Lettre 11
Mars 2021
Cette lettre est la vôtre : n'hésitez pas à proposer ou demander des articles sur un sujet précis. talantamt@gmail.com
Les principaux titres
Le 100 tonnes Berliet : un camion pas comme les autres.
Un russe dans les nuages : Le Lavotchine La-5
La marine d'eau douce
Les blindés de la première guerre mondiale : la suite.
Les maquettes de Louis XIV.
Trains : les autres clubs.
Les diodes font de la résistance.
Certains éléments présentés dans ces pages sont en anglais ou en allemand. Pour ceux qui sont fâchés avec les langues étrangères, voici un tutoriel qui vous permettra de traduire presque toutes les vidéos de YouTube.
Vous avez un produit avec une documentation en anglais et vous aimeriez bien la traduire. Voici un tutoriel utilisant Google Drive.
Votre documentation est sur papier : vous devrez retaper le texte dans DeepL (qui est bien meilleur que Google Traduction). Astuce : essayez d'abord de retrouver le document sur le site du constructeur de vitre maquette, puis procédez par copier-coller.
Enfin, si vous souhaitez lire des pages web, vous pouvez les traduire automatiquement en utilisant le navigateur Google Chrome.
Vous pourrez retrouver facilement ces informations sur la page d'accueil.
Camion... géant !
Le 100 tonnes Berliet
Alors que la prospection de pétrole dans le Sahara est en plein développement, Berliet conçoit un camion géant de 100 tonnes et 600 chevaux.
Les T100, construits à quatre exemplaires, sont les plus grands camions du monde produits à l'époque.
Conçu pour la recherche de gisements d'hydrocarbures, le Berliet T100, lancé en 1957, n'a jamais connu le succès commercial escompté.
Aujourd'hui il reste le T100 N°1 exposé dans un parc fermé à Hassi Messaoud en Algérie et le T100 N°2 restauré en possession de la fondation Berliet. Plus d'infos ici.
C’est grâce à l’audace de quelques géologues français que l’exploration pétrolière du Sahara a commencé en 1952, dans une incrédulité quasi-générale.
Les premières découvertes (1952-1955) ne concernent que des accumulations de gaz sec, alors regardé comme un objectif mineur. Les découvertes d’huile ne se produisent qu’au début de l’année 1956, d’abord dans la bordure méridionale du bassin avec Edjeleh, puis Tiguentourine, par la CREPS. En juin, un indice d’huile est découvert dans le nord, près de Ouargla ; enfin survient en juillet 1956 la découverte du champ géant de Hassi Messaoud. Ces découvertes valent une visite du général de Gaulle sur le chantier de Hassi Messaoud en mars 1957.
La maquette de la Fondation Berliet.
Autres maquettes.
Le camion à l'exposition Rétromobile 2019.
Le DVD de la Fondation.
Un documentaire de 1957 : "Pétroliers des sables". La vi quotidienne sur une station de forage.
Un documentaire de 1958 : "Exploitation du pétrole en Algérie". L'installation des pipelines.
Un livre sur le 100 tonnes de la fondation Berliet.
L'emblème Berliet
Une locomotive… pourquoi ?
Au début de l’aventure automobile, les premiers constructeurs ne pensent pas à créer un sigle publicitaire, leur image de marque se forge à travers les performances techniques. Berliet ne fait pas exception, même si en 1903, il sort un catalogue décoré d’un premier logo : le M et le B de Marius Berliet entrelacés. A l’époque, seule la signature « Berliet » en laiton apposée sur le radiateur, permet au public d’identifier facilement la marque du véhicule.
En 1905, la réputation des châssis Berliet a déjà franchi les frontières. Aux États-Unis, l’American Locomotive Company (ALCO) qui fabrique des locomotives, souhaite se diversifier dans la construction automobile. Le président d’ALCO Monsieur PITKIN choisit les voitures Berliet dont la puissance, la solidité et l’endurance répondent le mieux aux exigences américaines. Il propose à Marius Berliet l’achat de la licence de fabrication de 4 automobiles contre le versement comptant de 500 000 francs or, la fourniture de pièces coulées et forgées, la construction d’une usine dans l’état de Rhode Island et le paiement de royalties. Le contrat est signé le 1er juillet 1905 pour 3 ans. Cette somme permet à Marius Berliet l’achat et la mise en place de l’équipement nécessaire à une production en série. C’est grâce à elle que Automobiles M. Berliet commence son extraordinaire essor.
