7 - Saints

Généalogie

Sainte

Découvrez sur cette page les aïeux célèbres de Jacques Chanis issus des Célébrités Saintes :

(les liens ci dessus mènent à la fiche Geneanet)

1 - Sainte Céline

Clinie X épouse De Laon, Ancêtre célèbre †435

& Emile De Laon

Elle avait épousé, très jeune, Émile, le comte de Laon. Elle lui portait une grande affection et, par son caractère aimable et modeste, ils vécurent dans une grande union de cœur et de foi chrétienne. Ils prirent grand soin de l'éducation de leurs enfants qui devinrent tous trois prêtres. Le dernier nous est le plus connu, Rémi, né sur le tard, dont ils donnèrent le soin aux clercs de l'église Sainte-Marie de Laon. Il devint saint Rémi, l'archevêque de Reims.

Comme sainte Sylvie, mère du pape saint Grégoire le Grand, et bien d'autres saintes mères, sainte Céline est surtout connue à cause de son fils, le grand saint Rémi, évêque de Reims, qui baptisa le roi Clovis... Céline est née dans le laonnois au Ve siècle... Céline avait eu de son mari Emilieus deux fils, Principius, qui fut un saint évêque de Soissons, et son frère, qui eut un fils, Lupus, lequel succéda à son oncle Principius... Un ermite, Montanus qui habitait au milieu des bois de La Fère, prédit à Céline, après un triple avertissement reçu en songe, qu'elle enfanterait un garçon d'un rare mérite... (diocèse de Soissons, Laon et Saint-Quentin)

(Elle est fêtée le 22 octobre au Propre du diocèse de Reims - fêtes célébrées en certains lieux du diocèse)

À Laon, après 458,

sainte Céline, mère des saints évêques

Prince de Soissons et Remi de Reims.

2 - Sainte Clotilde

Clotilde De Bourgogne, Sainte 475-545

& Clovis Des Francs Saliens, Ancêtre royal ca 466-511

|

Clotaire De Neustrie, Roi Des Francs ca 498-561

|

Chilpéric De Neustrie, Roi Des Francs 525..527-ca 584

|

Amélius De Chambon, Seigneur De Saint Julien 1085

|

|

|

Aubert De Saint Julien, Baron De Saint Julien 1135

|

Aubert De Saint Julien, Seigneur De Véniers 1180-1250

|

|

|

Guillaume De Saint Julien, Seigneur De Véniers 1225-1297

|

Aubert De Saint Julien, Seigneur De Véniers 1261-1309

|

Hélie De Saint Julien 1300-1369

|

Hugues De Saint Julien, Seigneur De Véniers ca 1335

|

Jacques De Saint Julien, Seigneur De Véniers ca 1365-1396

|

Louis De Saint Julien, Seigneur De Véniers ca 1395

|

Catherine De Saint Julien, Dame De Luzeret

|

Jean De Pot de Rhodes, Seigneur De Rhodes

|

Louise Audoine De Pot de Rhodes 62941-63965-130781 1480

|

Jacques Antoine De Combarel du Gibanel 31470-31982-65390, Seigneur De Gibanel ca 1520-/1575

