2-11 Dieux

Théma

Religions et Dieux

Préambule

Une divinité, une déité ou un dieu est un être supra naturel, objet de déférence dans différentes religions. Le mot divinité est également utilisé pour désigner l'essence de ces mêmes entités, ou la qualité de quelque chose de suprême ou de divin ; selon les Définitions du pseudo-Platon, un dieu est cause du bien, réalité éternelle, vivant immortel, qui se suffit à lui-même pour atteindre au bonheur.

Le mot français « dieu » vient du latin deus, lié aux mots dies (jour), et diluvium (ciel ouvert) ; il est apparenté au sanskrit div et diu, (ciel, jour et luminosité).

Dans les religions monothéistes, il n'existe qu'un seul dieu. Le mot Dieu devient alors un nom propre, qui prend une majuscule et désigne l'entité suprême, unique, immatérielle, transcendante, universelle et créatrice unique de toute chose.

« Credo in unum Deum, Patrem omnipotentem, factorem cæli et terræ, visibilium omnium, et invisibilium [...]. » (Je crois en un seul Dieu, Père tout-puissant, Créateur de toutes choses visibles et invisibles [...].) Symbole de Nicée

« اشهد ان لآ اِلَـهَ اِلا الله و أشهد ان محمدا رسول الله » (J'atteste qu'il n'y a pas d'autre divinité que Dieu et que Mohammed est son envoyé.) Chahada

Dans ces religions, le nom commun dieu n'est utilisé que pour désigner ce qui est considéré par elles comme de faux dieux :

« Vous avez porté la tente de Moloch et l'étoile du dieu Remphan. Ces images que vous avez faites pour les adorer ! Aussi vous transporterai-je au-delà de Babylone. » Actes 7:43

Les religions polythéistes envisagent l’existence de divinités (dieux ou déités) qui entretiennent entre elles des relations plus ou moins structurées et dont les influences sur le monde des mortels sont variées.

Les dieux et déesses de l’Égypte antique représentent une foule considérable de plus d'un millier de puissances surnaturelles ; divinités cosmogoniques, divinités provinciales, divinités locales, divinités funéraires, personnification de phénomènes naturels ou de concepts abstraits, ancêtres déifiés, démons, génies, divinités étrangères importées, etc. Le terme égyptien pour dieu est netjer (nṯr) et son plus ancien hiéroglyphe représente vraisemblablement un mat enveloppé de bandelettes de tissu. Pour désigner le concept de la divinité, les glyphes alternatifs sont le faucon sur un perchoir et un personnage accroupi. D'autres termes existent pour désigner une divinité, tel baou (bȝw) ou sekhem (sḫm) mais leur diffusion fut de moindre importance.

L'iconographie divine fut dès les temps protohistoriques placée sous le caractère de la diversité. La plupart des divinités furent dotées de plusieurs modes de représentations. La forme zoomorphe est sans doute la plus ancienne, mais très vite on lui adjoignit la forme purement anthropomorphe. La forme composite qui mêle un corps humain à une tête animale, ou vice versa, est plus tardive mais apparaît tout de même dès le xxviie siècle avant notre ère. Le panthéon des dieux égyptiens ne fut jamais organisé de manière canonique et rigoureuse à la manière des anciens Grecs. Cependant l'anarchie n'est pas totale. Les prêtres de la cité d'Héliopolis élaborèrent l'Ennéade (psdt), un groupement de neuf divinités issues du démiurge. Ce groupe fit florès à travers tout le pays et toutes les villes d'importance se virent dotées de leur propre Ennéade, sans pour autant se tenir strictement au nombre neuf, synonyme de la multitude. Les autres regroupements sont le couple avec Osiris et Isis pour parangon et la triade qui est l'adjonction au couple divin d'un dieu enfant, manifestation du cycle de la régénération cosmique. Il semble que ce qui caractérise un dieu égyptien, c'est d'abord les nombreux rites qui lui sont consacrés ; l'offrande de la Maât par pharaon à une divinité étant le geste cultuel par excellence.

La mythologie grecque, c'est-à-dire l'ensemble organisé des mythes provenant de la Grèce antique, se développe au cours d'une très longue période allant de la civilisation mycénienne jusqu'à ladomination romaine. La rencontre entre les Grecs et les Romains coïncide avec celle de la mythologie grecque et de la mythologie romaine : la première exerce une forte influence sur la seconde, qui ne s'y réduit pas pour autant. Longtemps après la disparition des religions grecque et romaine, la mythologie grecque est utilisée comme sujet d'inspiration par les artistes, et continue à l'être de nos jours.

La mythologie grecque nous est parvenue grâce à un vaste ensemble de textes dont les plus anciens sont les épopées d'Homère et les poèmes d'Hésiode, principalement la Théogonie, mais aussi par les arts picturaux comme la céramique. L'ensemble de ces sources présente des généalogies et des récits qui forment un système doté d'une cohérence limitée. Les mythes grecs témoignent de la représentation que les anciens Grecs se faisaient du monde. Néanmoins, le statut de la mythologie grecque est complexe, car la mythologie dépasse le cadre de la religion. Les personnages et les événements mythiques rapportés par la tradition étaient pour les Grecs, du moins dans leurs grandes lignes, des réalités historiques relevant d'un passé lointain, et servaient donc de base de travail aux historiens antiques. Dans le même temps, la mythologie fournit une ample source d'inspiration à la littérature et aux arts grecs antiques.

