Lettre 36

Mai 2023

Jean-Marie vous propose une série d'articles sur les véhicules sanitaires.

1ère partie : 

Sommaire

Les principaux titres

Petit historique du transport sanitaire

Le transport sanitaire terrestre

Blindés

Décors et accessoires

Figurines

Trains : Märklin, la troisième voie.


Petite historique du transport sanitaire

Préambule

Je vous propose de me suivre dans mon travail d'information sur l'évolution du transport sanitaire.


Ce n'est pas une étude exhaustive, loin de là.  Elle trace l'évolution des moyens mis en œuvre par l'homme pour déplacer et soigner ses congénères.

Ce premier article traite avant tout du matériel militaire puisque ce sont les guerres qui ont provoqué ce besoin.

Je n'ai pas traité de toutes le guerres ni de tous les pays engagés. J'ai simplement voulu montrer l'évolution avec des documents que j'ai pu trouver.

Jean-Marie

On commence à trouver quelques traces de la fonction d’ambulancier dans l’antiquité. Si la majorité des peuplades de l’âge de Bronze exécutaient leurs blessés sur le champ de bataille, les l’Egyptiens ou les armées de l’Empire Romain préféraient évacuer et soigner leurs blessés.

Les premiers ambulanciers sont simplement des soldats qui devaient soutenir ou transporter  leurs camarades. Ce sont les armées  romaines qui finirent par organiser un  véritable système hiérarchisé avec des médecins et des auxiliaires chargés des premiers secours et du transport.

Après la chute de l’Empire Romain, ce n'est qu'en 1590 sous le règne d’Henri IV, que l’armée royale française affecte du personnel au relevage et au transport des blessés. Ce personnel n'avait pas de moyens et se débrouillait en réquisitionnant sur place le matériel selon les besoins. (Exemple: Les caisses d’artillerie qui amenaient les munitions étaient réutilisées pour le transport des blessés une fois vides).

Dominique Larrey

Pierre-François Percy,

En France,  c'est à partir du XVII ème siècle que le ministère de la Guerre cherche à créer les premières ambulances. C’est en Novembre 1792, qu’il fut demandé  à certains concitoyens de proposer des modèles de véhicules permettant d'associer « la commodité des malades à la solidité de la construction ».

Il a donc encore fallu attendre 1794 et le chirurgien militaire Dominique Larrey , pour voir la naissance des premières ambulances. Ces ambulances, dites « volantes », pouvaient suivre les soldats sur le champ de bataille. Elles prenaient en charge les blessés afin de les rapatrier vers les zones de soin. Mais ce n’était guère qu’un chariot couvert, tiré par deux ou quatre chevaux, avec un système de brancard coulissant sur des cylindres.  


Les ambulanciers étaient appelés des « Despotats »: militaires et secouristes ils conduisaient ces ambulances puis partaient à pied relever toutes les victimes, sans distinction de nationalité ni de grade.


Quelques années plus tard son confrère, le chirurgien militaire Pierre-François Percy, fut à l’origine du concept d’ambulance médicalisée. Un véhicule équestre qui installait les médecins à califourchon sur un coffre dans lequel était entreposé le matériel médical.

En 1813, Dominique Larrey et Pierre-François Percy unissent leurs efforts pour créer la fonction de brancardier militaire. Ils conçoivent ainsi un brancard démontable dont chaque hampe était constituée par la lance d’un brancardier militaire.

Percy imagina également un brancard démontable dont chaque élément était constitué de la lance d’un brancardier. Celui-ci était de plus équipé de moyens de soins à l’intérieur de son shako.

Plus tard en 1870, aurait eu lieu la première évacuation sanitaire aérienne en ballon lors du siège de Paris sans certitude cependant.

Le transport sanitaire terrestre

Les transports militaires :

Les premières ambulances furent hippomobiles jusqu'à la première guerre mondiale

Les ambulances des guerres napoléoniennes

Maquette de l'ambulance volante de Larrey

En 1792, à la bataille de Spire, un jeune chirurgien, Dominique Larrey, eut l’idée de créer les ambulances volantes qui permettraient d’amener les secours au cœur des combats et de rapatrier les blessés. Ce n'est qu'en 1797 lors de  sa participation avec Bonaparte à la bataille d’Italie qu'il vit son projet se réaliser. Il en sera félicité par Bonaparte.

 L'ambulance volante de Larrey ne se généralisera vraiment qu'en 1812 et seule la garde de l'empereur en sera correctement dotée.

Cette voiture d’intervention rapide, attelée à quatre ou six  chevaux, était précédée par le chirurgien major qui décidait du lieu d’intervention. Le caisson, nommé Wurtz,  renfermant les appareils et instruments chirurgicaux,  était conduit par deux postillons. Il transportait les infirmiers, les chirurgiens et, éventuellement, des blessés légers. 