|

|

Ithier De Born 1165-1214

|

Marguerite De Born

|

Géraud De Faye de Born 1245-1296

|

Marguerite De Bornis

|

Guy D'Aubusson, Seigneur De La Borne †/1367

|

Jeanne D'Aubusson, Dame De La Borne ca 1318-ca 1408

|

Louis De Dienne, Seigneur De Dienne 1360..1392-ca 1447

|

Jeanne De Dienne ca 1419-

|

Louis De Tournemire 63456-63980-130796, Seigneur De Bezaudun

|

Guy De Tournemire 31728-31490-65398, Seigneur De Bezaudun†

|

|

|

Jean De Tournemire 15864, Seigneur du Trieu

|

Robert De Tournemire 7932-8060-16252, Seigneur D'Estillol ca 1585-

|

Martial De Tournemire 3966-4030-8126, Seigneur De La Salide ca 1620-1700

|

Jacqueline De Tournemire 1983-2015-4063 ca 1663-1733

|

Gabrièle Marcombes 991-1007-2031

|

Jacqueline Pebrel 495-503-1015 1709-1774

|

Marie Bergeron 247-251-507 1746-

|

Jeanne Ribes 123-125-253 ca 1776-

|

|

|

Elle naît à Lyon vers 470. A la mort de son père, Chilpéric, roi des Burgondes, elle se retira avec sa mère et sa sœur à Genève. Sa sœur, Sédéleube devient religieuse. Clotilde, elle, est donnée en mariage au roi des Francs, Clovis, en 493. Elle ne rendit pas son mari moins sanguinaire; il continua de tuer les membres de sa famille et les chefs francs qui le gênaient ; mais avec les évêques qu'elle fréquentait, elle prépara sa conversion. Il l'avait autorisée à faire baptiser leurs enfants. Le premier étant mort, Clovis attribua ce malheur à son baptême; le deuxième ayant failli mourir mais ayant été sauvé, il attribua sa guérison aux prières de la reine et au Dieu qu'elle servait. Il se ressouvint de lui, l'année suivante, à Tolbiac (en 496) face aux Alamans envahisseurs. Se voyant au moment de perdre, lui qui toujours gagnait, il s'écria : « Dieu de Clotilde, si tu me donnes la victoire, je me fais chrétien. » Il vainquit quelques semaines après, il reçut le baptême à Reims des mains de l'évêque Saint Rémi, avec trois mille de ses guerriers; ce jour-là, la Gaule franque devenait officiellement chrétienne. Clotilde fut une veuve (511-545) dont le cœur maternel souffrit beaucoup. Sa fille unique lui fut enlevée pour devenir la femme d'un arien, le roi des Wisigoths d'Espagne. Ses fils commirent des crimes affreux; Childebert et Clotaire allèrent jusqu'à poignarder presque sous ses yeux les orphelins de leur frère Clodomir, pour les empêcher de régner. Ce dernier forfait détermina Clotilde à abandonner Paris, dont Clovis avait fait sa capitale. Elle partit pour Tours et y vécut dès lors près du tombeau de Saint Martin, jusqu'à sa mort, le 3 juin 545.

Sainte Clotilde était fille de Chilpéric, roi catholique d'une partie de la Bourgogne, et nièce du prince arien Gondebaud. Appelée par Dieu à la grande mission du salut de la France, elle fut élevée au palais de son oncle, assassin de sa famille. La mère de Clotilde avait déposé dans son coeur, avec la foi, les germes de la piété; aussi, dans une cour hérétique, sut-elle résister à toutes les sollicitations de Gondebaud et conserver la foi de son baptême.

Clovis, roi des Francs, entendit parler de la beauté, des vertus et de toutes les grandes qualités de la jeune princesse et la fit demander en mariage à Gondebaud, qui n'osa la refuser. Le mariage eut lieu en 493. Clotilde comprit qu'elle n'avait été appelée à partager le trône d'un roi païen que pour remplir les vues de Dieu sur un peuple généreux mais non éclairé de la lumière de l'Évangile.

Elle eut soin de gagner les bonnes grâces d'un époux magnanime, mais violent et barbare; elle usa de son influence pour lui parler de Jésus-Christ. Clovis l'écoutait avec intérêt; toutefois, il ne se hâtait pas; il lui permit cependant de faire célébrer le culte catholique dans le palais et consentit au baptême de son premier-né. Clotilde mettait sur la tête de cet enfant toutes ses espérances pour la conversion de son peuple, quand Dieu, dont les desseins sont impénétrables, le ravit à la terre. A la colère du roi, à ses reproches, la douce reine répondit: "Je remercie Dieu de ce qu'Il m'a jugée digne de mettre au monde un fils qui est maintenant dans le Ciel." Un second enfant fut baptisé encore et tomba malade. Nouvelle et plus terrible colère de Clovis; mais les prières de Clotilde furent entendues, et Dieu envoya des Anges guérir tout à coup le petit agonisant. Le moment de la grâce était venu.

