9 Chaudes Aigues

Chaudes Aigues

Cette page couvre les communes suivantes : Celaux, Rageade Chazelles, Soulages, Védrines Saint Loup, Clavières, Ruynes en Margeride, Vabres, Saint Georges, Anglards de Saint Flour, Chaliers, Lorcières, Loubaresse, Faverolles, Alleuze, Saint Marc, Saint Just, Neuvéglise, Lavastrie, Fridefont, Maurines, Saint Martial, Chaudes Aigues, Espinasse, Lieutadès, Jabrun, La trinitat, Saint Urcize, Saint Rémy de Chaudes Aigues, Deux Vierges et Anterrieux.

Sur cette page découvrez les chateaux de :

  • Alleuze à Alleuze

  • Couffour à Chaudes Aigues

  • Chassan à Faverolles

  • Varillettes à Saint Georges

  • Laborie à Lieutadès

  • Pompignac à Loubaresse

  • Requistat à Jabrun

Possesseur du Chateau d'Alleuze (15)

Château d'Alleuze

Le château d'Alleuze, est un ancien château fort du xive siècle, remanié et restauré à plusieurs reprises et dont l'origine remonte au xiie siècle, qui se dresse sur la commune d'Alleuze dans le département du Cantal, en région Auvergne. Cet édifice est aujourd'hui en ruine et maintenu dans cet état. Il est accompagné de la chapelle Saint-Illide, reconstruite au xve siècle. Les vestiges du château font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 9 mars 1927

Le château d'Alleuze est situé dans le département français du Cantal sur la commune d'Alleuze.

Possédé au xiie siècle par Béraud VIII, de Mercœur, connétable d'Auvergne, seigneur d'Aubijoux et d'Alleuze. Il fut ensuite la possession des évêques de Clermont. C'était un des postes avancés de la citadelle de Saint-Flour. Au cours de la guerre de Cent Ans, Bernard de Garlan (du parti des Anglais) s'en empare. Il sème la terreur dans toute la région et ce n'est qu'à prix d'or que l'on parvient à le déloger. Pour éviter que Garlan ait des successeurs, les habitants de Saint-Flour incendient le château en 1405. Monseigneur de la Tour, propriétaire du château, très mécontent de ces déprédations, obligea les sanflorains à le reconstruire. Les Huguenots le prirent en 1575. Les tours furent utilisées comme geôles par les évêques de Clermont

Le château d'Alleuze est un château fort au plan caractéristique des édifices construits au xive siècle : un plan carré, flanqué aux angles de tours rondes. Après sa destruction en 1405 par les Sanflorains, il fut rebâti en 1411 sur le même plan

Béraud De Mercoeur, Possesseur du Chateau d'Alleuze (15) 1200-1294

&ca 1238 Béatrix De Bourbon 1215/-1281/

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Marquise De Mercoeur ca 1240-

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Astorg De Peyre, Baron De Peyre ca 1257-1318/

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Ermengarde De Peyre, Dame De Valentines ca 1295-

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Raymond D'Estaing, Baron D'Estaing 1320-

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Jean D'Estaing, Vicomte D'Estaing ca 1360-ca 1420

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Barane D'Estaing ca 1392-

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Jeanne De Dienne ca 1419-

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Béatrix De Mercoeur ca 1242-1272

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Armand De Polignac, Vicomte De Polignac 1259-1289

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Armand Guillaume De Polignac, Vicomte De Polignac †1343/

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Jean De Polignac, Vicomte De Polignac 1315-1341

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Randon Armand De Polignac, Vicomte de Polignac †/1421

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Jean De Polignac, Seigneur d'Adiac 1390-1425/

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Gabrielle De Polignac

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François De Guilhem 62934-63958-130774, Seigneur Du Cluzel 1515-

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Catherine De Guilhem 31467-31979-65387

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Possesseur du Chateau de Couffour (15)

Château de Couffour

Le château de Couffour ou du Cauffour est un château médiéval situé à Chaudes-Aigues dans le Cantal. La tour fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 17 septembre 1969

La première construction importante est un bâtiment du xive siècle flanqué sur sa façade de sept tours coiffées de toitures coniques. Il subsiste une tour, un bâtiment en face, un muret et un portail formant une cour carrée. Un corps de ferme un peu en contrebas complète l'ensemble. La tour circulaire contient un escalier en spirale qui donne accès aux étages supérieures. Plusieurs pièces possèdent des peintures murales du xviie siècle, au motif de fleurs et de portraits féminins.

Au xviiie siècle, le château est vendu à un bourgeois de la commune.

La Révolution et le début du xixe siècle correspondent à une période de déclin. Pendant tout ce temps, mal entretenu, le château se dégrade.

