AMT Modélisme Magazine n°41

Novembre 2023

A l'heure où nous bouclons ce numéro, nous apprenons le tragique accident qui touche JuraModélisme : un incendie a ravagé la totalité du bâtiment. Evidemment, le stock étant réduit à néant  à l'approche de Noël, c'est une catastrophe. Nous exprimons toute notre solidarité avec l'équipe. 

Sommaire

Les principaux titres

Motos : la Triumph Model H

Les avions sanitaires (Suite)

Bateaux : le Flying Cloud.

Blindés : le char Iguane

Décors : c'est le chantier !

Figurines : les dragons napoléoniens

Trains : les TGV Mehano.


Motos : la Triumph Model H

La Triumph Model H  est une moto britannique fabriquée par Triumph Engineering Co Ltd à Coventry , en Angleterre .  Au total, 57 000 motos Triumph modèle H ont été fabriquées de 1915 jusqu'à la fin de la production en 1923. 

Au début de la Première Guerre mondiale en 1914, le gouvernement britannique avait besoin de communications efficaces avec les troupes de première ligne et remplaça les messagers à cheval par des estafettes à moto. L'adéquation d'un certain nombre de modèles a été testée et la Triumph Model H a été sélectionnée. Avec la roue arrière entraînée par une courroie, le modèle H était équipé d'un moteur monocylindre à quatre temps refroidi par air de 499 cm3. C'était aussi la première Triumph à ne pas être équipée de pédales, c'était donc une vraie moto.

La version Side-car.

En vrai !

 Les avions sanitaires (suite)

Par Jean-Marie.

Garantie de la neutralité des transports sanitaires.

L. JULLIOT, docteur en droit, membre du Comité juridique international de l'aviation et de la Commission juridique de l'Aéro-Club de France,  fut le principal artisan de l’application des conventions de la Croix-Rouge internationale à l’aviation sanitaire. La convention de Genève de 1929 avec l’article 18 de cette convention assurait, en cas de guerre, la garantie de la neutralité aux avions sanitaires.

Ainsi fut traité le problème de la visibilité par les avions de bombardement des croix rouges des formations sanitaires se trouvant au sol et la visibilité par l'artillerie anti-aérienne et les avions de chasse des croix rouges des avions sanitaires.

Plusieurs associations virent le jour dont « les amis de l’avion ambulance (AAA)» fondée par Marie Marvingt et Robert Charlet. Un « comité permanent des congrès internationaux de l’aviation sanitaire » fut créé à l’Aéro-Club de France.

L'aviation sanitaire pendant la Seconde Guerre mondiale

L’étendue et le nombre de pays concernés par cette guerre ont atteint une dimension exceptionnelle ainsi que le nombre de victimes mortes ou blessées.

L’aviation sanitaire s’est trouvée face à des flux très importants de blessés.

Le projet d’utiliser les avions Caudron Luciole a été vite abandonné face à la rapidité et la violence de l’avance allemande en mai et juin 1940

En 1908, les frères Gaston et René Caudron construisirent ensemble leur premier appareil à la ferme familiale de Romiotte. Ils le testèrent d’abord non motorisé, sous la forme d’un planeur, en le faisant tracter par leur jument, Luciole. C’est en son honneur que l’avion Caudron Luciole fut baptisé ainsi en 1930. 

Caudron Luciole du musée du Bourget. 

Les avions sanitaires étaient rattachés au Service civil de liaison aérienne. Il y avait sept bimoteurs Goeland C.449 Goéland qui pouvaient transporter quatre brancards.

A ce même Service civil de liaison aérienne étaient affectés six monomoteurs Potez 29 qui pouvaient transporter deux brancards. Ils furent peu utilisés et plutôt pour des transports de blessés civils.

Pendant la campagne d’Italie, en mai 1944, le service de santé de la 4e division marocaine de montagne évacue environ 200 blessés, à l’aide d’un Piper Cub que le médecin général Chavialle avait fait aménager de façon artisanale avec un brancard en forme de losange ajusté au fuselage de l’appareil. 

Piper Cub

DC3 ou Douglas C47 ou Dakota ?

Douglas C-47 Skytrain est le nom officiel donné par l'Us Air Force à l'une des versions militaires du DC-3.  Avion de transport polyvalent, résistant et facile d'entretien, il fut utilisé sur tous les fronts durant la Seconde Guerre mondiale. La Royal Air Force, avait utilisé des DC-3 à des fins militaires avant même l'armée américaine. Les équipages US l'ont surnommé Gooney Bird (albatros ). 

Des médecins, des infirmiers  et des pilotes français participèrent au côté des alliés aux évacuations après la bataille de Monte Cassino. Dans des Dakota  d'une capacité de 18 blessés couchés, entre juin et juillet 1944,  4 500 blessés furent transportés à l’aérodrome de Capodichino près de Naples. 

