Transurfing, terme proposĂ© par lâauteur, nous apprend que nous pouvons crĂ©er nous-mĂȘmes la rĂ©alitĂ© que nous souhaitons et que nous aimons. Pour cela, il suffit dâappliquer une technique simple et rigoureusement scientifique, fondĂ©e sur les lois de la physique quantique. Cette mĂ©thode, qui rĂ©unit nos aspirations Ă la fois matĂ©rielles et spirituelles, vise Ă transformer nos vies et Ă nous faire gagner !
Transurfing est un livre dont on ne cessera de parler. Ses bases scientifiques ont ralliĂ© les plus sceptiques, tandis que son approche spirituelle entre en rĂ©sonance avec tous ceux qui aspirent: Ă lâEveil. Il jette un regard neuf sur notre condition dâhumains et nous invite Ă Toujours
Transurfing : surfer à travers la réalité
 le livre "Transurfing â ModĂšlequantique de dĂ©veloppement personnel Tome 1 : Lâespace des variantes" de Vadim Zeland et est "hyper-intĂ©ressant !"
Il met en lien les expĂ©riences que j'ai pu faire ces derniĂšres annĂ©es et mes lectures sur l'existence d'un champ d'information, base d'un nouveau paradigme scientifique. Le livre d'Ervin Laszlo explique en quoi cette thĂ©orie du champ d'information tient la route et ce livre de Vadim Zeland nous montre comment fonctionne ce champ et comment nos pensĂ©es-Ă©nergie mentale- interfĂšrent avec ce champ en dĂ©crivant les liens de causes-effets entre nos attitudes et ce qu'il nous arrive dans notre vie.Â
J'ai rédigé un résumé de ce livre, avec trois ou quatre annotations. Je n'en suis pas complÚtement satisfaite mais en attendant de l'améliorer je le mets là :
Transurfing, "surfer Ă travers la rĂ©alitĂ©" câest la mĂ©thode pour choisir son propre destin.
 Fondements de la théorie
 Toute thĂ©orie nâest rien dâautre quâun fragment de la manifestation de ce qui est notre rĂ©alitĂ© aux multiples facettes. Ceux qui pensent que le destin est prĂ©dĂ©terminĂ© ont le comportement dâun bateau balancĂ© par les vagues de la mer. Ceux qui pensent façonner leur destinĂ©e prennent les commandes du bateau.
 "Notre choix se transforme toujours en rĂ©alitĂ©. Nous obtenons toujours ce que nous choisissons. Quelque soit la vision du monde que nous adoptons, ce sera toujours la bonne. Toutefois soyez bien conscient que les autres ne seront pas dâaccord et quâils sâopposeront Ă vous, parce que tout simplement, ils ont aussi raison, quelque soit la vision du monde quâils adoptent."
Chaque chose tangible se compose Ă partir dâune Ă©nergie intangible.
On retrouve la théorie des champs d'Emile Pinel.
Pour faire comprendre son concept d'espace des variantes, Zeland utilise une comparaison: une vague dans la mer. La vague est la manifestation matĂ©rielle. La mer est l'espace des variantes. Une molĂ©cule dâeau est une variante.
La vague se dĂ©place mais la masse dâeau reste en place.
La manifestation matĂ©rielle (vague) se dĂ©place dans le temps et lâespace et les variantes (molĂ©cules d'eau) restent Ă leur place et continuent dâexister Ă jamais (la mer).Â
Il utilise une autre comparaison pour ceux qui auraient le mal de mer : un homme avec une lampe dans une forĂȘt pendant la nuit. La lumiĂšre est la manifestation matĂ©rielle. La forĂȘt est l'espace des variantes. Un arbre est une variante. La lumiĂšre se dĂ©place mais la forĂȘt reste.Â
La manifestation matĂ©rielle (lumiĂšre) se dĂ©place dans le temps et l'espace et les variantes (les arbres) restent Ă leur place (la forĂȘt).
Pour les artistes, on peut penser Ă un homme dans une galerie d'exposition. L'homme choisit dans quelle salle il entre, quels tableaux il regarde. La galerie et les tableaux sont lĂ et chacun fait son parcours dans l'exposition.Â
 On perçoit le mouvement du temps en projetant un film. Si on dĂ©bobine le film on peut regarder toutes les images en mĂȘme temps. Le temps reste statique jusquâau moment oĂč nous regardons de façon sĂ©quentielle une image aprĂšs lâautre.