Attesté dès le xiie siècle, la dénommée Blavia, descendante de Robert de Saint-Urcize, seigneur de Chaudes-Aigues, apporte sa terre de Couffour en dot à Falcon de Reveilhac, noble du Gévaudan qui fonde la seigneurie. Géraud de Reveilhac, son fils ou petit-fils, est seigneur du Couffour en 1290. Son fils Étienne adopte le surnom de Besse qui devient le patronyme de ses descendants.

En 1406, Antoine de Rochedragon, seigneur de Yolet, achète Couffour à Jean Besse. Chatard de Rochedragon est nommé gouverneur de Carlat par le duc Jean Ier de Berry, devenu vicomte de Carlat

Le château était une place forte pendant la guerre de Cent Ans.

Gabrielle de Pellamourgues apporte en dot le Couffour à Jean de Montvallat. Pendant 25 ans, le château est le théâtre d'orgies sanglantes, dignes de la Tour de Nesle.

Blavia De Saint Urcize, Dame du Cauffour

& Falcon De Reveilhac

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X De Reveilhac

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X De Reveilhac

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Géraud De Reveilhac, Seigneur du Cauffour

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Etienne De Besse, Seigneur du Cauffour

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Jeanne De Besse 1387

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Pierre De Severac 1402

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Jean De La Roque Séverac, Seigneur de La Roque-Cos-Cornu /1437-1492

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Pierre De La Roque 62932-63956-130772, Seigneur De La Tourette

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Louis De La Rocque 31466-31978-65386, Seigneur De Monlet ?1510-/1577

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Jeanne De La Rocque de Severac Monlet 15733-15989-32693 ca 1559-

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Louis De Chazelles 7866-7994-16346, Seigneur D'Oeillet 1595-

Possesseur du Chateau du Chassan (15)

Château du Chassan

Le Château du Chassan est situé sur la commune de Faverolles dans le Cantal, dans la région de Saint-Flour.

La famille de Ponsonnailles de Grisols est propriétaire du château médiéval appelé château de Faverolles situé dans le village. À la même époque existait là où est le château actuel "le petit château du Chassan" composé de l'aile actuelle sud et d'une grosse tour. Au xviiie siècle, Jean Francois de Ponsonnailles de Grisols (+1785) - dont l'épouse était Gabrielle Falcon de Longevialle - fit démolir le vieux château médiéval et transporter pierres et meubles pour construire l'actuel château. Le château du Chassan comporte un corps central à cinq travées avec deux ailes de communs en équerre formant une cour d'honneur. Jardin à la française.

Tapisseries, portraits, souvenirs de famille témoignent d’un style de vie ancien. Rétrospective de la vie rurale : outils, costumes et métiers d’antan. Exposition de fossiles, minéraux, gemmes.

Les archives du Chassan remontent à 1335 ; il y eut entre autres :

Famille de Ponsonnailles de Grisols

Guyot Ponsonnailles, seigneur de Grizols et du Chassan, terres situées à Faverolles, épouse le 20 janvier 1594 Charlotte d'Apchier, fille de Jacques, seigneur de Billières et de Jeanne d'Amblard. Ils ont pour fils Mathieu de Ponsonnailles, seigneur de Grisolles et de Faverolles, chevau-léger dans la compagnie de Villeneuve. Raymond-Joseph de Ponsonnailles de Grisols, fils du Mathieu, précité et de Françoise de Chambreuil, épouse le 24 février 1677 Françoise de Montvallat, fille de Charles de Montvallat, seigneur de Tournoël et de Gabrielle d'Apchon. Antoine de Ponsonnailles épouse Hélène Bérauld de Chabriac, dont il a deux fils qui meurent jeunes. Il fait la guerre d'indépendance d'Amérique, émigre, devient le premier conseiller général du canton de Ruynes sous le règne de Louis XVIII. Le dernier de la lignée, Hyppolite de Ponsonnailles de Grisols, à son décès en 1843, lègua le Château du Chassan à son jeune cousin Alfred Triniac âgé de 16 ans ainsi qu'à sa cousine Philomène Loussert fille d'Alexis, alors âgée de 6 ans par testament olographe du 25 mars 1843 espérant qu'il soit fait un mariage entre eux. Alfred Triniac était le fils d'Etienne (1798-1864) et de Victoire Loussert du Groles (1800-1883), fille de Marie-Anne Bérauld de Charbiac. Alfred Triniac ne se remaria pas avec sa cousine mais racheta la part de celle-ci lors d'une mise aux enchères.

Famille Triniac

La Famille Triniac possède le chateau du Chassan depuis quatre générations.

Famille Bosquillon de Jenlis

Suzanne Triniac, héritière du Chassan, a épousé le général Gonzague Bosquillon de Jenlis, d'une famille originaire de Montdidier. Leur fille, Laure Bosquillon de Jenlis, et son époux Louis-François Fontant, président de la chambre d'Agriculture du Cantal, habitent le château.