A la bataille de Tolbiac, après un choc terrible, les Francs pliaient, quand Clovis, dans une illumination soudaine, s'écria: "Dieu de Clotilde, donne-moi la victoire et Tu seras mon Dieu!" Le courage renaît à ses soldats et bientôt la victoire des Francs est complète. Peu après, Clovis était baptisé par saint Rémi, à Reims; ce fut le signal du baptême de la nation entière.

Clovis mourut en 511, à l'âge de quarante-cinq ans, et Clotilde, dégoûtée du monde, éprouvée dans ses enfants, quitta bientôt la cour pour aller finir sa vie dans les larmes, les prières les aumônes, au fond d'un couvent. Prévenue du jour de sa mort, elle fit venir ses enfants, leur adressa ses dernières recommandations, et alla recevoir au Ciel sa récompense, le 3 juin 545.

3 - Saint Guilhem

Guilhem De Gellone, Ancêtre célèbre 751-812

|

Bernard De Septimanie, Margrave De Septimanie 802-844

|

Bernard D'Auvergne, Comte D'Auvergne 841-886

|

Adèle De Toulouse 906

|

Arsinde De Carcassonne, Comtesse de Carcassonne

|

Roger De Comminges, Comte de Couserans 1047-1114

|

Bernard De Comminges, Comte de Comminges 1105-1145

|

Dodon De Comminges, Seigneur de Samatan ca 1120-1176

|

Bernard De Comminges, Comte de Comminges 1150/-1225

|

Bernard De Comminges, Comte de Comminges

|

Bernard De Comminges, Comte de Comminges

|

Bernard De Comminges †1312

|

Bernard De Comminges †1335

|

Aliénor De Comminges 1330-1397

|

Marguerite Roger De Beaufort

|

Jean De Polignac, Seigneur d'Adiac 1390-1425/

|

Gabrielle De Polignac

|

François De Guilhem 62934-63958-130774, Seigneur Du Cluzel 1515-

|

Catherine De Guilhem 31467-31979-65387

En 804, Le Duc d'Aquitaine et Comte de Toulouse Guillaume et Prince d'Orange (que l'on appelle Guilhem en Pays d'Oc), découvre les gorges de l'Hérault. Il établit la même année une abbaye dans la vallée du Verdus. L'abbaye de Gellone vient de naître.

De noble lignage, il appartient à la dynastie mérovingienne de Pépin-le-Bref (751) souverain très pieux qui renforce son pouvoir politique, en développant les structures religieuses à travers la France de l'époque. Cette posture de gouvernance sera poursuivie par le fils de Charlemagne Louis-le-Pieux qui fera de Gellone une abbaye majeure du Sud. Simultanément, on assite à l'endroit des décisions religieuses majeures, à l'apparition d'un moine dénommé Benoît, et résidant en la cité illustre d'Aniane.

Ce fils du Comte de Maguelone (près de Montpellier) Benoît (750-821) est l'un personnage central de la constitution de la règle des Benedictins (à qui il a donné son nom), et qui s'est propagée jusqu'a nos jours.

Ces moines eurent pour mission de diffuser la Christianisation à travers l'Humanité. L'abbaye de Gellone appartenait à cet ordre très puissant du Vatican.

Par la suite, dans l'Histoire de Gellone, la sanctification de Guillaume-au-court-nez vint renforcer la réputation de cette abbaye dans toute l'Europe Occidentale qui était connue par le fait qu'elle était détentrice d'un morceau de la Vraie Croix du Christ donnée par Charlemagne à Guilhem.

Le renforcement de la notoriété de l'abbaye fut consécutif au pélerinage du chemin de St Jacques-de-Compostelle. L'abbaye de Gellone devint alors un passage obligé pour les Jacquaires, ces pélerins qui se rendaient en Espagne sur le tombeau de Jacque-le-Majeur.

Aujourd'hui, plus de 1200 ans après la création de l'abbaye de Gellone, le site connaît un intêret sans cesse grandissant, que l'on soit croyant ou non. Ce haut-lieu historique mérite votre visite.

Depuis le début du XXI° siècle, Saint Guilhem-le-Désert appartient désormais au club très prisé du Patrimoine de l'Humanité.

