La presse de l'époque, faits divers, drames etc...

Le stade Porteloise écrase les Cheminots d'Outreau par 6 but à 2, article de presse des années 1956, archive de Pascal BERNARD. "Disputée devant 600 personnes environ, cette rencontre ne tint pas ce qu'elle promettait et le score ne reflète nullement la physionomie de la partie. Certes Le Portel dont l'équipe et plus vite et plus complète , a mérité sa victoire, mais les Cheminot d'Outreau peuvent invoquer la malchance qui priva l'équipe de son ailier gauche Chatelain dès la sixième minutes....Dès la 29 -ème minuties Thierry BERNARD inscrivait un doublé et très vite les Cheminots d'Outreau revenaient à 2 buts à 1 ...Lire la suite dans l'article ci dessous...

Jeudi 21 juin 1877  l'orage a causé la mort d'une femme  de 40 ans à Outreau , plus précisément à La Salle lieu-dit d'Outreau ; voici les faits relatés  : " Madame Thomassine Routier ( née Duhamel) se trouvait près de la cheminée et préparait le repas de la famille ; près d'elle étaient cinq personne dont deux jeunes gens sur le seuil de la porte ouverte ; un éclair fulgurant emplit la maison de lumière et d'électricité et ils furent tous renversés. Au bout de quelques minutes tout le monde avait repris ses sens à l'exception de Madame Routier, la pauvre femme avait été frappé directement par la foudre." L'acte de décès fut dressé en soirée. Madame Routier née Duhamel s'était mariée le 27 octobre 1857 à Widehem avec Eloi Routier qui était berger.

Excelsior : journal illustré quotidien d'information littéraire du 3 juillet 1934 nous informe : du décès de René Lisle (dans la 81ème année) ancien inspecteur des finances, vice président honoraire du chemin de fer du Nord, etc....Note :Le journal ne mentionne pas que René Lisle est décédé le  lundi 2 juillet 1934 à Xaintrailles 47327, dans le Lot-et-Garonne, il résidait  à Paris au N° 17 rue Fortuny dans le 17ème arrondissement. Recherche Pascal BERNARD éditée le 21 octobre 2022.

Les obsèques religieuses de René Lisle eurent lieu le mercredi 4 juillet 1934  à Paris en l'église Saint-François-De-Sales dans le 17ème arrondissement. Cartes postales du début 1900 de l'église Saint-François-De-Sales 

René Lisle (de son vrai prénom Georges Lisle était le gendre de Hippolyte Adam, banquier français, maire d'Outreau de 1880 à 1884 et administrateur des chemins de fer, il a participé à l'essor du Lavandou à la fin du xixe siècle. .René Lisle était marié avec la 2ème fille du couple Adam-Perrochaud, Antoinette Adam née le 16 décembre 1866 au 35  rue Siblequin à Boulogne-sur-Mer ; mariée le 2 juin 1890 à Paris dans le 9ème arrondissement. Le jeudi 5 juillet 1934 dans l'intimité familiale René Lisle fut enterré à Outreau dans le caveau familiale de la famille Adam-Perrochaud, caveau surmonté d'un monument  appelé " Le regret" érigé par Marie Cazin. Charles Edouard Marie MARBEAU, Léon YEATMAN et Antonin CLERC étaient les beaux frères de René Lisle ( par le mariage des trois sœurs ADAM.) Photo du caveau familiale...

Lors d'une réunion du conseil municipal de juin 1900, le maire d'Outreau Félix Delplanque décide de suspendre l'allocation des curés d'Outreau et du hameau d'Equihen ; sur 23 conseillers 6 étaient manquant dont Hippolyte Adam qui prévoyant ce qui allait se produire avait donné sa démission (rappelons que  Hippolyte  Adam avait été maire de 1880 à 1884 de Le journal l'Express du Nord et du Pas-De-Calais relate cet évènement le 29 juin 1900. 