Le sigle de la locomotive américaine apparaît sur les catalogues Berliet dès 1906 en témoignage de ce contrat providentiel ! Sur le porte-clés coloré, on retrouve le logo sur le petit camion qui entre et sort du garage lorsque l'on le penche.
L'aventure saharienne verra apparaitre une nouvelle déclinaison de l'emblème avec la Croix du Sud. (Porte-clés gris.)
Merci à Jean-Marie l'idée de l'article et pour le prêt des objets.
Un russe dans les nuages : le Lavotchine La-5
Lavotchine La-5
Le Lavotchkine La-5 (en russe : Лавочкин Ла-5) était un avion de chasse monoplace soviétique de la Seconde Guerre mondiale conçu par Semion Alexeïevitch Lavotchkine en 1941. Cet appareil était construit entièrement en bois et composites. Le moteur était logé dans une ossature en acier soudée. Le La-5 se distingua en particulier lors des durs combats au sud de l'URSS et il reçut le surnom de "sauveur en bois" lors de la bataille de Stalingrad. En mars 1943 le nouveau moteur à injection directe Shvetsov M-82FN fut installé : le La-5FN, vit le jour. Ce modèle avait une entrée d'air caractéristique tirée entièrement vers l'avant et le dos du fuselage situé derrière le cockpit abaissé. Le La-5FN fut également utilisé par la 1re division mixte tchécoslovaque constituée à partir de 1943/1944 et il continua de voler en Tchécoslovaquie après la guerre sous la désignation S-95. Au total environ 10 000 avions, toutes versions confondues, furent fabriqués.
Plus d'infos ici.
Un film d'époque (validé par le commissaire politique !)
Un La-5 radio-commandé.
Le montage de la maquette Zvezda au 1/48ème.
Le Lavotchine La-5 FN selon Dominique
A l’orée de l’an 2 Covid 19 , j’ai eu l’envie de me lancer dans la réalisation d’un diorama comprenant 2 avions russes pendant la 2ème guerre mondiale avec figurines et véhicules. Possédant depuis de nombreuses années le kit au 1/48 du LAVOTCHKINE LA-5 FN de ZVEZDA ,j’en ai donc débuté le montage avec l’idée de lui joindre un congénère, en l’occurrence le YAKOVLEV YAK-3 du même fabricant.
Si la maquette restitue bien les formes et dimensions du chasseur russe, elle date de 2007 et elle n’est pas vraiment facile à monter, ce n’est pas du TAMIYA et de loin.
Lorsque mon ami Eric m’a demandé de lui préparer un petit reportage sur le montage d’une maquette et son diorama le gros de la construction était terminé , ce qui explique le manque de photos sur le montage lui même.
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Après un masticage sévère pour obtenir une belle surface ( une brouette de mastic est nécessaire ) je commence la préparation peinture.
Une première couche aluminium TS 30 Tamiya permet de visualiser les petits défauts qui m’aurait échappés et de pouvoir réaliser plus tard quelques éraillures .
Par expérience je laisse sécher la peinture 24 h entre chaque couche, cela évite les marques de doigts et l’arrachage de la peinture lors du masquage.
En parallèle à la construction des avions, je débute la réalisation du diorama.
Pour celui-ci j’ai récupéré le support d’un ancien diorama que je jugeais trop basique. Après dépose du décor existant et peinture du cadre , je positionne des murets éboulés en résine ( FORGEWORLD WARHAMMER ) préalablement recouvert d’une couche de "primer" blanc Tamiya .
Face à ces murets, je colle un morceau de polystyrène extrudé de 20 mm destiné à créer un relief entre les murets et le chemin. Le terrain d’aviation est recouvert d’un panneau du même produit, mais de 5mm d’épaisseur pour varier les reliefs.
L'ensemble est travaillé au papier de verre grain 60 puis 80 pour la mise en forme .
Le temps de séchage écoulé, la maquette du LA 5 est reprise pour une ultime séance de masticage, ponçage et regravure des détails de structure effacé par le ponçage puis un nouveau voile de TS 30 est repassé sur l’ensemble. Après séchage ( 24h ), masquage du capot moteur pour peinture rouge sur celui-ci puis peinture de la bande blanche de fuselage .
Pendant que la peinture sèche , je reprends le diorama pour la mise en peinture des murets. Un lavis brun très foncé (panel line Tamiya ) est appliqué directement sur le primer blanc puis d’un léger brossage blanc pour éclaircir les arêtes. Ce travail terminé le diorama est recouvert grossièrement d’une bonne couche d’enduit de rebouchage genre POLYFILLA puis travaillé avec un pochoir mouillé pour donner un effet sol de terre. Lorsque l’enduit commence de sécher, il faut imprimer des traces de et pneus dans le frais car il est impossible de réaliser cette opération lorsque l’enduit est sec.