La religion grecque était fondée sur des rituels pratiqués en commun, mais ne reposait pas sur un texte sacré ou sur des dogmes, et il n'existait pas non plus de littérature proprement religieuse1. Des textes comme la Théogonie d'Hésiode et les épopées d'Homère ne sont donc pas des textes sacrés : ce sont des œuvres littéraires proposant une vision parmi d'autres de la création du monde et des généalogies divines, mais elles ne se proposent pas de dicter ce qu'il faudrait obligatoirement croire. Le lien entre littérature et religion s'établit plutôt par la composition de textes destinés à être déclamés lors de cérémonies religieuses (par exemple les hymnes de Pindare, et, de façon plus indirecte, les textes des tragédies, comédies et drames satyriques, puisque les représentations théâtrales sont liées au culte de Dionysos). Les dieux et héros mythologiques pouvaient être évoqués dans des contextes non immédiatement liés au culte proprement dit. Mais il faut garder à l'esprit que la société grecque antique ne connaît aucune séparation entre un domaine propre à la religion et le reste de la société : au contraire, la religion est présente de manière diffuse dans tous les aspects de la vie sociale et politique2.

L'absence de dogme ou de canon religieux n'est bien sûr pas synonyme d'absence de croyance. En Grèce antique, la piété (eusebeia), l'une des principales notions de la religion grecque antique, suppose de révérer les mêmes divinités que l'ensemble de la communauté : en introduire de nouvelles est un acte d'impiété, à moins que la cité ne les accepte officiellement, et il est tout aussi impie d'endommager les représentations des dieux ou leurs propriétés ou de parodier les rituels3. Mais dans le même temps, plusieurs cosmogonies et théogonies coexistent sans que cela ne pose de problème (Homère présente dans l’Iliade Océan et Téthys comme le couple primordial, tandis que la Théogonie d'Hésiode place le Chaos, puis Éros et Gaia, aux origines du monde, et qu'une secte comme l'orphisme propose encore une autre interprétation). Et la comédie grecque antique de l'époque classique peut librement représenter dieux et héros sous des traits grotesques en leur prêtant un comportement bouffon.

Toutes les divinités ayant reçu un culte en Grèce antique n'ont pas fait l'objet de récits mythiques. Certaines, comme la déesse Hestia, en sont pratiquement absentes4. De même, ni la place d'une divinité ou d'un héros dans la hiérarchie des puissances divines, ni l'abondance des récits qui lui sont consacrés, ne reflètent nécessairement l'importance réelle de son culte : ainsi Asclépios, quoique très inférieur à des divinités telles que son père Apollon, disposait d'un sanctuaire à Épidaure dont la renommée s'étendait à l'ensemble du monde grec5. Enfin, alors que la différence de statut entre les dieux et les héros est assez appuyée dans les récits, les cultes rendus à des héros (les cultes héroïques) différaient assez peu, dans leurs modalités, de ceux rendus aux dieux6.

Chacun des dieux grecs commande un ou plusieurs éléments. Il y a 12 dieux principaux :

  1. Zeus, dieu du ciel

  2. Héra, déesse des femmes mariées et des affaires de la maison

  3. Hermès, messager des dieux et protecteur des voyageurs

  4. Poséidon, dieu de la mer

  5. Héphaïstos, dieu des forgerons

  6. Aphrodite, déesse de la beauté et de l’amour

  7. Athéna, déesse de l’intelligence

  8. Arès, dieu de la guerre

  9. Apollon, dieu de la musique et de la poésie

  10. Déméter, déesse des moissons * et des récoltes

  11. Hadès, dieu des Enfers

  12. Artémis, déesse de la Lune et de la chasse

La mythologie romaine ou latine est l'ensemble des légendes et des mythes de la Rome antique.

D'origine indo-européenne, la mythologie romaine a emprunté au fil des siècles des conceptions religieuses et culturelles aux pays qui ont été peu à peu intégrés dans la sphère de Rome : la Grèce, l'Égypte, la Syrie, etc.

Les Romains se sont approprié puis ont adapté ces mythologies pour créer un ensemble syncrétique qui se manifeste dans la religion romaine.

La majorité des divinités du panthéon romain a très tôt subi l'influence de la Grèce antique et les divinités locales (ou « indigètes »), à quelques rares exceptions, ont souvent été assimilées à leurs homologues grecs. Pour cette raison, les articles consacrés aux dieux romains sont traités avec leurs équivalents grecs. Rome ayant largement assimilé la culture hellénistique, il est difficile de cerner les croyances des premiers Romains. Pourtant, les dieux de Rome ont des noms originaux qui les différencient de leurs homologues grecs : certes, à l'époque impériale, de nombreux dieux romains ont absorbé les attributs de dieux grecs ; néanmoins, l'étude minutieuse des noms romains de ces dieux ainsi que des cultes qui leur sont liés permet parfois de retrouver la nature première de ces anciennes divinités, qui étaient à l'origine proprement italiques.

Si on considère à tort la mythologie romaine comme négligeable par rapport à la mythologie grecque, c'est parce que les mythes romains portent principalement sur l'histoire de Rome, tandis que les mythes grecs sont axés sur les dieux et les héros. Mais malgré l'absence de cosmogonie ou de théogonie d'origine romaine, la mythologie romaine n'en existe pas moins, notamment à travers un nombre conséquent de récits de fondations de cités1. Des chercheurs tels que Georges Dumézil et T. P. Wiseman insistent également2 sur le fait que les notions de mythe et d'Histoire ne sont nullement exclusives l'une de l'autre dans la Rome antique, et qu'il est donc possible de parler de mythologie romaine, même si elle s'est construite en bonne partie sur des récits conçus comme historiques.

La diversité des tribus nord-amérindiennes se manifestait dans celle de leurs croyances et les esprits en lesquels ils croyaient. Bien que les différentes tribus partageassent parfois des rituels communs, les esprits leur étaient le plus souvent spécifiques.

Dans les cas des religions nord-amérindiennes, nous ne pouvons parler de divinités à proprement parler. En effet, les catégories grecques qui ont été appliquées aux religions panthéistes ne concordent pas tout à fait avec les religions animistes telles que celles des Amérindiens du Nord.

Avant l’arrivée des Européens, le Pérou a été le berceau de nombreuses cultures dont les systèmes religieux sont encore mal connus car, sans le support de l’écrit, ils doivent être déchiffrés à travers les représentations graphiques et les fouilles archéologiques. La religion inca se distingue de l’ensemble par la relative abondance des informations la concernant.

