Le sommeil est fondamental pour notre Ă©quilibre, et le manque de sommeil peut avoir des rĂ©percussions trĂšs nĂ©gatives sur la qualitĂ© de vie ainsi que sur la santĂ© physique et psychique. Il ne faut donc pas hĂ©siter Ă consulter si lâinsomnie se produit rĂ©guliĂšrement, lorsque lâon se rĂ©veille fatiguĂ© tous les matins ou lorsque lâon est somnolent dans la journĂ©e.
Une hygiĂšne de vie et des conseils simples favorisent un bon sommeil, ou permettent de le retrouver.
Ne pas prendre de boissons stimulantes aprÚs 16 heures (café, thé, sodas à base de caféine).
Eviter lâalcool le soir : il dĂ©sorganise le sommeil et provoque des rĂ©veils nocturnes.
Manger léger au dßner, des sucres lents et peu de matiÚres grasses, par exemple.
Garder sa chambre à une bonne température (entre 18 et 20 °C).
Choisir un lit pas trop mou, adapté à la taille et au poids du dormeur et de son conjoint.
Pratiquer une activitĂ© sportive dans la journĂ©e, ce qui facilitera lâendormissement. Attention, il est prĂ©fĂ©rable dâĂ©viter de pratiquer un sport aprĂšs 20 heures, car cela risque de rendre plus difficile lâendormissement.
Se prĂ©parer au sommeil par des activitĂ©s calmes, telles que la lecture et lâĂ©coute de musique ou par des petits rituels du soir.
Se coucher tous les soirs Ă peu prĂšs Ă la mĂȘme heure.
Ne pas lutter contre les signes tels que les bĂąillements et les paupiĂšres lourdes, que lâorganisme nous envoie lorsquâil est temps dâaller au lit.
Enfin, certaines personnes rĂ©partissent leur sommeil au cours de la journĂ©e. Si elle est possible et quâelle ne dĂ©passe pas une vingtaine de minutes, une sieste peut ĂȘtre une bonne solution pour compenser des troubles du sommeil nocturne. Attention cependant Ă ce quâelle nâen soit pas la cause !
Conduite Ă tenir en cas de troubles du sommeil
Si une insomnie réguliÚre s'installe (plus de trois fois par semaine et depuis plus de trois semaines).
Si la personne se réveille fatiguée tous les matins, ou reste somnolente dans la journée.
 Si elle constate un changement durable dans son rythme ou ses habitudes de sommeil.
Si ces troubles sont apparus depuis qu'elle prend un nouveau médicament.
 Si les troubles du sommeil deviennent de moins en moins supportables.
 Si ces troubles semblent liés à des problÚmes psychiques et que la personne éprouve le besoin d'en parler à quelqu'un.
 Si l'automédication n'apporte pas d'amélioration au bout de quelques jours.
 Si le trouble du sommeil est connu, régulier et que la personne a déjà consulté à ce sujet.
Une lumiĂšre blanche de 10 000 lux pour rééquilibrer vos rythmes journaliers (circadiens). En effet, la lumiĂšre joue un rĂŽle majeur dans la rĂ©gulation des rythmes de sĂ©crĂ©tion des hormones dans le corps. Les photons atteignent la rĂ©tine, et par des voies nerveuses complexes, ils stimulent la glande pinĂ©ale, situĂ©e au centre du cerveau. Cette glande, horloge interne de l'organisme, est responsable, entre autres, de la fabrication de la mĂ©latonine, hormone du sommeil et du bien ĂȘtre Une demi-heure d'exposition tous les matins rĂ©gularise cette sĂ©crĂ©tion et vous permet en quelques jours de retrouver votre humeur de l'Ă©tĂ©
Ă Cycles de la MĂ©latonine normal et pathologiques : La baisse de la luminositĂ© entraĂźne le "on set ", câest-Ă -dire la sĂ©crĂ©tion de mĂ©latonine, la lumiĂšre le "off set ", la chute de la sĂ©crĂ©tion.
àCycle Normal : Répartition physiologique de la Mélatonine : début de sécrétion vers 20 heures, pic vers 2-3 heures, baisse vers 7 heures entraßnant le révei
àAvance de phase : Avance de la sécrétion dans l'aprÚs-midi avec pic vers 20 heures, baisse vers 04 heures.
