Manihen

Dans le recensement de 1911  de la ville d’Outreau on découvre à Manihen Hippolyte COFFIN né le 23 août 1868 à Saint-Martin profession carreleur son épouse Marie Mathilde, Adolphine COFFIN née le 11 décembre 1861 à Bourthes fille de Jean Baptiste, Cyriaque COFFIN 1832-1909 et  Florine, Adolphine DUHAMEL 1832-1894 ; mariée le 16 avril 1883 à Bourthes avec François Alfred COULOMBEL né le 15 avril 1852 à Bourthes garçon de banque et décèdera le 14 octobre 1891 à Calais : Mathilde, Adolphine COFFIN veuve se remarie le  le 21 septembre 1892 à Calais avec Hippolyte Alexandre COFFIN né le 23 août 1868 à Saint-Martin-Boulogne, fils de François, Marie André COFFIN 1839-1913 et Pauline, Marie Constance DUFRESNE 1846-1876) ; Recherches de Pascal BERNARD éditées le 24 décembre 2023.

Mystère d'Archives : la rue des Hauts-Fourneaux a ravivé de nombreux souvenirs souces Voix du Nord du dimanche 17 décembre 2023 ; Cette rue à forte déclivité est donc, comme vous nous l’avez indiqué, la rue des Hauts-fourneaux, à la limite de la rue des Masurettes, sur la commune d’Outreau. Ce banal cliché, conservé par les Archives municipales de Boulogne, a ému nombre d’Outrelois[es] et habitants de cette rue qui ont rapidement évoqué le café épicerie - tenu par Mme Lemattre puis ensuite par les Massey et les Bodin – où, après leur travail, venaient se désaltérer les ouvriers des APO qui remontaient vers le centre d’Outreau. 

le café épicerie - tenu par Mme Lemattre puis ensuite par les Massey et les Bodin – où, après leur travail, venaient se désaltérer les ouvriers des APO qui remontaient vers le centre d’Outreau.

La maison en L a été construite vers 1800 et habitée par les époux Filliatre (selon l'acte c'est Filiatre avec un seul L mariée avec  Elisabeth CHARLES) qui ont eu deux enfants. L’une a gardé la maison, l’autre fille mariée à un Capet (d’où le nom de l’impasse), en a construit une en contrebas. Le couple devenu maraîcher, leur entreprise devient ensuite successivement par mariage les maisons Fourcroy puis Lemaire dont les serres, où sont cultivés plantes florales et plants de légumes, ont remplacé la bâtisse en 2006. Photo des années 1970 archive de Pascal BERNARD.

Alexandre Jules Nicolas CAPET est né le 27 février 1868 à  Boulogne-sur-Mer il s'est marié le 10 octobre 1892 , à Outreau, 62230, avec Elisabeth Félicité FILIATRE, née le 10 janvier 1868  rue des Hauts Fourneaux à Outreau, 62230 fille de Célestin FILIATRE 1836-1908 et   Elisabeth Félicité CHARLES  née le 12 décembre 1842 à  Boulogne-sur-Mer.

Alexandre Jules Nicolas CAPET né le 27 février 1868 au 8 rue de Dringhen à Boulogne-Sur-Mer il est décédé le 10 janvier 1941, son père était  Alexandre Pierre CAPET jardinier 28 ans à la naissance de son fils ;  et sa mère était Sophie Elisabeth DAQUIN  27 ans ; 

Elisabeth Félicité FILIATRE est née le 10 janvier 1868 rue de Hauts Fourneaux à Outreau 62230, elle est décédée le 9 novembre 1948 ; elle était  mariée le 10 octobre 1892, à Outreau avec Alexandre Jules Nicolas CAPET né le 27 février 1868 à Boulogne-Sur-Mer il est décédé le 10 janvier 1941,  les parents de Elisabeth Félicité FILIATRE étaient Célestin FILIATRE  né le 2 avril 1836 à   la Vertevoy (la Verte Voie) à Outreau, 62230, il est décédé le 20 juin 1908 rue des Hauts Fourneaux à Outreau, 62230,  à l'âge de 72 ans il était cultivateur, Jardinier et marié à  Elisabeth Félicité CHARLES, née le 12 décembre 1842 à  Boulogne-sur-Mer, décédée, Repasseuse, cultivatrice.                    Recherche Pascal BERNARD éditées le 19 décembre 2023.

Le couple Alexandre Jules Nicolas CAPET et Elisabeth Félicité FILIATRE ( famille de jardiniers) parmi leurs enfants eurent une fille  Madeleine Raymonde Marie CAPET  née 15 septembre 1907 rue des Hauts Fourneaux à Outreau ( Manihen) elle se maria le 4 mars 1929  à Outreau avec Emile Jean FOURCROY né le 17 février 1905 à Outreau et ce fut ensuite les serres FOURCROY-CAPET.

Ferme de la rue Danton à Manihen.

Photo des années 1970 d'une ferme rue Danton à Manihen.

A Manihen la démolition du pont des A.P.O en février 1989.