Commune d'Outreau  fête de mi Carême du 26 mars 1922 organisée par l'Union des Réformés,  Anciens Combattants -Veuves -Orphelins et Ascendants du Boulonnais, le journal "Le Combattant du Boulonnais" du15 mars 1922 dévoile le programme : "Grande Cavalcade, grand bal etc..." lire l'article.

Le journal " Le Peuple" relate dans un article l'inauguration de l'école maternelle du Biez ( actuelle école Saint-Exupéry) du 15 septembre 1935 dont voici un extrait et la coupure de presse : " Erigée rue du Biez, la nouvelle école maternelle comporte plusieurs bâtiments dans lesquels le bois a été complètement exclu : ciment armé, carrelages, revêtements en céramique et en grès, fer , matériaux incombustibles partout. La salle des fêtes, comportant au dessus un solarium, est un modèle ; de larges baies, une salle carrelée où le chauffage central, encore une innovation, se fait sentir par le haut."

Le 9 juin 1908 à 6H30 le train de marchandises 4794  a tamponné un autre train de marchandises le 5703  ; ce drame s'est déroulé  sur la voie de chemin de fer au lieu dit "Montataire " l'usine  des Hauts Fourneaux de Montataire de Manihen à Outreau, Le petit journal parti social français du 10 juin 2007 relate : Le train de marchandises 4794 a été prise en écharpe (  collision de deux trains qui, circulant sur deux voies convergentes, se rencontrent au point de jonction de ces deux voies). à Outreau ( lieu dit Montataire aux aciéries de Manihen) par le train 5703 .Un choc épouvantable se produisit  et la machine du 5703 se renversa sur le ballast  tandis que le convoi de marchandises était repoussé de 100 mètres...

Le chauffeur du train de marchandises, Léandre Legris, résidant à Abbeville au 287 Boulevard Voltaire est décédé il était âge de 32 ans, né le 6 janvier 1876 à Longvillers,80492,Somme il était marié depuis 1902...Le couple n'avait pas d'enfants.

Le mécanicien du train de marchandises Nicolas François Lefranc est décédé il avait 43 ans ; résidant au 240 de la chaussée d'Hocquet à Abbeville, comme son collègue Léandre Legris mécanicien ; Nicolas François Lefranc était né le 5 mars 1865 à Mesnil-Martinsart (acte N°3) dans la Somme. Les actes de décès furent dressés en la commune d'Outreau le 10 juin 1908 où il est indiqué " décédés le 9 juin à 6h30 sur la voie du chemin de fer au lieu dit Montataire territoire d'Outreau". l'usine des aciéries de Montataire se situait à Manihen hameau d'Outreau, elle s'appellera par la suite usine 1 de Manihen....Nicolas François Lefranc avait 43 ans et non 45 ans comme le mentionne le journal...

Photo de l'usine de Montataire à Manihen hameau d'Outreau au début des années 1900

La compagnie du chemin de fer du Nord explique la collision :"Le 9 juin à 6H20 une machine venant de l'embranchement des usines d'Outreau a pris en écharpe un train de marchandises, dix wagons ont été brisés et nous avons à déplorer la mort de deux de nos agents le mécanicien  Nicolas François Lefranc 43 ans d'Abbeville et le chauffeur Léandre Legris, 32 ans résidant également Abbeville ; de plus un conducteur est grièvement blessé"... Le rapport de la Compagnie mentionne que le train se dirigeait vers Paris contrairement à certains journaux qui écriront que le train venait de Paris...

Le garde frein du train 5703 Cyrille Guyot eut la jambe et le bras brisés, il fut conduit à l'hôpital Saint-Louis de Boulogne-Sur-Mer ; né le 21 février 1873 à Pernes résidant à Abbeville marié et père de famille. Le Grand écho du Nord du 13 juin 1908 revient sur le drame, sur la réparation de la voie et signale que l'état de santé de Cyrille Guyot s'est aggravé, les os de la jambes sont affreusement broyés à plusieurs endroits et il est probable que l'on devra procéder à l'amputation ; il avait reçu la visite de son épouse et de ses trois enfants....

