Autos RC : les différentiels

Avions : Otto Lilienthal - L'hydravion Nakajima A6M2N Rufe

Bateaux : le porte-conteneurs

Blindés : Le bulldozer d'Alain

Décors : de jolis arbres

Quand je me pique de plat d’étain.

Trains : l'autorail panoramique

Les différentiels font partie de ces organes de transmission que l’on retrouve sur n’importe quelle voiture radiocommandée.

Principe de base

Pièces maîtresses du système de transmission, ils permettent de faire passer toute la puissance moteur aux roues, donc au sol, en organisant la vitesse de rotation des roues. Concrètement, ils permettent aux roues motrices d’adopter des vitesses de rotation différentes en virage pour optimiser la tenue de route d’un véhicule.

Dans les faits, la présence d’un différentiel sur un essieu revient à augmenter la vitesse de rotation de la roue externe en virage. Cela revient également à optimiser la tenue de route. Car sans différentiel, votre voiture aurait une tendance naturelle à vouloir filer tout droit lorsqu’elle aborde un virage. Cet organe de transmission intervient à ce moment là pour réguler la différence de rotation des deux roues d’un même essieu, partant du fait que la roue intérieure au virage parcourt toujours une distance plus faible que celle qui est extérieure à ce même virage.

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Né en mai 1848 à Anklam (Poméranie), Otto LILIENTHAL, aidé de son frère cadet Gustav, construit très jeune des engins pour s’essayer à “voler”, à l’image des cigognes dont il admire tant le vol majestueux, mais il n’y parvient pas .

Après la guerre Franco-Prussienne de 1870, persuadé que le “vol plané” est une étape vers la maîtrise du vol propulsé, LILIENTHAL s’investit totalement dans l’expérimentation de planeurs. Il construit une colline artificielle et, du haut d’un hangar érigé au sommet, se lance dans la pente face au vent, planant ainsi pendant plusieurs dizaines de mètres .

Sa “piste d’envol” devenant trop petite pour ses expériences, il cherche un nouveau site avec des vents réguliers suffisamment forts, et choisit les monts Rhinower au nord-ouest de Berlin.

Il y réussit des envols de plus de 400 mètres, pour stabiliser ses engins en plein vol, mais doit sans cesse corriger l’assiette en déplaçant son corps pour éviter que la machine se cabre ou pique du nez .

Devenu très célèbre en Allemagne, construisant une série importante de planeurs mono, bi et triplans toujours plus performants, ses contemporains viennent le voir évoluer dans les airs . C’est au cours d’un de ses vols qu’il trouve la mort le 09 août 1896. Il demeure l’un des premiers hommes à avoir volé .

La mise en peinture de l’appareil commence par le choix de celle-ci. Ayant choisi de réaliser l’avion de l’as japonais Matsunaga Eitoku en raison de la présence sur le fuselage d’un éclair jaune vif qui tranche avec la teinte sombre du camouflage, je commence donc par appliquer à l’aérographe le gris du dessous, soit la couleur gris marine Nakajima puis après 24 h de séchage je délimite à l’aide de Patafix la zone devant rester grise et je masque l’ensemble.

J’applique ensuite une première couche de couleur vert marine Nakajima puis dans la foulée je marbre de façon aléatoire de la même teinte légèrement éclaircie de façon à casser l’uniformité de la couleur de base. A l’aide de bande cache Tamiya, je délimite les bords d’attaque des ailes pour appliquer la couleur jaune des bandes d’identification rapide.

Le développement des porte-conteneurs est récent : pendant longtemps le transport de produits divers s'est fait à l'aide de cargos. Les années 1970 ont vu le développement des échanges commerciaux entre les différents continents. Les porte-conteneurs ont répondu à ce besoin de transport en offrant une modularité et une flexibilité importantes, notamment avec l'automatisation des moyens de levage dans les ports.

Le conteneur naît en 1956 aux États-Unis avec le pétrolier reconstruit Ideal X de la Pan-Atlantic Steamship, quand le transporteur McLean Trucking Co. commence à expédier des remorques de camions sans leur châssis entre New-York et Houston. En tant que chauffeur, il lui arrive de s'impatienter dans les ports quand il livre ou vient chercher des marchandises. Il lui vient alors l'idée de réunir les colis, jusqu'ici manutentionnés un par un, dans une boîte qui passerait directement du navire au camion. Pour éviter les réglementations différentes selon les États lors du transport Nord-Sud des États-Unis, le transporteur décide de passer par la mer, invente le conteneur et acquiert une compagnie maritime. En 1960, Mac Lean crée la société d'armement Sealand Corporation (sea-land) pour bien exprimer le caractère intermodal de son concept.

