Je ne suis mauvaise ni en orthographe, ni en bons usages typographiques. Je suis même plutôt bonne dans ces deux domaines ! Mais hélas, pas infaillible. D’autant que l’auteur d’un texte n’est jamais le mieux placé pour y débusquer les fautes et les coquilles (allez, disons-le, pour débusquer « ses propres fautes et ses propres coquilles »). Je ne garantis donc jamais un livre parfait à 100%, ce serait folie de ma part.
Pour s’approcher de la perfection, je demande systématiquement à mes narrateurs de relire leur livre avant impression.
Et à ceux que cela tranquillise, je propose le service premium qui consiste, pour un tarif forfaitaire lié au nombre de mots du manuscrit (autour de 1 centime les 10 mots), à faire appel à un correcteur professionnel.