Le garde frein du train 5703 Cyrille Guyot ne survivra pas et décèdera le 13 juin 1908 à hôpital Saint-Louis de Boulogne- sur-mer l'acte décès fut dressé à Boulogne-Sur-Mer...Son décès sera mentionné dans le Grand Echo du Nord du 15 juin 1908.

Le grand écho du Nord dans un article du dimanche 16 juin 1895 relate le suicide d'un homme marié âgé de 30 ans et d'une demoiselle qui allait avoir 16 ans. Les amants n’avaient pas donné de nouvelles depuis samedi 8 juin ; lundi les deux corps furent découvert par un enfant ; après enquête les actes furent dressés en mairie d’Outreau le lendemain  de leur découverte, le mardi 11 juin 1895

Le lundi 8 septembre 1931 un drame familial s'est produit à Equihen hameau d'Outreau ; un ouvrier d'usine de 31 ans (et non de 34 ans comme le relate l'article du journal 'L'Action) Charles C. après une dispute avec son épouse lui a porté un coup de couteau ; la femme née Elisabeth... âgée de 34 ans, grièvement blessée  fut transportée à l'hôpital Saint Louis de Boulogne-Sur-Mer. Le meurtrier qui a pris la fuite est recherché par les gendarmes... La victime survivra à ses graves blessures, quant à Charles. C... il décèdera à l'âge de 35 ans en 1935. Ce drame sera relaté dans plusieurs journaux dont " La Croix du Nord" et " Le grand Echo du Nord"....

Le journal " Le Vétéran. Bulletin de la Société nationale de retraites " relate dans un article de 1932 les noces de diamant célébrées  en l'église d'Outreau- en même temps que le mariage de son petit fils... Louis Derumaux de son vrai prénom Désir et (parfois écrit Desrumaux) et Eugénie Décléer s'étaient mariés  le 11 mars 1872, à  Boulogne-sur-Mer et à l'église Saint Vincent de Paul ( ancienne paroisse d'Outreau jusqu'en 1835...L'article relate " Notre camarade Louis Derumaux Président Fondateur de la  14è section de Boulogne-Sur-Mer, ancien combattant de la garde mobile de la Seine vient de célébrer ses noces de diamant  à l'église paroissiale d'Outreau.."

Photo de l'église Saint Vincent de Paul à Capécure qui dépendait d'Outreau jusqu'en 1835 années où le quartier de Capécure "intégra" la commune de Boulogne-Sur-Mer. Détruite durant la seconde guerre mondiale elle fut reconstruite à environ 500 mètres à côté dans les années 1950.  

Désir Louis Derumaux (parfois écrit Desrumaux sur les actes parisiens), ancien combattant de la guerre 1870-1871 décède le  16 juillet 1934 au N°14 de la rue Dutertre à Boulogne-Sur-Mer, acte dressé le lendemain par Jean Jarrett 37 ans employé des pompes funèbres ( père du célèbre Jean Jarrett chanteur et humoriste patoisant )... L'épouse de Désir Louis Derumaux Eugénie Décléer décèdera le 30 avril 1936 à Boulogne-Sur-Mer au N°21 rue de Wicardenne.

 Louis Derumaux était né le 4 août 1848 à Fives, Lille, 59000 ; marié le 11 mars 1872 avec Eugénie DÉCLÉER, née le 5 février 1852 à Boulogne-sur-Mer, il était Négociant, représentant de commerce. En 1870 il résidait au N°1 quai de Bercy dans le 12°arrondissement,il  est témoin au mariage de sa sœur Zélie  le 24 février 1870..La famille avait quitté le Nord de la France vers 1850 pour rejoindre la région parisienne où leur père décèdera le 3 février 1857 au N° 11 rue des juifs dans l'ancien 7ème arrondissement à l'âge de 46 ans...On retrouve la même adresse lors du mariage de Derumaux  Elisée, (inscrit Desrumeaux ) le 22 avril  1857.