 HypothĂšse de base : "Les radiations de lâĂ©nergie mentale matĂ©rialisent une variante potentielle.
LâĂ©nergie mentale dâune personne nâest pas enfermĂ©e dans la boite crĂąnienne de cette personne pour y circuler sans but. Au contraire elle se disperse dans lâespace oĂč elle interagit avec les champs Ă©nergĂ©tiques (je dirais informationnels) environnants."
 Les ondes mentales ont leur fréquence pour paramÚtre.
Par rĂ©sonance, nos ondes mentales sâengouffrent dans un secteur de lâespace des variantes et câest ce secteur qui se matĂ©rialise.
Quand on pense Ă une chose, en bien ou en mal, nos ondes mentales rĂ©sonnent avec ce secteur de lâespace des variantes et ces variantes se matĂ©rialisent.
 Nous sommes sur une ligne de vie tant que notre attitude reste inchangĂ©e. Si notre attitude envers la rĂ©alitĂ© Ă©volue alors nous changeons de ligne de vie. Si nous nâaimons pas ce secteur et nous battons contre ses obstacles alors nous restons sur une ligne de vie remplie dâobstacles. On ne peut pas modifier un scĂ©nario, on ne peut quâen choisir un autre.
On ne peut pas changer lâexpo si elle nous dĂ©plait mais on peut changer de salle.
Si on pense quâil nây a pas de salles qui nous plaisent davantage câest une fausse limite.
Difficulté : comment faire pour choisir la salle ?
Il ne suffit pas de rĂȘver dâune salle parfaite. Faire un choix nâest pas dĂ©sirer.
Un balancier est une structure Ă©nergĂ©tique informĂ©e formĂ©e par les ondes mentales de toutes les personnes qui pensent Ă une mĂȘme chose.
Exemples de balancier : un club de volley, la guerre, une entreprise, une association, un parti politique, la maladie, la pauvretĂ©, une personneâŠ
Quand nos pensĂ©es rĂ©sonnent avec un balancier, elle lâalimente, que ces pensĂ©es soit nĂ©gatives ou positives.
Un balancier meurt quand il nâest plus alimentĂ©.
Un autre balancier peut défaire un balancier. Un homme seul ne peut rien.
Un balancier se nourrit de lâĂ©nergie des pensĂ©es des personnes « adhĂ©rents » et aussi des personnes « opposantes ».
Les « adhĂ©rents » adoptent des comportements et des attitudes, dont ils prennent lâhabitude, en accord avec le balancier.
Les balanciers destructeurs sont en concurrence. Un balancier nâest jamais constructif pour un individu. Par contre un individu peut ĂȘtre le « prĂ©fĂ©rĂ© » dâun balancier pendant un certain temps. Et un individu peut participer consciemment Ă un balancier en vue de ses objectifs.
Nous nourrissons un balancier quand nous sommes affectés par ce que nous considérons indésirable car nous en avons peur ou nous le détestons et ces sentiments négatifs font que ces « indésirables » se manifestent.
Pour que ces « indésirables » ne fassent plus partie de notre vie, il faut cesser de nourrir le balancier et pour cela il existe deux solutions : mettre en échec le balancier ou le désactiver.
Mettre en échec un balancier
Pour mettre en Ă©chec un balancier, il faut refuser de se battre avec lui, de ne pas ĂȘtre en colĂšre contre lui, de ne rien lui reprocher et accepter les choses comme elles sont, quâon lâaime ou non, tel un tableau dans la salle dâexpo, sans perdre notre bonne humeur.Ok, j'ai conscience que cette salle de l'expo existe mais elle ne me plait pas, j'en sors et je n'y pense plus.
Accepter pour reconnaitre le droit dâexister pour ensuite ignorer, lĂącher-prise. Rejeter hors de sa vie ce dont on ne veut pas. Il faut vider notre relation avec ce balancier.Â
Si on ignore un enquiquineur, il posera des problĂšmes Ă dâautres. Dans le cas oĂč nous sommes obligĂ©s dâĂ©couter lâenquiquineur, ne faisons que semblant de prendre part au jeu, laissons-le frapper dans le vide. Comme dans lâAĂŻkido, accepter la tactique de lâattaquant, lâaccompagner sur un petit bout de chemin en faisant semblant et le laisser partir en faisant un pas de cĂŽtĂ© ou en dirigeant son mouvement sans obstacle dans la direction que nous voulons.
