AMT Modélisme Magazine n°44

Février 2024

Sommaire

Les principaux titres

Le Transport sanitaire par bateau

Autos :  la Nissan Skyline de Fast and Furious.

L'hélico RC ERA C189

Bateaux : la base de Keroman (3)

Blindés : le Sd Kfz 251 au 1/16

Décors et accessoires

Figurines : Warhammer Stormbringer

Trains : le Zéro


Le Transport sanitaire par bateau

par Jean-Marie B.

Les pionniers du transport sanitaire maritime : la Société des Œuvres de Mer.

Ce sont les armateurs de terre-neuvas qui sont à l’origine des premiers navires hôpitaux. Ils ont créé la Société des Œuvres de Mer (S.O.M) en 1894, cette société avait comme mission première de porter des secours matériels, médicaux, moraux et religieux aux marins sans distinction de nationalité, et plus spécialement à ceux qui se livraient à la grande pêche à la morue. Elle armait des navires-hôpitaux qui avaient pour mission de croiser sur les lieux de pêches, bancs de Terre-Neuve et d’Islande. Un médecin et un aumônier seraient embarqués sur chacun d’eux.

De 1896 à 1933 la S.O.M fit construire six navires hôpitaux et en 37 ans elle a recueilli plus de 500 naufragés ou marins à la dérive sur leur doris . Résultats : 930 navires assistés en mer et de très nombreuses consultations données ; 88 malades hospitalisés et soignés à bord pour un total de 934 journées ; 35 naufragés et armements de doris en dérive recueillis et probablement sauvés ; enfin, plus de 17.000 lettres distribuées.

La dure vie en mer des terre neuvas.

A la fin du 19 ème siècle les pêcheurs partaient à bord de grands trois mats. Les équipages étaient composés d'une soixantaine d'hommes en moyenne avec parfois de jeunes enfants (12 ans), ils partaient pour des campagnes de 6 mois en  moyenne. A cette époque, lorsque la mer n'était pas trop grosse une grande partie de l'équipage embarquait sur des doris (2 hommes par embarcation) et partaient sur les bancs de poissons qu'ils allaient pécher à la ligne et revenaient vers le navire pour faire monter leur pêche à bord. Les plus chanceux pouvaient ramener plus de 60 kilos de poissons en une tournée. A bord, l'autre partie de l'équipage devait vider les poissons, triaient les viscères pour récupérer les foies, en extraire l'huile et saler les morues. 

Les conditions de vie étaient des plus rudes. 

Documentaire sur les terres neuvas :  www.youtube.com/watch?v=kXGq3ypwuv8 

Le Saint Pierre et le Saint Paul (au fond à gauche)

Ex voto du Saint Pierre

L'équipage  du Saint Pierre ; sa première mission

Maquette d'un doris 

A une époque où la grande pêche de la morue employait, rien que pour la France, près de quinze mille marins pêcheurs dans l'isolement le plus total  et une hygiène déplorable, l’urgence d’une pareille entreprise s’imposait. De toutes les régions de France les dons affluèrent. 


A l’été de 1895, la S.O.M mettait sur cale son premier navire hôpital, le Saint-Pierre. C’était un voilier, du type des plus récents trois-mâts employés pour la pêche de Terre-Neuve. A la place de la grande cale à poisson, on avait aménagé la salle d’hôpital, l’infirmerie, les chambres du docteur et de l’aumônier.

Sa carrière, commencée sous de très bons auspices, devait être brève. Armé à Saint-Malo, le 20 avril 1896 et mis à pied d’œuvre le 10 mai sur le Grand banc de Terre-Neuve.  Vingt jours plus tard, par une mauvaise nuit, il s’échoua sur un récif de l’île de Terre-Neuve. L’équipage put gagner la terre, mais le navire était irrécupérable.

En Islande le Saint-Paul, drossé à la côte, s’y éventrait. La voie d’eau ayant pu être aveuglée provisoirement, il fut ramené en France et réparé. L’année suivante il heurta de nouveau des récifs et était, cette fois, irrémédiablement perdu, l’équipage fut heureusement sauvé. Deux navires sur trois perdus en trois ans ; le bilan était lourd pour la jeune Société ! Loin de renoncer, la SO.M. résolut de persévérer.

Le Saint Paul, fut construit sur les mêmes plans que le Saint Pierre .

Le Saint Paul naufragé  en  Islande en 1899

Dès 1900 un don important fut fait à la S.O.M pour la construction du Saint-François d’Assise qui, tout en étant un fin trois mats goélette, était muni d’une machine à vapeur de quatre cents chevaux. 