La suite au prochain numéro...
Bateaux : la marine d'eau douce
Musée de la batellerie à Saint Jean de Losne
Dans une ancienne maison du XVème siècle, vous découvrirez le passé fluvial de Saint Jean de Losne., deux siècles d'histoire économique, technique et humaine. de nombreux outils, maquettes et illustrations relatent ce patrimoine. Des péniches tirées par à dos d'hommes et de femmes au canots automoteurs, du flottage du bois au scaphandrier, partez à la découverte d'un passé méconnu.
A noter également : le musée de la Saône à Seurre.
Péniche "La Jocelyne"
Maquette de bateau en bois
Boîte de construction très complète, toutes les pièces sont en bois prédécoupées. Les blocs avant et arrière sont en résine. Le coffret comprend tout l'accastillage destiné à la finition du modèle y compris l'arbre d'hélice et l'hélice. Il peut recevoir une radiocommande.
Propulsion : 1 moteur (non fourni)
Échelle : 1/30 - Longueur : 1 200 mm
Largeur : 168 mm _ Hauteur : 190 mm
Blindés de la première guerre mondiale.
Le char français Saint-Chamond
C'est le deuxième char d'assaut produit pour l’armée française au cours de la Première Guerre mondiale. Il est beaucoup plus lourd et plus long, mais aussi mieux armé que le premier, le char Schneider CA1. Quatre cents exemplaires sont fabriqués. Mais il se révèle assez peu efficace sur des terrains bouleversés par les tranchées et les impacts de l'artillerie. La principale faiblesse du char Saint-Chamond était son train de chenilles beaucoup trop court et sujet à de fréquents déraillements. Plus d'infos ici.
Le char britannique Mark 1
C'est un char utilisé à partir de 1916, lors de la Première Guerre mondiale. Il fut le premier char d'assaut opérationnel au monde. Comme tous les modèles de sa série, sa forme rhomboïdale, conçue pour le franchissement des tranchées, ne permettait pas l'installation d'une tourelle qui l'aurait déséquilibré. Son armement était donc installé sur les côtés, dans deux extensions latérales. Plus d'infos ici.
Il évolua en types 1 à 5. Document.
Le char allemand A7V
Le Sturmpanzerwagen A7V (véhicule d'assaut blindé) fut le seul char d'assaut développé et déployé par l'armée allemande durant la Première Guerre mondiale. Le premier exemplaire fut livré le 1er octobre 1917. Le haut commandement allemand ne croyant pas à l'utilité du char d'assaut, sa fabrication ne fut pas prioritaire. Il ne fut produit qu'à 20 exemplaires. Plus d'infos ici.
Présentation en vidéo. La maquette.... pour les petits... et pour les grands.
Décors... c'est royal !
Les maquettes de Louis XIV
Les plans en relief du roi.
La collection française des plans-reliefs est l’héritière d’une tradition née au XVIe siècle en Europe. Il était en effet courant pour les ingénieurs militaires de réaliser des maquettes pour représenter leurs projets de fortifications, les forteresses d’un territoire, ou encore les travaux de siège dirigés contre une ville.
La collection de Louis XIV est née en 1668, avec la commande que Louvois, ministre de la guerre, passe à Vauban du plan-relief de Dunkerque. La réalisation des premiers plans-reliefs avait pour objectif d’accompagner les travaux de fortification menés par les ingénieurs de Louis XIV dans les places fortes des Flandres espagnoles récemment conquises. Conçues comme de véritables outils d’expertise à distance pour le roi et son état-major, les maquettes figuraient en trois dimensions l’état d’avancement des travaux dans une place forte, présentant d’abord les projets, puis les réalisations en cours, et enfin les fortifications achevées.
Jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, les plans-reliefs étaient réalisés au sein même des localités représentées, par des ingénieurs militaires travaillant aussi bien à l’édification des fortifications des places fortes françaises qu’à la confection de maquettes des même sites. Chacun utilisait une méthode de fabrication qui lui était propre ; il en résultait une grande variété des formes, des échelles et des techniques de construction. Outre la différence de qualité des matériaux utilisés, les premiers plans-reliefs, construits rapidement, étaient souvent inexacts, les formes et représentations urbaines étant souvent simplifiées.
