La page de mon ami Jean-Pierre LIBERT : Photos d'époque, Archives, articles et documents

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Albert DUHAUTOY une carrière de Cheminot et l'Hommage au Résistant.

A. DUHAUTOY départ en retraite article et photo de Nord Matin 6 mai 1953

cliquez sur les photos et articles pour les visualiser dans leur originalité.

La fine équipe fête le départ d'Albert DUHAUTOY titrera le journal Nord Matin du 6 mai 1953

A. DUHAUTOY sa femme et sa fille Nord Matin 6 mai 1953

Emile CARPENTIER Maire d'OUTREAU DE 1943 à 1944 et de 1945 à 1948.

Il est né le 15 septembre 1888 à l'ETOILE dans la Somme et décédé le 9 mai 1948.

Un lien très intéressant sur notre ancien Maire Emile CARPENTIER

http://www.ajpn.org/juste-emile-Carpentier-510.html

Émile Carpentier*, est né à l'Étoile dans la somme, le 15 septembre 1888.

Il épouse Eléonore Billet (1888-1978)

Très impliqué contre l'injustice, il devient syndicaliste et entre au conseil municipal d'Outreau en 1925. Il devient rapidement adjoint au maire.

Connu pour ses positions libérales, il est membre de plusieurs organisations de droits de l'homme. Très impressionné dans sa jeunesse par le procès Dreyfus, il se jure de se battre contre l'injustice.

En 1934, il fait partie d'un comité d'aide aux Juifs qui ont fui l'Allemagne et sont venus se réfugier à Boulogne.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est maintenu par les autorités d'Occupation comme premier adjoint de la commune et occupera le poste de maire lorsque Ernest Desclève, le maire d’Outreau, sera fait prisonnier.

Si, pendant l'Occupation, il n'est membre d'aucune organisation de Résistance connue, il se dépense sans compter en faveur des victimes des persécutions nazies.

Il va sauver Ernest et Lily Dohan, un couple de Juifs de Tchécoslovaquie qui avaient trouvé refuge à Boulogne-sur-Mer.

En effet, durant l'été 1940, la ville se trouve dans la zone des combats et les Allemands décident d'arrêter tous les étrangers vivant dans le département. Les Dohan figurent sur le registre des réfugiés étrangers et sont menacés d'arrestation.

Le maire, informé de la rafle qui se prépare, organise la fuite des Dohan et leur fournit un faux laissez-passer, grâce à ses contacts avec les cheminots. Puis, malgré le risque, il insiste pour accompagner lui même les Dohan, qui doivent sauter du train à un certain point où une voiture les attend pour les emmener en lieu sûr. Tandis que la police fouille la ville d'Outreau, les deux réfugiés prennent le train et quittent la ville tranquillement.

Élie Merkreb, un juif de Belgique, fait partie d'un groupe de prisonniers employés par les Allemands pour travailler aux fortifications d'Aurigny, une des îles Anglo-Normandes.

En 1944, ces prisonniers sont transférés à Boulogne avant d'être expédiés vers une destination inconnue à l'est. Quarante d'entre eux réussissent à s'échapper. Ils contactent Émile Carpentier*, qui les place chez des familles françaises, leur fournissant faux papiers et fausses cartes d'alimentation. Ils peuvent ainsi quitter rapidement la région. Peu d'entre eux furent repris.

Élie Merkreb restera en contact avec le maire jusqu'à sa mort le 9 mai 1948. Il continuera à correspondre avec sa veuve.

Dans une lettre écrite par le vice-président de l'association des détenus politiques d'Aurigny, sont évoqués les événements de l'année 1944, rendant hommage à l'aide reçue du maire.

Cette notice est réalisée avec le concours du Comité français pour Yad Vashem

La vie d'Emile CARPENTIER, son action, nos souvenirs. Cliquez et zoomez sur l'article pour le lire.

Photo du dernier discours d'Emile CARPENTIER lors d'une cérémonie Aux Monuments Aux Morts

pour la France, certainement le 11 novembre 1947...Emile CARPENTIER est décédé le 9 mai 1948.