Pendant plus de dix ans, cet excellent navire sillonna tous les ans, de mars à novembre, les lieux de pêche d’Islande et de Terre-Neuve. Puis il fut réaménagé comme navire de formation pour la guerre. Il prit part aux opérations de Syrie Cilicie en 1919.

Le Saint Yves fut le plus petit et le dernier navire hôpital armé par la S.O.M. C’était une goélette à moteur armée à Saint-Malo. Elle sillonnait les bancs de Terre Neuve durant les 7 à 8 mois de grande pêche pour porter secours ou assister les marins malades ou en perdition. En 1933 la pêche n’ayant pas été bonne aucun navire ne fut armé en 1934. Après qu’une pétition eut circulé d’équipages en équipages, le Saint Yves prit la mer en 1935. Résultat : 17 opérations dont 5 sous anesthésie générale, 20 malades hospitalisés à bord représentant 356 journées d’hospitalisation. En plus du courrier distribué aux marins, il eut à bord une innovation importante : « Radio Morue » qui diffusait des nouvelles sur les bateaux visités et des distractions afin de rompre l’isolement des marins.

Les Navires hôpitaux fluviaux et la première guerre mondiale

Dès le mois d’août 1914, un comité fondé par le professeur Audoin de l’université de Poitiers défend le principe d’un transport des grands blessés par des péniches équipées en hôpitaux.

Le 1ier convoi, de 4 péniches (dont ‘le Kléber’ et ‘l’Ile de France’) d’une capacité de 125 lits sous l’égide de l’Union des Femmes de France, date de novembre 1914 : « PENICHES – AMBULANCES / Convoi n°1 ». De Paris le 5 décembre 1914, il gagne Bar-le-Duc (14/12/1914), il transporte alors 91 grands blessés à Dijon

La péniche « LA DANOISE » sur la Seine, près du pont Alexandre III, à Paris 

Intérieur de la péniche « LA DANOISE » - 30 lits

Péniches « 272 » et « ALBERT » à quai à Lyon

Ce mode de transport fut par la suite largement utilisé :

- en 1916 il permet le transport sur Amiens de 10 000 blessés issus des H.O.E. de Bray-sur-Somme et Cerisy-Gailly, par les péniches ‘Ville de Saint-Dié’ et ‘Ville de Baccarat’

- en 1918 fonctionne un service entre Meaux et Paris, Royallieu et Creil,

- ainsi sont connues quelques lignes régulières :  Soissons à Compiègne sur l’Aisne  -  Compiègne à Creil, Vaux à Pontoise, sur l’Oise  -   Meaux à Choisy-le-Roi sur l’Oise - Meaux à Choisy-le-Roi, sur la Marne et la Seine  Châlons-sur-Marne à Vitry-le-François sur la Marne  - Lyon sur le Rhône.

Les Navires réquisitionnés et transformés en Navires Hôpitaux

 De fait, la première Guerre mondiale fut également l’occasion de transformer des paquebots en navires-hôpitaux, qui reprendront, pour l’essentiel, leurs anciennes fonctions de paquebots la guerre finie. Ils furent une vingtaine de navires ainsi réquisitionnés pour transporter et soigner les blessés.

Le navire hôpital CANADA

A l’origine, nommé SANTA LUCIA ce paquebot de la Compagnie Cyprien Fabre devient le navire hôpital CANADA, réquisitionné le 10 Aout 1914, pour les besoins de la Marine nationale. Sa capacité est alors de 650 lits. 

Durant la Grande Guerre

Il effectua 13 voyages sanitaires entre Marseille et l’Armée d’Orient jusqu’au 29 avril 1916, date à laquelle le navire fut transformé en croiseur auxiliaire. Au cours de ces voyages,    7 592 blessés ou malades furent soignés. Le 26 février 1916, le paquebot réussit à recueillir 500 naufragés du Provence qui venait d’être torpillé.

De 1916 à 1918, croiseur auxiliaire, il prend part à des patrouilles et transports de troupes, en particulier serbes, en Méditerranée.

Durant la seconde guerre mondiale

Il est nouveau réquisitionné comme navire hôpital de 1939 en 1943,sous le n° X 45. Bombardé par deux fois en 1941 sans dommages importants. Il participe au  rapatriement des  français de Syrie et du Liban.

En 1943 il ne fait plus que du transport de troupe et n'est plus réquisitionné en 1945.