Deux types de voitures furent utilisés; la voiture légère à deux roues, tirée par deux chevaux, et la voiture à quatre roues, destinée surtout aux pays de montagne, à la caisse plus longue que la précédente et attelée à quatre chevaux.

La première transporte deux blessés couchés. Sur le plancher se trouve un "matelas" rembourré de crins et monté sur rail, sur lequel le chirurgien peut panser le blessé. Sur les côtés intérieurs se trouvent des poches contenant du matériel chirurgical et des pansements.

La Croix Rouge et l'aide aux secours des populations civiles.

24 juin 1859 : Acte fondateur de la Croix-Rouge à Solférino.


Témoin de la bataille de Solférino, un citoyen suisse, Henry Dunant, improvise des secours avec le concours des populations civiles locales. L'aide humaniste apportée aux soldats des deux camps sans discrimination est l'acte fondateur de la Croix-Rouge.

La question de l'évacuation et du transport des blessés devient un point central. Les ambulances, par leur suspension et leurs améliorations techniques, n'ont plus rien à voir avec les voitures de Larrey et les charriots bâchés de la moitié du XIXème.  

Maquette voiture lègère d'ambulance 1874

Grande voiture d'ambulance omnibus

Départ de Paris d'une des premières ambulances de la Croix Rouge

Ambulance "wagon " 1865

Ambulance Portugaise à l'exercice

Ambulance embourbée à Verdun

Il a fallu également adapter les moyens de transport aux différentes régions de conflit (dromadaire pour les régions désertiques africaines ; mulet et brouette ambulance pour les régions de montagne)

L'utilisation d'un véhicule à traction animale pour les secours aux blessés n'aura durée qu'une centaine d'années. Cette période a correspondu à l'arrivée des guerres modernes et de leurs massacres de masse, l'ambulance à cheval aura permis de soigner des centaines de milliers de blessés des champs de batailles du I° empire à ceux de 1914-1918.

La première guerre mondiale et la mécanisation du tranport sanitaire

Au début de la guerre les matériels hippomobiles ont encore été utilisés. Ils ont été très vite remplacés par des matériels automobiles. Les constructeurs ont rapidement adapté leurs camionnettes de livraison  (Ex: Renault type DB) ou leurs véhicules de transport en commun (Ex: Omnibus Brillé-Schneider , Compagnie  Générale des Omnibus ).  Selon la position géographique des combats, les blessés pouvaient également être dirigés vers des convois ferroviaires. 

Au début de la guerre, l’armée française ne possédait que 170 véhicules en propre mais elle a pu réquisitionner 6 000 à 7 000 véhicules et les 1 049 autobus de la CGO (ancêtre de la RATP), dont les personnels sont militarisés. 

Face à ces besoins, l’industrie automobile française a fourni 72 % des 120 609 châssis de tous modèles réceptionnés par les services de guerre français, le reste étant fourni par les importations américaines, italiennes et suisses. Les ambulances sont essentiellement fournies à partir de 1916 par Fiat et Ford (le modèle T) mais de nombreux autres constructeurs ont aménagé certains de leurs modèles pour le secours aux blessés. Les camions et les matériels engagés sur la Voie sacrée sont tout autant des Renault, des Peugeot ou des Berliet, des autobus de la CGO que des camions américains White. 

Embarquement de blessés dans un train sanitaire avec l'auto chir (hôpital chirurgical)

Omnibus Brillé-Schneider transformé en unité chirurgicale

Omnibus Brillé-Schneider  transformé pour le transport des blessés.

Ambulance Renault  type BD

Les Petites Curies

 Dès le début de la guerre, Marie Curie équipe une première camionnette de matériel de radiographie et se rend sur le site de la bataille de la Marne. Pour financer son projet elle fait appel à des bonnes volontés comme la princesse Murat qui lui donna sa propre limousine. Elle offrira 18 voitures à la nation.

En plus de l'aide du docteur Claudius Regaud, un de ses collaborateurs qui travaille sur le traitement du cancer par la radiothérapie, Marie Curie reçoit celle de sa fille âgée de 17 ans, Irène. Elle équipe rapidement d'autres véhicules, surnommées par les soldats « les petites Curie ». De nombreux  soldats français seront soignés, évacués et sauvés par cette nouvelle invention de Marie Curie. Suivant les différents fronts, son œuvre devient reconnue et la radiographie, qui était jusque-là surtout un amusement pour le public, devient une aide précieuse pour la médecine.

Marie Curie au volant de sa camionnette de radiologie

Vue de schématique de l'équipement d'une petite curie

Colonne du détachement d'ambulances russes. 

