rythme biologique.
Historiquement, ces périodes de privation alimentaire étaient même bien plus longues. Nos ancêtres chasseurs-cueilleurs, durant la très longue période du Paléolithique, ne disposaient pas de repas réguliers et copieux - nos trois repas quotidiens n'étaient pas monnaie courante ! Les périodes de disette pouvaient s'étendre parfois sur plusieurs jours. Le corps humain a donc évolué en s'adaptant à ces alternances de privation et de profusion. Avec l'apparition de l'agriculture, puis des sociétés modernes, le statut du jeûne a évolué. Il est devenu une pratique culturelle ou religieuse, associée à l'éveil spirituel, la purification intérieure ou encore là discipline personnelle.
Aujourd'hui, dans nos sociétés abondance et de surconsommation d'aliments ultra-transformés par des procédés industriels, le jeûne fait son grand retour. Il apparaît comme une réponse à un mode de vie perçu comme déséquilibré, une manière de retrouver un rapport plus sain à son corps. Mais que se passe-t-il concrètement lorsqu'on cesse de s’alimenter ?
Le « switch métabolique »
Ventre vide... esprit clair ! Bien encadré, le jeûne procure :
- Une sensation de bien-être,
- Une baisse de l'anxiété
- Une baisse des symptômes dépressifs,
- Une amélioration des capacités cognitives.
Quelques heures après un repas, le corps commence à puiser dans ses réserves d'énergie. Son principal carburant, le glucose, s'épuise rapidement.
Dès 14 heures de jeûne, une transition métabolique, également appelée « switch métabolique », s’amorce : l'organisme commence à mobiliser les graisses.
Les acides gras, composants élémentaires des graisses contenus dans notre tissu adipeux, sont transformés par le foie en corps cétoniques pour compenser le manque de glucose.
Après 24 à 36 heures de jeûne, les réserves de glucose sont à sec et l'organisme se met à produire davantage de corps cétoniques.
L'organisme bascule alors en mode dit «de cétose », où ce sont les corps cétoniques qui alimentent en énergie les muscles et les divers organes, dont le cerveau.
Pour le corps, cette situation de restriction calorique constitue un stress, qui va enclencher des réponses d'adaptation. Par exemple, nos cellules augmentent leur capacité à réparer leur propre ADN, Elles optimisent également leurs ressources en lançant des opérations de recyclage. C'est ce qu’on appelle le processus « d’autophagie ». Traduisez littéralement « se manger soi-même »,
Les cellules sélectionnent ainsi les composés endommagés qui s'accumulent lorsqu'elles vieillissent, puis les recyclent pour produire de l'énergie et de nouveaux composants flambant neufs.
Les bénéfices sont nombreux : l'élimination des débris cellulaires permet de réduire l'inflammation dans l'organisme et diminue ainsi le risque de développer des maladies chroniques. Les cellules abimées ou dysfonctionnelles sont quant à elles remplacées, ce qui aide le corps à maintenir son bon fonctionnement.
Comme le reste de l'organisme, le cerveau subit également ce changement énergétique.
En période de jeûne, les corps cétoniques deviennent son carburant principal.
Fait remarquable, les mitochondries longtemps considérées comme de simples cellules de soutien pour les neurones pourraient également, selon des études menées sur des cultures de cellules, être capables de synthétiser elles-mêmes des corps cétoniques qui fournissent l’énergie nécessaire à l'ensemble des cellules du cerveau.
Dans de nombreuses traditions religieuses, le jeûne est perçu comme un acte d'élévation spirituelle, qui pourrait donc avoir des effets sur notre tranquillité
Intérieure. Et ce que les croyants pressentaient corrobore ce que rapportent les patients dans les études cliniques. Iİs décrivent, après quelques jours de jeûne seulement, une impression de clarté mentale, de légèreté, voire de bien-être profond. Comme si une sorte de brouillard cérébral se dissipait. Comment alors expliquer une telle influence sur l’humeur ?
Un « stress » bénéfique
Une des hypothèses les plus convaincantes repose sur le stress cellulaire induit par le jeûne. En l'absence d'apport calorique, les taux de glucose chutent, tout comme ceux de l'insuline et de la leptine – deux hormones impliquées dans la régulation de la faim.
En réponse à ce stress, le cerveau déploie des mécanismes adaptatifs : d'une part, l'inflammation cérébrale diminue. Or celle-ci peut être associée à des troubles de l’humeur, tels que la dépression ou l'anxiété, notamment en perturbant le métabolisme de la sérotonine, un neurotransmetteur engagé dans la régulation émotionnelle (humeur, impulsivité, agressivité, irritabilité). En parallèle, le cerveau se met à libérer des endorphines : on se sent alors de bonne humeur et on éprouve une sensation profonde de bien-être.
Andreas Michalsen, cardiologue et chef du service à L’Hôpital Immanuel, à Berlin, a mené des recherches sur le jeûne auprès de patients souffrant de pathologies inflammatoires chroniques.