En octobre 1943  fut créée " l'Ambulance médico-chirurgicale de l'air 401". Cette formation partie d'Alger accompagna les troupes françaises sur les débarquements de Corse et de Saint-Raphaël . Elle intervient ensuite en Alsace en décembre 1944, pour traiter 240 blessés et à Mengen, en mai 1945, pour en évacuer 1 935, toujours sur Dakota. 

Le Groupement des moyens militaires de transport aérien de l’armée de l’air (GMMTA), créé en juin 1945, participa au rapatriement de bon nombre de français retenus en Allemagne et surtout des plus fragiles : malades, épuisés par les derniers  mois de guerre. 

Évacuation sanitaire en Normandie, juin 1944, Saint-Laurent-sur-Mer, à bord d'un C-47.

L'évacuation sanitaire aérienne vue du côté des américains

L'intervention sur des conflits très loin de leur pays a obligé les Américains à utiliser de manière importante  les voies maritimes et aériennes pour le transport de leurs blessés. La voie maritime a été priorisée car elle permettait le rapatriement de plus de blessés mais la voie aérienne, considérée comme plus pratique, a pris de plus en plus d'importance au cours du temps ainsi que le montrent les données annuelles 

·         en 1943 : 178 000 évacués ;

·         en 1944 : 545 000 évacués ;

·         en 1945 : 624 000 évacués.

Aviation sanitaire pendant la guerre d’Indochine 

L’armée française fut engagée dans la guerre d'Indochine de décembre 1946 à juillet 1954 , elle utilisa plusieurs types d'avions pour évacuer les blessés.

Les Dakota et Amiot AAC.1 Toucan  avaient besoin de terrains d’atterrissage importants et qui assuraient surtout les liaisons entre Hanoï et Saïgon .

Les Amiot AAC.1 Toucan sont des avions de transport militaires français construits après la Seconde Guerre mondiale, et la copie des Junkers Ju52/3m allemands.  

Pour accéder aux postes isolés, on disposait du Morane-Saulnier MS.500 Criquet  qui pouvait se poser sur des pistes courtes sommairement aménagées et des SCAN et Grumman Goose de la marine quand il y avait des plans d’eau à proximité. Mais c’était bien insuffisant pour porter secours aux très nombreuses unités dispersées sur le territoire, inaccessibles le plus souvent par la voie aérienne en raison des conditions géographiques et climatiques.

En 1949 l'armée française qui intervenait en Indochine  ne possédait pas d'hélicoptères .  Alors que les Etats-Unis commençaient à équiper leurs troupes d'hélicoptères le médecin-général Robert qui dirigeait le Service de santé des armées d'Indochine leur commanda deux Hiller 360 , livrés en 1950, et finança la formation des premiers pilotes et mécaniciens. Parmi eux la médecin-capitaine Valérie André fut la première femme à piloter ces appareils et à former les futurs pilotes.  Ces appareils étaient équipés de deux nacelles extérieures pour brancard. Ces deux appareils furent très utiles mais ils ne suffisaient pas à tous les besoins.

En haut, le débarquement d'un blessé sur l'hôpital de Hanoï   -  A droite le médecin capitaine Valérie André au cours de ses nombreuses évacuations sur Hiller 360 au Tonkin (129 missions  à son compte). 

L’armée de l’air a attendu encore deux ans pour pouvoir s’équiper avec de nouveaux Hiller, par la suite il y eut les  Sikorsky S-51 ( photo de gauche) auxquels succédèrent les Sikorsky S-55 (photo de droite)  plus fiables et plus performants et d'une capacité de six brancards. 

Ils jouèrent un très grand rôle pendant les deux dernières années de la guerre. À Diên Biên Phu, n’ayant pas l’autonomie suffisante pour relier Hanoï, ils se déployaient depuis Muong Sai où se trouvait l'antenne chirurgicale parachutiste et où les avions récupéraient les blessés. 697 blessés furent ainsi évacués au cours des combats et 521 après la chute du camp.

L’emploi de l’hélicoptère en Indochine a représenté un tournant important dans l’histoire de l’aviation sanitaire, permettant d’intervenir à peu près partout.

Le nombre total des évacuations par avion pour cette guerre de sept ans et demi est de  63 000 blessés et malades sur le territoire indochinois et 14 000 rapatriements  en métropole. 

Les hélicoptères qui ne sont intervenus que durant les quatre dernières années ont transporté 11 000 blessés.

Aviation sanitaire en Algérie de 1945 à 1962 

La première intervention aérienne d’envergure fut lors du séisme du 9 septembre 1954 sur la région d’Orléansville (rebaptisée El Asnam) lequel a fait plus de 1 500 morts et 14 000 blessés. L’armée française et les moyens aériens venus de métropole  intervinrent rapidement pour secourir la population. Des hélicoptères Bell 47G, trois Amiot AAC.1 Toucan et deux Douglas Dakota évacuèrent 396 victimes dont 147 le premier jour. Moins de deux mois plus tard débutait la guerre en Algérie.