Article de la Voix du Nord du 7 août 1956 concernant le départ en retraite de Mr Morel : " Nous avons rendu compte de la charmante manifestation de sympathie qui s'est déroulée à Manihen  à l'occasion du départ en retraite de Monsieur Léopold Morel qui compte 33 années de présence aux A.P.O Aciéries de Paris et d’Outreau, et que l’on voit Ci-dessus,  au centre,  M;M Daumalle, Bigand et Serre. "

Les usines de Manihen au début 1900, vue prise du plateau de la Tour du Renard

Photo de Georges BAILLEUL, lequel prendra des notes : «Installation de l’Abbé Loeuillette à Manihen, le cortège dans la rue du Havet arrive à la Chapelle ( chapelle du sacré cœur de Manihen reçut la bénédiction solennelle le samedi 4 décembre 1937  )  de gauche à droite : Franciscain Père Bérard PAINSET, Abbé VANDERZANDE et abbé WACOGNE ; en surplis blanc l’Abbé MARLARD, à côté l’Abbé Macel DEGUISNE puis l’abbé DUBOIS de l’église Sainte-Thérése du Portel , et derrière en surplis blanc l’Abbé LEMAIRE ( visite Outreau) , l’Abbé FOURNY curé d’Outreau et le chanoine GOUDENOVE de l’église Saint Nicolas, puis l’Abbé LOEUIILLETTE et à côté de lui en cravate rayé monsieur DUBOSQUELLE". Photo confiée à José Gambart.

Manihen nomination de l'Abbé Loeuillette à l'église Sacré Cœur en 1950.

Manihen église du sacré cœur

Ferme au N° 27 rue Danton à Manihen 

Foyer des anciens à  Manihen photo de mars 1971  

Foyer des anciens à  Manihen photo de mars 1971 ; un local était réservé comme mairie annexe- où Raymond Vérité premier adjoint recevait les habitants de Manihen- il était appelé "Le maire de Manihen" et une autre salle pour l'atelier de couture et divers activités.

Après la seconde guerre mondiale le café tabac "Le Vieux Moulin" fut tenu par François Bourbotte ancien footballeur  voir la page François Bourbotte propriétaire du café tabac "Le Vieux Moulin" à Manihen.

François Bourbotte est né le 24 février 1913 à Loison-sous-Lens dans le Pas de Calais, fils de Emile Louis Bourbotte né le 21 novembre 1886 à Lorgies, 62840 et Célestine Monier née le 3 novembre 1894 à Vendin-le-Vieil, 62880 ; le couple s’était marié le le 2 décembre 1911, Vendin-le-Vieil

Arthur Romain DECRAMER est né le 4 juillet 1884 à Outreau, Maire Césarine BACHIMONT est née le 3 janvier 1889 à Sempy. Le café débit de tabac Decramer- Bachimont se situait à Manihen face à l'usine 1 des A.P.O. rue Edouard Vaillant, il changera ensuite de propriétaire et se nommera "Café du Vieux Moulin" qui fut en autre " tenu"  après la seconde guerre mondiale par l'ancien international de football Bourbotte.

Sur la photo : Raymond VÉRITÉ avec son cousin René YVART sur le baudet : son père Eloi YVART marié à Marie Florisa Capron née 1889, était un frère de Cyrille YVART  né le 29 mars 1886, décédé le 23 avril 1921 à l’âge de 35 ans père  de ma grand mère maternelle Hélène ( mariée à Paul BRANLY ).  René Yvart était donc un cousin de Raymond Vérité côté maternel et un cousin de ma grand- mère née Hélène Yvart côté paternel. voir le lien ci-dessous en italique  http://gw4.geneet.org/cyrilleberannardlang=fr;pz=lola;nz=bernard;ocz=0;p=eloi;n=yvart  Eloi Yvart marié le 30 septembre 1905 avec Marie Florisa Capron à Saint-Etienne-au-Mont :  témoins de l'acte de mariage  Eugène Yvart, 26 ans, ouvrier d'usine, domicilié à Saint-Etienne-au-Mont, frère de l'époux. Jules Yvart, 34 ans, ouvrier d'usine, domicilié à Equihen, frère de l'époux. Joseph Baheux, 30 ans, ouvrier d'usine, domicilié à Equihen, oncle de l'épouse et Jean Baptiste Bouquet, 26 ans, ouvrier d'usine, domicilié à Equihen, cousin de l'épouse

L’ancien poste type verrière , à droite le poste B à Manihen, en 1962. Ce poste a vu passé beaucoup de convois Allemands lors de la seconde guerre mondiale ; Ce poste commandait l’entrée du triage d’Outreau et la montée sur le bassin Loubet, gardé en permanence par un soldat Allemand, voir la guérite par terre, et doublé avec des cheminots allemands.

Cérémonie du 11 novembre 1968, l'ancien Monument aux Morts de Manihen ; ce monument se situait derrière le foyer. A gauche le porte- drapeau Gabriel Blamangin, au milieu nom à identifier et  à droite le maire Raymond Splingard.