Dans l'hindouisme, certaines divinités sont considérées comme des émanations (ou avatars) d’autres dieux, ou d’une divinité primordiale unique.

Dans le bouddhisme, les divinités, ou devas1 sont des êtres dotés de conditions de vie extrêmement favorables (longévité, puissance, jouissances, etc.) acquises par leurs mérites antérieurs. Cependant même s'ils n'épuisent pas tout leur karmapersonnel, ils se retrouvent dans la même situation que tous les êtres des six domaines d'existence et doivent encore renaître selon leurs mérites. Leur statut est donc équivalent à celui des êtres humains.

Leur condition est à double tranchant puisque : 1) leurs facultés peuvent renforcer le sens de leur valeur personnelle et 2) la facilité de leur vie leur fait négliger des enjeux supérieurs. Orgueil et inconscience, ce sont là deux obstacles à la recherche de l'Éveil bouddhiste et à la génération de l'esprit d'Éveil (Bodhicitta). Cependant des Bouddhas surviennent aussi dans le domaine divin, et certains dévas, tels que Shiva, sont dits s'être « convertis ». Ils peuvent être devenusBodhisattvas, et c'est à cette condition seulement qu'on pourra leur accorder une quelconque dévotion.

Dans ce sens la condition humaine est la plus favorable à l'Éveil, puisqu'elle se tient au juste milieu des conditions extrêmes d'aisance divine et d'accablement infernal. C'est pourquoi on dit que même les dieux doivent passer par notre condition pour accéder à la Bouddhéité.

D'autre part le Bouddha historique, appelé Shakyamuni, n'est pas confondu avec Dieu au sens occidental, ni les divers Bouddhas confondus avec des dieux éternels, au sens gréco-romain.

Dans le paganisme, les dieux sont des éléments, des forces et des puissances immanentes. Les hommes doivent se les concilier par des rituels de toute nature.

Chez les penseurs orphiques, la théogonie fait intervenir, du moins dans le Papyrus de Derveni (IVe s. av. J.-C.) successivement : Nuit, Protogonos (= Mêtis), Ouranos (~ Gaîa), Kronos et Zeus.

Chez les philosophes néoplatoniciens, la théologie devient complexe, surtout avec Syrianos et Proclos. Selon Proclos (Commentaire du Parménide, VI, 1061-1063), Syrianos a été le seul à découvrir le principe de l'interprétation de Parménide de Platon, selon lequel tout ce qui est nié dans la première hypothèse est affirmé dans la deuxième et détermine les ordres divins qui procèdent de l'Un. Dans la première hypothèse, l'Un est affirmé, dans la seconde les dieux subordonnés à l'Un. Il aurait décomposé la seconde hypothèse du Parménide de Platon en quatorze parties correspondant à la procession de tous les degrés de l'être : les trois triades des dieux intelligibles (= l'être), les trois triades des dieux intelligibles-intellectifs (= la vie), les deux triades des dieux intellectifs (= l'intellect), la septième divinité (= la séparation des dieux supérieurs avec les dieux du monde) ; les dieux hypercosmiques (= les chefs), les dieux hypercosmiques-encosmiques (= les dieux détachés du monde), les dieux encosmiques (= les dieux célestes et sublunaires), les âmes universelles, enfin les êtres supérieurs (anges, démons et héros) (R. L. Cardullo). Dans son Commentaire sur le Timée, Proclos admet neuf niveaux de réalité : Un, être, vie, esprit, raison, animaux, plantes, êtres animés, matière première. Il pose une hiérarchie des dieux en neuf degrés : 1) l'Un, premier dieu ; 2) les hénades ; 3) les dieux intelligibles ; 4) les dieux intelligibles-intellectifs ; 5) les dieux intellectifs ; 6) les dieux hypercosmiques ; 7) les dieux encosmiques ; 8) les âmes universelles ; 9) les anges, démons, héros (Pierre Hadot).

L'hénothéisme désigne un système polythéiste dans lequel une divinité occupe une place plus importante que les autres,

Le panthéisme considère l’univers lui-même comme divinité.

Dieu est un concept philosophique ou religieux décrivant un être ou une force suprême dirigeant l'univers. Principe fondateur dans les religions monothéistes, Dieu est l'être suprême, unique, transcendant, universel, créateur de toutes choses, doté d'une perfection absolue, constituant le principe de salut pour l'humanité et qui se révèle dans le déroulement de l'histoire2. Comme entité philosophique, Dieu est le principe d'explication et d'unité de l'univers3.

L'existence réelle d'un être suprême et les implications politiques, philosophiques, scientifiques, sociales et psychologiques qui en découlent font l'objet de nombreux débats à travers l'Histoire, les croyants monothéistes appelant à la foi, tandis qu'elle est contestée sur les terrains philosophiques et religieux par les libres-penseurs, agnostiques, athées ou croyants sans Dieu.

La notion de Dieu revêt un considérable impact culturel, notamment dans la musique, la littérature, le cinéma, la peinture, et plus généralement dans les arts. La représentation de Dieu et la façon de nommer Dieu varient en fonction des époques et systèmes de croyances.

Dieux et Prophètes cousins de J.Chanis

    • Dieu grec

Apollon, fils de Zeus et de Léto, il est le plus hellénique des dieux, entendez par là, « le plus grec de tous les dieux ».