Résultat : les symptômes d'anxiété et de dépression s'amélioraient de façon spectaculaire, parfois dès 48 heures de jeûne. Des observations qui soulignent les effets de cette pratique sur la santé mentale, souvent plus rapides et plus prononcés que par la prise d'antidépresseurs classiques. ; et ce ne sont pas des cas isolés. En 2013, en accomplissant un travail de synthèse avec mon collègue Andreas Michalsen, nous avons recensé près de 92 publications faisant le lien entre jeûne et santé mentale. Il en ressort que de nombreux patients témoignent d'un regain de sérénité, d'une vigilance accrue et d'une réduction significative des symptômes dépressifs. Plus récemment, une méta-analyse conduite par notre équipe a confirmé ces effets. En analysant 1o essais cliniques portant sur 1436 participants, nous avons constaté que le jeûne intermittent s'accompagnait d'une baisse de l'anxiété, du stress, d'une réduction des symptômes dépressifs ainsi que d'une diminution de l’indice de masse corporelle (IMC) -le tout sans hausse significative de la fatigue. Notons toutefois qu'une méta-analyse publiée en 2024 a observé des résultats significatifs uniquement concernant la dépression ; le stress n'a pas été étudié et aucun effet notable n'a été observé sur 'anxiété (probablement en raison de critères d'inclusion des études différents et d'un nombre moins important de participants par rapport à notre analyse). L'incidence du jeûne sur l'anxiété et le stress reste donc à confirmer.
Malgré ces résultats prometteurs, certaines limites restent à prendre en compte - comme dans toute étude scientifique. Pour une rigueur méthodologique optimale, un essai clinique doit faire en sorte que les patients ne sachent pas s'ils absorbent un médicament ou un placebo. Or, ici, impossible de leurrer les participants sur le fait qu'ils jeûnent ou non ! D'où le risque d'influencer les résultats de l’expérience : les résultats positifs sont-ils dus au jeûne lui-même ou simplement à l'idée qu'il va nous faire du bien ? D'autres questions restent en suspens : les bénéfices viennent-ils vraiment de l'absence de nourriture ou plutôt du fait qu'on arrête temporairement de consommer des aliments néfastes
Comme des sucreries, des plats ultra transformés, de la
Junk Food, etc. ? Malgré ces réserves, les résultats obtenus chez l’animal plaident tout de même en faveur d'un
Véritable effet du jeûne.
Quel impact sur l’obésité, le cancer, la longévité ?
Aujourd'hui, de nombreuses recherches mettent en évidence les bienfaits du jeûne sur la santé. Par exemple, en 2023, une équipe allemande s’est penchée sur les effets de cette pratique chez des personnes atteintes de diabète de type 1 et de type 2, en compilant les résultats de plusieurs études sur le sujet Leurs conclusions sont claires :
Le jeûne, lorsqu’il est pratiqué sous supervision médicale et en complément des traitements habituels, apporte des bénéfices notables. Il favorise la perte de poids, en mobilisant les réserves de graisses tout en préservant masse musculaire... Il est réduit également les fortes fluctuations du taux de sucre dans le sang, augmente la sensibilité à l’insuline des patients. Chez les diabétiques de type 2, dont les cellules sont généralement résistantes à cette hormone.
Cette meilleure réponse à l’insuline, qui permet notamment d'amoindrir I’inflammation cérébrale, pourrait d'ailleurs expliquer en partie la diminution des symptômes dépressifs observée dans certaines études, ainsi que les bienfaits généraux sur la santé mentale.
La restriction alimentaire suscite aussi I ’intérêt de la recherche sur le cancer.
Un essai clinique mené aux États-Unis a évalué les effets d'un régime très pauvre en calories assimilé à un jeûne - chez 101 patients atteints de cancers avancés, en parallèle de leurs traitements anticancéreux standard. Les résultats ont révélé chez quelques cas des rémissions exceptionnelles. ll s'agit donc d'une approche prometteuse, susceptible de renforcer l'efficacité des traitements classiques, mais qui devra encore faire l'objet d’études plus approfondies.
D'autres recherches mettent en lumière les effets sur le vieillissement. Il a ainsi été montré, chez des modèles animaux, que le jeûne prolonge l’espérance de vie. Comment ? En inhibant la voie métabolique, impliquée dans la régulation de la croissance cellulaire et la synthèse des protéines. De cette manière, en réduisant l'activité de cette voie, le jeûne stimule l'autophagie, un processus d’élimination des composants endommagés ou toxiques
qui contribue ainsi au maintien de la santé cellulaire.