Pour arrĂȘter un balancier
Pour arrĂȘter un balancier, quand on ne peut ni lâignorer, ni lui Ă©chapper, il faut faire quelque chose qui sort de lâordinaire, que lâon attend pas de nous, qui ne va pas dans le sens des Ă©vĂšnements, qui surprenne.
En fait, câest Ă©mettre une frĂ©quence trĂšs diffĂ©rente de celle du balancier et entrer en dissonance pour casser son rythme.
Il serait absurde de marchander avec un balancier qui nâa rien Ă perdre, mieux vaut "donner un peu de cash".
MĂȘme fou de rage, il faut rĂ©ussir Ă ne pas rĂ©pondre aux provocations.
La visualisation aide, on peut imaginer lâenquiquineur dans un monde oĂč il aurait tout ce dont il a besoin : santĂ©, confiance, paixâŠ
Résoudre un problÚme rend plus fort, confronté à nouveau à ce problÚme il sera plus facile à résoudre.
Les solutions inattendues et intuitives arrivent quand on se libĂšre du balancier. Tant que nous lâalimentons, nous restons prisonniers de lâĂ©troitesse des variantes de son secteur et ne pouvons entrevoir les solutions.
Notre liberté est de se détacher des balanciers des autres pour atteindre, en la choisissant une ligne de vie qui nous mÚne au bonheur. Nous ne pouvons, ni ne devons, nous libérer de tout balancier, certains sont bons pour nous, il faut juste en faire un usage personnel qui nous mÚne au bonheur sans se mettre sous leur influence.
La vague de succĂšs est une structure Ă©nergĂ©tique qui nous est favorable, câest une succession de chances, dâĂ©vĂšnements inattendus et plaisants. Câest une accumulation de lignes favorables dans lâespace des variantes. Les succĂšs sâenchainent si nous sommes inspirĂ©s par le tout premier. Cette vague nous transfĂšre sur une ligne de vie heureuse. Des balanciers destructeurs peuvent nous Ă©loigner de cette vague.
Nourrir des pensĂ©es nĂ©gatives, des inquiĂ©tudes, se plaindre, ĂȘtre pessimiste signifie rejoindre et alimenter les balanciers destructeurs. Câest une habitude nocive.
Ne plus les alimenter, câest nourrir des pensĂ©es positives, penser Ă ce que lâon souhaite obtenir. PlutĂŽt que dĂ©tester et mĂ©priser la maison oĂč lâon vit en disant « vivement que jâen trouve une autre », accepter la situation et voir les points positifs de cette maison, ĂȘtre reconnaissant, ensuite penser Ă la maison que lâon veut, Ă ce que lâon souhaite avoir dedans, consulter des annonces, visiter des magasinsâŠ
PlutÎt que de rùler aprÚs la pluie et vouloir que le temps soit ensoleillé pour les vacances, accepter le mauvais temps du moment et se visualiser sous le soleil pendant les vacances.
On se retrouve sur la ligne de vie qui est en résonnance avec nos ondes mentales, qui correspond à la radiation de notre énergie.
Pour faire bon usage des balanciers qui nous sont utiles, il faut se nourrir de tout ce qui est bon, positif, plaisant et rassurant, dans tout ce que lâon vit, lit, voit, entend, il faut regarder les bons signes partout et dans toute chose, sans nourrir de rancune envers les problĂšmes et « indĂ©sirables » rencontrĂ©s. En Ă©tant heureux de notre prĂ©sent, de notre ligne de vie actuelle, nous surfons sur la vague du succĂšs et Ă©voluons vers les lignes de vie qui donne de plus en plus de bonheur car on se dĂ©place sur la ligne de vie qui correspond aux paramĂštres de nos pensĂ©es.
Ăa me fait penser Ă trois choses :
- Au rituel dâenregistrer chaque soir tout ce qui a Ă©tĂ© bon dans la journĂ©e et de remercier la vie (gratitude) et chaque matin, de se souhaiter une bonne journĂ©e et de sâouvrir Ă tout ce quâelle apporte de bon (ouverture).