Apollon, un dieu enchanteur Apollon vit le jour dans une petite île de Délos. Il est le musicien qui apporte la gaieté sur le mont Olympe quand il joue de sa lyre dorée. Il est également le dieu du chant et de la poésie. On le surnommait Phébus (le «brillant»). Par ses activités d'artiste, Apollon est un dieu simple et modéré. Sur le temple de Delphes dédié à ce Dieu, la devise médên agan le prouve, signifiant que ce dieu n'a «rien de trop». Apollon, un dieu pur Il était associé au dieu de la Lumière et du Soleil, qui n'avait aucune face cachée (aucune ombre). Il devint ainsi le dieu de la Vérité, aucun mensonge ne l'habitait. Apollon est aussi le dieu Purificateur et Guérisseur, qui le premier apprit aux hommes l'art de la médecine. Mais, il peut aussi apporter la peste avec son arc. Ce n'est pas si paradoxal que cela vu que le seul remède réside alors dans la prière, la purification et le sacrifice : lui seul peut écarter la maladie qu'il apporte. La prière de Chrysès dans l'Iliade en fait référence. Amours de Apollon Apollon a de multiples amours, mais bien qu'Apollon soit d'une grande beauté, il semblerait qu'il soit malheureux dans ses amours. Parmi les plus célèbres: La nymphe Daphné, qui préféra être changée en laurier que de lui céder La nymphe Cyrène, avec qui il eut un fils: Aristée Hyacinthe, qui est un jeune garçon qui s'entraînait au lancer du disque Cassandre, prophétesse de Troie, ne l'aimait pas Coronis qui l'abandonna pour un mortel Quels sont les attributs d'Apollon ? Ses attributs sont principalement dédiés à la musique et à la poésie : la lyre d'or (phorminx), la flûte et l'arc. Les flèches de son arc symbolisaient des rayons solaires.

Jacques Gérard Yves Chanis 1 est un descendant à la 82e génération d'Apollon De L'Olympe, Dieu Des Grecs.

    • 4 branches :

    • Dieu grec

Arès, dieu de la Guerre et de la destruction était peu apprécié des Grecs, ne voyant en lui que brutalité et vengeance. On dit même que ses parents, Zeus et Héra, le détestait.

Arès, Dieu de la Guerre Arès va au combat et sème le carnage où il passe et il se réjouit du sang, habité d'une fureur guerrière. Son nom viendrait du mot grec anaïrês qui signifie «le tueur». Arès serait aussi la personnification de l'orage selon certains mythologues. Sa soeur éris, déesse de la Discorde, l'accompagne au combat, notamment contre les centaures. Amours D'après les récits, seule Aphrodite apprécie Arès. Ils entretiennent une relation secrète, et eurent deux jumeaux, Deimos (la Terreur) et Phobos (l'Epouvante). Ses deux enfants l'accompagnent dans la bataille, principalement en tant qu'écuyers. Mythe autour d'Arès Sa demi-soeur Athéna, en tant que déesse de la Guerre, partage le même domaine qu'Arès. Mais on oppose souvent sa sagesse à la force aveugle d'Arès. Elle tendit plusieurs pièges à Arès. L'Iliade raconte en effet qu'il fut enfermé pendant treize mois dans une jarre de bronze et livré par les Géants. Voulant se venger, Arès lança son javelot sur Athéna, qui l'évita et riposta en l'assommant d'une simple pierre. Quels sont les attributs d'Arès ? On le représente souvent avec son casque, son armure et muni d'un bouclier ainsi que d'une épée, notamment sur la statue du musée de la Villa près de Tivoli. Les animaux consacrés à Arès sont le vautour et le chien. Comment est représenté Arès dans les autres civilisations ? Arès est assimilé à Mars chez les Romains. Bien que les Grecs n'aimaient pas Arès, les Romains quant à eux honoraient Mars.

Jacques Gérard Yves Chanis 1 est un neveu à la 82e génération d'Arès De L'Olympe, Dieu Des Grecs.

    • En effet,

        • Zeus De L'Olympe, Dieu Des Grecs (4 liens de parenté)

    • est en même temps

        • le père d'Arès De L'Olympe, Dieu Des Grecs

        • un ancêtre à la 83e génération de Jacques Gérard Yves Chanis 1

    • Dieu grec

Héphaïstos est le dieu du Feu et de la métallurgie. Il fabrique des armes aux dieux de l'Olympe mais est paradoxalement en quête de paix.

Enfance d'Héphaïstos A sa naissance et contrairement aux autres dieux de l'Olympe, Héphaïstos était tellement laid, boiteux et difforme, que l'on raconte que sa mère, Héra le jeta par dessus le mont Olympe. Thétis et Eurynomé, les deux divinités de la Mer le recueillirent et s'occupèrent de lui. Ainsi, Héphaïstos grandit dans une grotte sous la Mer, puis sur l'ile de Lesbos. En grandissant, pour se venger de sa mère Héra, Héphaïstos fabriqua un trône en or piégé et lui envoya. A l'instant où elle s'y est installé, des chaînes invisibles l'on emprisonné. Héphaïstos, le forgeron de l'Olympe Héphaïstos est habile avec le maniement du fer et des métaux. Pour les dieux de l'Olympe, il fabrique, aidé des Cyclopes, plusieurs armes ou accessoires dont: La foudre pour Zeus Le bouclier pour Athéna Les flèches pour l'arc d'Eros La ceinture d'Aphrodite Le trident de Poséidon Le trône de Zeus Héphaïstos est aussi le concepteur de Pandore, la première femme. Il a aussi beaucoup aidé par son savoir faire de forgeron lors de la Guerre de Troie et de la Gigantomachie. Amours d'Héphaïstos L'Odyssée lui donne la belle Aphrodite pour épouse, mais celle-ci le trompa secrètement avec Arès. Prévenu par Hélios, Héphaïstos l'emprisonna avec des chaînes. Quels sont les attributs d'Héphaïstos ? Les attributs d'Héphaïstos sont l'Enclume et le marteau qui lui permettent de travailler les métaux.

Jacques Gérard Yves Chanis 1 est un descendant à la 101e génération de Héphaïstos De L'Olympe, Dieu Des Grecs.

    • 26 branches :

    • Dieu grec

Zeus, fils de Cronos et de Rhéa, en tant que dieu souverain, règne sur les dieux. Il est surtout connu pour ses nombreuses aventures et, en conséquence, pour sa très nombreuse progéniture. Il est marié à sa sœur Héra. Zeus est le dieu des dieux, le dieu suprême qui, nous allons le voir, a de multiples rôles.