Les effets du jeûne sur l'organisme
Cerveau
· Production accrue de facteur de croissance neuronal (BDNF)
· Production accélérée de neurones (neurogenèse)
· Création de synapses
· Production de mitochondries productrices d'énergie
· Résistance au stress oxydatif
· Atténuation des réactions inflammatoires
Vaisseaux sanguins
· Baisse de l'insuline (hormone inhibitrice de la glycémie)
· Baisse de la leptine (hormone de satiété)
· Augmentation de la ghréline (hormone de l'appétit)
· Production de cétones comme source d'énergie complémentaire
Cœur
· Fréquence cardiaque apaisée
· Pression sanguine diminuée
· Résistance accrue au stressoxydatif
Foie
· Meilleure dégradation du glycogène en glucose
· Dégradation des graisses augmentée
· Production de cétones comme source d'énergie alternative
· Meilleure sensibilité à l'insuline
Intestin
· Absorption d'énergie réduite -Recul des réactions inflammatoires
· Baisse de la division cellulaire
Muscles
· Optimisation du métabolisme anabolique
· Sensibilité augmentée à l'insuline
· Meilleure résistance au stress oxydatif
· Baisse de la température corporelle
Lorsqu'on cesse de s'alimenter, les réserves de glucose s’épuisent : le foie se met à dégrader les graisses et à produire des cétones pour approvisionner les cellules en énergie. Les cellules du foie et des muscles deviennent plus sensibles à l'insuline, favorisant une meilleure régulation de la glycémie. Les réactions inflammatoires et le stress oxydatif – facteur clé du vieillissement cellulaire diminuent.
Dans le cerveau, les cétones favorisent la synthèse de facteurs de croissance, ce qui stimule la production de nouveaux neurones et synapses. Elles réduisent aussi l'inflammation, aident à éliminer les déchets cellulaires et favorisent la production de nouvelles mitochondries, les centrales énergétiques des cellules. Le tout, dans quatre régions cérébrales en particulier : I ‘hippocampe, associé le stratum, qui contrôle la motivation et les mouvements ; I‘hypothalamus, impliqué dans la prise alimentaire et la température corporelle ; et le tronc cérébral, qui régule la circulation sanguine et le système digestif.
Ces effets ont pour I ‘instant été documentés chez l'animal, les recherches chez I ‘humain, étant freinées par des limites techniques.
Enfin, le jeûne stimulerait l'activation du système parasympathique, induisant une baisse de la fréquence cardiaque et de la pression sanguine, tout en favorisant les cycles naturels de nettoyage de l'intestin.
Plusieurs études menées chez l'animal suggèrent d'ailleurs que la privation temporaire de nourriture pourrait stimuler les capacités cognitives. Dans une étude parue en 2015 dans la revue Cell Metabolism, des chercheurs ont soumis des souris à un régime très pauvre en calories pendant sept mois à raison de quatre jours toutes les deux semaines - qui reproduit les effets du jeûne. À la fin du régime, ces souris apprenaient plus vite et présentaient une meilleure mémoire que leurs congénères nourries normalement.
Et chez l’humain ? Les premiers essais contrôlés randomisés une méthode scientifique rigoureuse où les participants sont répartis aléatoirement entre un groupe soumis à
Une intervention (ici le jeûne) et un groupe contrôle montrent, chez des personnes âgées, des bénéfices sur la mémoire et les fonctions exécutives (un ensemble de processus cognitifs qui permettent à un individu de prendre des décisions, de résoudre des problèmes et d'adapter son comportement à des situations nouvelles ou complexes). Une équipe de chercheurs malaisiens a, par exemple, suivi pendant trois ans un groupe de 99 personnes âgées souffrant de troubles cognitifs légers, et réparties selon leur pratique du jeûne intermittent. Ceux qui jeûnaient régulièrement étaient non seulement plus nombreux à retrouver un bon niveau cognitif, mais ils présentaient aussi une meilleure santé globale -moins d'inflammation, moins de stress oxydatif, et un meilleur métabolisme.
Facteurs de croissance neuronaux
Selon Mark Mattson, chercheur à l'Institut national du vieillissement de Baltimore, ces effets pourraient s'expliquer en partie par la libération de corps cétoniques. Chez l'animal, ils stimuleraient la production de facteurs de croissance neuronale comme le BDNF (de l'anglais brain-derived neurotrophic factor). Un véritable « engrais cérébral » qui favorise la création de nouvelles synapses, dynamise la croissance des neurones et renforce leurs mécanismes d'autodéfense. À ce jour, trois études chez l’humain ont montré une augmentation significative du BDNF pendant un jeûne, d'autres études devront confirmer ces observations.
Ce facteur de croissance serait notamment libéré massivement dans l'hippocampe, une région cérébrale impliquée dans l'apprentissage et la mémoire. Or, chez l'homme comme chez les animaux, la production de cette molécule a tendance à décliner avec l'âge, mais aussi en cas de suralimentation ou de manque d'activité physique. Le jeûne intermittent, tout comme l'exercice physique, pourrait au contraire relancer sa production !
Ce mécanisme pourrait être une adaptation à nos conditions de vie ancestrales : dans un monde où on ne trouvait pas forcément à manger tous les jours, les humains - comme n'importe quelle autre espèce animale - avaient tout intérêt à rester alertes et à disposer de capacités cognitives intactes, voire améliorées lorsqu’ils étaient affamés. Aujourd'hui, il suffit de faire quelques pas jusqu'à son réfrigérateur, mais au temps des chasseurs-cueilleurs il fallait être capable en période de disette de repérer où se trouve la nourriture, de traquer les proies sur des kilomètres, d'identifier les plantes comestibles en fonction des saisons... Notre cerveau aurait alors développé ces « superpouvoirs » quand la nourriture vient à manquer.