Au premier plan se trouve une Austin-8. Pétrograd, 1915

Ambulance anglaise

La Ford Model T

Dès la déclaration de guerre, l’ambassadeur de France aux États-Unis, Jusserand, reçoit de nombreux courriers de sympathie accompagnés de sommes d'argent. Des œuvres philanthropiques et des organisations d'aide aux blessés se créent, tant en Amérique qu’en France, l'une d'entre elles, l’American Field Service, joue un rôle prépondérant. Cette unité assure le transport des blessés du front vers l’hôpital américain de Neuilly, dont la fondation remonte à 1910, ainsi que les transferts depuis cet établissement vers les lieux de convalescence. Elle utilise des voitures Ford « modèle T », dont la fiabilité et la facilité d’utilisation se révèlent très précieuses. 

Ambulance américaine de la première guerre mondiale : Ford Model T 1917 ICM® échelle 1:35. 

Les ambulances à moto 

Les motos ont été utilisées pendant la Première Guerre mondiale par les Britanniques, les Français et les Américains. Elles avaient les avantages de la légèreté, de la vitesse et de la mobilité par rapport aux véhicules plus gros. La version américaine avait deux civières disposées l'une au-dessus de l'autre. L'ambulance française utilisait un side-car qui contenait un seul patient, qui pouvait soit s'allonger, soit s'asseoir. 

La Croix-Rouge britannique a utilisé une moto NUT de 8 ch (6 kW) avec un side-car à deux étages comme la version américaine. Au cours des tests, il n'avait besoin que d'une zone de virage de 9 pieds (2,7 m), contre 35 pieds (11 m) pour une ambulance automobile, et avait une consommation de carburant inférieure de 4,3 à 3,6 L/100 km, contre 20 à 14 L/100 km pour les voitures ambulances. Grace à leur légèreté ils étaient moins susceptibles de se coincer et pouvaient être poussés plus facilement qu'un gros véhicule. 

Démonstration de chargement side-car  américain 1918 

Ambulance side-car française 1918

La moto pourrait être une Clyno, bicylindre en V britannique 

Cette Harley-Davidson est attelée à une caisse française Vannod  

 Difficile à maîtriser, le cyclecar bédélia avec sa transmission par deux courroies (une sur chaque roue) 

Les ambulances système D

6 roues 

4 roues à pédales

Bi-tamdem

Le Sherman du mois

Le char SHERMAN commémoratif « Chemin des Dames » de GRUSSENHEIM (68)

Ce Sherman appartenait au 501e régiment de char de combat de la 2ème Division Blindée. Ce char a été détruit le 26 janvier 1945 à environ 1 km de l’endroit où il est érigé aujourd’hui.

GRUSSENHEIM  26 janvier 1945.

"Nos quatre chars, eux, se lancent à l’attaque. Tout soutien d’infanterie est impossible, car les fantassins ne peuvent progresser à pied dans la neige, tant elle est épaisse ; cela promet de barder, à en juger d’après les cinq chars français qui ont été mis hors de combat quelques heures plus tôt, et que nous voyons encore en train de brûler. L’ennemi dispose de quatre de ses trop fameux 88 automoteurs, type Nashom, les plus puissants de ses antichars.

Tout à coup le chef de char du Chemin des Dames aperçoit une masse sombre : c’est un des Nashom. Il ouvre instantanément le feu, et en un clin d’œil l’automoteur allemand brule comme une torche. Mais à son tour le Chemin des Dames est pris à partie par un deuxième Nashom. L’Allemand a bien visé, le Chemin des Dames est atteint de plein fouet. Le chef de char, Pierre de la FOUCHARDIERE bien que sévèrement blessé, réussit à sauter à terre, mais notre camarade MAGER n’a pas cette chance : gravement touché, il parvient à grand peine à se hisser hors du char au milieu des flammes, mais ses forces l’abandonnent… "    

 Décors et accessoires

Il faut bien le dire : faire des maquettes se résume souvent aux trains, aux véhicules militaires et aux camions ou voitures. Et si on s'offrait un peu de poésie, un brin de légèreté dans ce monde de...  mecs. Voici donc quelques décors rafraichissants et pleins de rêves.

La boutique de fleuriste au 1/24

Chez le magicien

Figurines

L'univers de Warcraft s'est bien étendu depuis le premier jeu vidéo. C'est devenu un jeu de société. Voici trois figurines à imprimer en 3D.

Le jeu vidéo d'origine et son évolution à travers les versions

Téléchargez le jeu d'origine ici

Warcraft :  le film

Vous avez envie de refaire une partie de Warcraft 1 ou 2 ? Contactez Eric (AMT).

Trains Märklin

Visite de l'usine Mârklin

Un joli coffret pour les enfants à la marque "Haribo". On notera le système novateur de télécommande.

Märklin - Trix

Souhaitant également être présente sur le marché majoritaire du "2 rails", Märklin diffuse ses produits sous la marque TRIX. On y retrouve le même matériel, y compris son système de voie ballastée.