Emile CARPENTIER est né le 15 septembre 1888 à l'ETOILE dans la Somme et décédé le 9 mai 1948 à Outreau

le maire Emile CARPENTIER et le conseil municipal à l'unanimité vote jeudi 21 août 1947

une sépulture gratuite et à perpétuité au cimetière d'Outreau pour les Enfants Morts pour la France.

Emile Carpentier pris de gros risques durant l'occupation et sauva aussi trois personnes d'origine Juive.

Le 29 avril 1969, Yad Vashem a décerné à Emile Carpentier le titre de Juste parmi les Nations.

Sources : http://www.yadvashem-france.org/les-justes-parmi-les-nations/les-justes-de-france/dossier-529/

Sources : http://www.yadvashem-france.org/les-justes-parmi-les-nations/les-justes-de-france/dossier-529/

Carte postale de la stèle d'Emile Carpentier qui se trouve dans le cimetière d'Outreau ; elle fut érigée par l'aide d'une souscription auprès de la population.

Un reçu de souscription de la ville d'Outreau de 200 francs à l'époque de Louis Micke et son père Théodore Micke pour l'érection du buste d'Emile CARPENTIER. Archive scanné de la famille Micke que je remercie.

Un lien très intéressant sur notre ancien Maire Emile CARPENTIER

http://www.ajpn.org/juste-emile-Carpentier-510.html

Émile Carpentier*, est né à l'Étoile dans la somme, le 15 septembre 1888.

Il épouse Eléonore Billet (1888-1978)

Très impliqué contre l'injustice, il devient syndicaliste et entre au conseil municipal d'Outreau en 1925. Il devient rapidement adjoint au maire.

Connu pour ses positions libérales, il est membre de plusieurs organisations de droits de l'homme. Très impressionné dans sa jeunesse par le procès Dreyfus, il se jure de se battre contre l'injustice.

En 1934, il fait partie d'un comité d'aide aux Juifs qui ont fui l'Allemagne et sont venus se réfugier à Boulogne.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est maintenu par les autorités d'Occupation comme premier adjoint de la commune et occupera le poste de maire lorsque Ernest Desclève, le maire d’Outreau, sera fait prisonnier.

Si, pendant l'Occupation, il n'est membre d'aucune organisation de Résistance connue, il se dépense sans compter en faveur des victimes des persécutions nazies.

Il va sauver Ernest et Lily Dohan, un couple de Juifs de Tchécoslovaquie qui avaient trouvé refuge à Boulogne-sur-Mer.

En effet, durant l'été 1940, la ville se trouve dans la zone des combats et les Allemands décident d'arrêter tous les étrangers vivant dans le département. Les Dohan figurent sur le registre des réfugiés étrangers et sont menacés d'arrestation.

Le maire, informé de la rafle qui se prépare, organise la fuite des Dohan et leur fournit un faux laissez-passer, grâce à ses contacts avec les cheminots. Puis, malgré le risque, il insiste pour accompagner lui même les Dohan, qui doivent sauter du train à un certain point où une voiture les attend pour les emmener en lieu sûr. Tandis que la police fouille la ville d'Outreau, les deux réfugiés prennent le train et quittent la ville tranquillement.

Élie Merkreb, un juif de Belgique, fait partie d'un groupe de prisonniers employés par les Allemands pour travailler aux fortifications d'Aurigny, une des îles Anglo-Normandes.

En 1944, ces prisonniers sont transférés à Boulogne avant d'être expédiés vers une destination inconnue à l'est. Quarante d'entre eux réussissent à s'échapper. Ils contactent Émile Carpentier*, qui les place chez des familles françaises, leur fournissant faux papiers et fausses cartes d'alimentation. Ils peuvent ainsi quitter rapidement la région. Peu d'entre eux furent repris.

Élie Merkreb restera en contact avec le maire jusqu'à sa mort le 9 mai 1948. Il continuera à correspondre avec sa veuve.