Le jeûne offre finalement une voie plutôt simple, naturelle et accessible pour prendre soin de sa santé. Ce n'est pas une solution miracle, mais un outil intéressant à envisager, à condition de l'adapter à son mode de vie, et, surtout, de rester à l'écoute de son corps. Le jeûne thérapeutique, plus intensif, demande un encadrement médical strict et reste aujourd'hui peu répandu en France. En revanche, le jeûne intermittent, plus souple, peut s’intégrer facilement dans le quotidien de nombreuses personnes. La prudence reste toutefois de mise. Si vous souffrez d'une maladie ou prenez un traitement, il est toujours préférable d'en discuter avec un professionnel de santé avant de se lancer. D'ailleurs, la pratique du jeûne est contre-indiquée dans certaines situations, en particulier chez les enfants, les femmes enceintes ou allaitantes, les personnes âgées fragiles, les athlètes d’endurance, en cas de troubles du sommeil, de risque de carences micro nutritionnelles- un manque ou une insuffisance de micronutriments essentiels à l'organisme -, d’hypothyroïdie non contrôlée, d'insuffisance pondérale, de maladie chronique en phase aiguë, de médicaments à prendre au cours d'un repas ou de troubles du comportement alimentaire. Comme pour toute démarche liée à l'alimentation, mieux vaut éviter les décisions hâtives ou les régimes improvisés. La réponse au jeûne varie d'une personne à l'autre, car les études ne rapportent que des moyennes et, comme toute démarche, ne peut convenir à tout le monde. Un bon accompagnement permet d’installer des habitudes durables, d'éviter les effets indésirables, comme le fameux effet yoyo, et surtout de rester dans une logique de bienveillance envers soi-même.
Thérapeutique ou intermittent ?
Quand on parle de jeûne, on évoque généralement deux approches différentes : le jeûne thérapeutique et le jeûne intermittent.
Qu'est-ce qui les distingue, et que choisir ?
LE JEÛNE THẾRAPEUTIQUE
Il s'agit d'une pratique médicale encadrée qui consiste à réduire drastiquement l'apport calorique, à moins de 500 kilocalories par jour, pendant une durée d'une à trois semaines. Son objectif est de mettre en branle les mécanismes d'adaptation de l'organisme sans atteindre le seuil dangereux de l'acidocétose ( déséquilibre métabolique qui peut survenir en cas de privation alimentaire totale).
Dans ce domaine, la méthode du docteur Otto Buchinger est la plus reconnue. Mise au point au xx* siècle en Allemagne, elle combine le jeûne hydrique (eau minérale, bouillons de légumes ou de jus de fruits en proportion limitée) avec une activité physique douce. Ce jeune nécessite un encadrement médical strict.
LE JEÛNE INTERMITTENT :
Cette pratique s’est imposée ces dernières années comme une approche plus flexible, en partie grâce aux avancées de la recherche en chronobiologie. Il s'agit d'alterner des périodes de prise alimentaire des périodes de jeûne sur des cycles courts (en général sur 24 heures), sans nécessairement réduire la quantité totale de calories consommées. L’objectif est de limiter la fenêtre horaire quotidienne durant laquelle on s'alimente, par exemple à 8 ou 10 heures, en laissant le reste du temps au corps pour activer ses mécanismes de réparation et dérégulation. Parmi les variantes les plus courantes, le 16 :8 consiste à jeûner durant 16 heures et à prendre ses repas sur une période de 8 heures ; le 5 :2 implique de jeûner pendant deux jours non consécutifs de la semaine et à manger normalement les cinq autres jours ;
Dans le jeûne alterné, on mange un jour sur deux...
Cette approche doit beaucoup aux travaux du professeur de biologie Satchidananda Panda, de Iinstitut Salk, en Californie, qui ont mis en lumière I ’incidence des horaires d'alimentation sur la santé globale, indépendamment des apports caloriques. De sorte que réduire la plage horaire où l'on s'alimente aurait de réels bénéfices pour la santé, en conférant une meilleure régulation du métabolisme, une prévention contre certaines maladies chroniques, et un possible allongement de l'espérance de vie. Dans une célèbre expérience, le chercheur et son équipe ont alimenté deux groupes de souris de la même nourriture riche en graisses. Le premier groupe avait accès à la nourriture 24 heures sur 24. Le second était soumis au jeûne intermittent : les souris pouvaient se nourrir sur une période limitée de 8 heures par jour. Quatre mois plus tard, les souris du premier groupe étaient devenues obèses et souffraient de complications cardiovasculaires, alors que celles du second groupe, bien qu'ayant consommé le même nombre de calories que leurs congénères, étaient en parfaite santé. De cette étude est née la formule choc :
« Mieux vaut compter les heures que les calories ! »
Mais attention à ne pas tirer de conclusions hâtives. Car, avec un peu de bon sens, on comprend bien que jeûner n'a que peu d’intérêt si l'on compense ensuite avec des aliments ultra transformés et hypercaloriques, néfastes pour le microbiote intestinall.