- Ă la psychologie Xin Li qui propose comme premier exercice dâinspirer consciemment une chose heureuse au moins trois fois dans la journĂ©e, ce peut ĂȘtre un beau paysage, lâodeur dâune fleur, la prĂ©sence dâune personne aimĂ©e, des mots gentils⊠Au dĂ©but ces choses ne sont pas forcĂ©ment Ă©videntes Ă trouver et puis ça devient automatique et on le fait sans sâen apercevoir, jusquâĂ que ce soit une nouvelle attitude : vivre pleinement et garder en mĂ©moire tous les bons moments dâune journĂ©e.
 - au livre « Vivre sa spiritualitĂ© au quotidien », si on nâĂ©met pas de pensĂ©es nĂ©gatives on ne libĂšre pas dâespace pour en recevoir, si on Ă©met des pensĂ©es positives on libĂšre de lâespace pour en recevoir.
 En devenant un rĂ©cepteur et un transmetteur dâĂ©nergie positive, on glisse de plus en plus facilement vers les lignes de vie heureuse et quand la vague de succĂšs se prĂ©sente on se laisse embarquer vers le succĂšs.
La loi de lâĂ©quilibre fait que tout potentiel en excĂšs subit une force dâĂ©quilibrage pour annuler le dĂ©sĂ©quilibre en Ă©liminant ce potentiel.
Donner un sens absolument dĂ©raisonnable Ă une Ă©valuation, accorder trop dâimportance Ă quelque chose crĂ©e un potentiel en excĂšs. C'est-Ă -dire donner des caractĂ©ristiques excessivement nĂ©gatives ou excessivement positives Ă un objet, une situation, une personne et que cela ait une grande signification pour nous, c'est-Ă -dire donner de lâimportance. Donner trop dâimportance Ă une chose ou une situation câest nĂ©gliger dâautres domaines de notre vie : par exemple donner beaucoup trop dâimportance Ă son travail et nĂ©gliger son temps libre et sa vie de famille.
 Insatisfaction et jugement
Il nây a pas de dĂ©sĂ©quilibre si notre insatisfaction nous pousse Ă nous amĂ©liorer.
Il y a potentiel en excĂšs et dĂ©sĂ©quilibre si on se complait Ă nourrir du ressentiment envers soi-mĂȘme ou si on se punit pour ce que lâon aime pas.
Il vaut mieux accepter ses dĂ©fauts et ses faiblesses et sâaimer soi-mĂȘme, câest ainsi que notre subconscient redevient lâalliĂ©e de notre conscience.
Se battre contre ses dĂ©fauts ou tenter de les dissimuler demande beaucoup dâĂ©nergie et nous attire dans les lignes de vie oĂč ces dĂ©fauts sont accentuĂ©s, si on cesse de le faire alors cette Ă©nergie peut ĂȘtre utiliser dans le dĂ©veloppement de nos qualitĂ©s et on peut Ă©voluer vers des lignes de vie oĂč nos qualitĂ©s prĂ©dominent sur nos dĂ©fauts.
Etre insatisfait du monde, câest entrer en conflit avec un grand nombre de balanciers.
Une euphorie démesurée crée également un potentiel en excÚs.
Par contre, ĂȘtre positif envers soi-mĂȘme et envers le monde ne crĂ©e pas de potentiel en excĂšs. Au vue des interprĂ©tations spirituelles ou philosophiques, ceci peut sâexpliquer par le fait que lâ « Amour » est la force crĂ©atrice est que les forces dâĂ©quilibrage ne peuvent se retourner contre lâ « Amour ».
 Il est donc constructif de perdre lâhabitude dâexprimer son insatisfaction et de trouver du bon en chaque chose, et quand cela est vraiment trop difficile alors on peut se rappeler que « Ceci, aussi, passera ».
Les relations de dépendance
IdĂ©aliser, vĂ©nĂ©rer, surestimer quelque chose ou quelquâun crĂ©e un potentiel en excĂšs. Les forces dâĂ©quilibrage vont faire tomber du piĂ©destal lâobjet idĂ©alisĂ©.