Fatigue intense le soir vers 20 heures avec réveil précoce vers 5 heures tous les matins. Chez certaines personnes ùgées, retour de voyage, travail posté.
àRetard de phase avec baisse de la Mélatonine. : La sécrétion débute vers minuit, avec un pic beaucoup moins prononcé vers 07 heures, et diminution du taux progressivement dans la journée. Insomnie de début de nuit avec grosses difficultés de réveil le matin ; Impossibilité " d'émerger " avant 11 heures. C'est le profil typique des dépressions saisonniÚres.
La photothérapie Le marqueur de temps principal chez l'homme, comme chez nombre d'animaux, est la lumiÚre blanche de forte intensité (plus de 2.000 lux). La lumiÚre, à cette dose gouverne les grands rythmes circadiens principaux :
 TempĂ©rature - rythme cardiaque - activitĂ© motrice â vigilance â humeur - activitĂ©s cognitives - rythme du cortisol.
Elle assure la mise réguliÚre en phase des maxima et des minima de ces rythmes avec le cycle nycthéméral du jour et de la nuit et permet une optimisation de ces fonctions dans leurs rapports avec les comportements de jour et de nuit. La photothérapie agit dans son principe comme moyen de renforcement de cette optimisation.
C'est par le biais de ce circuit que la lumiÚre vive (de plus de 2.000 lux) bloque la production nocturne de mélatonine.
La mélatonine, entre autres actions, modifie en retour la périodicité de l'activité du noyau supra chiasmatique.
En période d'obscurité prolongée, en hiver, elle allonge sa période. En été, elle la raccourcit. Sous nos latitudes et dans nos environnements sociaux, modernes, l'absence de stimulation lumineuse suffisante, en particulier quand les nuits s'allongent, peut avoir pour conséquence des difficultés d'adaptation, des désynchronisations de nos rythmes internes par rapport au milieu.
Les doses agissant de maniÚre efficace, varient avec le moment de la journée. Au minimum, le matin, il faut obtenir au niveau des yeux un éclairement de 2.500 lux pendant 2 heures au moins. En automne et en hiver, cela reste encore possible lorsqu'on vit à l'extérieur ; cependant, nombre de gens dans nos sociétés modernes ne peuvent accéder à ces expositions en raison notamment de leur mode de vie. L'effet des doses varie avec la durée de l'application. En fait, une relation inverse a été montrée entre l'intensité de l'éclairement et sa durée. Ces travaux montrent que la dose de 10.000 lux pendant 1/2 heure équivaut à celle de 2.500 lux pendant 2 heures.
De jour comme de nuit, le moment auquel a lieu l'exposition à une forte lumiÚre joue également un rÎle capital. Une application de lumiÚre à midi a peu d'effet. Une application le soir retarde, dans les jours qui suivent, le maximum de la courbe de température interne et l'heure de l'endormissement. Un individu soumis à ce régime ira spontanément dormir plus tard. Il retardera "sa phase" d'endormissement
Ă lâopposĂ©, une application matinale prĂ©coce entraĂźne au cours des jours qui suivent un effet inverse, soit une avance horaire du maximum de la courbe de tempĂ©rature interne et de l'irruption du sommeil lors de la soirĂ©e qui suit. La tendance est donc, sous ce rĂ©gime, Ă aller dormir plus tĂŽt et Ă se lever dĂšs l'aube, le lendemain. On parle dans ces conditions d'une "avance" de phase. Cette influence du moment de l'application de la lumiĂšre constitue ce qu'il est convenu d'appeler "la courbe de rĂ©ponse de phase".
Â
Nombre d'insomnies relĂšvent Ă©galement de ce genre de perturbations. Certains sujets ne parviennent pas Ă s'endormir la nuit. Ils ne trouvent le sommeil qu'aux petites heures, parfois mĂȘme Ă des instants oĂč ils doivent normalement participer Ă des activitĂ©s sociales. Inversement, on rencontre, souvent chez les personnes ĂągĂ©es, une tendance Ă aller dormir trop tĂŽt et Ă se lever trĂšs tĂŽt pendant la nuit.