Märklin

La société Mârklin est fondée à Göppingen en 1859 Elle fabrique des accessoires de maisons de poupée. Ce n'est qu'un peu plus tard qu'elle se spécialise dans les jeux de construction, petites machines à vapeur, véhicules routiers et train à traîner.

En 1891, les fils du fondateur de la société fabriquent un premier train à mouvement d'horlogerie avec voie modulaire en forme de 8. C'est elle qui va peu à peu imposer des écartements de voie qui deviendront les standards internationaux actuels. C'est d'abord en 1891, le 1, puis l'échelle 0 soit le 1:45 avec une voie de 32 mm d'écartement.

Dès 1935, le fabricant introduit l'échelle 00 (1:76) qui préfigure l'échelle HO, les deux systèmes compatibles utilisent une voie de 16,5 mm d'écartement entre deux rails, devenue le standard international. L'alimentation du matériel roulant fait appel au courant alternatif 20 volts, l'inversion du sens de marche par une surtension momentanée du courant envoyé dans la voie.

En 1972, considérant ne pas pouvoir se démarquer de la concurrence avec l'échelle N (1:160), la société présente l'échelle Z (1:220 avec une voie de 6,5 mm d'écartement).

Le système Märklin est basé sur l'usage d'un troisième rail inséré dans le ballast avec des picots dépassant de la voie pour assurer un contact électrique. Les deux rails extérieurs sont connectés électriquement. Ceci permet un câblage simplifié notamment sur les boucles de retournement. Ce système de troisième rail était déjà utilisé par les marques en "O" comme JEP.

Trois gammes de voie existent (de gauche à droite) :

Le système Märklin est incompatible avec les matériels des autres constructeurs. Les roues étant reliées électriquement causent des courts-circuits sur les voies classiques « 2 rails à courant continu ». Le profil des roues est aussi différent (norme NEM 340). Donc, vous devez changer les essieux des wagons.

On visite un lieu historique : Musée Nièpce (71)

Le Musée de la photographie

La photographie : un objet technique, esthétique et social

L’ambition du musée Nicéphore Niépce est d’expliquer les ressorts de la photographie depuis son invention par Niépce jusqu’à l’image numérique. Ses collections regroupent près de trois millions de photographies et d’objets offrant la possibilité d’un parcours toujours renouvelé au fil des visites. L’utilisation de dispositifs interactifs, des technologies les plus sophistiquées, permet d’aller plus loin dans la compréhension du monde photographique.

Le musée est conçu comme un parcours initiatique autour des grands principes de la photographie. Les tirages professionnels y côtoient les épreuves amateurs. La presse illustrée y tient une place importante en tant que support essentiel à la diffusion planétaire du médium.

Pièce centrale des collections : la Chambre de la Découverte, premier appareil photographique au monde utilisé par Nicéphore Niépce, inventeur auquel une salle est consacrée dans le parcours.


28 Quai des Messageries, 71100 Chalon-sur-Saône 


Visitez la France en petit train

L'Autorail Limousin (Cahors)

Le charme des autorails d'antan...

C'est à bord de nos deux autorails des années 60 -l'X2844 et l'X2907- que vous admirerez sous des angles souvent inédits la beauté des paysages...

Laissez-vous embarquer pour des voyages qui resteront gravés dans vos mémoires.

Laissez -vous bercer pour un voyage au charme rétro, confortablement installés dans une ambiance familiale et conviviale.

Que vous soyez seul, deux, en famille ou en groupe, l'Autorail Limousin vous attend..

Maquette à monter

LR Presse propose tout un ensemble de bâtiments en carton à monter. Une collection idéale pour les enfants. 

Pour 12,50 €, vous avez de 4  à 8 bâtiments. L'échelle utilisée est le HO (1/87ème).

Salons et expositions

Multimédia

Histoire de l'ambulance

L'ambulance 1/14 a été engagée sur tous les fronts importants de la Première Guerre mondiale, notamment à Verdun, de mars à décembre 1916, mais aussi dans les Vosges et en Alsace, sur la Somme, etc. Les livres traitant des ambulances sont très rares et celui-ci comble un vide, d'autant qu'il est illustré de plus de 340 photographies totalement inédites, prises par le médecin-major Joseph Brenac. Son petit-fils a mené des recherches en archives pour mener cette étude passionnante. A lire.

Ambulance 13

Il s'appelle Louis-Charles Bouteloup. Fraîchement diplômé de la Faculté de Médecine, il se retrouve en première ligne, à Fleury, en décembre 1915.Il commande une ambulance hippomobile, surnommée l'As de Pique parce qu'elle est connue aussi bien pour le courage de ses infirmiers. Louis accomplira la tâche épouvantable que la guerre lui impose, en essayant de préserver un humanisme auquel il est attaché jusqu’à la rébellion...  BD, 5 volumes parus.

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Outillage

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