L'enfance de Zeus Fils du Titan Cronos et de Rhéa qui est la sœur de son père, Zeus avait 5 frères. C'est en tout cas ce que les récits d’Hésiode racontent. Cronos, aussi tyrannique que ton père Ouranos, avalait ses enfants dès leur naissance. Afin de protéger son fils, la mère de Zeus le confia à son cadet. Emmitouflé dans une pierre emmaillotée, il fut emmené en Crète dans la grotte secrète de Lyctos qui allait devenir sa nourrice. Zeus fut élevé par des Amalthée, une nymphe, qui l'allaita. Parfois dans la mythologie grecque, Amalthée est associée à une chèvre. Zeus le dieu du ciel Zeus est le symbole de la maturité de la culture grecque. Il est le dieu des dieux, le dieu suprême. Tout comme Hésiode le spécifiait, « L’œil de Zeus voit tout, connaît tout ». Du haut du mont Olympe, Zeus surveille les humains et décide de leur sort. Il est le dieu du ciel qui décide du temps météorologique en fonction de son humeur et de ses caprices: orages, tonnerres, foudre, pluies, ... Zeus le dieu protecteur Zeus est aussi vu que un dieu protecteur, tout d'abord car il a pris soin de sa progéniture, contrairement à ses ancêtres. Mais également parce qu'il à su « humaniser » les divinités et ainsi renforcer les liens entre eux. Bien que cela soit paradoxal, Hésiode voyait en Zeus, un dieu « à nature humaine ». Zeus est d'autre part un grand protecteur des liens du mariage, du foyer domestique et de la sécurité de la cité (Zeus Polioûkos, dieu qui protège la ville). Epouses et Amours de Zeus Zeus est célèbre pour ses nombreuses relations amoureuses, que se soit avec des mortelles, des déesses et des nymphes. On peut citer ses trois épouses divines : la Titanide Métis, fille d'Océan et de Thétys, qui mis au monde la déesse Athéna et un fils. Mais Zeus, voulant empêcher ces naissances, avala Métis. Elle fut sa première épouse.

Thémis, fille d'Ouranos et de Gaïa, elle personnifie la Justice et la Loi et assiste Zeus en tant que conseillère du roi des dieux. Elle est la deuxième épouse divine de Zeus et mis au monde les Heures (les Saisons), les Moires (les Parques), Eunomie (le Bon Ordre), Dicé (la Justice) et Irène (la Paix). Héra, épouse légitime et soeur de Zeus. Elle enfanta Arès (dieu de la Guerre), Hébé (déesse de la Jeunesse), Illithyie (déesse des Enfantements). Déesse du mariage, elle est et très jalouse des infidélités de son mari et s'en prend même à ses maitresses et à leurs progénitures. On peut également citer Léto, pour qui la mythologie grecque se contredit. On ne sait pas si elle fut l'épouse ou une maitresse de Zeus, mais également Maïa, Eurynomé, Déméter et Mnémosyne. Quels sont les attributs de Zeus ? Zeus est armé d'un aigle et de la foudre, fabriquée pour lui par les Cyclopes. Comment est représenté Zeus dans les autres civilisations ? Zeus est apparenté à Jupiter dans la mythologie romaine. On retrouve également des divinités semblables dans d'autres panthéons : Taranis chez les Gaulois, Thor et Odin chez les Scandinaves ou encore Dyaus Pitar et Varuna chez les hindous.

Jacques Gérard Yves Chanis 1 est un descendant à la 83e génération de Zeus De L'Olympe, Dieu Des Grecs.

    • 4 branches :

    • Dieu grec

Poséidon est le fils de Cronos et de Rhéa et frère de Zeus et d'Hadès.

Poséidon, Dieu de la Mer Lors de la Titanomachie (lutte contre les Titans), qu'il mena avec son frère et les autres dieux, c'est lui qui referme sur les titans les portes d'airain du Tartare (l'enfer).

Suite à cette victoire, les Dieux se partagèrent le monde. Il obtient la souveraineté sur les mers et les océans. Dieu des tremblements de terre et des terres en quelque sorte Il est capable de déclencher des tremblements de terre assez importants.

Tellement que Hadès aurait peur qu'il fasse s'effondrer la voute des enfers. Il possède des surnoms tels que gaièoklos « celui qui embrasse la terre » ou d'énosikhthon, « celui qui ébranle la terre ». Lors de la Guerre des géants, il avait fendu les montagnes et les avaient fait rouler dans la mer pour former les premières îles.

Poséidon, dieu colérique Poséidon dispute régulièrement des terres aux autres Dieux et déclenche des catastrophes naturelles s'il n'obtient pas ce qu'il veut : Il inonda l'Attique suite à sa défaite contre sa nièce Athéna qui obtint cette cité après avoir offert un olivier à la ville alors que Poséidon avait offert une source d'eau salée. Il essaya de prendre à Aréna l'Argolide mais les juges auxquels le soumet Zeus eurent un jugement en faveur d'Aréna.

De colère, Poséidon assécha les rivières de ses juges. Deux exemples parmi tant d'autres qui montrent le caractère explosif de ce Dieu. Amours de Poséidon Amphitrite, qui s'était réfugié dans un premier temps dans l'Atlas pour lui échapper.

Poséidon envoya des messagers pour plaider sa cause et elle accepta ensuite de l'épouser. Ils eurent trois enfants : un fils Triton et deux filles Rhodé et Benthésicymé. Il eut de nombreuses maîtresses avec qui il eut des enfants ( Nauplios qu'il eut avec Anémone, Eole et Béotos qu'il eut avec Arnè.) Quels sont les attributs de Poséidon ?

L'attribut par excellence de Poséidon est le trident qu'il a reçu des cyclopes pendant la Titanomachie. C'est avec lui qu'il soulève la mer et qu'il détruit des citadelles et remparts. Ses autres attributs sont le dauphin (animal cher à toutes les divinités de la mer), le taureau et le cheval (qu'il aurait crée ou domestiqué).