Le tombeau de la famille Fauquembergue-Sauvage dans le cimetière d'Outreau est classé dans l'inventaire général du patrimoine culturel des Monuments et bâtiments historiques d'Outreau. 

Voici la terrible histoire qui frappa la famille Fauquembergue à Outreau le mercredi 10 juillet 1907, madame Fauquembergue  après envoyé l’aîné de ses 3 enfants Abel à l'école se rendit à l'économat du chemin de fer et laissa sous la surveillance de son mari ses deux autres enfants. C'est alors qu'occupait au jardin Mr Fauquembergue aiguilleur au chemin de fer, entendit deux bruits sourd... C'étaient ses deux enfants qui venaient de chuter de 8 mètres de leur chambre, rue du Mont Neuf. Robert Fauquembergue âgé de 6 ans et 9 mois mourut sur le coup à 11H00 comme indiqué sur l'acte de décès. Maurice Fauquembergue âgé de quatre ans décéda à 12h30 comme indiqué sur l'acte de décès.Article du journal l'Impartial de juillet 1907 relatant le drame de la famille Fauquembergue rue du Mont Neuf à Outreau.

Sépulture à Outreau de la famille Fauquembergue-Sauvage, réalisée par Achille Blot (sculpteur). 

Le jeudi 21 novembre 1907, tandis que Mr Fauquembergue se recueillait sur la tombe de ses deux enfants décédés tragiquement le 10 juillet 1907, son épouse "qui avait perdu la tête", pendit leur fils Abel âgé de 8 ans puis après avoir tué le chien, elle se suicida. C'est en rentrant du cimetière que Mr Fauquembergue découvrit l'horrible drame comme le relate l'Impartial du 22 novembre1907. L'acte du décès de madame Fauquembergue née Sauvage âgée de 41 ans  fut dressé le 22 novembre 1907. Celui de son fils Abel 8 ans fut dressé le 23 novembre 1907.

Trois ans après, Monsieur Fauquembergue qui avait vu disparaître toute sa famille dans de terribles circonstances et suite à un courrier qui le révoquait de ses fonctions aux chemins de fer, se suicida le 20 octobre 1910 en adressant une lettre à ses proches comme quoi il ne supportait pas sa révocation. Le rapport de police mentionne " qu'à 11h00 du soir Mr Edouard Fauquembergue a été retrouvé mort à son domicile 39 rue des Vieillards à Boulogne-Sur-Mer, après avoir calfeutré les fenêtres et débranché le  tuyau du poêle dans lequel il avait mis du charbon de bois". L'acte de décès fut  rédigé le lendemain à la mairie de Boulogne -Sur-Mer. 

 Les noms de la famille Fauquembergue-Sauvage gravés sur la sépulture. 

Plaque d'inscription en bas du monument: Edouard Fauquembergue 1874-1910. Il est décédé le 20 octobre 1910 à 11h00 du soir 39 rue des vieillards ; acte n°654 du 21 octobre 1910. Il est né le 22 mars 1874 à Boulogne-Sur-Mer. 

Gaston Pruvost âgé de 18 ans  habitant rue du Mont neuf victime d'un accident  mortel de travail aux A.P.O le 16 décembre  1912

Le grand écho du Nord de la France du 18 décembre 1912 relate un accident aux aciéries de Paris et d'Outreau ; "Lundi 16 décembre  décembre 1912 un jeune ouvrier était occupé avec ses camarades à remettre un wagonnet Decauville sur rail, au moment où il se baissait pour le soulever, celui ci poussait d'autre part vint le heurter violemment à la tempe, lui comprimant la tête contre un poteau ; le jeune Gaston Pruvost âgé de 18 ans fut transporté à l'hôpital de Boulogne-Sur- Mer où il est décédé.." Son décès fut transcrit à Boulogne le 17 décembre 1912.