1. Une poussée d’énergie brûle davantage de calories : Vous vous apercevrez que vous êtes très productif pendant votre période de jeûne. C’est parce que le fait de jeûner pendant moins de trois jours (72H) va accroître votre taux d’adrénaline et préparer votre métabolisme, faisant ensuite augmenter le nombres de calories que vous brûlez. Cette énergie supplémentaire peut vous donner le coup de fouet dont vous avez besoin pour vous entraîner ou pour accomplir vos tâches quotidiennes. Tout ceci participe à brûler davantage de calories.
2. Brûler des lipides à la place des sucres. Le processus de jeûne ne laisse pas le choix à votre corps qui est obligé de brûler la graisse stockée. La graisse superflue que votre corps ne brûle pas plusieurs heures après un repas est stockée dans les cellules graisseuses. Lorsque vous consommez de la nourriture, le corps préfère brûler des glucides et ensuite la graisse, dans cet ordre. Le jeûne transforme le métabolisme corporel afin de brûler majoritairement de la graisse plutôt que le sucre se trouvant dans le sang. À la fin d’un jeûne de 24 H, votre corps brûle bien davantage que pendant un jour où vous mangeriez normalement.
3. Consommer les aliments que vous aimez : Le jeûne à court terme vous permet de perdre du poids et de brûler de la graisse sans vous priver des aliments que vous aimez. Grâce au jeûne à court terme, vous pouvez consommer tous les aliments que vous aimez quand vous le voulez et sans vous sentir coupable, tout en perdant de la graisse.
4. Augmenter le taux d’hormones qui brûlent de la graisse : Les hormones contrôlent les fonctions métaboliques principales de votre corps, l’hormone de croissance étant l’hormone brûleuse de graisse la plus importante. Lorsque vous jeûnez, le taux d’insuline baisse, votre corps brûle donc de la graisse au lieu d’en stocker. La production d’hormone de croissance accélère également et les processus qui permettent de brûler la graisse augmentent d’un cran.
5. Accroître le niveau d’enzymes brûleuses de graisse : Le jeûne accroît l’activité de deux importantes enzymes brûleuses de graisse. L’hormone sensitive lipase pousse les cellules graisseuses à libérer la graisse, qui se transforme alors en énergie pour les muscles. La Lipoprotéine Lipase conduit les muscles à prendre en charge la graisse, qui est ainsi utilisée comme carburant. Le jeûne donne un coup de fouet à ces deux enzymes, le résultat final étant une perte de graisse.
6. Vous découvrez ce qui vous pousse à manger : Le jeûne vous donne une perspective totalement nouvelle sur ce qui vous pousse à manger. Lorsque vous cessez de manger pendant une journée, toutes les raisons que vous avez de manger sont mises à nu.
7. Construire une attitude positive : Chaque jeûne, si petit soit , devient une réussite qui construit de la confiance en soi. Vous êtes fier de vos réussites et vous en venez à aimez à nouveau votre relation avec la nourriture. Chaque jeûne réussi se construit sur le précédent, et vous finissez par reprendre le contrôle de vos choix alimentaires. Manger pour perdre du poids n’est pas forcément compliqué et la nourriture ne devrait jamais être source d’anxiété ou de culpabilité.
On peut associer au jeûne de 16 à 24h de l'exercice physique. C'est conseillé pour la santé en général, mais pas indispensable pour maigrir. Le jeûne intermittent s'accompagne généralement d'une augmentation des hormones qui favorisent la mobilisation des graisses, comme l'hormone de croissance (en réponse à la baisse de la glycémie). Il s'accompagne aussi le plus souvent d'une augmentation du métabolisme de base (calories brûlées au repos).
Choisissez la méthode qui vous convient
- Le fasting : jeûner 16h/ jour tous les jours. Soit strict, soit si c'est dur ne consommer que de la protéine Labo
- Le jeûne partiel : alterner une journée où on ne consomme que 25% des apports caloriques habituels avec une journée d’alimentation normale.
Lorsque vous jeûnez, votre corps entre dans un état qui tire la sonnette d’alarme, en signalant qu’il y a une urgence imminente due au manque de nourriture. Le corps répond naturellement à cette alarme en produisant l’hormone de croissance humaine (un processus similaire se produit chez un animal sauvage lorsqu’il est poussé par la faim à rechercher de la nourriture). Si vous allez vous entraînez à la gym à ce moment à, le corps va répondre en brûlant de la graisse, et c’est ce qui se produit dans la nature lorsque nous sommes poussés à chercher de la nourriture (également un processus qui brûle de la graisse). Une fois que la recherche a porté ses fruits et que l’effort physique cesse, la récompense est la nourriture, et cet apport en protéines sert à fabriquer du muscle. Il s’agit donc d’un cycle qui se répète : le corps brûle de la graisse pour obtenir de la nourriture. Lorsque les cycles se répètent, le corps croit que vous faites ce qui est complètement naturel ce que tous vos ancêtres ont fait pendant des milliards d’années : chasser et cueillir.