Jacques Gérard Yves Chanis 1 est un descendant à la 95e génération de Poséidon De L'Olympe, Dieu Des Grecs.

    • 26 branches :

    • Né le 22 août 7 - Bethléem (Palestine)

    • Décédé le 7 avril 29 , à l’âge de 21 ans

    • Dieu

Jésus dit Jésus de Nazareth (8–4 av.-J.C. — 30–33 apr.-J.C.) et appelé également Jésus-Christ par les chrétiens (grec : Iesous Christos), (Jésus vient de l'hébreu signifiant Dieu est salut, et Christ est la traduction grecque du terme hébreu « Messie » (machiakh), celui qui est oint) est le personnage central du christianisme ; il est considéré par les chrétiens comme le Messie et le Fils de Dieu (vrai Dieu et vrai homme, en une seule personne). Les catholiques, les protestants et les orthodoxes le célèbrent religieusement, et même l'adorent en tant que Dieu (deuxième personne de la Trinité) ; d'autres courants chrétiens le célèbrent religieusement en développant des croyances plus variées. Les musulmans le considérent comme le dernier grand prophète avant Mahomet.

Les disciples Matthieu, Marc, Luc et Jean ont chacun relaté la vie de Jésus dans quatre Évangiles, qui font partie du Nouveau Testament.

D'après leur témoignage, Jésus naît à Bethléem en Judée. Un recensement ayant été ordonné par un édit de César Auguste, Marie, mère de Jésus, et son époux Joseph, furent contraints de quitter Nazareth en Galilée, pour rejoindre leur village d'origine. La naissance de Jésus à Bethléem accomplirait parfaitement la prophétie de Michée ; certains pensent que cette affirmation serait surtout symbolique, car Bethléem, en hébreu la maison du pain, est réputée « ville de David » où le Messie doit naître. (Voir plus bas pour Nazareth.)

Selon les évangiles de Matthieu et de Luc, Jésus serait né pendant le règne d'Hérode Ier le Grand, alors que Quirinius était gouverneur de Syrie (le seul recensement connu de cette époque eût lieu en l'an 7 av.-J.C.), et serait mort crucifié à Jérusalem en l'an 30 ou 33, sous le mandat du procurateur Ponce Pilate. Il aurait été charpentier

La naissance virginale, dans les Évangiles de Matthieu Mt 1:18-25 et Luc Lc 1:26-35. Ces passages sont jugés plus tardifs que le reste du texte par une partie des spécialistes (mais sans preuve philologique). Les évangiles établissent également une correspondance entre le récit de la nativité et plusieurs prophéties de l'Ancien Testament ;

la fuite de Joseph, de sa femme et de son enfant en Égypte, avant le massacre des Innocents ; leur retour à Nazareth après la mort d'Hérode (en 4 av. J.-C.) (Mt 2:13-23) ;

la transfiguration avec l'apparition de Moïse et d'Élie (Mt 17 1-8 ; Lc 9 28-36 Mc 9 2-8). L'apparition des personnages de Moïse et de Élie est considérée par certains comme hautement symbolique. Moïse est le fondateur de religion et Élie est à l'époque le prophète le plus aimé du judaïsme. Élie est également réputé n'avoir pas connu la mort, être monté aux cieux de son vivant et devoir revenir en même temps que le Messie. Ce fut également, toujours selon l'Ancien Testament, le sort d'Enoch.

la Passion, c'est-à-dire ses souffrances et sa mort sur la croix (instrument de supplice) ;

la Résurrection constatée au matin de Pâques ;

l'Ascension (c'est-à-dire l'enlèvement de son corps au ciel).

Les quatre évangélistes font le lien avec quelques passages des prophètes des siècles antérieurs (notamment dans le livre d'Isaïe et les Psaumes) comme annonce de la passion et de la résurrection de Jésus, et de son rôle de Messie.

Une reconstruction historique d’un crâne aussi âgé et provenant du lieu où a vécu Jésus, par Richard NeaveLe premier historien qui évoque Jésus vers 94 est le juif Flavius Josèphe, né en 39 ap. J.-C. Il n'en a donc pas été le témoin direct, . Si la plupart des historiens s'accordent sur leur authenticité, les écrits sont contestés, car le premier « original » connu de l'historien date du IXe siècle ap. J.-C., fruit de multiples réitérations de moines copistes dont la transparence peut être mise en doute. Il convient cependant de signaler que c'est le cas pour la quasi totalité des auteurs anciens. Par ailleurs, l'historien évoque plusieurs Jésus différents, un nom parfaitement banal de l'époque.

Vers 116, dans ses Annales, l'historien romain Cornélius Tacite écrit : "[le nom de chrétiens] leur vient de Christ, qui, sous Tibère, fut livré au supplice par le procurateur Ponce Pilate. ..."

Dans sa Vie des Douze Césars, vers 120, Suétone écrit : "[Claude] chassa de la ville les Juifs qui se soulevaient sans cesse à l'instigation d'un certain Chrestus" Cette opération se passe en 50, environ 20 ans après la mort de Jésus. De plus, Christus et Chrestos sont deux mots différents, l'un signifiant « l'oint » (désignant une personne consacrée), l'autre se traduisant par « le bon » et faisant parfois office de nom propre. La confusion peut cependant ne pas étonner de la part d'un auteur "païen". Il est à noter que Suétone mentionne ici les Juifs alors qu'il mentionne les chrétiens sous le règne de Néron

L'existence historique de Jésus a commencé a être contestée au XIXe siècle, depuis Renan, à la suite d'une étude amorcée par Hermann Samuel Reimarus en 1774. En effet, il n'existe aucune authentification historique contemporaine de Jésus.

Historiquement, les références du Nouveau Testament ne prouvent rien. A contrario, l'absence d'évocations de Jésus pendant le Ier siècle en dehors des Évangiles ne prouve nullement qu'il n'existait pas. La Palestine était une colonie mineure et il n'est pas surprenant que son influence eut été insuffisante au début (en ce temps, les exécutés n'avaient pas droit aux feux des projecteurs comme de nos jours ; même la rébellion de spartacus n'eut pas beaucoup d'échos). Bien d'autres messies ont fini dans les oubliettes de l'Histoire. Pourquoi s'il n'a pas existé, aurait-on jugé utile de l'inventer ? Pourquoi tant d'individus ont-ils cru en lui au point de lui dédier une religion ?