 Il existe aussi des individus qui se dĂ©crivent de façon chronique ou constitutionnelle comme des sujets du soir ou des sujets du matin. Ils ne se plaignent pas de troubles du sommeil dans la mesure oĂč ils ont la libertĂ© de rĂ©partir leurs activitĂ©s sur le jour et la nuit en fonction de leur tendance naturelle. On parle alors de variations endogĂšnes normales ou de typologies du rythme veille-sommeil.
à cÎté de ces situations particuliÚres, la société voit s'accroßtre le nombre de personnes soumises à des décalages chroniques du fait de leurs activités professionnelles ou de voyages trans-méridiens fréquents.
*Le trouble affectif saisonnier
*L'insomnie
*Tous les troubles circadiens du rythme veille-sommeil tels que les troubles endogÚnes, le travail à pauses variables ou les vols transméridiens
*Troubles du sommeil de la personne ùgée
*Les dépressions cyclothymiques à variations saisonniÚres
*Diverses maladies caractérisées par une fatigue chronique
*Des désynchronisations organiques
Le trouble affectif saisonnier
Il s'agit d'une affection récemment décrite et maintenant largement reconnue. Dans nos régions, elle semble concerner 5 à 15% de la population. Elle se manifeste par un état d'affaissement de l'humeur, par une dyssomnie avec une tendance à l'hypersomnie, en particulier matinale. On relÚve une prise de poids et une humeur maussade, voire dépressive. Ce trouble survient dÚs la fin de l'été et se prolonge sous nos latitudes jusqu'à la fin de l'hiver. Le trouble cesse souvent spontanément aprÚs le mois de mars ou d'avril.
Les patients souffrent donc annuellement, pendant une période de temps non négligeable, de ce trouble affectif saisonnier.
L'insomnie
En particulier, la photothĂ©rapie est indiquĂ©e dans toutes les formes liĂ©es Ă des Ă©tats dĂ©pressifs lĂ©gers ou dans l'insomnie psychophysiologique (c'est-Ă -dire l'insomnie oĂč il y a des facteurs de conditionnement et de stress, facteurs qui peuvent perturber les rythmes circadiens). On admet Ă ce niveau que la photothĂ©rapie joue un rĂŽle de resynchronisation des diffĂ©rents Ă©lĂ©ments circadiens qui agissent au niveau du rythme veille-sommeil. Il est d'autre part reconnu que, parmi les techniques non pharmacologiques, la photothĂ©rapie est actuellement, dans cette indication, le traitement le plus efficace.
Tous les troubles circadiens du rythme veille-sommeil tels que les troubles endogÚnes, le travail à pauses variables ou les vols transméridiens
Les patients, dont l'horloge interne entraĂźne des dĂ©calages chroniques par rapport aux temps sociaux, comme par exemple les sujets de la nuit, rĂ©pondent particuliĂšrement bien Ă des traitements pĂ©riodiques, par lumiĂšre essentiellement, et ce le matin. Le moment du traitement doit ĂȘtre prĂ©cisĂ© sur des bases cliniques.
Dans le travail Ă pauses variables, on peut proposer d'appliquer la photothĂ©rapie dĂšs l'arrĂȘt des pĂ©riodes de travail nocturne, lors des congĂ©s de rĂ©cupĂ©ration, ... de façon Ă restituer plus rapidement un cycle veille-sommeil normal.
Â
Avance de phase :
Le traitement repose sur une photothérapie en fin d'aprÚs-midi, dÚs que les premiers signes de somnolence apparaissent, (3/4 d'heure, 1 heure à 6000 lux), afin de décaler l' "on set " vers le soir, en retardant progressivement l'heure d'exposition en fonction des résultats.
Retard de phase le plus courant:
Le traitement repose sur une photothérapie, de maniÚre idéale entre 7 et 8 heures le matin (mais c'est possible dans toute la matinée) pour avancer l' "off set ". On peut y adjoindre des analogues de la Mélatonine le soir vers 22 heures.
1) La dépression saisonniÚre (ou SAD : Seasonal Effective Disorder).
à Hypersomnie non réparatrice ou dysomnie avec asthénie.
à Compulsions sucrées.
Ă Prise de poids.
Ă Hypomanie printaniĂšre.