C'est à cet endroit que se situait l'ancien Monument aux Morts pour la France de Manihen.

Une autre photo de la cérémonie du 11 novembre 1968 à l'ancien emplacement du Monument aux Morts de Manihen.

C'est à cet endroit précis que se trouvait le Monument Aux Morts de Manihen. Derrière le foyer.

"Le groupe" Edouard Vaillant de Manihen en 1961, vue sur l’école des filles et l’école des garçons,  avec la construction de plusieurs logements pour le personnel enseignant.

A Outreau (à Manihen) : un couple de commerçants pose nu et s'affiche pour dénoncer les hausses des taxes

Manihen café de la Place photo du 12 mars 2019. Photo Pascal BERNARD.

 Photo Pascal BERNARD. Les petits commerçants sont fortement taxés- ouverts 7 jours sur 7, où le calcul du nombre d'heures travaillées dans la journée ne se comptent même plus- l'appel de Yann et de Mathilde a fait réagir jusqu'à prendre "une dimension nationale" comme ici avec un autre article du journal Le Parisien du mercredi 13 mars 2019.Espérons, que par leur idée originale, le gouvernement prenne des mesures pour revoir leur copie sur les taxes qui assomment tous les petits commerçants qui se battent non pas pour vivre mais survivre. Article du journal Le Parisien du mercredi 13 mars 2019.

L'église de Manihen, La chapelle du Sacré Coeur, reçut la bénédiction solennelle le samedi 4 décembre 1937.

Voici ce que relatait le  journal la Croix du dimanche 5 décembre 1937 concernant la bénédiction de la La Chapelle du Sacré Cœur de Manihen.

Son Excellence Mgr Dutoit, évêque d'Arras a procédé à la bénédiction solennelle de la Chapelle du Sacré Coeur à Manihen le samedi 4 décembre 1937. Le prélat fut reçu sur la place de Manihen par le groupement d'action catholique de la paroisse. Une petite fille du quartier lui offrit une gerbe de fleurs. Un cortège s'organisa ensuite et se dirigea vers la nouvelle chapelle où Mgr Dutoit fut reçu par le président du conseil paroissial, Mr Capet.

" Si nous avons l'honneur et la joie de vous posséder aujourd'hui , c'est que vous avez voulu souligner par votre présence l'importance de l'évènement qui nous rassemble. Après avoir vu se détacher de son sein les paroisses du Portel et d'Equihen  et avoir contribué pour une bonne part à la formation de celles de Saint Vincent de Paul et de Sainte Thérèse de l'Ave Maria, voilà que notre paroisse d'Outreau voit célébrer sur son territoire un nouveau centre de vie religieuse. Cela est de bonne augure. Une église, si modeste soit-elle, c'est l'idéal proposé aux hommes de bonne volonté, c'est la vérité qui leur ai offerte, c'est la vérité de dieu mise à leur disposition. La vérité, n'est pas le premier besoin dont nous ayons besoin ? Puisse la population des travailleurs qui s'est groupée autour de l'usine en comprendre la nécessité . Puisse-t-elle dans les moments de difficultés et d'épreuves, se tourner vers une église, comme le marin cherche son phare qui doit guider sa marche à travers les écueils. Votre bénédiction , Excellence, sera le meilleur gage de la réalisation de ces vœux." Après avoir répondu en termes aimables et courtois au président du Conseil paroissial, Mgr Dutoit procéda à la bénédiction de la Chapelle.

C’est le 30 novembre 1936 que la demande fut faite à son Excellence Dutoit pour soumettre le projet ;    le samedi 4 décembre 1937 La Chapelle reçut la bénédiction solennelle et la première messe fut célébrée.

A Manihen le premier anniversaire de l'arrivée de M. l'abbé Joseph LOEUILLETTE ( et non pas LEUILLETTE comme indiqué sur l'article a été marqué par une agréable cérémonie. En compagnie de sa sœur  Henry  de retour des colonies  de leur maman ; cette journée s'est déroulée le jeudi 14 juin 1951.Voix du Nord .  Recherche de Pascal BERNARD.

Reportage de la Voix du Nord du mardi 23 juin 1953 qui détaille la journée du jeudi 18 juin 1953 sur la cérémonie...

Retour sur la première kermesse  paroissiale de Manihen le 3 juillet 1951 relaté dans la Voix du Nord du : " Nous avons rendu compte du brillant succès remporté par cette belle fête familiale, organisée par le Comité des Œuvres. Toute la journée, la foule fut nombreuse, et les stands installés à l'ombre de l'église du Sacré Cœur firent de bonnes affaires. Le reporteur photographe de la Voix du Nord a pris sur le vif, un joyeux groupe, fier d'avoir décroché deux bonnes bouteilles. C'est bien volontiers qu'il y a ajouté une surprise que l'heureux encadré est invité toucher en nos locaux Boulonnais grand rue."