4 - Saint Géraud

Saint Géraud D'Aurillac, Ancêtre célèbre 855-909

Fils du baron d'Aurillac, et étant de constitution très fragile, peu croyaient qu'il puisse marcher dans les traces de son père. Pourtant il en guérit, apprit les armes et succéda à son père, à la mort de celui-ci.

Se tournant vers Dieu, il se fit d'abord pèlerin à Rome.

À son retour en Auvergne, il fonda, dans sa ville natale, un monastère où il souhaitait se retirer dans la prière. Convaincu par son conseiller Saint Gausbert de rester dans le monde, il chercha à devenir un exemple vivant pour le peuple. Considérant chacun comme un frère, il affranchissait deux fois plus de serfs chaque année que les seigneurs voisins. Il ne buvait jamais avant les jugements pour rendre des avis équitables et aimait à pardonner. L'on raconte cet épisode : ayant appris que son bailli avait condamné à mort deux malfaiteurs, il les envoya chercher des lianes dans la forêt et leur ordonna de les rapporter pour se faire pendre. Ils ne revinrent jamais, de plus il n'y avait pas de liane dans la forêt.

Devenu aveugle avant ses 50 ans, il supporta son mal en patience, à l'admiration de tous. Il mourut, dit-on, en « odeur de sainteté ».

Il est le patron de la Haute-Auvergne. Saint Odon de Cluny nous a laissé la vie de saint Géraud

Le pape Benoît XV organisait une croisade de prières à Marie Médiatrice de toutes grâces, en vue de sauver le monde alors dévasté par la première Guerre Mondiale. Une semaine plus tard, son appel angoissé recevait une réponse des lèvres mêmes de la divine Médiatrice.

Un dimanche, 13 mai 1917, trois enfants gardent leurs brebis sur les collines de Fatima, au Portugal. Lucie, âgée de dix ans et ses cousins François et Jacinthe âgés respectivement de neuf et sept ans sont les heureux choisis de la Vierge.

En entendant sonner midi au loin, ils s'agenouillent et récitent le chapelet. Leur prière est interrompue par la vue d'un éclair, puis d'un second plus brillant que le premier. Le ciel est cependant sans nuages. Ô merveille ! À quelques pas, sur les branches d'un chêne vert, ils aperçoivent une belle Dame plus étincelante que le soleil. Éblouis autant que terrifiés, les trois enfants veulent s'enfuir, mais la mystérieuse apparition les rassure par un geste de maternelle bonté et leur dit « N'ayez pas peur, je ne vous ferai pas de mal. »

Après quelques minutes d'un silence extatique, Lucie ose demander : « Qui êtes-vous? -- Je suis du ciel, répond la céleste vision, je suis descendue pour vous demander de venir ici, six mois de suite, le treize de chaque mois. » La Vierge leur recommande de réciter souvent le chapelet. « Vous ajouterez cette prière après le Gloria Patri : « Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l'enfer, et conduisez au ciel toutes les âmes, spécialement celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde. » Puis, Elle se tait et s'éloigne doucement, comme poussée par un zéphyr et disparaît dans la lumière du soleil.

À tous les 13 des cinq mois suivants, les enfants ont la joie insigne de revoir la belle Dame. La nouvelle des apparitions se répand rapidement dans la région. Le 13 juillet, la foule des curieux atteint cinq mille et en août, elle se chiffre à près de vingt mille. Enfin, le 13 octobre, environ soixante-dix mille personnes accourent malgré la pluie.

Tout à coup, le ciel s'éclaircit, le soleil tremble... se secoue... et se met à tourner sur lui-même à une vitesse vertigineuse, lançant d'énormes faisceaux lumineux et multicolores. Les nuages, les arbres, les rochers prennent les teintes les plus variées. Pendant que la foule haletante contemple ce saisissant spectacle, les trois enfants voient la Très Sainte Vierge accompagnée cette fois de Jésus et de saint Joseph. Ce prodige inouï dura une douzaine de minutes et fut aperçu distinctement à plus de quatre milles à la ronde.