Le navire hôpital Duguay-Trouin

Construit en 1884 aux chantiers de la Seyne sur Mer, il effectue plusieurs rotations entre Toulon et l’Indochine sous le nom de Tonkin. En 1885, il est à Madagascar. De mai 1900 à novembre 1901, il est modifié en croiseur école d’application.

C’est le 23 mai 1900, que le Tonkin est transformé en Duguay-Trouin, et devient un transport-hôpital en août 1914.

Il participera, notamment, à la bataille des Dardanelles en 1915. De 1916 à 1918, il est en mer Égée, en effectuant le transport de blessés de Lemnos (Ile de Grèce) à Bizerte et des rotations entre Lemnos et Toulon.

Il est rayé des bâtiments de la flotte, le 18 février 1927, et placé en stockage à Brégaillon (Toulon) jusqu’en 1931. Il est ensuite vendu à la démolition le 26 mai 1937.

Autos : La Nissan Skyline

Altaya vous propose une nouvelle maquette : la Nissan Skyline.

La saga Fast & Furious a plus de 20 ans et est devenue une légende incontestée pour les amateurs de films d'action et de bolides survitaminés. 

De toutes les voitures figurant dans les films de la franchise, cette Nissan Skyline GT-R (R34) pilotée par Brian O'Conner est sans aucun doute l'une des plus emblématiques.

Matériaux de haute qualité : métal injecté et ABS.

Les phares et les néons bleus du bas de caisse et de l'intérieur s'allument.

Le capot, les portes et le coffre s'ouvrent.

Le moteur vrombit et le klaxon sonne.

Télécommande incluse pour activer toutes les fonctions.

La vraie !

 Hélico RC

L'hélico RC ERA C189 - 1/28

>> Ce modèle dispose d'un rotor simple sans pales auxiliaires, d'une structure à 6 canaux à pente variable et d'un gyro à 6 axes pour un vol super stable et applique le principe de l'aérodynamique pour produire l'hélice qui assure une forte poussée et stabilité.

>> Équipé d'une télécommande de roulement standard pour un contrôle plus précis et une meilleure sensation de main. Mode 6G, avec un gyroscope 6 axes pour un vol stable, particulièrement adapté aux débutants.


Bateaux : la base de Keroman (3)

par Nathalie

    3. De 1997 à nos jours : reconversion de la base de Keroman qui devient Lorient La Base :

70 ans après leur mise en œuvre, les bétons de la base s’effritent, les ferraillages s’oxydent, font éclater la couche de surface et causent des infiltrations d’eau. Aussi, une vaste opération de restauration minutieuse est mise en œuvre, permettant de préserver les blockhaus. Pour exemple, le K2 a retrouvé son aspect originel.

A partir de l’année 2000, la base devient un important pôle touristique véritable lieu de promenade, un pôle économique et un pôle d’excellence nautique européen. Elle devient un lieu de mémoire incontournable.

Le Musée Sous-Marin du Pays de Lorient : 

Ce musée, abrité dans la Tour Davis,  a été inauguré en 1999 afin de présenter les évènements de mer intervenus en Bretagne Sud, pendant la seconde guerre mondiale, en particulier l’activité des sous-marins allemands. 

On y découvre un parcours muséographique original créé en intégrant par l’imagerie sous toutes ses formes la mémoire orale, les archives et les vestiges immergés de la seconde guerre mondiale au Pays de Lorient. On y découvre également le  caisson hyperbare et les conditions de sauvetage des plongeurs. Le simulateur de sauvetage de ce musée est le seul accessible au public en Europe. 

Simulateur de plongée

Caisson hyperbare

Le sous-marin Flore-S645 et son musée :

Le Flore, actuellement à sec sur l’ancienne base de Lorient, est l’un des 4 sous-marins visitables en France. Ouvert au public en 2010, son musée, installé dans le K2, permet aux visiteurs de plonger dans l’aventure humaine et technologique d’un sous-marin classique, de s’immerger dans l’univers des sous-marins en découvrant la navigation et  en partageant l’ambiance de la vie à bord lors d’une mission grâce aux nombreux témoignages de sous-mariniers. D’authentiques pièces de sous-marins retrouvées et restaurées, viennent agrémenter la visite du musée.

Des projections spectaculaires nous font revivre 50 ans d’histoire contemporaine de la seconde guerre mondiale à la fin de la guerre froide.