Se débarrasser des toxines. Pour débarrasser définitivement votre corps de la graisse, vous devez nettoyer les toxines.
Au fil des années, votre corps a accumulé des toxines provenant de la nourriture industrielle, de la pollution et des produits chimiques de l’environnement. Ces toxines s’accumulent dans vos cellules graisseuses. Si vous enlevez les cellules graisseuses, vous pouvez enlever les toxines.
Si vous avez consommé beaucoup de nourriture industrielle, de produits laitiers, de viande rouge, de conservateurs, etc. vous ingérez une énorme quantité de toxines. Ces toxines surchargent vos deux principaux organes de détoxification... Vous avez deviné : votre foie et votre côlon. Parce que cela se produit sur une longue période, votre foie et votre côlon deviennent paresseux et ralentissent votre métabolisme. Devinez ce qu’ils font également ? Ils stockent les toxines superflues dans les cellules graisseuses. Chez la plupart des gens, cette graisse s’accumule sur le ventre, les fesses, les hanches ou les cuisses. Les parties du corps proches de ces deux organes.
Les personnes qui ont un foie paresseux sont susceptibles de présenter un ou plusieurs problèmes de santé suivants : Cholestérol et triglycérides élevés et/ou Diabète non insulinodépendant (Type II) et/ou résistance à l’insuline et/ou prise de poids avec syndrome X , (graisse surtout autour de l’abdomen) et/ou Difficulté à perdre du poids et/ou Dysfonctionnement du système immunitaire
Le foie se comporte comme un mécanisme compliqué de filtre, en décomposant la graisse et en nettoyant les substances qui peuvent nuire à la santé… Afin d’accomplir cela, le foie utilise une substance appelée « bile », un liquide verdâtre (parfois jaune marron) qui nettoie les organes et le sang. Les fluides biliaires circulent à travers le système entéro-hépatique jusqu’à huit fois par jour. Pour qu’une personne perde du poids, la composition générale de ce fluide doit être pauvre en graisse et ou en toxines ; sans quoi une prise de poids excessive intervient en réaction à ces substances. Il est important que le foie régule efficacement le métabolisme graisseux. S’il échoue, une prise de poids se produira et la graisse s’accumulera aux mauvais endroits en général dans la région du ventre, autour des fesses, et ailleurs, où l’on trouve la graisse en général. Les dépôts de graisse dans ces zones sont souvent le signe d’un foie malade, qui fonctionne mal ou qui ne fonctionne presque pas.
Si le foie commence à ne plus fonctionner d’une façon ou d’une autre, les dépôts de graisse vont s’accumuler et vont presque sûrement rester dans le corps. Au fil du temps, lorsque le corps vieillit, davantage de toxines (et de graisse) surchargent le foie et l’empêchent de remplir sa fonction de filtre.
Par conséquent, un corps qui vieillit signifie souvent un mécanisme de filtre (foie) encombré et cela rend la perte de poids difficile ou même impossible dans certains cas peu importe à quel point la personne est active. Même si une personne fait de l’exercice en salle de sport ou ailleurs, la graisse reste et cela est principalement dû à un foie qui fonctionne mal. Comme vous pouvez le voir, il est très important que votre foie fonctionne correctement et reste en bonne santé …
Je vais vous montrer comment garder un foie sain, qui fonctionne de façon optimale et filtre votre système afin que vous puissiez brûler de la graisse tout au long de la journée, sept jours par semaine. Même lorsque vous dormez ! Bien que le foie ait des centaines de fonctions, certaines sont bien plus importantes pour le corps que d’autres.
Protocole de départ : nettoyage / guérison coup de fouet pour le foie. Eau citronnée Ce minuscule changement dans vos habitudes quotidiennes peut produire d’énormes différences sur votre santé et votre perte de poids ! Disons simplement que vous amorcez le reste du programme. Les bénéfices de l’eau citronnée sont les suivants :. Aide la digestion et l’élimination des déchets. Favorise le système immunitaire et la santé du coeur. Riche en calcium et en potassium . Soit dans de l’eau minérale, soit dans de l’eau chaude type infusion …
1. Le foie est chargé de détoxifier le sang et d’en enlever les poisons tels que l’alcool et autres agents étrangers.
2 Le foie est également le mécanisme qui permet au corps de métaboliser les médicaments.
3. Synthèse de la bile et formation de sels biliaires.
4. Transformation et élimination des hormones.
5. Le foie synthétise et stocke des vitamines et des minéraux, tels que les vitamines A, B12, D et E.
6. Destruction des agents étrangers. Les globules blancs et rouges endommagés et autres agents étrangers (bactéries) sont détruits à travers le processus phagocytose.