Ce miracle se réalisait exactement au jour, à l'heure et à l'endroit annoncés, pour exciter les hommes à croire à la réalité des apparitions et à obéir au message que la Très Sainte Vierge apportait du Ciel. À Fatima comme à Lourdes, Notre-Dame recommandait la pénitence et la récitation du rosaire. « Si l'on répond à ma demande de faire pénitence et de prier, la Russie se convertira et vous aurez la paix » a promis la Vierge Marie. « ... Sinon, elle répandra ses erreurs dans le monde, suscitant des guerres et des persécutions à l'Église. Les bons seront martyrisés, le Saint-Père aura beaucoup à souffrir, plusieurs nations seront anéanties. » Mais n'oublions pas que Notre-Dame de Fatima a ajouté : « À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera. »

Prions : Notre-Dame de Fatima, Mère de Jésus et de l'Église, nous avons besoin de vous. Accordez-nous la lumière qui rayonne de votre bonté. Le réconfort qui émane de votre Cœur immaculé, la charité et la paix dont vous êtes la Reine.

Parce que vous savez bien ce dont nous avons besoin, nous vous confions : nos nécessités pour que vous les secouriez, nos douleurs pour que vous les apaisiez, nos maux pour que vous les guérissiez, nos corps pour que vous les rendiez purs, nos cœurs pour que vous les remplissiez d'amour et de contrition, et nos âmes pour que, grâce à vous, elles soient sauvées. Souvenez-vous, ô notre bonne Mère, que Jésus vous accorde tout ce que vous lui demandez.

Obtenez le soulagement aux âmes du purgatoire, la guérison aux malades, la pureté aux jeunes, la foi et la concorde aux familles, la paix à tous les hommes. Ramenez ceux qui sont perdus sur le droit sentier, donnez-nous beaucoup de vocations et de saints prêtres, protégez le Saint-Père, les évêques et la sainte Église de Dieu. Marie, écoutez-nous et ayez pitié de nous. Tournez vers nous vos regards miséricordieux. Et après cet exil, montrez-nous Jésus, le fruit béni de vos entrailles, ô clémente, ô tendre, ô douce Vierge Marie. Ainsi soit-il.

5 - Saint Guillaume

Guillaume De Normandie, Duc De Normandie 905-942

|

|

Adèle De Normandie 930

|

|

|

Hildegarde De Senlis 956-1012

|

Raoul De Vexin ca 980-1060

|

Raoul De Valois ca 993-1074

|

Adèle De Valois †1118

|

Adelaide De Vermandois 1065-1124

|

Elisabeth De Vermandois 1085-1131

|

Robert De Meullent 1104-1168

|

|

|

Robert De Beaumont 1122-1190

|

Amicie De Beaumont Le Roger ca 1145-ca 1215

|

Simon De Montfort, Cousin célèbre ca 1164-1218

|

Richard De Normandie, Duc De Normandie 933-996

|

|

Richard De Normandie 974-1026

|

Robert De Normandie, Duc de Normandie ca 1002-1035

|

Guillaume D'eu ca 985-1054

|

Guillaume Busac D'Eu 1022-1076

|

Ade De Soissons 1058-

|

Agnès De Braine 1080-1137

|

Guy De Baudement 1100-1144

|

Agnès De Baudement, Dame de Braine-sur-Vesle ca 1130-1218

|

Pétronille De Brienne

|

|

William De Normandie, Ancêtre royal ca 1027-1087

Né à Falaise (France) en 1027 ; Mort à Rouen (France) le 09/09/1086

Guillaume le Conquérant, successivement nommé Guillaume le Bâtard, Guillaume II de Normandie, Guillaume le Conquérant et enfin Guillaume Ier d'Angleterre, est un duc puis roi d'Angleterre du XIe siècle, fils illégitime de Robert le Magnifique et d'Arlette de Falaise.

À 8 ans, suite à la mort de son père, Guillaume accède au titre de duc de Normandie. S'ensuit alors une période d'instabilité entre plusieurs prétendants à la domination du duché. Guillaume écrase la rébellion en 1047 lors de la bataille du Val-ès-Dunes, grâce notamment au soutien d'Henri Ier. Vers 1053, il épouse Mathilde de Flandre. Guillaume accroît la puissance du duché de Normandie jusqu'à être craint par le roi de France. En janvier 1066, son cousin Édouard le Confesseur, roi des Anglo-Saxons, décède. Guillaume revendique alors son trône, affirmant qu'Édouard l'a désigné comme successeur. Il remporte la bataille de Hastings cette même année, et clôt par la même occasion la crise de succession au trône d'Angleterre.