Si lâamour tourne en relation de dĂ©pendance, un potentiel en excĂšs est crĂ©e.
Quand il y a comparaison entre deux choses, cela conduit à un conflit et un inconfort émotionnel et il y a aussi potentiel en excÚs.
Il est constructif de ne pas dĂ©sirer possĂ©der quelquâun ou quelque chose, de ne pas le surestimer, ne pas lâidĂ©aliser, de ne pas ĂȘtre dĂ©pendant, il est plus sain dâaimer inconditionnellement et sans attente, sans droit de possession, dâaimer tout simplement sans essayer dâĂȘtre aimĂ©. NĂ©anmoins quand on aime, il est bien difficile de raisonner logiquement et de suivre ces recommandationsâŠ
Condamner, avoir une estime de soi surfaite, mépriser les faiblesses des autres ou devenir vaniteux crée un potentiel en excÚs.
Supériorité et infériorité
Se comparer en supériorité ou infériorité crée un potentiel en excÚs.
Il vaut mieux diriger son intention dans le développement de nos qualités sans se soucier de notre position sur le barÚme de la supériorité. Conséquence : moins de problÚmes et plus de confiance en notre propre puissance.
 Il est préférable d'éliminer toute pensée de vouloir contrÎler ou manipuler le monde et choisir son destin sans marcher sur les pieds des autres.
 Si on se sous-estime, si on se bat avec ses complexes, les consĂ©quences obtenues par les forces dâĂ©quilibrage sont plus dĂ©plaisantes que le complexe lui-mĂȘme. Exemple : quelquâun qui se sous-estime peut passer pour un prĂ©tentieux en cherchant Ă montrer ses meilleurs cĂŽtĂ©s.
Il vaut mieux compenser ses dĂ©fauts avec dâautres qualitĂ©s.
 Le dĂ©sir dâavoir et de ne pas avoir
Vouloir tellement quelque chose au point de risquer tout ce quâon a pour lâobtenir crĂ©e un gros potentiel en excĂšs.
Il y a trois formes de désir :
Un dĂ©sir qui se transforme en une forte et pure intention dâavoir et dâagir dĂ©nuĂ©e dâune importance excessive dĂ©sir satisfait car lâĂ©nergie est consacrĂ©e Ă la rĂ©alisation de lâaction.
Un dĂ©sir inactif et tourmenté gaspille lâĂ©nergie ou attire des problĂšmes car potentiel en excĂšs.
Un dĂ©sir qui devient une dĂ©pendance envers lâobjet dĂ©siré épuisement dâavoir essayĂ© de possĂ©der et renoncement.
Culpabilité                 Â
Se sentir coupable entraĂźne une peur dâĂȘtre puni et un scĂ©nario punitif.
Il vaut mieux se comporter de maniÚre à ne pas se sentir coupable par la suite, ne pas se justifier face à qui que ce soit car nous ne devons rien à personne. Si on est fautif alors on répare, on demande pardon, une seule fois suffit à se libérer du potentiel en excÚs, mais on ne culpabilise pas.
Les manipulateurs obtiennent du pouvoir en faisant culpabiliser pour renforcer leur propre position, ils agissent par excĂšs de doutes, dâincertitudes et manque dâassurance.
Personne nâose nous juger si nous ne nous sentons pas coupables, il faut retrouver le droit dâĂȘtre soi-mĂȘme.
 Ăa me fait penser au juge intĂ©rieur des 4 accords toltĂšques quâil faut renvoyer bouler !
Lâargent est un attribut complĂ©mentaire sur le chemin de notre but.
Il est bon dâĂȘtre heureux dâen avoir, de se satisfaire de ce quâon a, ne pas rejeter son dĂ©sir dâen avoir, poursuivre ses propres objectifs et voir lâargent comme un moyen dâatteindre ses buts. Il vaut mieux penser aux objectifs en eux-mĂȘmes et non Ă lâargent, ne pas ignorer lâargent et le traiter soigneusement.
Il est prĂ©fĂ©rable de ne pas se plaindre de ne pas en avoir ou dâen avoir dĂ©pensĂ©, de ne pas ĂȘtre anxieux dâen avoir de moins en moins, de ne pas tomber sous la dĂ©pendance de lâargent ou en faire un objectif, regretter une dĂ©pense, laisser sâaccumuler et dormir lâargent.