Gaston Pruvost était né à Outreau route du Mont Neuf le 24 octobre 1894,  son père était terrassier à Outreau ensuite ses parents partiront  sur Boulogne ; après le décès de sa mère  le 27 mai 1898  au 76 rue Danrémont la famille revient vivre rue du Mont Neuf ; fils de Alexandre Pruvost né 10 juillet 1867 et de Marie Alexandrine Villeneuve née en juillet 1866 à Lefaux et décédée à l'âge de 32 ans à Boulogne-Sur-Mer le 27 mai 1898  au 76 rue Danrémont ; son père Alexandre Pruvost se remarie en 1899 et veuf pour la deuxième fois de Marie Adeline Falempin décédée le 26 mai 1908 route du Mont Neuf à Outreau... Un npeu plus de quinze jours après le drame et la perte de son fils, Alexandre Pruvost décède le 5 janvier 1913 au 43 rue Damrémont...

Photo de wagonnets poussés par les ouvriers des aciéries d'Outreau

La société Decauville fut fondée par Paul Decauville En 1875 il invente un nouveau type de voie de chemin de fer de faible écartement (de 400 à 600 mm) qui très vite prit le nom de « Decauville » . Les wagonnets étaient d'abord poussés à la main ou tractés par des chevaux. Par la suite, des voitures motorisées et des petites locomotives 

Le  mardi 27 mars 1923 au 109 rue du Mont neuf vers 5H00 du matin eut lieu un drame affreux qui sera relaté dans le Grand Journal du Nord De La France du jeudi 29 mars ainsi que dans le Réveil du Nord et une grande partie de la presse en France.

Mardi 27 mars 1923, parce que son épouse refusait de lui donner de l'argent, Eugène Desprès égorgea sa femme et se suicida. Il  était environ 5H00 du matin quand Eugène Desprès- ( le journal mentionne Duprè par erreur)- qui travaillait au A.P.O. (aciéries de Paris et d'Outreau) réclama de l'argent à sa femme Mathilde née Canivet qui refusa, pris de folie il égorgea celle-ci puis ensuite alla se pendre dans la courette attenant à la maison...Les voisins habitués à ce genre de violentes disputes disaient toujours qu'un jour cela finirait par un drame....Voici l'article du Grand Echo du Nord du 29 mars qui relate le drame.

C'est vers 4H45 qu'un camarade de leur fils Germain Desprès, qui travaillaient  tout deux à la Tonnellerie Liagres,  s'étonnant de ne pas avoir de réponses alla prévenir sa mère, celle-ci après avoir ouvert les volets mal fermés découvrit l'horreur... Le journal Le Réveil du Nord du 29 mars relata lui aussi le drame.

En attendant les formalités du constat de police, du docteur Defrance, les voisins recueillirent les deux jeunes enfants du ménage et le maire d'Outreau Maurice Gournay s'occupa de leur assurer un asile définitif ; les actes de décès furent dressés le jour même en mairie d'Outreau à 16H00 en présence de Maurice Lebègue employé 52 ans et Louis Ribeaux employé 24 ans. A noter que ce Canivet avait fait l'objet d'une grave affaire en 1899 à l'âge de 16 ans....

Accident mortel le vendredi 7 août 1931 aux A.P.O,  un groupe d'ouvriers était entrain de décharger un wagon, soudain une pièce d'acier se rompit et la benne se détacha tombant sur eux ; Emile Sart fut tué sur le coup et son compagnon Léon Leleu fut blessé à la tête...

lPierre Emile Sart était né le 29 février 1894 à Tingry, lors de sa mobilisation il résidait à Samer et participa à la grande guerre.... Marié en 1919 avec Fourrier Aline et en 1920 le couple résidait rue des Hauts Fourneaux à Outreau. Dans l'acte décès établi le lendemain 8 août 1931 en mairie d'Outreau il est mentionné " décédé à l'usine des Aciéries (A.P.O) ; le couple Sart-Fourrier avait quatre enfants...