à Autres : syndrÎme pré menstruel, frilosité, baisse de la créativité, de l'initiative, perte du plaisir, impuissance, trouble de la concentration, difficultés relationnelles et sociales, tendance alcoolique.
à Le tout se manifestant en octobre-novembre, disparaissant en mars-avril, sans événement déclencheur, sur au moins deux ans.
Ă Quatre femmes pour un homme.
Ă Adulte jeune.
Â
Ethiologie :
à C'est avant tout un trouble du cycle de la sécrétion de la mélatonine, cycle régulé par l'alternance jour/nuit, avec retard de phase et aplatissement de la courbe , perturbant neurotransmetteurs et hormones :
Baisse de la sérétonine, Baisse de la dopamine (ralentissement psychomoteur, baisse de l'éveil), Trouble de la prolactine et des stéroïdes sexuels. jeDérÚglement du cycle du cortisol et de la température corporelle.
Traitement :
à La photothérapie : Elle induit le recalage du cycle de la mélatonine avec augmentation de la sérétonine et de la dopamine vous
Une exposition le matin (1/2 heures à 10 000 lux) est le traitement de choix. 70 à 85% de résultats positifs en 2 à 5 jours.
Si pas de résultats en 15 jours : échec du traitement. à faire tout l'hiver, en débutant avant l'apparition des signes les années suivantes.
Effets secondaires rares :
Céphalées, fatigue visuelle, picotements oculaires, légÚre insomnie et excitation en début de traitement.
Contre indications :
Relatives : pathologie oculaire (de la rétine, cataracte, glaucome) à surveiller. Corticothérapie concomitante, femme enceinte (?), psychose.
Absolues : Allergies multiples, cancer hĂ©matologique, maladie auto-immune (quand associĂ©e Ă MĂ©latonine).Â
2) Traitement des dépressions non saisonniÚres, en adjuvant des traitements antidépresseurs.
3) Troubles du sommeil par dĂ©calage de phase. TrĂšs frĂ©quent chez le sujet ĂągĂ©, qui prĂ©sente souvent des avances de phase. Sujet dĂ©calĂ©. On adapte en fonction de la cliniqueÂ
4) Boulimie hivernale et sub SAD.
5) Travail postĂ©. 1â2 heure Ă 10 000 lux avant d'aller au travail, ou recalage rapide lors de congĂ©s.
6) Préparation ou retour des voyage transméridiens.
7) Certaines migraines et algies vasculaires de la face. OĂč l'on trouve des perturbations du cycle (la mĂ©latonine a des propriĂ©tĂ©s vasoconstrictrices Ă faible dose, vasodilatatrice Ă forte dose).
8) La fibromyalgie.
9) Les biens portants. Une étude finlandaise a démontré le bénéfice d'une exposition matinale chez des sujets en bonne santé ; moins de fatigabilité et augmentation de la vitalité.
Â
Â
Bonne nuitâŠ
Â
Si vous souffrez de somnolence dans la journĂ©e, cela peut ĂȘtre dĂ» Ă des troubles du sommeil dont vous nâavez pas forcĂ©ment conscience. Mieux vaut alors consulter. Ce test (test dâEpworth) vous permet dâĂ©valuer votre tendance Ă vous assoupir dans des situations de la vie quotidienne. Pour rĂ©pondre, choisissez le chiffre le plus appropriĂ© pour chaque situation de la liste :
0 = situation ne prĂ©sentant aucun risque de somnoler ou de mâendormir
1 = faible risque
2 = risque moyen
3 = risque élevé
Assis en train de lire.
Assis en parlant avec quelquâun.
Assis au calme aprÚs un déjeuner sans alcool.
Assis, inactif dans un lieu public (cinéma, théùtre, réunion).
En regardant la télévision.
Comme passager dâune voiture (ou de transport en commun) roulant sans arrĂȘt depuis une heure.
Dans une voiture immobilisée depuis quelques minutes.
AllongĂ© lâaprĂšs-midi.
LâanxiĂ©tĂ© et le stress sont les premiĂšres causes dâun mauvais sommeil, ainsi que les facteurs liĂ©s Ă lâenvironnement (bruit, dĂ©mĂ©nagement, etc.). Parfois, dâautres problĂšmes peuvent provoquer des troubles du sommeil, tels que les ronflements, les douleurs, une mauvaise literie, des excĂšs de cafĂ©ine ou dâalcool.