Dans une lettre écrite par le vice-président de l'association des détenus politiques d'Aurigny, sont évoqués les événements de l'année 1944, rendant hommage à l'aide reçue du maire.

Cette notice est réalisée avec le concours du Comité français pour Yad Vashem

A la libération Emile Carpentier fut inquiété par le Comité Départemental de la Libération qui voulait l'exclure de l'administration municipale et l'empêcher de briquer un siège aux prochaines élections locales. Le comité local de Libération d'Outreau intervint et adressa un courrier de soutien que signèrent Louis MICKE, Raymond SPLINGARD, GUILBERT, PRUVOST, VASSEUR, LESSAFFRE, VIDOR, LEDEZ et DUMONT.

Photo du dernier discours d'Emile CARPENTIER lors d'une cérémonie Aux Monuments Aux Morts

pour la France, certainement le 11 novembre 1947...Emile CARPENTIER est décédé le 9 mai 1948.

Une immense foule près de la mairie d'Outreau accompagne pour la dernière fois leur Maire Emile CARPENTIER.

La foule devant le parc de l'ancien château Lonquety en face de l'ancienne mairie d'Outreau, actuel jardin public dont il ne reste que la tour

La mairie avec les drapeaux et la population venue nombreuse rendre un dernier hommage à E.CARPENTIER

Le cortège se rendant au cimetière, cet endroit c'est en face du Bras d'Or, on aperçoit dans le fond la mairie d'Outreau...

Les écoliers suivis de l'Harmonie Municipale d'Outreau dans le cortège accompagnant Emile Carpentier au cimetière le 13 mai 1948, décédé le 9 mai 1948.

Discours de M. LEDUC Inspecteur Primaire lors des funéraille d'Emile CARPENTIER

Discours de M. LEDUC Inspecteur Primaire lors des funérailles d'Emile CARPENTIER...suite

L'arrivée au cimetière où une immense foule accompagne à sa dernière demeure leur regretté maire Emile CARPENTIER

Madame Carpentier et les personnalités

Près du drapeau René Mathou qui sera maire de 1948 à 1952 ; au premier plan Madame CARPENTIER

Photo d'un vétéran de la première guerre mondiale à l'enterrement d'Emile Carpentier

La tombe d'Emile CARPENTIER

Puis par la suite la ville d'Outreau par une souscription fit iriger un buste en l'honneur de leur maire regretté Emile CARPENTIER ... En 1948 son épouse fut élu conseillère municipale

La tombe et le Buste d'Emile CARPENTIER

discours de M.MATHON conseiller Général et adjoint au Maire d'Outreau rendant un dernier Hommage et dire les adieux au regretté et ami Emile CARPENTIER

Photo de René MATHOU lors de son discours le jeudi 13 mai 1948 lors de l'enterrement de Emile CARPENTIER. René MATHOU deviendra maire de 1948 à 1952....Raymond SPLINGARD lui succédera de 1952 à 1983.

Suite du discours de M.MATHON :

Trois maires durant l'occupation Ernest DESCLEVES de 1925 à1943 Emile CARPENTIER de 1943 à 1944

Emile Guilbert de 1943 à 1945

Emile CARPENTIER sera réélu maire en 1945 jusqu'à on décès le 9 mai 1948.

Photo d'Emile Carpentier, Ernest Desclèves et Emile Guilbert ( de gauche à droite.)

Outreau remise du drapeau aux Anciens prisonnier cérémonie du 18 novembre 1946

En présence du maire d'Outreau Emile CAPPENTIER, René MATHOU conseiller général et adjoint, Raymond Splingard et des personnalités

Le maire Emile CARPENTIER et le conseil municipal à l'unanimité vote jeudi 21 août 1947

une sépulture gratuite et à perpétuité au cimetière d'Outreau pour les Enfants Morts pour la France.