Visite virtuelle du musée.
Comment on restaure ces maquettes anciennes.
Ces maquettes ont été présentées en 2021 lors d'une exposition au Grand Palais à Paris en 2012.
Figurines
Mortian est un éditeur qui vous propose des figurines de type Heroic Fantasy. Personnages, mais aussi armes ou véhicules, vous aurez de quoi vous constituer une solide armée.
Retrouvez plein de figurines en métal à peindre sur maquette-figurines.
David Gemmel : Légende
Un titre incontournable de la littérature d'Heroic Fantasy. Il fallait bien qu'il inspire une maquette ! Celle-ci a démarré avec une catapulte-jouet récupérée dans un vieux stock de pièces et une figurine qui était livrée avec une revue Warhammer. Je l'ai donc imaginé en "dernier défenseur". Il ne me restait plus qu'à faire un tour à la boutique WarHammer de Dijon pour y dénicher une boite d'attaquants.
Construction : la base est en terre auto-durcissante. Les pièces ont été fixées avec de la Patafix. J'aime bien l'idée de pouvoir démonter une scénette afin de pouvoir réparer ou changer d'idée plus tard. Tout est peint au pinceau, à la peinture acrylique. Pour le sol, j'ai utilisé de la vraie terre, de la tisane et du thé séché. Détail amusant : la catapulte fonctionne vraiment, ce qui me permet, lors des expos, de bombarder mes petits camarades avec des boulettes de papier !
Une réalisation d'Eric
Trains : les autres clubs
Le Tacot de Saint Apo
Créée en mars 2007 par 3 passionnés, la section modélisme de l’Association Sportive et Culturelle de Saint Apollinaire (21) s’est spécialisée dans le ferroviaire. Son appellation vient du « tacot » de la ligne ‘’d’intérêt local’’ Dijon-Fontaine Française (1891) dont un arrêt se faisait à St Apollinaire.
Présentation en vidéo.
Le site.
Affiches ferroviaires
Le designer français Pierre Fix-Masseau a été l'un des créateurs d'affiches ferroviaires emblématiques de la période Art Déco. Il s'est spécialisé dans la représentation de la vitesse et du progrès sur des affiches pour trains, bateaux et voitures.
Dingue de trains ?
Voici une lampe qui devrait vous ravir ! Le décor en dessous de l’abat-jour est fabriqué en pâte à sculpter de qualité et peint à la main. Le train circule autour des maisons dont l‘intérieur est éclairé. De plus, il émet les bruits authentiques d’une locomotive à vapeur.
Une loco digitale sonore à moins de 220 €.
Ca existe ! C'est la Trix BR 74867 à 219 €. Citons quelques sons : le tchou-tchou, bien sûr mais aussi, le sifflet-vapeur, le bruit de chauffeur qui charge le foyer avec sa pelle, le crissement des freins lorsqu'elle freine, la cloche de manoeuvre, le sifflet et l'annonce du chef de gare... (Signalons également que cette loco vapeur est une des rares qui accepte de rouler sur des courbes de 36 cm de rayon.)
Mais elle n'est pas toute seule ! Evidemment ça s'arrache. A l'heure ou j'écris ces lignes, certaines ne sont déjà plus disponibles. Consultez cette page.
Conversation
- Comment a été défini l’écartement des rails de chemins de fer US ?
- La distance entre deux rails de chemin de fer aux États-Unisest de 4 pieds et 8,5 pouces (143,5 cm).
- Nombre particulièrement bizarre… Mais pourquoi cet écartementa-t-il été retenu ?
- Parce que les chemins de fer US ont été construits de la même façon qu'en Angleterre, par des ingénieurs anglais expatriés, qui ont pensé que c'était une bonne idée, car cela
permettait également d'utiliser des locomotives anglaises.
- Mais… pourquoi les Anglais ont-ils construit leurs lignes comme ça ?
- Parce que les premières lignes de chemin de fer furent construites par les mêmes ingénieurs qui construisirent les tramways, et que cet écartement était déjà utilisé.
- Mais… pourquoi cet écartement des rails de tramways ?
- Parce que les constructeurs de tramways étaient les mêmes que les constructeurs
de chariots, avec les mêmes outils et les mêmes méthodes.
- Mais… Pourquoi les chariots utilisaient-ils un tel écartement ?
- Parce que partout en Europe et en Angleterre, les routes avaient des ornières et qu'un espacement différent aurait causé la rupture de l'essieu du chariot.
- Et… pourquoi les ornières des routes étaient-elles ainsi espacées ?