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<- Mars 2021 Le canal de Suez est obstrué par un porte-conteneurs. Article.

Cet article clôt notre série sur l'histoire de la marine marchande.

Pour traverser un terrain inégal, que ce soit un sol de terre et de rochers ou le plancher de votre salle de jeu avec des objets au sol, rien ne vaut un char et ses chenilles.

Mais pourquoi les véhicules à chenilles réussissent-ils là ou les roues échouent ?

<- Réponse en vidéo.

Bonjour à tous, ce mois-ci 4e partie de la construction du bulldozer. Montage des garde-boue, de la calandre, du capot moteur.

J'ai également assemblé le treuil et la potence. Premier travail de peinture pour l'ensemble réservoir-siège, une couche d'apprêt gris TAMIYA et peinture US Army Tamiya Olive Drab XF-5 en bombe. J'ai peint les sièges et accoudoirs en noir mat Tamiya TS-6.

Voila pour ce mois-ci, à bientôt avec au programme beaucoup de peinture.

Le LINGE est un champ de bataille de la guerre 1914-1918 où un affrontement particulièrement meurtrier s'est déroulé entre le 20 juillet et le 16 octobre 1915 (17000 morts), suivi d'une guerre de position jusqu'au 11 novembre 1918. Ce champ de bataille classé site historique, présente un aspect saisissant ; l'infrastructure du solide système de défense allemand très bien conservé contrastant avec les vestiges des tranchées françaises en terre meuble sont les témoins émouvants de "la guerre des tranchées".

Accès Collet du Linge par Orbey et Munster sur la D11 à 25km à l'ouest de Colmar.

Forte de 42 km de viaducs, tunnels, ruisseaux et panoramas du Livradois, la ligne de chemin de fer reliant Ambert et La Chaise-Dieu offre une diversité de paysages préservés pour le plus grand plaisir des voyageurs et de leurs familles. Exploitée par l’association « AGRIVAP – Les Trains de la Découverte », elle constitue à ce jour, une des plus longues lignes touristiques de France gérée par une association loi de 1901.

L’actualité ferroviaire a une nouvelle fois inspiré les postes philatéliques d’Europe qui sortent un bel échantillon au style graphique différent avec des trains qui, pour certains, n’ont jamais figuré sur des timbres-poste.

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C’est toujours avec un certain étonnement que le pèlerin, le touriste ou le promeneur parcourt, longtemps après le 11 Novembre 1918, les champs de bataille devenus étonnement calmes de la Première Guerre mondiale, dans les Vosges comme ailleurs. Là où sifflaient les obus chantent de nouveau les oiseaux, là où ne subsistaient que des troncs déchiquetés poussent de majestueux sapins. Cependant, à y regarder de plus près, de nombreux vestiges des combats subsistent, le terrain en a gardé les stigmates. Le conflit de 1914-1918 a changé ces lieux à tout jamais. Dans le présent ouvrage, Florian Hensel s’attache à retracer l’histoire de ces métamorphoses. Fort logiquement, il part de la bataille, qu’il replace dans le contexte général de la Grande Guerre, et s’intéresse ensuite aux " aménagements" qu’a subi le Linge depuis 1918 : destruction, remise en état, revalorisation d’un champ de bataille alsacien de la Première Guerre mondiale. Dans son récit des combats, Florian Hensel insiste à juste titre sur l’action de l’artillerie, en particulier des canons de gros calibre, grandement responsables de la création du nouveau paysage vosgien objet de son enquête. À peine le clairon de l’Armistice a-t-il retenti que les survivants s’emploient à nettoyer, à aménager et en quelque sorte à " humaniser" l’ancienne terre de carnage, tout en conservant certains éléments authentiques ou pseudo-authentiques de la bataille. La guerre est terminée et nous entrons dans le domaine de la patrimonialisation, toujours d’actualité. Florian Hensel dresse un inventaire documenté des nombreux monuments collectifs ou individuels élevés sur les lieux des combats, de ceux qui subsistent comme des autres, victimes du vandalisme ou des outrages du temps. Il s’intéresse aussi bien aux vestiges français qu’allemands. L’auteur accomplit donc là une oeuvre particulièrement utile, qui a vocation à servir de modèle dans la Somme, la Meuse, la Champagne ou ailleurs.

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