A propos du vote de 1947 du conseil municipal d'Outreau votant une subvention symbolique de 500 francs pour l'érection d'un monument dédié aux victimes du maquis de Revin

Le jeudi 21 août 1947 le conseil municipal sous la présidence du maire Emile Carptentier, vote une subvention symbolique de 500 francs pour l'érection d'un monument aux 3000 victimes du maquis du Revin

Réalisé par le sculpteur Henri Louis dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, il a été inauguré le 27 juin 1948 en présence de Vincent Auriol Président de la République et de François Mitterrand alors Ministre des Anciens Combattants.

Outreau la classe 1965 photo de Jean Pierre-LIBERT

Elèves du CES d'Outreau à la gare de Boulogne en 1971

Outreau 1963 une Cité en pleine expansion : cliquez et zoomez pour lire l'article

A Outreau en 1963 il y avait 4000 écoliers pour une population de 13600 habitants

En 1963 il était question de supprimer la Tour du château Lonquety

Travaux de la rocade à Outreau en 1963

Le programme de la sortie des JOYEUX du 1er Juillet 1956

Les Joyeux d'Outreau et la fête champêtre à Hesdigneul compte rendu et photo de la Voix du Nord du 10 juillet 1951

Ecole Maternelle du Biez année 1948-1949 institutrice Madame classe de Madame LEFEBVRE

quelques noms d'élèves : Jean-Paul VIDOR, Gérard MARSEILLE, Jean-Luc TINTILLIER, et Jean-Pierre LIBERT 2ème rang à gauche

Classe provisoire de l'école Jean Jaurès qui se situait là où se trouve l'actuelle préau et les classes du bâtiment construit en 1965.

A l'endroit où se trouve l' IUFM d'Outreau c'était la place Jean-Jaurès il y avait eu aussi une petite Cité Provisoire qui disparu lors de l'agrandissement de l'école Jean JAURES

Les problèmes scolaires par Jean-LIBERT

Bulletin Officiel Municipal de la ville d'Outreau de Mars 1965

Année 1965 construction d'un groupe scolaire de l'école Jean-Jaurès

Photos de Jean-Pierre LIBERT de l'Amicale des Joyeux

Le thème de cette année-là :laTerrasse.

Les Joyeux à Hesdigneul

Duhautoy, Blampain, Mme Libert

Depuis plus d'un an maintenant, Jean-Pierre LIBERT Outrelois d'origine...

Depuis de nombreuses années il habite le sud de la France. Mais il demeure trés attaché à sa ville natale Outreau.

Depuis plus d'un an sans me connaître à l'époque il m'a envoyé des photos et des documents riches d'Histoire de la commune, de la vie Associative, des écoles et de nombreuses coupures de journaux qu'l avait conservés.

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Compte rendu du conseil municipal du jeudi 21 août 1947

En 1947 Le conseil municipal à l'unanimité vote une sépulture gratuite et à perpétuité aux Outrelois Morts Pour La France

A propos du vote de 1947 du conseil municipal d'Outreau votant une subvention symbolique de 500 francs pour l'érection d'un monument dédié aux victimes du maquis de Revin

Réalisé par le sculpteur Henri Louis dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, il a été inauguré le 27 juin 1948 en présence de Vincent Auriol Président de la République et de François Mitterrand alors Ministre des Anciens Combattants.

Pour plus d'informations : La Résistance durant l'occupation documents, photos, archives et vidéos

Ecole du Biez, devenue école maternelle Saint-Exupéry

Devant l'ampleur de tant de renseignements, d'informations et de recherches j'ai décidé de créer dans mon site

" La page de mon Ami Jean-Pierre LIBERT ", d'une part parce que ce sont ses ( ces ) documents qui sont devenus rares, qu'ils enrichissent l'Histoire d'Outreau et nous font découvrir la commune sous des " aspects " différents ; sur plusieurs thèmes et les photos nous font connaître des " figures Outreloises. De les immortaliser. De perpétrer leur mémoire surtout à travers les époques terribles qu'ils traversèrent avec la guerre.