À ce moment, les moyens aériens étaient nombreux. De nouveaux hélicoptères particulièrement performants furent mis en service : l’Alouette II (pour 2 brancards)et un hélicoptère lourd le H-34 (pour 8 brancards) qui avait la capacité de vol nocturne.

Bell 47G

H34

Un autre hélicoptère lourd, le Piasecki H-21, (banane) fut parfois utilisé pour les évacuations sanitaires. 

À côté des Dakota et AAC.1 vieillissants on vit apparaitre le Noratlas, avion très pratique (pour 18 ou 24 brancards selon la configuration) à chargement arrière par plan incliné.


Nord Atlas

Vue de l'intérieur d'un Nord Atlas sanitaire equipé de 24 brancards

 Les conditions d'intervention étaient moins dangereuses qu’en Indochine car pratiquement tous les lieux de soin étaient à moins d’une heure de vol.

Les rapatriements en métropole partaient  des 3 aérodromes d’Oran, Constantine et Alger. Sur la site d'Alger le CTSA 847 (Centre de transit santé Air) assurait une permanence  pour prendre en charge les cas les plus graves. Pour ce faire, il disposait de médecins d’active et du contingent ayant déjà des compétences professionnelles en matière de réanimation. Ce centre était  équipé de divers matériels de couchage , de médicaments, de liquides de remplissage vasculaires, de matériels d’oxygénothérapie et d’aspiration. 

Pendant cette période des progrès significatifs furent accomplis grâce à la formation du personnel, à l’adaptation des progrès accomplis en médecine d’urgence hospitalière aux conditions aéronautiques et à l’expérience acquise par la réalisation d’un grand nombre d’évacuations sanitaires aériennes dont certaines très difficiles.

Au total il y eut environ 113 000 évacués et 38 000 évacuations de rapatriement sur la métropole. Sur ces chiffres l’armée de l’air évacua 30 753 blessés par hélicoptère et l'Aviation légère de l'armée de terre environ 20 000.


Bateaux : le Flying Cloud.

Le Flying Cloud était un Clipper américain, construit par Donald McKay, East Boston dans le Massachusetts pour Enoch Train de Boston et lancé en 1851. Il fut vendu à Grinnell. Minturn & Company de New York et était connu comme le clipper le plus rapide jamais lancé.

Le Flying Cloud quitta New York sous le commandement de JP Cressy en 1851 et atteignit San Francisco en un temps record de 89 jours et 8 heures. Le délai moyen pour les  clippers  est supérieur à 120 jours. C'était remarquable et encore plus lorsque le Flying Cloud a battu son propre record trois ans plus tard avec 13 heures. Il a détenu le record pendant plus de 100 ans, de 1854 à 1989.

Lors du quatrième voyage du Flying Cloud, il a mis le cap sur Hong Kong pour charger du thé. Sur le chemin du retour, le Flying Cloud s'est échoué sur un récif de corail et a commencé à prendre l'eau. Avec des pompes en service 24 heures sur 24, le Flying Cloud est arrivé à New York avec sa cargaison d'un million de dollars intacte.

Lors de son voyage suivant, sous les ordres du capitaine Reynard, le Flying Cloud avait besoin de réparations et fut mis au port pendant quelques semaines à Rio de Janeiro. De là, il  a repris son voyage avec sa meilleure course de 113 jours vers San Francisco depuis New York.

Le dernier passage du Flying Cloud au Cap Horn remonte à 1857, après quoi il fut immobilisé pendant trois ans à New York. Après trois ans de commerce entre l'Angleterre, Hong Kong et l'Angleterre, le Flying Cloud a été vendu à TM Mackay & Company et affecté au transport des immigrants. Elle a fait la navette entre l'Angleterre et le Queensland avec jusqu'à 515 passagers à l'aller et au retour avec des cargaisons complètes de laine.

En 1871, le Flying Cloud a été vendu à HS Edwards, il transporte alors du charbon , de la fonte et du bois.

Le Flying Cloud s'est échoué sur Beacon Island en 1874 et a dû retourner à St. John's, où il est brûlé. 

Blindés : le char Iguane

Le Panzerschnellbrücke Leguan, en français char pont rapide Iguane, est un char du génie lanceur de pont allemand. Il est intégré au sein de formations du génie militaire. Il utilise les composants basiques du char Leopard 2 comme le châssis, le moteur et les systèmes électroniques de contrôle1. Le système est composé d'un pont de 26 mètres de long, ainsi que de deux ponts de 14 mètres de long. Les ponts ont une classe de poids MLC 80.

Revue de kit

En vrai !