Le Flore est un sous-marin d’attaque au sein de l’escadrille de sous-marins de la Méditerranée, 5è de la série de sous-marins à hautes performances de type Daphné,  de 869 tonnes en surface et 1 043 tonnes en plongée, est en service actif de fin décembre 1964 à 1989. 

Il mesure 57,75 mètres de long, 6,74 mètres de large et 5,25 mètres de tirant d’eau. 

Il comprend 50 à 60 hommes d’équipage dont 6 officiers, 24 officiers mariniers, 20 quartiers maîtres et marins  : la vie à bord y est très spartiate. Ils effectuent des missions de 30 jours. En comparaison, l’équipage d’un sous-marin nucléaire de dernière génération (SNLE-NG) est composé de 111 membres, qui effectuent des missions de 70 jours !

Il est équipé de 12 tubes lance-torpilles (16 missiles et 4 tubes torpilles pour le SNLE-NG)... 

La profondeur d’immersion maximale est de 300 mètres, celle d’immersion de destruction est de 575 mètres. 

Le Flore est très actif durant la guerre froide : il sert à maintenir une force de dissuasion française dans les eaux internationales. Il a parcouru l’équivalent de 15 fois le tour du monde, 594 222 km, dont 41 000 heures en plongée et 12 544 heures au Schnorchel. 

Sa dernière plongée a lieu en 1989 en Méditerranée. Il regagne la base de Lorient,  est d’abord mis en retrait du service actif en mars 1989 puis en situation de réserve en juin 1989. Il est ensuite mis à sec en 1995 et positionné sur le slipway devant une alvéole du K2 en vue de son utilisation muséographique. 

Le poste d'équipage

Les sanitaires :

2 pour tout l'équipage !

Le carré des officiers

La cuisine

Le périscope

Le sonar

Le principe du sonar.

Tableau de plongée

Auxiliaires

Commande des tubes lance-torpilles

Blindés : LE Sd Kfz 251

Le Sonderkraftfahrzeug 251 (Schutzenpanzerwagen Sd.Kfz. 251) (en français : « véhicule spécial à moteur no 251 ») était un véhicule militaire blindé allemand semi-chenillé de combat, construit et utilisé de 1939 à 1945.

Sa classification dans l'armée de terre allemande correspond à Schützenpanzerwagen (Véhicule blindé d'infanterie).

Il était essentiellement destiné à équiper les Panzerdivision et les unités de Panzergrenadier, et partageait de nombreux éléments mécaniques avec le Sd.Kfz. 7.

L’idée initiale qui mena au 251 fut de disposer d’un véhicule apte à suivre les Panzer, et pouvant transporter un peloton d’infanterie sur le champ de bataille, le protégeant des tirs d'armes légères et des éclats d'obus. Finalement, en moyenne, le blindage fera 8 mm d'épaisseur, sauf pour le nez de 14,5 mm et le capot de 10 mm; le plancher de 5,5 mm était insuffisant pour résister à une mine. L’absence de toit rendait l'engin vulnérable aux tirs de l'aviation, aux jets de grenades, aux projectiles de mortiers… Malgré ses défauts, le 251 s’avéra efficace, s'adapta aux exigences des combats, mais sa production fut modeste et il ne put profiter à l'ensemble des Panzergrenadier, qui restèrent largement tributaires des camions. Il était prévu de le remplacer courant 1945, ou en 1946, par un véhicule de combat d'infanterie entièrement chenillé, basé sur le châssis du Panzer 38(t), et qui aurait pris le nom de Kätzchen. Suite de l'article.

La maquette Trumpeter au 1/16

plus de 800 pièces !

Un véhicule restauré

Le Sherman du mois

Le Sherman 

de Mézières sur Ponthuoin (72)

C’est ici qu’eurent lieu le 10 août 1944 les premiers combats meurtriers de la 2e Division Blindée sur le sol de France.  

Ce char SHERMAN offert par le ministre de la défense, Charles MILLION, a été inauguré le 27 octobre 1996.

 Décors et accessoires

Green Stuff propose une gamme de feuillage intéressant pour les échelles 1/48, 1/35. Présentés sous la forme de filets, vous pouvez les utiliser pour réaliser des arbres, des plantes grimpantes, des bosquets selon les espèces. Elles sont en disponibles en plusieurs coloris afin de s'adapter à la saison de votre choix.

Le feuillage chêne vert foncé

Le feuillage bouleau jaune

Le feuillage érable

Figurines : Warhammer stormbringer

PLONGEZ DANS LES ROYAUMES MORTELS AVEC WARHAMMER AGE OF SIGMAR : STORMBRINGER !