Le grand prix de cyclisme des Commerçants de Manihen du mois d'Août 1951 est remporté par HIVART, d'Etaples Sur la gauche de la photo Mr BOURGOIS un des organisateurs.

La première manche du Javelot du challenge du Boulonnais de javelot a été remportée par le Javelot Club de Manihen, article de presse des années 1970.... Chaque année depuis 1971 les membre du Javelot rendaient Hommage à leur président...Les "Javeloteux" ont ranimé la flamme du souvenir titrera l'article de presse

Concours de Javelot à Manien au bénéfice des Anciens.

 Photo du Javelot Club de Manihen, les compétitions se déroulaient dans les baraquements qui avaient servi d'école provisoires, derrière la salle des fêtes.

Autre photo du Javelot Club de Manihen, les compétitions se déroulaient dans les baraquements qui avaient servi d'école provisoires, derrière la salle des fêtes.

Article de la Voix du Nord de 1971 : une des plus anciennes société Outreloise Le Javelot-Club Bellevue créée en 1934, poursuit son activité depuis plus de 37 ans.

Première sortie de l'Amicale de Manihen photo de 1930.

La clique Edouard Vaillant 1958, on aperçoit le terrain vague où sera érigé le monument aux mort des "Manihennois" morts pour la France.

  Raymond Vérité nous a quitté dans sa 90 ème année le 22 août 2012. Ses obsèques ont été célébrées samedi 25 août en l'église Saint-Wandrille à 10 heures. Faire part du décès de Monsieur Raymond Vérité

Élu en 1952 avec Raymond Splingard ; en 1983 il fut nommé premier adjoint par le Maire Jean-Marie François et ce jusqu'en 1995. Raymond surnommé aussi " Maire de Manihen " est l 'Outrelois qui " exerça " le plus long mandat d'élu à Outreau. Il fut élu durant 43 ans. Hommage à Lui. Photo de  Raymond Vérité avec sa mère Marie habillée en noir, Jeanine Vérité l'épouse de Raymond ; et Maurice Vérité photographiés à Manihen au 31 rue Pierre Curie.

Le parcours de Raymond Vérité depuis son élection du 21 septembre 1952 jusqu'en 1995

 Raymond Vérité est  né le 09 novembre 1922 a Manihen dans le café de ses parents au 31 de la rue Pierre Curie. il est le 3em fils  dune famille de 6 enfants son père etait cordonnier et sa mère tenait le café acheté en 1919 son père fut lui même élu conseillé municipal et  est décédé en 1951. En 1952 Raymond repris  son mandat  avec Raymond  Splingard et en 1983 il devint 1er  adjoint avec Jean Marie François à ses cotes jusqu’ en 1995  il faut savoir que  c est lui qui demanda a Louis Flo de venir en tant qu’ adjoint  à la mairie  d Outreau......Il tenait une permanence une fois par semaine a Manihen quartier cher a son cœur ou  il était le président de l amicale Edouard Vaillant il était appelé le maire de Manihen..... 

Le Maire d'Outreau Raymond SPLINGARD et les élus en 1965 

Raymond Splingard et le Conseil en 1965

En 1965 dans le bulletin municipal N°1 du mois de mars, on retrouve Raymond Vérité, adjoint délégué aux travaux...Lire le bulletin..

Raymond Vérité bulletin municipal de 1965

Raymond Vérité à la salle des fêtes de Manihen

Election du Maire d'Outreau Jean Marie François le 20 mars 1983, Raymond Vérité lui remet la médaille de la ville.

Discours de commémoration au Monuments aux Morts de la ville d'Outreau de Raymond Vérité 1er Adjoint du maire Jean-Marie François d Outreau

Lors de sa visite à Outreau le samedi 16 novembre 1985 le ministre du travail Michel DELEBARRE remet les insignes de Chevalier dans l'ordre  National du Mérite à Monsieur Raymond VERITE premier adjoint au maire d'Outreau Jean-Marie FRANÇOIS  à cette époque

La FAPMO rue Roger Salengro à Manihen année 1984, sur la photo Jean-Marie François maire et Raymond Vérité 1er adjoint

Prés du foyer  et de la salle des fêtes,  il existait un baraquement qui a servi de logement de fonction, ici sur la droite, habité par une employée communale, il fut détruit avant 1990. "le baraquement qui servait de logement de fonction dans la cour de la vieille école de Manihen était occupé par la famille de M. Hennequin, Directeur de l'école, puis à sa retraite, dans les années 1960, par Madame Hector " merci pour ses renseignement à Christian YVART, fils de Emile YVART qui était le frère de Hélène BRANLY-YVART, ma grand-mère, donc sa tante.

 Christian YVART était enseignant et a habité le logement près de l'école des filles de Manihen de 1969 à 1970, et aussi dans un logement de fonction de la rue des Hauts-fourneaux de 1972 à 1975, puis à l'Ecole Paul Bert d'Outreau de 1975 à 1983. Il a quitté Outreau en 1983

Publicité : Fourcroy-Capet horticulteur rue des Hauts Fourneaux à Manihen ; une impasse Capet a été" baptisée " à l'endroit où se situe avec l'angle de la rue des Hauts Fourneaux la serre horticole Lemaire.