7. Le foie est le principal modérateur du taux de sucre dans le sang (ou glucose sanguin) et le régule entre les repas.
Si les concentrations de sucre dans le sang chute dangereusement peut être dû à une insuffisance en nutriments ou en nourriture, ou un excès d’exercice le pancréas libère des hormones qui poussent le foie à accroître le taux de sucre dans le sang.
Inversement, si ce taux augmente suite à un repas, une collation ou autre prise de nutriments le pancréas libère une hormone différente, qui finit par conduire le foie à convertir le glucose en glycogène, et ceci pousse alors les cellules du corps à absorber le sucre du sang, en faisant par conséquent baisser la glycémie.
De cette façon, le foie est extrêmement important dans la régulation de la glycémie. Il est évident que si le foie ne fonctionne pas correctement, plusieurs complications peuvent en résulter en affectant la digestion, le niveau d’énergie, et l’accumulation de poids (par des dépôts graisseux et de la cellulite). Une fois que la graisse s’est accumulée dans le corps à cause d’une mauvaise alimentation et d’un manque d’exercice le foie devient également adipeux et chargé de ses propres dépôts de graisse. Tel un énorme éléphant qui essaie de remonter une pente, le foie échoue dans ses tâches habituelles, et sa capacité à décomposer et à éliminer la graisse superflue du sang diminue. La graisse circule à travers le système qui n’est plus filtré (ou presque plus), et ceci conduit à une prise de poids supplémentaire. Et l’un des inconvénients de cela, c’est que les toxines augmentent dans le corps. Si le foie fonctionne mal et n’est pas capable d’effectuer ses tâches quotidiennes, les toxines s’accumulent dans les réserves de graisses, où elles peuvent demeurer indéfiniment.
Comme vous pouvez le voir, la prise de poids ne se limite pas simplement à prendre quelques kilos ça et là ; cela implique également d’autres problèmes graves. Autant de raisons supplémentaires de manger sainement et d’éviter de consommer de la nourriture industrielle.
Essayez d’en prendre 2 à 4 portions par jour.
1. Ail et oignons Une toute petite quantité de ce bulbe fort en goût a la capacité d’activer les enzymes du foie, ce qui aide votre corps à se débarrasser des toxines. L’ail contient également des quantités élevées d’allicine et de sélénium, deux composés naturels qui aide le foie à se nettoyer.
2. Pamplemousse : Riche à la fois en vitamine C et en antioxydants, le pamplemousse accroît les processus naturels de nettoyage du foie. Un ou un-demi pamplemousse mangé avec la pulpe tous les matins, vous aidera à stimuler la production des enzymes de détoxification du foie qui aident à se débarrasser des carcinogènes et autres toxines et traitera une éventuelle constipation due au changement d’alimentation.
3. Betteraves et carottes : Ces deux légumes sont riches en flavonoïdes végétaux et en beta carotène.
4. Thé vert : Cette boisson amie du foie est bourrée d’antioxydants végétaux connus sous le nom de catéchines, qui aide le foie dans toutes ses fonctions. Il est non seulement délicieux, mais c’est également une très bonne manière d’améliorer votre alimentation.
5. Légumes à feuilles vertes : roquette, les feuilles de pissenlit, les épinards, les feuilles de moutarde, et la chicorée. Ces légumes peuvent être consommés crus, cuits ou en jus. Ils sont extrêmement riches en chlorophylle végétale et absorbent les toxines présentes dans le sang. Grâce à leur capacité unique de neutraliser les métaux lourds, les produits chimiques et les pesticides, ces aliments nettoyeurs offrent un mécanisme de protection puissant pour le foie. Ils vont accroître la production et le flux de bile.
6. Avocat : max 2 par semaine, Ce super aliment très riche en nutriments aide le corps à produire de la glutathione, indispensable au foie pour se débarrasser des toxines dangereuses. Des études récentes montrent que la santé du foie est améliorée lorsque des avocats sont consommés de façon régulière.
7. Pomme : Riche en pectine, les pommes possèdent les composés chimiques nécessaires au corps pour nettoyer les toxines de l’appareil digestif. Cela rend alors la tâche plus facile pour le foie de gérer la charge toxique au cours du processus de nettoyage.
8. Huile d’olive : max 2 à 3 c a s par jour , Les huiles bio pressées à froid telles que l’huile d’olive, de chanvre et de graines de lin sont très bonnes pour le foie, lorsqu’elles sont utilisées avec modération. Elles aident le corps en fournissant une base en lipides qui peut absorber les toxines nuisibles. De cette façon, elles allègent le travail du foie.
9. Les céréales legumineuses complètes : (pas celles du p’tit dej de la pub, ous biscottes annoncées complètes mais faite de 90% de farine blanche !!!) Les céréales, telles que le riz brun, sont riches en vitamines B, des nutriments connus pour améliorer la métabolisation générale de la graisse, le fonctionnement du foie ainsi que sa décongestion. Si possible, ne consommez pas d’aliments contenant de la farine blanche ; à la place, essayez de manger des produits à base de farine complète.