Dans votre maison de presse , semaine après semaine, collectionnez deux armées époustouflantes de figurines tout en vous initiant aux bases du hobby Warhammer, de l’assemblage des unités aux règles nécessaires pour livrer bataille.

Le N°1 : 3 figurines pour 3 euros !!

Présentation de la collection

Découvrez la légende.

Trains

Le Zéro, c'est quoi ?

C'est l'ensemble des trains à l'échelle 1/43 pour les puristes, mais on y trouve aussi du 1/45 ou du 1/48. C'est du gros matériel. On peut donc y apporter du détail.

Le  Zéro, c'est cher ?

Il est possible de trouver des matériels jouets, spécialement en période de Noël. Des wagons-jouets n'auront évidemment pas de prétention à l'authenticité, mais, avec un joli travail de peinture, ils peuvent être très agréables à regarder. Avantages : un petit prix,  pas de pièces fragiles, ils sont donc adaptés à de jeunes enfants.

Les matériels d'occasion sont une autre façon de s'équiper à peu de frais. Réédition Hornby Hachette, anciens matériels Faller... pour moins de 100 euros vous avez un train complet.

Train-jouet à 36 €

Quand Faller faisait du matériel roulant.

La série Hornby Hachette

Le  Cercle du Zéro 

L'association réunit des membres répartis dans toute la France, l'Europe (et même plus ! ), partagée en régions, ayant chacune une grande autonomie dans leurs modes de fonctionnement. 

L'association organise des manifestations et participe activement à bon nombre d'autres. Elle a créé une boutique pour des achats groupés destinés à ses membres, et fait fabriquer spécialement des pièces. L'association propose aussi des modèles uniques, étudiés bénévolement par des membres. 

Plus d'infos.

CHREZO a été fondée en 2014 afin de proposer des modèles accessibles aux amateurs souhaitant acquérir du matériel ferroviaire SNCF à l’écartement Zéro, sans disposer de l’habilité, de l’outillage ou des moyens financiers en conséquence.

Pour satisfaire cet objectif, nous avons tissé des liens avec les principaux acteurs industriels du domaine, MTH et Lenz qui avaient déjà bien commencé à défricher le chemin … L’année 2016 a vu la réédition du wagon couvert à frises de bois Gs4-01 de la SNCF en partenariat avec Lenz, qui a constitué le point de départ de cette aventure.

Boutique et catalogue.

Maquette à monter

LR Presse vous propose des maquettes en papier à l'échelle 1/87.  Faciles à monter, elles feront la joie des maquettistes débutants. Vous pouvez aussi retouver ce type de maquettes dans la revue bimensuelle "Clés pour le train miniature". Dans le numéro de ce mois-ci, un projet original : un bar en forme de... Zeppelin !

Salons et expositions

C'est gratuit !

Multimédia

L'ouvrage indispensable pour des compositions réalistes.

Mal connus, les navires-hôpitaux français ont participé à l'ensemble des conflits du XXe siècle, de la guerre des Boxers à celle du Golfe. L'ensemble de la flotte hospitalière française est étudié ici. Précisions chronologiques, riche iconographie et rappels historiques permettent de mieux comprendre le rôle important de ces navires et des navires d'assistance médicale à la grande pêche.    Livre.

Ambulance 13

Il s'appelle Louis-Charles Bouteloup. Fraîchement diplômé de la Faculté de Médecine, il se retrouve en première ligne, à Fleury, en décembre 1915. 

Il commande une ambulance hippomobile, surnommée l'As de Pique parce qu'elle est connue aussi bien pour le courage de ses infirmiers, que pour leur manque de soumission au Règlement. 

Bouteloup est un nom qui compte en politique, car le baron Horace, père de Louis, est député, lieutenant-colonel et proche du général Pétain. 

Cette relation privilégiée, loin de le protéger, fera du jeune officier une cible désignée pour les ennemis de l’élu, entre autres le redoutable Georges Clemenceau. Néanmoins, Louis accomplira la tâche épouvantable que la guerre lui impose, en essayant de préserver un humanisme auquel il est attaché jusqu’à la rébellion…


Décembre 1944. Alors que l’issue de la Seconde Guerre mondiale semble scellée, un sous-marin quitte l’Allemagne, emportant avec lui ce qui pourrait être l’ultime espoir d’Hitler pour gagner la guerre.... BD

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