 Décors : c'est le chantier !

Figurines : les dragons français

Le régiment de dragons de la Garde impériale est une unité de cavalerie lourde française créée le 15 avril 1806 par Napoléon Ier. En service dans la cavalerie de la Garde impériale jusqu'à sa dissolution en 1815, ce régiment porte aussi le nom de « dragons de l’Impératrice » en hommage à sa marraine, Joséphine de Beauharnais. Sous l'Empire, les dragons forment, avec les grenadiers à cheval, la brigade de cavalerie lourde de la Garde impériale. Suite.

Dragons français 1819

Dragon de ligne 1809

Officier de dragon 1812

Trains

Les TGV Mehano

Mehano propose trois coffrets de TGV pour 100 euros environ.  POS, Thalys et OuiGo. Mais que trouve-t-on dans ces boites ? 

Le contenu des boîtes est semblable : un transfo, un  rond de rails et le TGV. Celui-ci est composé d'une motrice, de deux voitures et d'une fausse motrice. Mais voyons le matériel plus en détail.

Le rond de voies proposé ne met pas vraiment en valeur le TGV. Je l'ai donc testé sur mon réseau.

La caisse est en plastique, une réalisation simple, mais pas sans détails.

Le chassis est en métal. Toutes les roues sont motrices. Gros points positifs !

L'attelage entre la motrice et la première voiture se fait à l'aide d'une pièce en plastique. Il va donc falloir être très prudent sous peine de casse.

Là aussi l'attelage entre les deuxième et troisième voitures est en plastique. 

Les pantographes sont entièrement plastiques, mais jolis.

Côté roulage, ça assure ! Il est capable aussi bien de beaux ralentis que de grande vitesse. 

Pas de détaillage de cabine, pas de lumière non plus.  N'oublions pas qu'on est sur un coffret de démarrage. 

Conclusion : 

Nous avons là un joli produit pour ce prix. Il réjouira les débutants, mais aussi ceux qui ont veulent s'offrir un TGV à prix réduit.


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Le train de l'Ardèche

La construction de la ligne de chemin de fer reliant à l’origine Tournon-sur-Rhône à Lamastre s’est étalée sur cinq années, de 1886 à 1891. Le tracé sinueux a nécessité de nombreux ouvrages d’art bâtis pour accrocher la voie ferrée contre la paroi rocheuse. Inaugurée en 1891, la ligne remonte la vallée du Doux et constitue le seul moyen d’en admirer les paysages sauvages.

Les locomotives à vapeur Mallet, construites en 1903 et 1932, ont été conçues spécialement pour cette ligne par l’inventeur franco-suisse Anatole Mallet. Elles sont dotées d’un châssis articulé leur permettant de s’inscrire dans les courbes serrées de notre ligne à voie métrique.

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Maquette à monter

Macchi MC 72


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Multimédia

Les hydravions de la Grande Guerre.

Le 28 mars 1910, une machine volante décolle de l'élément liquide avant de s'y reposer. Une première mondiale, œuvre du pionnier français Henri Fabre. Le 13 avril 1912, un autre pionnier français, François Denhaut, fait de même avec un engin d'une architecture nouvelle, sorte de canot doté d'une voilure. Coexisteront alors deux types de machines, à flotteurs (floatplane), et à coque (flying boat).

La Grande Guerre impose l'emploi militaire de l'aviation. Dès lors, il s'avère pertinent d'utiliser des appareils marins en environnement maritime (d'autant que les moteurs ont encore à gagner en fiabilité) et pour les mêmes tâches que leurs homologues terrestres, dans un premier temps l'observation. Les spécificités du combat naval vont cependant conduire l'hydravion, opérant au départ de bases côtières, voire à partir de bateaux aménagés, à progresser en puissance et en endurance pour diversifier ses missions : sauvetage en mer, exploration et patrouille (reconnaissance lointaine et protection de convois), bombardement de navires et d'objectifs terrestres, torpillage, et même chasse.

Perfectionné durant le conflit, l'hydravion sera prêt à une exploitation civile dès la fin des hostilités...

Triumph. L'art motocycliste anglais.

Pionnière à ses débuts, la marque au succès populaire incontestable, fut un temps moribonde. Triumph rayonne aujourd’hui sur une large partie du monde, de l’Europe à l’Amérique du Sud, du Japon aux États-Unis. Elle doit en partie sa notoriété à un modèle emblématique : la Bonneville, véritable icône des années 1960 et star de la moto néo-rétro dans les années 2000.

Le constructeur anglais a toujours songé au plus grand nombre, déclinant ses modèles en de multiples versions, portant une attention particulière à l’agrément...

Outillage

Que ce soit pour limer, polir ou souder, on a souvent besoin d'une troisième main. Voici donc quelques outils qui vous simplifieront le maquettisme.

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