Manihen CM2 classe de Mme LANCE Année 1962. Merci aux frères Vérité

La clique Edouard Vaillant de Manihen le 8 mai 2011 sur la place Outreau

Les jardins ouvriers de Manihen, les logements et l'usine 1 des Aciéries de Paris et d'Outreau ; les A.P.O

La rue Etienne DOLLET à Manihen

 Étienne Dolet est né à Orléans 3 août 1509  il est mort sur la place Maubert à Paris brûlé avec ses livres, comme hérétique, le 3 août 1546.  Ecrivain, poète, imprimeur, humaniste et philologue français. Beaucoup de rues en France porte son nom, ainsi que de nombreux collèges comme celui d'Orléans.  Son nom est écrit parfois Dolet avec un seul L ou Dollet avec 2 L...

   Une statue d'Etienne Dolet a été érigée en 1889 sur le lieu de son supplice, place Maubert à Paris

Cette statue a été détruite sous l'Occupation avec l'autorisation du régime de Vichy et, selon ce que l'on peu lire d'aprés les Historiens, de l'Eglise.

Photo prise du haut de la rue Etienne DOLLET

Construction en 1963 des maisons  de la rue des Hauts-Fourneaux

 Vue sur l'école maternelle, l'église et le merveilleux paysage. 

 Photo du groupe primaire Edouard Vaillant de Manihen en 1961.  

 Inauguration officielle de la salle des fêtes de MANIHEN

Manihen photos prises de la rue de Verdun en Avril 2009

Manihen en 1960 au terrain de football des A.P.O.  dit " Le Crassier ". Merci à Guy MORDACQ

Classe de Monsieur CLARISSE en 1988, école primaire Edouard Vaillant

 Le haut de la rue Etienne DOLLET

De ces pâturages s'écoule un ruisseau. Photos de Manihen sous la neige en fin de page.. 

La Clique d'Edouard Vaillant de Manihen

Le Monument aux Morts Pour La France de Manihen photo de 2011

 Le Monument aux MORTS POUR LA FRANCE DE MANIHEN.

  En 1990 une plaque a été déposée " 1940-1990 " pour le cinquantenaire de la mort de Léo LAGRANGE.      

                    Aux jeunes, il ne faut pas tracer un seul chemin, il faut ouvrir toutes  les routes. 

Vue des jardins sur l'usine. 

Manihen et son usine. 

 Manihen sous la neige le dimanche 6 avril 2008

 1961-1962 Manihen classe de Mr PRUVOST . Photo devant les baraquements construits après les bombardements de la seconde guerre mondiale.

  Manihen CM2 classe de Mme LANCE Année 1962. Merci aux frères Vérité

MANIHEN DANS LES ANNEES 1980

La rue Jean Baptiste LEBAS à Manien : Pendant la Première Guerre mondiale, Roubaix est envahie par les troupes allemandes. En 1915, Lebas est arrêté par les forces d'occupation pour avoir refusé de leur livrer la liste des jeunes de 18 ans, qui devaient être envoyés comme travailleurs de force en Allemagne. Il est interné à la forteresse de Rastadt jusqu'en janvier 1916, quand les Allemands le libèrent en France non occupée pour cause de maladie. Jean-Baptiste Lebas est décoré de la Légion d'honneur en octobre pour son courage.

 Jean Baptiste LEBAS (1878-1944)    

Conseiller municipal socialiste en  1908 et quatre ans plus tard Maire de Roubaix, il est réélu sans interruption  magistrat municipal de cette laborieuse et importante cité. Député en 1919, il  assume en 1936, au Ministère du travail  dont il a la charge, une tâche écrasante et réalise toutes les réformes sociales duGouvernement de l'époque.

Ministre des P.T.T. à deux reprises, en 1937 et 1938, il donne à la tête de cette grande Administration la pleine mesure de ses éminentes qualités. Dès 1940, il participe à l'action contrel'envahisseur. Arrêté le 23 mai 1941, il est emmené en Allemagne pour la   deuxième fois de son existence (en 1915, en effet, il avait été interné au  secret dans la forteresse de Rastatt jusu'en 1917 en Allemagne à 65 KM de Strasbourg.              Mort d'épuisement au camp de Sonnenburg, le 10 mars 1944, Jean Baptiste Lebas laisse le souvenir d'un homme de coeur qui sut allier à un républicanisme sans fissure une foi patriotique inébranlable. ( Sonnenburg est une forteresse ( ancien fort des chevaliers de Saint Jean située en Pologne à 15 KM de la frontière allemande

Jean-Baptiste Clément (Boulogne 1836-Paris 26 Février 1903 est un chansonnier et un communard  principalement connu pour avoir été l'auteur de la chanson Le Temps des cerise