Cette ultime conquête fait de lui l'un des plus puissants monarques d'Europe de l'époque. Guillaume parachève son ascension en se faisant couronner roi le 25 décembre 1066 en l'abbaye de Westminster. Dès lors, il se consacre à la défense de son royaume face à de nombreux ennemis, que ce soit en Angleterre face aux rebelles anglo-saxons ou en France contre le roi Philippe Ier. Le roi, alors nommé Guillaume Ier d'Angleterre, meurt en 1087 à Rouen au cours d'une campagne de représailles contre le roi de France. Il est inhumé à Caen, dans l'abbaye aux Hommes.

Par delà la Manche, Edouard le Confesseur, alors Roi d'Angleterre, décède au début de l'année 1066. Celui-ci n'ayant pas de descendants, il avait choisi Guillaume pour successeur, mais avait également fait la promesse de succession à Harold Godwinson, comte de Wessex.

C'est finalement Harold qui devient roi d'Angleterre, ce que conteste évidemment Guillaume, qui se prépare immédiatement à envahir le Royaume pour faire valoir ses droits. Celui-ci obtient la participation des barons normands et le soutien du Pape Alexandre II.

L'armée normande se rassemble au terme de quelques mois, elle sera assistée par des contingents de Bretons, de Flamands et de Francs. L'armée embarque alors à Dives, fait escale à Saint-Valery sur Somme, et débarque à Pevensey le 28 septembre 1066.

Le 14 octobre 1066 eu lieu la bataille de Hastings, où se retrouve les deux protagonistes. Alors que l'armée d'Harold est déjà affaiblie suite à la récente confrontation avec l'armée du roi de Norvège, c'est la stratégie de Guillaume qui permettra au Duc de l'emporter. Harold est tué au combat et Guillaume est couronné roi d'Angleterre le 25 décembre de la même année, à l'abbaye de Westminster.

Après son couronnement, il restera quelques temps en Angleterre afin de réunir sous sa coupe les seigneurs environnants, s'assurant d'une certaine stabilité de la région, avant de repartir pour la Normandie en Mai 1067. Odon de Bayeux et Guillaume Fitz Osbern seront alors en charge de la garde du royaume.

Diverses anicroches se produiront pourtant entre seigneurs rivaux pendant son absence, et surtout divers débordements liés aux membres de la famille d'Harold, telle sa mère à Exeter qui lancera une révolte, ou bien encore ses fils qui tenteront une invasion par le Sud-Ouest, mais bien vite repoussée.

Guillaume rentre d'Angleterre en Decembre 1067, prenant aussitôt la direction d'Exeter pour y mettre bon ordre. La ville est assiégée et tombe rapidement. Il repart ensuite à Winchester rejoindre Mathilde, qui fût couronnée reine en 1068 à Westminster.

En 1069, le nord de l'Angleterre est plus instable que jamais. C'est cette fois le roi du Danemark qui viendra jeter l'effroi. Accompagnées des troupes Anglaises, les troupes Danoises et Norvégiennes font route vers York. Les garnisons Normandes sont massacrées.

Guillaume prendra encore une nouvelle fois les choses en main, il coupe la région de ses ravitaillements et isole presque totalement la ville, les Danois, en mauvaise posture accepte l'offre qui leur est proposée pour repartir vers leurs contrées.

Profitant de sa présence dans le nord de l'Angleterre, Guillaume poursuit sa campagne pour mettre fin à toute révolte, parfois au détriment de la population locale. En effet, les terres seront dévastées, les villages brûlés et les récoltes détruites...

Guillaume accédera cette fois officiellement au titre de roi d'Angleterre peu après son retour à Winchester en 1070, où l'attendent les légats du Pape Alexandre II.

|

Adèle De Blois ca 1066-1137

compteur de visite de la page