Ecole Jean-Jaurès ( école des filles à cette époque )

Cette page, sa page, c'est la plus belle façon pour moi de lui rendre un hommage. Merci Jean-Pierre LIBERT. Merci de m'avoir confé tant de richesses sans me connaître à l'époque.

Toutes tes archives ont largement contribué au site consacré à la ville d'Outreau et m'ont aussi dirigé sur d'autres recherches et découvertes.

On aura bien compris que l' Ami Jean-Pierre LIBERT est né durant l'année de la libération de la France...

Société Anonyme des ciments Français DEMARLE-LONQUETY

Jean-Pierre LIBERT grâce à ses archives nous fait connaître les Associations des années 1960 : les sociétés locales à cette époque ; nous faisons connaissances avec des noms bien connus qui resteront inscrits à tout jamais dans l'Histoires de notre commune et des associations créées dans les années 1900 et qui existent toujours.

train 01
train 10
train 10
train 15
train 15

Photos de locomotives du dépôt de Boulogne et autre

train 19

Dépot S.N.C.F de Boulogne-Sur-Mer

Déraillement à l'entrée de la gare à Boulogne-Sur-Mer en 1903. La machine série Mammouth s'était couchée suite entre une collision avec un train entrant en gare et un mouvement sortant. Mammouth est un type de locomotive à vapeur dont les essieux ont la configuration suivante... Voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Locomotive_%C3%A0_vapeur

Le Maire d'Outreau Raymond SPLINGARD et les élus en 1965

Raymond Splingard et le Conseil en 1965

Maire M Raymond SPLINGARD conseiller Général

Adjoints : MM BLANPAIN Henri – BUSCOT Jean – LIBERT JEAN -VERITE Raymond

Conseillers délégués : MM. PRUVOST Marcel - FLOART Emile – DELATTRE Albert- BOUGARD Léon

Conseillers : MMES : CARPENTIER Eléonore – DELATTRE Charlotte.

MMR : DELEGLISE Edmond – CHRISTOL Maurice – LOCKNER Georges – DESASY René – EUGENE César – FEYDOU Pierre – CHAVATTE Yvan – VIS Charlemagne – MARTIN Claude –

DELALIN Louis – CAZIN Alexis – GAMBART Jean - DECOUDU Fernand –DIX Charles

Charles HUMEZ à Outreau reçu par René MATHOU qui fut maire de la commune de 1948 à 1952 . Des membres du conseil municipal Jean Libert, Raymond Splingard qui lui succédera, et des personnalités. Les plusieurs visites de Charles HUMEZ à Outreau étaient organisées par BOUGARD Léon. Une salle de sport porte son nom en hommage à ce grand sportif.

Jean-Claude Flahaut, Jean Libert et Paul Derocque.Jean-Claude Flahaut a pratiquement fait toute sa carrière professionnelle à la mairie d'Outreau au bureau de l'état civil.

Le papa de Jean-Pierre Monsieur Jean LIBERT était cofondateur de la Mutuelle Traction.

Jean-Pierre LIBERT nous fait découvrir "le journal La Mouette Outreloise" année 1951-1952 de l'école Paul BERT

Hommages aux Outrelois, connaissances, faits divers.

Les documents de Jean-Pierre LIBERTque je retransmets dans sa page

Le monsieur sur la gauche doit être je pense Henri BLAMPAIN...A droite avec les lunettes PRUVOST qui fut instituteur

Monsieur DELIGNY doyen d'âge lors de l'élection du maire en 1952

Remise d'une gerbe par le personnel communal. 1952

Raymond Splingard et Jean Libert

Dépot de la S.N.C.F de Boulogne-Sur-Mer : départ en retraite de René DUHAUTOY

Médaille du travail, dépot de Boulogne : Les Outrelois : FLOHART, BLAMPAIN, DUHAUTOY

Merci à Jean-Pierre LIBERT. Extrait du journal Nord Matin

Un groupe des JOYEUX à HESDIGNEUL

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