Il est vain de vouloir que tout soit parfait, il suffit de vouloir faire de son mieux
Le perfectionniste se donne le droit de juger et condamner les autres, il pense avoir raison sur tout et savoir comment les autres doivent se comporter, penser.
Tout potentiel en excĂšs dĂ©coule dâune importance excessive. Rester vigilant Ă ne pas donner trop dâimportance permet de rester indĂ©pendant des balanciers. Cela ne signifie pas combattre ses Ă©motions. Les Ă©motions proviennent des attitudes, câest en changeant les attitudes que les Ă©motions et les sentiments changent. Cela ne signifie pas ĂȘtre indiffĂ©rent mais ne pas transformer une situation en problĂšme et ainsi se torturer soi-mĂȘme et ses proches.
Faire un choix est possible si on ne gaspille pas son Ă©nergie Ă combattre avec les balanciers et les forces dâĂ©quilibrage. Faire un choix câest savoir quel est notre objectif.
La seule maniĂšre de pouvoir faire des choix est de se dĂ©barrasser des importances excessives en se dĂ©tachant de lâobjet auquel nous avons accordĂ© une telle signification. Il ne sâagit pas de surmonter les obstacles mais de rĂ©duire leur importance. LĂ encore, câest le changement dâattitude et non le refoulement des Ă©motions et des sentiments qui vont permettre de rĂ©duire cette importance. Attention il ne sâagit pas non plus de nĂ©gligence, qui est de lâimportance avec un signe moins. Il ne sâagit pas non plus de se rĂ©signer, plutĂŽt de sâoffrir le luxe dâĂȘtre soi-mĂȘme, sans minimiser ou exalter dĂ©fauts et qualitĂ©s. Pour rĂ©duire la peur, prĂ©voir un plan de sĂ©curitĂ©.
Lâhumour est un trĂšs bon outil, câest une caricature de lâimportance.
LâautodĂ©rision aide Ă gagner confiance en soi, on prend du recul, on grossit les dĂ©fauts, les problĂšmes et on en rigole.
Face Ă un problĂšme, diminuer son importance en rĂ©alisant quâil est lui-mĂȘme le rĂ©sultat dâun excĂšs dâimportance, secouer les dĂ©sillusions puis changer dâattitude face Ă lâobjet en question.
Recette du succÚs : spontanéité, improvisation, attitude légÚre.
Se faire du souci sans agir augmente lâimportance. Ne pas penser mais agir et sâil est impossible dâagir alors ne plus y penser en dirigeant son attention sur autre chose.
Pour ĂȘtre efficace, focaliser son attention sur le processus plutĂŽt que sur soi ou sur le rĂ©sultat dont on peine Ă rĂ©duire lâimportance.
Câest lâintention qui vient de lâĂąme (du subconscient) qui se rĂ©alise.
Dans tous les cas, ne pas se vanter de ce quâon a, est ou fait.
Si on est dans une situation trÚs compliquée, il y a toujours une issue.
Attention pas de dĂ©mesure dans lâautre sens non plus, on peut perturber un peu lâĂ©quilibre tant quâon abuse pas. Il ne sâagit pas dâĂȘtre parfait.
Etre attentif sans sâinquiĂ©ter.
Pire nous considérons le monde, pire il devient.
Répondre négativement à un évÚnement implique le transfert vers une ligne de vie négative.
Accorder de lâimportance aux catastrophes (accidents, Ă©pidĂ©mies, chĂŽmage, pauvretĂ©âŠ) induit lâintroduction dâun Ă©vĂšnement nĂ©gatif dans la vie de la personne.
RĂ©agir avec mĂ©contentement et insatisfaction induit que la situation sâempire.
Solution : Ne pas laisser entrer dâinformations nĂ©gatives, c'est-Ă -dire les ignorer intentionnellement et non les Ă©viter, ne pas sây intĂ©resser.
Les donnĂ©es du champ dâinformation sont la vĂ©ritĂ©, de lâinformation objective, libre de toute interprĂ©tation.
Notre subconscient a accĂšs au champ dâinformation, câest lâintuition.
Notre conscience a accĂšs au champ dâinformation en interprĂ©tant les donnĂ©es externes.