Né dans une famille aisée, fils d'un riche meunier, il quitte très jeune le foyer. Dès l'âge de 14 ans, il exerce le métier de garnisseur de cuivre, métier qu'il qualifiait lui-même comme le plus insignifiant de tous les métiers. Il exerce encore plusieurs autres métiers et rejoint Paris où il côtoie des journalistes écrivant dans des journaux socialistes, particulièrement dans « Le Cri du peuple » de Jules Vallès. En 1867, il doit se réfugier en Belgique (où il publie le fameux Le temps des cerises. Revenu à Paris il collabore à divers journaux d'opposition au Second Empire comme La Réforme de Charles Delescluze  et Auguste Vermorel. À cette époque, la liberté de presse est bien différente de ce qu'elle est aujourd'hui et Jean-Baptiste Clément est condamné pour avoir publié un journal non cautionné par l'empereur.

Il est alors emprisonné à la prison de Sainte-Pélagie jusqu'au soulèvement républicain du 4 septembre 1870. Membre de la Garde nationale il participe aux différentes journées de contestation du Gouvernement de la Défense nationalele 31 octobre 1870 et le 22 janvier 1871. Le 26 mars 1871, il est élu au Conseil de la Commune par le XVIIIe arrondissement. Il est membre de la commission des Services publics et des Subsistances. Le 16 avril, il est nommé délégué à la fabrication des munitions puis à la commission de l'Enseignement (21 avril). Dans le Cri du peuple de Jules Vallès il proteste contre la fermeture de certains journaux d'opposition à la Commune. Combattant sur les barricades pendant la Semaine sanglante il écrit peu après la chanson La Semaine Sanglante qui dénonce la violente répression qui a lieu contre les communards.

Il va à Londres d'où il a pu poursuivre le combat. Condamné à mort par contumace en 1874  il est amnistié en1879. Il rentre à Paris après l'amnistie de 1880.

 

 Puis dans les pâtures en face de la cité naissait la résidence Albert GAMBART dans les années 2000.

Quelques photos prises à divers endroits sur cette cité qui s'est très vite embellie  

Vues lointaines.

  

    Evolution des travaux, photos prises le 10 mars 2007.

    LE 18 mai 2007.  Photo du 12 septembre 2007

Photo du 12 septembre 2007

                         Qui était Miguel de CERVANTES (1547-1616 )                               

Miguel de CERVANTES est né à Alcala de Henares en 1547. Son père modeste chirurgien barbier connaît des déboires financiers qui l'obligent souvent à changer de Résidence : Valladolid, l'Andalousie et Madrid. Malgré la situation souvent précaire de la famille, Miguel aurait reçu une bonne éducation. Il s'intéresse trés tôt au théatre et à la poésie. En 1569 peut-être en raison d'un duel qui aurait mal tourné, Miguel suit à Rome le cardinal italien Acquaviva qui est légat du pape en Espagne qui le prend en son service comme camérier (moine administrant les biens du Monastère. Il quittera le prélat en 1570 pour l'armée des coalisés chrétiens ( la sainte ligue)  En 1571 il participe à la bataille de Lépante où la flotte ottomane  est défaite ; il y reçoit plusieurs blessures et perd l'usage de sa main gauche " Le manchot de Lépante " prend part aussi à d'autres campagnes.   Quand il rentre en Espagne en 1575 sur la galère El Sol les Barbaresques s'en empare au large de Sainte Marie de la Mer. Il sera en captivité à Alger durant cinq ans. Il obtient sa libération grâce aux pères trinitaires contre une somme de 5OO écus dont 289 auraient été réunis par sa mère. De retour dans sa patrie il achève la première       partie de Galatée et écrit le Voyage ay Parnasse.                                                                                               D'une liaison  avec une comédiènne Ana Franca de Rojas naîtra une fille ; mais la même année il épouse Catalina de Palacios y Vozmediana âgée de 19 ans dont la mère possède un patrimoine important.    


Photo du 12 septembre 2007

      En 1587 Philippe II, qui projette une invasion sur l'Angleterre avec son Invincible Armada, CERVANTES est chargé  d'approvisionner galères et équipages. Il se lance sur les chemins d'Andalousie , face à la l'animosité les propriétaires et les paysans peu désireux de voir saisir une partie de leur récolte sans garantie de paiement  il est  accusé de d'exactions, il est arrêté et excommunié. Il connaîtra à plusieurs reprises les geoles  espagnoles dont la redoutable prison de Séville en 1597.

Il consacrera les 16 dernières années de sa vie à l'écriture. EN 1605 paraît la première partie de Don Guichotte qui d'emblée connaîtra un succés fulgurant. Victime d'une crise d'hydropisie - le terme hydropisie était anciennement employé en français pour désigner tout épanchement de sérosité dans une cavité naturelle du corps-( il reçoit l'extrême-onction et rédige la préface de son dernier livre" les travaux de Persilès et Sigismonde et s'éteint deux jours plus tard le 22 avril 1616 à Madrid  . 