Si le besoin d'un « Dieu mourant » s'était fait sentir, il en existait suffisamment (Osiris, Adonis, Dionysos, Attis, etc.) pour qu'il soit inutile d'en inventer un de plus. La façon dont Jésus est dépeint laisse penser qu'il fut un personnage réel. Aucun auteur de son époque ne se serait donné la peine d'inventer un messie fictif en restant aussi vague et contradictoire sur sa vie et ses enseignements et en imaginant des disciples aussi imparfaits (comme Pierre qui renie trois fois son Maître par lâcheté).

Les contradictions et les bizarreries abondent dans les Évangiles, comme dans la plupart des biographies de personnages historiques. On a vu dans l'absence d'éléments biographiques de Paul la preuve de l'imposture de Jésus. Mais personne n'a jamais suggéré que Paul soit une invention. Or il connaissait des personnes qui avaient rencontré Jésus. Par ailleurs, on peut noter les premiers adversaires du christianisme (tants juifs que romains) n'ont jamais contesté l'existence de son fondateur.

Rares sont encore ceux qui doutent de l'existence de Jésus. Il s'agit surtout d'amateurs, sans aucune fonction universitaire, et qui s'efforcent de convaincre le grand public à défaut des spécialistes ; c'est le cas de Paul-Eric Blanrue, consultant, scénariste et dialoguiste, et occasionnellement exégète ; on cite d'autres noms comme un certain Patrick Dupuy dont on n'arrive pas à savoir ce qu'il a écrit. Autre amateur était le docteur Couchoud qui, outre la médecine et la littérature japonaise, avait comme passe-temps de démontrer que Jésus n'avait jamais existé. Charles Guignebert, professeur à la Sorbonne, s'amusait souvent à se moquer de lui et cet antichrétien notoire ne le faisait certes pas parce que sa religion aurait été offensée : son grand tort, disait-il, c'est qu'il n'avait jamais réussi à convaincre un spécialiste reconnu dont l'adhésion pourrait avoir un sens, et il ajoutait froidement : « L'enthousiasme des incompétents ne compense pas cet échec. » Bien des chercheurs sont tout de même troublés par les ressemblances évidentes du dogme chrétien avec des cultes païens de l'époque.

Selon certains théologiens, le fond du message des évangiles réside dans :

les Béatitudes (selon Matthieu et selon Luc).

les deux commandements : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu » et « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », qui constituent un tout indissociable. Autrement exprimé dans : « En effet, celui qui n'aime pas son frère, qu'il voit, ne peut pas aimer Dieu qu'il ne voit pas » (Jean VI:20). À noter que ces commandements sont présents dans l'Ancien Testament (Lévitique 19-18: "Tu aimeras ton prochain comme toi-même"). La loi mosaïque reste un socle indiscutable du discours de Jésus rapporté par les évangiles.

l'injonction d'aimer son prochain, fût-il son ennemi.

Le «mystère pascal»: selon les chrétiens, la mort et la résurrection de Jésus.Il prêche l'imminence du Royaume et la nécessité d'une vraie repentance : « Repentez-vous car le royaume des cieux est proche ». (Matthieu IV:17)

L'essentiel du message se trouve certainement dans l'Évangile de Luc au chapitre 4 et aux versets 18 à 21 - un message de paix pour une humanité qui souffre non pas seulement physiquement mais surtout spirituellement à cause de sa décision d'exclure Dieu de sa vie, Jésus vient renouer ce lien au travers de ce message extraordinairement rempli d'amour pour chacun.

Autre formulation dans l'Évangile selon Jean 3, 16 : « Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. »

Plus qu'un simple "message", Jésus représente pour les chrétiens la venue de Dieu dans l'humanité, avec l'Incarnation du Verbe, le rachat de l'humanité par la croix, et la victoire sur la mort, par la Résurrection, signifiant le salut.

Jacques Gérard Yves Chanis 1 est un descendant à la 53e génération d'une cousine issue de germains de Le Christ De Nazareth, Cousin célèbre.

    • En effet,

        • Matthat D'Arimathie (12 liens de parenté)

        • Voir

        • Esther De Jérusalem (12 liens de parenté)

    • sont en même temps

        • des arrière-grands-parents de Le Christ De Nazareth, Cousin célèbre

        • des ancêtres à la 56e génération de Jacques Gérard Yves Chanis 1

    • Né en -1023 - Bethléem (Palestine)

