Au-delà de la fameuse « première phrase » que poursuivent tous les écrivains, « le début » de votre livre, c’est-à-dire son ouverture, mérite réflexion. Bien que, pour plus de commodité dans l’exercice, je recommande ailleurs l’ordre chronologique pour raconter son histoire, une entorse est bien sûr toujours possible et parfois même conseillée. On peut donc, si on le souhaite et si un parcours s’y prête, commencer son livre… par la fin (ou par un fait marquant qui éclaire tout le reste). Ce faisant, tout le récit prend du relief. C’est le principe de « l’accroche » qui peut être reproduit à plus petite échelle pour relater un événement précis.