Si la grande majoritĂ© des insomnies sont liĂ©es Ă des perturbations psychologiques relativement bĂ©nignes, les troubles du sommeil peuvent ĂȘtre le signal dâune maladie physique. Ils peuvent alerter sur le diabĂšte, par exemple, lâhyperthyroĂŻdie, une maladie infectieuse, des problĂšmes cardiovasculaires, des troubles neurologiques ou de lâarthrose. Il est donc nĂ©cessaire de rechercher ces maladies lorsque le sommeil est perturbĂ©.
Certains mĂ©dicaments, tels que les corticoĂŻdes ou certains dĂ©congestionnants, de mĂȘme que la nicotine, peuvent ĂȘtre responsables dâinsomnie. Nâoubliez pas de signaler vos traitements en cours. Enfin, lâinsomnie peut se rĂ©vĂ©ler comme lâun des symptĂŽmes dâune autre maladie psychique. Lâinsomnie de milieu et de fin de nuit sont ainsi caractĂ©ristiques des dĂ©pressions.
Enfin, des troubles du rythme veille-sommeil peuvent apparaßtre chez des personnes soumises au décalage horaire, ou qui travaillent de nuit (travail par équipes, personnel soignant).
Les remĂšdes de grand-mĂšre contre les insomnies ont parfois du bon pour mieux dormir. Une boisson chaude telle quâune tisane ou un bol de lait et un bain tiĂšde ont une action relaxante.
tilleul, camomille, valĂ©riane ...   peuvent aider Ă lutter contre lâinsomnie passagĂšre. LâaubĂ©pine est rĂ©putĂ©e pour rĂ©guler le rythme cardiaque, calmer les palpitations et favoriser lâendormissement des personnes nerveuses. La passiflore, qui agirait contre lâanxiĂ©tĂ©, pourrait Ă©viter les rĂ©veils trop matinaux.
En cas de troubles mineurs du sommeil, on préconise également certains médicaments à base de brome, de plantes à visée sédative, d'oligo-éléments ou de remÚdes homéopathiques disponibles sans ordonnance.
SINON /  avena sativa teinture mĂšre weleda  đ crataegus complexe no 15 đ homĂ©ogĂšne 46
nerediem đ passiflora ghl  đ quiĂ©tude đ sĂ©datif pc đ somnidoron đ granions de lithium
 đ oligosol lithium
anxemil đ arkogĂ©lules aubĂ©pine  đ arkogĂ©lules eschscholtzia đ arkogĂ©lules mĂ©lisse đ arkogĂ©lules passiflore đ arkogĂ©lules valĂ©riane đ biocarde đ cardiocalm đ dormicalm đ élusanes aubĂ©pine đ élusanes eschscholtzia đ élusanes passiflore đ élusanes valĂ©riane đ euphytose đ huile essentielle de lavande schwabe đ nirva đ omezelis đ santane n 9 đ spasmine đ sympathyl đ tranquital ....  đ  đ  đ  đ Â
calcibronat
sédatif tiber
Les compléments alimentaires proposés contre les troubles du sommeil contiennent essentiellement des plantes aux propriétés sédatives.
Quelques plantes ont un effet sédatif (calmant) traditionnellement reconnu. Elles sont utilisées séparément ou dans des formules composées de plusieurs plantes.
La mĂ©latonine est une hormone fabriquĂ©e par le cerveau pendant la nuit. Sa sĂ©crĂ©tion rĂ©gule les rythmes quotidiens de lâorganisme en fonction de la luminositĂ© et de la durĂ©e du jour. Cette substance est censĂ©e soulager les troubles du sommeil et prĂ©venir les effets du dĂ©calage horaire.
La mĂ©latonine a montrĂ© un intĂ©rĂȘt certain dans le traitement des troubles du sommeil chez les personnes aveugles pour lesquelles il nây a pas de variation de la luminositĂ© entre le jour et la nuit, et dans le sevrage des personnes dĂ©pendantes aux somnifĂšres. En revanche, son efficacitĂ© dans la prĂ©vention des effets du dĂ©calage horaire reste incertaine.