Quand elle passe par le filtre de notre esprit lâinformation devient connaissance.
Une inspiration est une information recueillie dans le champ par notre subconscient. Lâesprit sâoccupe de la rĂ©alisation en analysant les donnĂ©es reçues par le subconscient mais nâinvente rien de nouveau.
Par le subconscient, nous pouvons accĂ©der au champ dâinformation : clairvoyance, prĂ©monition, retrouver des faits passĂ©s, visionsâŠ
Notre conscience peut Ă©couter notre subconscient, mais nous nâapprenons pas Ă dĂ©velopper notre intuition car dans notre sociĂ©tĂ© nous nions le subconscient et donnons trop dâimportance Ă lâesprit. Notre Ă©ducation dĂ©veloppe davantage le cerveau gauche, aux dĂ©pends du cerveau droit.
Quand lâesprit expĂ©rimente une chose nouvelle, il ne la comprend pas, il ne peut lâidentifier, il sait juste que câest réél.
Lâesprit met des dĂ©finitions, des Ă©tiquettes.
Pour recevoir lâintuition il faut que le contrĂŽle de lâesprit sâaffaiblisse, il faut que les pensĂ©es se taisent. On peur percevoir des sensations instinctives de paix ou dâinconfort car notre subconscient sait si un choix est bon pour nous ou pas.
LâĂąme ne pense pas, elle ressent et sait, elle ne commet pas dâerreur.
Lâesprit doit Ă©couter lâĂąme pour prendre une dĂ©cision.
Le demandeur : personne qui remet son destin dans les mains dâautrui et demande ce quâil veut. Il est rĂ©signĂ©, nâagit et nâobtiendra pas ce quâil veut. Il se place dans les mains des manipulateurs.
LâoffensĂ© : il manifeste son insatisfaction et exige ce quâil veut. Il ne lâobtient pas non plus.
Demandeur et offensé vont avec le courant de la vie.(courant = enchaßnement des causes et effets)
Le guerrier : sa vie est un combat qui demande beaucoup dâĂ©nergie, il obtient parfois ce quâil veut mais pĂ©niblement.
Le guerrier remonte le courant.
 Solution : aller et prendre
Aller avec le courant tout en tenant la barre avec calme vers le cap de nos objectifs en évitant les zones dangereuses.
choisir la direction du courant = nos objectifs
avoir confiance dans le courant et ne pas faire de mouvements brusques.
rejeter lâimportance interne et externe pour ne pas ĂȘtre pris par les balanciers et ne pas crĂ©er de potentiel en excĂšs.
ne pas se perdre dans lâintellect pour trouver des solutions complexes, suivre le courant car il prend le chemin le moins couteux en Ă©nergie, celui qui prĂ©sente le moins de rĂ©sistance, bref le chemin le plus simple et le plus facile. La conscience, seule, ne peut faire ce choix lĂ car son raisonnement logique ne concorde pas forcĂ©ment avec la chaĂźne des causes Ă effets du courant.
voir les signes indicateurs (phrases spontanĂ©es dâautrui, inconfort interne..) qui indiquent un virage possible, c'est-Ă -dire quand un transfert vers une autre ligne de vie est mis en Ćuvre, questionner le signe : est-il positif ou nĂ©gatif ? prendre garde, ĂȘtre attentif sans sâinquiĂ©ter ni chercher des signes partout.
refuser les dĂ©sirs qui Ă©voquent de lâinconfort, du doute, de lâapprĂ©hension ou de la culpabilitĂ©.
"Quand notre Ăąme dit oui, nous nâavons pas Ă nous persuader de quoi que ce soit."
Le bon sens est utile mais lâesprit fait lâerreur de sây limiter et cela lâempĂȘche dâobserver ce qui nâest pas en accord avec ses rĂšgles.
LĂącher-prise sur la situation : baisser le contrĂŽle, ne pas vouloir tout rĂ©soudre, tout calculer Ă lâavance, donner plus de libertĂ© dâaction au monde qui nous entoure, laisser place Ă lâimprĂ©vu.
"Lâesprit doit contrĂŽler ses propres mouvements dans le courant mais pas le courant lui-mĂȘme." "Lâesprit doit contrĂŽler le niveau dâimportance."Â