Parce que les premières grandes routes ont été construites par l‘Empire Romain pour accélérer le déplacement des légions romaines. Et les premiers chariots ont été des chariots de guerre romains. Ces chariots étaient tirés par deux chevaux qui galopaient côte à côte et ils devaient être suffisamment espacés pour ne pas se gêner l’un et l’autre. Afin d'assurer une meilleure stabilité du chariot, les roues ne devaient pas se trouver dans la continuité des empreintes de chevaux, et ne pas se trouver trop espacées pour ne pas causer d'accident lors du croisement de deux chariots.
L'espacement des rails US s'explique donc parce que 2000 ans auparavant, sur un autre continent, les chariots romains étaient construits en fonction de la dimension de l'arrière-train des chevaux. Il y a une extension à cette histoire d'espacement des rails et d’arrière-train des chevaux. Quand nous regardons la navette spatiale américaine sur son pas de tir, nous pouvons remarquer les deux réservoirs additionnels attachés au réservoir principal.C’est la société Thiokol fabrique ces réservoirs dans son usine de l'Utah. Elle aurait aimé les faire plus larges, mais ces réservoirs sont expédiés par train jusqu'au site de lancement. La ligne de chemin de fer entre l'usine et Cap Canaveral emprunte un tunnel sous les Montagnes Rocheuses. Ce tunnel limite la taille des réservoirs à la même largeur... que deux arrière-trains de chevaux !
Ainsi, les dimensions de la navette spatiale, dépendent de la largeur d'un cul de cheval ! Les spécifications et la bureaucratie vivront pour toujours ! Donc, la prochaine fois que vous aurez des normes entre les mains et que vous vous demanderez quel cul de cheval les a inventées, vous vous serez peut-être posé la bonne question !
Jean-Claude Carron
Maquette à monter
Multimédia
Dans le monde du transport, les Berliet deviennent très vite les plus populaires de nos poids lourds. Dans les années 1950, Paul Berliet succède à son père et il veut faire connaitre les poids lourds lyonnais au-delà des frontières et des mers, notamment de l’autre côté de la Méditerranée. Et arrivera la merveilleuse aventure africaine avec des transports en automobiles, en autocars, en camion… et enfin, avec la découverte du pétrole, les camions géants, les colossaux Berliet T100 dont nous évoquons l’épopée dans cet ouvrage.
Disponible à la fondation Berliet.
DVD – Berliet : le T100 6x6
4 films d’archives, réalisés entre 1657 et 1962 :
1 – « De Lyon à Paris avec le plus grand camion du monde » 1957 .
2 – « Boulevard du pétrole » 1959 : le T 100 n° 2 participe au déménagement d’une plate-forme de forage du sud de Hassi-Messaoud.
3 – « Berliet T 100 n° 2 et GBC 8 au Sahara » 1959
4 – » Liaison Touggourt – Gassi Touil » 1962 : Berliet T 100 n° 1 transportant des sacs de baryte
Depuis le milieu du 19ème siècle à aujourd’hui, suivons l’évolution du réseau ferré régional. Des premières tentatives au TGV Rhin-Rhône, le paysage économique connaît de profondes mutations provoquées ou accompagnées par le développement du rail.
Disponible à la FNAC.
Présentation de la revue Steelmasters de février-mars.
Actuellement en maison de presse.
Découvrez la revue "Charge utile"
Actuellement en maison de presse.
Loco-revue :
Le premier numéro paru en 1946
Chars d'assaut
Une revue de 150 pages sur le sujet.
Actuellement en maison de presse.
Le musée des Plans-Reliefs
Ce livre présente un ensemble sans égal dans le monde de 100 maquettes historiques de forts ou de villes fortifiées situés aux anciennes frontières françaises ou ayant été contrôlés par la France.
Outillage : les diodes font de la résistance.
Applications à nos maquettes
Principe général de branchement.
Installation de leds dans une locomotive.
Les feux d'un wagon de fin de convoi.
Eclairage d'une voiture SNCF avec une bande de leds.
Eclairage d'un bâtiment. Pour avoir les sous-titres en français, voir la lettre n°4.
Au prochain numéro...
Quelques titres
Les vaisseaux spatiaux de Star Wars
Le bulldozer US d'Alain
Trains : les logiciels de conception de réseau
Décors : on récupère !
Dremel : une collection d'outils.
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Vous souhaitez proposer des textes ou des photos sur ces sujets ? Ils sont les bienvenus !
Date limite de réception des articles : 20 mars.