    • Décédé en -963 , à l’âge de 60 ans

    • Berger, Prophète

David est un personnage de la Bible qui, deuxième roi d'Israël, est présenté dans le récit biblique, avec son fils Salomon, comme l'un des deux fondateurs de l'ancien État israélite. Son histoire est racontée dans le premier livre de Samuel et sa vie en tant que roi dans le deuxième livre de Samuel et au début du Premier livre des Rois. La tradition fait remonter son règne au xe siècle av. J.‑C., ce que des découvertes archéologiques du début des années 1990 tendent à corroborer. Pour l'histoire biblique, ce jeune berger de la tribu de Juda, fils de Jessé, est appelé aux côtés du roi Saül pour l'apaiser de ses chants. Il met en déroute les ennemis philistins en vainquant le géant Goliath à l'aide de sa fronde. Devenu le héros d'Israël, il s'attire la jalousie puis la vindicte de Saül, doit s'enfuir et prend la tête de maquisards, opérant la vengeance divine et redistribuant les butins aux pauvres. À la mort de Saül, David est intronisé roi de Juda puis roi d'Israël avant d'être proclamé messie (« oint »). À la tête du royaume et de son armée, il vainc les ennemis d'Israël, conquiert Jérusalem – où il transfère l'Arche d'alliance – et fonde un vaste royaume qui s'étend des frontières de l'Égypte jusqu'à l'Euphrate, ouvrant ainsi une ère de prospérité et de paix pour Israël. Dieu promet alors à David que son trône sera affermi à jamais, mais c'est à un vieillard faible et indécis que succède Salomon, le fils qu'il a eu avec Bethsabée. Si l'historicité du personnage biblique semble plausible, le portrait qui en est brossé par les Écritures et les épisodes qu'elles rapportent semblent néanmoins douteux et légendaires plutôt qu'historiques6. Les chrétiens adoptent les Écritures hébraïques et font de Jésus l'héritier de la promesse messianique faite à David. Ensuite, à travers Jésus-Christ, l'héritage se transmet à tous les rois de la chrétienté, à l'instar de Charlemagne qui se proclame « nouveau David », faisant évoluer le mythe biblique à en devenir le prétexte à la fabrication de nombre de royaumes8. Plus tard, la tradition islamique – qui ne conserve du récit biblique que quelques éléments significatifs dans une optique de prédication – fait, pour sa part, de « Daoud » un grand prophète-roi et un juge empreint de sagesse, accomplissant la volonté d'Allah. Guerrier, musicien et poète, l'écriture de nombreux psaumes compilés dans le Livre des Psaumes lui est traditionnellement attribuée. La geste davidienne est le prétexte à une multitude de représentations et évocations artistiques de toutes natures à travers les siècles, dont les célèbres sculptures renaissantes de Donatello, Verrocchio et de Michel-Ange qui ont contribué à universaliser son image.

Jacques Gérard Yves Chanis 1 est un descendant à la 83e génération de Le Roi David d'Israel Hamelekh, Roi D'Israel.

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Abraham (en hébreu : אַבְרָהָם /av.ra.'ham/, en guèze : አብርሃም /ab.ra.'ham/, en arabe : إبراهيم /ib.ra.'him/) est un des personnages majeurs des religions juive, chrétienne et musulmane. Figure centrale du livre de la Genèse, elle est reprise dans le Coran sous le nom d'Ibrahim. Au sens strict du terme, il est le premier patriarche de la Bible. Il est considéré comme un personnage fondateur du judaïsme, comme l'un des principaux personnages du christianisme, et comme un des quatre grands prophètes de l'Islam (avec Moïse, Jésus et Mahomet). Il est présenté comme l'ancêtre des peuples hébreu et arabe et comme le père du monothéisme.

Diverses études pointent des incohérences entre le récit biblique sur Abraham, et les données archéologiques. Elles en concluent que le récit biblique est légendaire. La question de l'existence d'un personnage réel derrière ces légendes reste sans réponse.

Selon la Genèse, Abraham est enterré dans le Tombeau des Patriarches, à Hébron

Généalogie du Christ :

Évangile de Jésus-Christ selon saint Mathieu

Chapitre Ier versets 1 à 25

1 Généalogie de Jésus le Christ, fils de David, fils d'Abraham :

2 Abraham engendra Isaac, Isaac engendra Jacob, Jacob engendra Juda et ses frères,

3 Juda engendra Pharès et Zara, de Thamar, Pharès engendra Esrom, Esrom engendra Aram,

4 Aram engendra Aminadab, Aminadab engendra Naasson, Naasson engendra Salmon,

5 Salmon engendra Booz, de Rahab, Booz engendra Jobed, de Ruth, Jobed engendra Jessé,

6 Jessé engendra le roi David. David engendra Salomon, de la femme d'Urie,

7 Salomon engendra Roboam, Roboam engendra Abia, Abia engendra Asa,

8 Asa engendra Josaphat, Josaphat engendra Joram, Joram engendra Ozias,

9 Ozias engendra Joatham, Joatham engendra Achaz, Achaz engendra Ezéchias,

10 Ezéchias engendra Manassé, Manassé engendra Amon, Amon engendra Josias,

11 Josias engendra Jéchonias et ses frères; ce fut alors la déportation à Babylone.

12 Après la déportation à Babylone, Jéchonias engendra Salathiel, Salathiel engendra Zorobabel,

13 Zorobabel engendra Abioud, Abioud engendra Eliakim, Eliakim engendra Azor,

14 Azor engendra Sadok, Sadok engendra Akhim, Akhim engendra Elioud,

15 Elioud engendra Eléazar, Eléazar engendra Matthan, Matthan engendra Jacob,

16 Jacob engendra Joseph, l'époux de Marie, de laquelle naquit Jésus, que l'on appelle Christ.

17 Le total des générations est donc : d'Abraham à David, quatorze générations ; de David à la déportation de Babylone, quatorze générations; de la déportation de Babylone au Christ, quatorze générations.

18 Or telle fut la genèse de Jésus Christ. Marie, sa mère, était fiancée à Joseph : or, avant qu'ils eussent mené vie commune, elle se trouva enceinte par le fait de l'Esprit Saint.

19 Joseph, son mari, qui était un homme juste et ne voulait pas la dénoncer publiquement, résolut de la répudier sans bruit.

20 Alors qu'il avait formé ce dessein, voici que l'Ange du Seigneur lui apparut en songe et lui dit : "Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi Marie, ta femme : car ce qui a été engendré en elle vient de l'Esprit Saint;

21 elle enfantera un fils, et tu l'appelleras du nom de Jésus : car c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés."

22 Or tout ceci advint pour que s'accomplît cet oracle prophétique du Seigneur :

23 Voici que la vierge concevra et enfantera un fils, et on l'appellera du nom d'Emmanuel, ce qui se traduit : "Dieu avec nous."

24 Une fois réveillé, Joseph fit comme l'Ange du Seigneur lui avait prescrit : il prit chez lui sa femme ;

25 et il ne la connut pas jusqu'au jour où elle enfanta un fils, et il l'appela du nom de Jésus.

Jacques Gérard Yves Chanis 1 est un descendant à la 96e génération d'Abraham D'Israel, Ancêtre célèbre.

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