Photos du 30 Septembre 2007. Les " Engins sont là " et le terrain a commencé à être nivellé

 Manihen est un hameau d'Outreau, et chaque lieu à son charme, quand vous êtes en haut de la rue du Havet, vous dominez Outreau, Le Portel et la mer qui dans le lointain s'étend au pied de ses villes.

Une vue magnifique de la ferme perchée sur la colline

 petite cascade qui vient d'une pâture        

L'ancienne " Plaine de jeux "   dans les années 1970, photo de gauche prise en bas où il y a l'école Maternelle Edouard VAILLANT et celle de droite prise en haut par la rue de Verdun.

Janvier 2008

Août 2008 et  2009

Quelques documents de mon Grand-père maternel Paul BRANLY marié à Hélène YVART. Pour consulter l'arbre généalogique sur les familles YVART ( en cours )   http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=cyrillebernard    pascalbernard@bbox.fr       

Archives familiales : ma mère est née rue du Havet  au N°7,  photos sa grand-mère Yvart (née Wallet)  qui habitait au N° 3 rue du Havet où elle est décédée en 1972.

 L'Amicale Edouard VAILLANT. Le centre de tir se trouvait dans un baraquement détruit maintenant.

 Lors d'un match de foot au terrain des A.P.O en 1957; mon père Charles BERNARD dit Thierry au premier rang avec les deux mains sur le ballon, au premier rang aussi Julo Dindin ( Jules Dégardin ) en 6ème position. Si quelqu'un reconnaît une personne il peut toujours me contacter et obtenir un double de cette photo.

L'arbre de Noël de l'école maternelle dans la salle des fêtes de Manihen vers 1970.  

                                         Manihen couvert de la nappe de brouillard. Cliquez pour lire                                    

                               La place Léo LAGRANGE avec les bureaux des A.P.O, remplacés par la nouvelle cité.

 L'arbre de Noël de l'école maternelle dans la salle des fêtes de Manihen vers 1970.  

Deux photos prises sur la plateau une côté de la mer la seconde sur Manihen encore enveloppé dans le brouillard le 12 Décembre 2007

  L'école de Manihen, photo prise avant la seconde guerre mondiale ; pour l'occasion on avait sorti les tables, les vitres étaient décorées, un gros bouquet de fleurs installé devant les enfants. On constate aussi deux anciens modèles de balançoires. Merci à la personne qui m'a autorisé à publier ce petit trésor.

Une triste page d'histoire qui allait malheureusement s'ajouter à tant et tant d'autres pages ...

C'était en 1943, février et mars avaient été cléments ; il ne tomba pas une goutte d'eau du 26 février au 24 mars à Paris. L'hiver 1942-1943 n'avait pas été aussi doux depuis 1937... les 17 et 18 Avril on relevait 26° à St Quentin...C'était la période des vacances l'école était donc désertée des enfants qui aprés s'être acquittés de leurs besognes et il y en avait à cette époque, devaient jouer et les plus grands partis certainement aider dans les nombreux champs, pâtures et fermes...On m'a raconté que le directeur qui vivait dans le logement de l'école rue des Hauts Fourneaux avec sa femme née Berthe Dupiré et leurs deux enfants Jean Monborgne et Jacques Monborgne...Le 20 avril, un mardi Jean Monborgne profitait du temps radieux pour s'installer dans le jardin, son frère était resté dans les locaux...Quand soudain surgirent les bombardiers...L'école fut touchée et détruite et Jean fut tué ; son frère fut extrait des décombres et survécut. A la gare de triage le même jour pratiquement à la même heure c'était un écolier de 16 ans qui fut aussi victime civile Germain PRUVOST qui habitait 257 rue des Hauts Fourneaux.

 MONBORGNE Jean   http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?id=5654875

Acte de décès de Germain PRUVOST âgé de 16 ans qui habitait 257 rue des Hauts Fourneaux, victime civile des bombardements aériens du 20 avril 1943.

  Le Monument aux MORTS POUR LA FRANCE DE MANIHEN.

   Photo d'un Poilu Outrelois : Quelqu'un reconnaît-il notre Héros ?

Les important travaux de voirie à Manien en 1992.

      Travaux place Léo Lagrange à Manihen

  Année 2008 le nouvel espace vert.        

 Une belle vue, un côté un peu rustique s'installe dans ce milieu bucolique.

 La longue période de froid depuis le début de l'année 2008 s'est installée et le soleil d'hiver n'a pas assez de force pour pour faire disparaître la poudre blanche qui recouvre champs et prairies.              

Ruine d'une maisonnette qu'on aperçoit d'un petit chemin de Manihen               

 Famille YVART, BRANLY et BAILLY juste avant la guerre 39-45 rue Etienne DOLLET. De Gauche à Droite: Emile YVART, Jules BAILLY, André YVART, Eugène YVART, et Paul BRANLY, mon grand-père. Merci à Christian YVART fils de Emile YVART qui était contre-maître au laboratoire des APO à l'usine 1 où j'ai travaillé aussi  jusqu'au licenciement des 1050 ouvriers en décembre 1978.