10. Légumes crucifères : Manger des brocolis et des choux fleurs va faire accroître la glucosinolate dans votre organisme, qui va s’ajouter à la production d’enzyme dans le foie. Ces enzymes naturelles aident à nettoyer les carcinogènes et autres toxines du corps, ce qui réduit considérablement les risques de cancer.
11. Citron et citron vert : un jus pressé chaque matin avec de l eau tiède … Ces agrumes contiennent de très grandes quantités de vitamine C, qui aide le corps à synthétiser les substances toxiques afin qu’elles soient absorbées par le corps. Boire du jus de citron ou de citron vert fraîchement pressé le matin aide à stimuler le foie.
12. Noix :pas plus de 2 par jour … Très riche en arginine (acide aminé), les noix aident le foie à détoxifier le corps de l’ammoniaque. Les noix sont également riches en glutathione et e acides gras omega 3, qui soutiennent les actions de nettoyage normales du foie. Mâchez bien les noix (jusqu’à ce qu’elles soient presque liquides) avant de les avaler.
13. Chou : Tout comme avec le brocoli et le chou fleur, consommer du chou aide à stimuler l’activation de deux enzymes très importantes du foie. Essayez de manger davantage de kimchi, de coleslaw, de soupe de chou et de choucroute.
14. Curcuma : boutique bio ; L’épice préférée du foie. Essayez d’ajouter un peu de cette merveille détoxifiante dans votre prochain ragoût de lentilles ou plat de légumes pour un coup de fouet instantané au niveau du foie. Le curcuma stimule la détoxification par le foie en aidant les enzymes qui chassent activement les carcinogènes alimentaires bien connus.
Le jour du repas joker précédant le jeûne, vous pourrez manger presque tous les aliments que vous voulez de PREFERENCE au cours du même repas. Appelons cela le « jour J de Joker » et vous pouvez manger librement jusqu’à 16 h ou 20H. Il correspond souvent au repas festif du dimanche midi du vendredi soir ou la fête du samedi soir …L’objectif du jour d’écarts est de faire augmenter le taux de l’hormone appelée leptine qui donnera le signal au corps de commencer à brûler VOTRE graisse.
✔ BOISSONS SAVEURS SUCREES thé vert infusé de l’eau citronnée
Ingrédients : eau citronnée A RENOUVELLER 6 à 8 FOIS PAR JOUR chaud, tiède, ou température Ambiante
Réalisation / citron ou (citron vert fraîchement pressé Sirop d’agave, 1 petite cuil. à café …(pas obligatoire) Cannelle, 1 pincée. (pas obligatoire mais très utile ) De l’eau à température ambiante ou chaude mais pas bouillante.
. Verser l’eau, refermer lA BOUTEILLE et agiter, buvez le long de la journée .
✔ BOISSONS SAVEURS SALEES des bouillons de légumes bio (votre monop’ ..) par exemple « jardin bio » bouillon de légumes sans sel sans gluten sans lactose sans huile de palme …
ou ARIAKE BOUILLON DE VOLLAILLE 44 kcal et 8 g de protéines.
Les acides aminés en chaîne ramifiée sont des nutriments bénéfiques (=des protéines sans graisse sans sucre), et si vous faites de l’exercice, vous pouvez en prendre d’avantage au cours de votre journée de jeûne. Ils les aident à réduire la perte de muscle et de protéines pendant la journée.
SALADE VERTE, (toutes les varietes) Mâches, Cresson, Endives, Brocolis Cornichon Concombres, Céleri Branche, Poivron vert, germe de soja, Radis, Épinards, Courgettes, oseille Chou vert, Choux-chinois, Choucroutes (choux seul), chou-fleur tous les Champignons … carottes crues
« repas du matin » : Habituez vous à Manger des protéines
➜Thé ou café ou Infusion, sans sucre, éviter le lait …
➜PROTEINES de préférence protéines laboratoires SINON Osez le Petit Déj à l’anglaise 2 à 3 portions à CHOISIR parmis / Œuf / Charcuterie maigre / petit Yoplait à 0 % / CARRE FRAIS eLLE ET VIRE à 0% par exemple 1 à 2 ŒUFS mollets, sur le plat avec 100 à 150g (2 tranches) de jambon de dinde ou jambon de cochon maigre ou jambon Cru dégraissE ou rôti de porc en tranche ou viande des grisons ou Bresaola ou Pastrami ou Pickel …. la charcuterie doit etre dégraissee au max avant de manger
PROTEINES Viande Rouge Maigre ou blanche ou Blanc de Volaille jusqu’à 150 200 ou Poissons Blanc jusqu’à 200g ou Crustacés sans sauce ajoutée . OU 2 œufs si pas le matin
➜De l’eau (plate ou bulle) pas de sirop ni de jus de fruits ni sodas.
➜Un café ou Thè sans sucre
PROT LABO et Thé, café tisanes, infusions, eau
PROTEINES PROT LABO ( version salée ou sucrée) ou Viande Blanche, Volaille ou Poissons Maigres sans sauce ajoutée. (thon au naturel en boite)