MANIHEN ici rue des Hauts Fourneaux  au numéro 274, il devait s'agir d'un commerce, sur le pignon on aperçoit des publicités pour les commerces. 

    Prés du foyer  et de la salle des fêtes,  il existait un baraquement qui a servi de logement de fonction, ici sur la droite, habité par une employée communale, il fut détruit avant 1990. Madame Hector ou Hoctor. Photos de 1971

Le foyer restaurant de Manihen 1971

                         Manihen vue de la colline d'Ecault.

 Manihen vue de la colline d'Ecault.

   Quelques commerces de Manihen

  Le café du Vieux Moulin se trouvait en face de l'entrée de l'usine 1 à Manihen.  Il fut construit vers 1900.

 Les cafés et cafés-tabacs épiceries étaient nombreux à Manihen et ouvraient leurs portes de bonne heure pour ceux qui prenaient le poste de 6HOO-14HOO et allaient prendre un café entre copains  et qui croisaient ceux qui avaient fini leur poste de nuit et dont certains rentraient au café avant de rejoindre leur maison . Photo du café du "Vieux Moulin" dont le footballeur François Bourbotte fut le propriétaire dans les années 1960.

 Vue sur la résidence GAMBART 

Léo Lagrange (1900-1940) et la conquête des loisirs. Sous-secrétaire d'État aux sports et aux loisirs sous le gouvernement de Léon Blum, le socialiste Léo Lagrange reste l'un des hommes politiques français les plus actifs. À l'origine des auberges de Jeunesse et du développement du sport populaire - un certain nombre de stades porte son nom -, il veut occuper les masses pour ne pas qu'elles tombent entre les mains des associations fascistes ou religieuses durant leur tout nouveau temps libre. : “Notre but simple et humain, est de permettre aux masses de la jeunesse française de trouver dans la pratique des sports, la joie et la santé et de construire une organisation des loisirs telle que les travailleurs puissent trouver une détente et une récompense à leur dur labeur “. Pacifiste mais engagé volontaire dans la Première Guerre mondiale, il côtoie André Malraux avec lequel il organise un trafic d'armes avec les républicains espagnols en 1936. Lorsque la guerre éclate en 1939, il s'engage et meurt au combat en 1940. Ce sera le seul ministre tué dans la campagne de France.

  Une plaque commémorative, en l'honneur de Léo Lagrange, a été déposée en 1990 à l'occasion du cinquantenaire de sa mort aux Monuments aux Morts pour La France de Manihen ; cette  plaque mentionne les citation " Aux jeunes, il ne faut pas tracer un seul chemin, il faut ouvrir toutes les routes."

Le 3 septembre 1939, Léo Lagrange écrit dans l'Avenir :" Si Hitler a choisi la guerre, si de sa main, il veut mettre le feu au bûcher sur lequel flambera notre civilisation, il faut qu'il sache que nous défendrons notre pays sans forfanterie, mais sans faiblesse, et que nous irons jusqu'au terme le plus dur de notre devoir. La France veut être libre."

A la déclaration de guerre, il a 39 ans. Ancien combattant de la Grande guerre et parlementaire, il n'est pas mobilisable. A Daladier qui veut lui confier un commissariat général à la préparation militaire, il répond : "le pouvoir appartiendra à ceux qui seront battus et qui en sortiront vivants". A sa sortie du peloton d'EOR de Poitiers le Sous-lieutenant Lagrange est affecté, sur sa demande, au 61e régiment d'artillerie de Metz. Le 9 juin 1940, Léo Lagrange se charge d'une mission dangereuse sur le front, près d'Evergnicourt, occupé par les Allemands. Il est tué lors de l'offensive de l'Aisne. Son corps, découvert dans une prairie sur le bord de l'Aisne le 17 février 1941, à la limite des communes d'Evergnicourt et d'Avaux, fut inhumé à Avaux-le-Château (Ardennes), mais une stèle commémorative fut élevée à Evergnicourt, après un différend entre ces deux communes. Ses restes furent transférés le 28 juillet 1947, d'Avaux à Bourg-sur-Gironde.                                           source : www.ra61.terre.defense.gouv.fr/.../LL/index.htmlMonument à la mémoire de Léo Lagrange à Evergnicourt. Léo Lagrange est aussi à l’origine de la création du billet populaire de congés annuels qui accorde 40 % de réduction sur les transports ferroviaires.

Manihen sous la neige...Rue Edouard VAILLANT après le passage à niveau

    En haut de la rue Etienne DOLLET les pâturages et les paysages.

 Le haut de la rue Etienne DOLLET

De ces pâturages s'écoule un ruisseau Photo prise du haut de la rue Etienne DOLLE

Manihen et ces chemins de campagne où il y a encore quelques petites fermes

Des murets et des maisons du début des années 1900.Le haut de la rue du Havet

Le chemin de Berken de la Tour du Renard reliant Manihen à Outreau Les petits chemins de campagne de Manihen 

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