Déodat De Guilhem de Clermont-Lodève, Seigneur De Brusque ca 1350-1404

&ca 1379 Isabeau De Roquefeuil 1362/-1427/

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Dauphine De Clermont Lodève 1395-1451

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Astorg De Peyre, Baron de Peyre 1423-1488/

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Aldebert De Peyre, Seigneur de Marchastel †1532

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Françoise De Peyre

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Jean D'apchier †ca 1574

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Jacques D'apchier 1557-1617

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Charlotte D'Apchier

& Guyot De Ponsonnailles, Possesseur du Chateau du Chassan (15)

Possesseur du Chateau de Varillettes (15)

Chateau de Varillettes

Le château de Vareilhettes ou Varillettes est situé sur la commune de Saint-Georges dans le Cantal.

Château du xvie siècle avec un corps à trois étages carrés, une tour ronde escalier engagée au milieu de la façade, deux tourelles d'angle en échauguette.

Famille du Polier

Les Polliers ou Polhier sont une famille de robe de Saint-Flour qui a donné plusieurs consuls de la ville. Hérailh de Polier, fut garde des sceaux du roi et fit construire le château qu'on voit aujourd'hui.

Famille de Murat de Rochemore

Catherine de Polhier, fille unique et héritière de Jean et d'Antoinette Suat de Chavagnac, apporte Vareilhettes par son mariage le 26 juin 1593 avec François de Murat, fils de Tristan de Murat, seigneur de Rochemore, de Teyssonières et de La Chassaignes, et Jeanne de Greilh, et lui donna deux fils: François, seigneur de Rochemore et Claude de Murat, seigneur de Vareilhette, né en 1599, maréchal des camps du roi, marié le 7 juillet 1650 avec Louise Mercie qui lui donna un fils: Nicolas de Murat, comte de Gilbertès, colonel d'un régiment d'infanterie qui s'est marié deux fois: En 1686 avec Marie d'Apchier, dame de Gilbertès, file de Jean de La Tour de Murat, comte de Gibertès, et de Marie de Châteauneuf d'Apchier, dont une fille, Marie-Antoinette de Murat de Gilbertès; En 1691 avec Henriette-Julie de Castelnau (1670-1716), fille de Michel, marquis de Castelnau et de Marie de Foucault du Daugnon, qui lui donne aussi un seul enfant : César de Murat, qui vend les château et domaine de Varillettes à N de Lastic-Sieujac, seigneur de Parentignat.

Famille de Lastic

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Évêques de saint-Flour

Au XIXe siècle, le château devient la résidence d'été de l'évêque de saint-Flour.

Hérail de Polier n'est ni ancêtre ni cousin

Parenté suivante

Possesseur du Chateau de Laborie Lieutadès

Lieutadès est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne. Les habitants de Lieutadès ont une particularité patronymique, ils sont appelés les Capujadous. Ils tiennent ce surnom d'un verbe occitan qui signifie « tailler » (des bouts de bois). Jadis, pendant les longues soirées d'hiver, ils taillaient à l'aide de leur « capujadou », le couteau ancêtre du laguiole, les innombrables chevilles qui fixaient les lauzes sur les toits. Ils ont tant taillé de ces chevilles que le surnom leur est resté.

Avant la Révolution, deux seigneuries se partageaient la paroisse : à l'est, la "commanderie" de la Garde-Roussilhon, en réalité une succursale de la commanderie de Montchamp près de Saint-Flour, ancien domaine templier passé aux mains de l'ordre hospitalier Saint-Jean de Jérusalem; à l'ouest, la seigneurie de Sévérac-Bédène (famille de Montvallat), dont les vestiges du château se voient dans la commune voisine de Cantoin (Aveyron). A la Garde-Roussilhon (on dit aujourd'hui : la Garde), les religieux faisaient administrer leur domaine par des notaires issus d'une famille d'Auliac, hameau de la paroisse voisine de Jabrun, les Albaret. Au xviiie siècle, l'ordre de Saint Jean s'étant sans doute éloigné, l'un d'eux prit le titre de seigneur de la Garde-Roussilhon ; à la suite du mariage d'une de ses petites-filles, le dernier seigneur de Lieutadès fut un Roquefeuil. Comme la plupart des communes de montagne du Cantal, Lieutadès a connu une très forte émigration, vers le Midi et l'Espagne (scieurs de long, tailleurs de pierre, marchands de bestiaux...), puis vers Paris (charbonniers, frotteurs de parquet, porteurs d'eau...). Lieutadès a eu 1300 habitants vers 1830. Certains de ces "gagne-deniers" ont connu de belles réussites dans l'hôtellerie, dans "la limonade" (les cafés parisiens). C'est l'un de ces émigrés, un Biron du hameau de l'Hermet, qui a donné son nom au célèbre "Marché Biron", haut-lieu de l'antiquité de grand luxe à Saint-Ouen. De nombreux Lozériens sont venus dans les fermes remplacer les émigrés partis vers Paris. Une grande partie de la population de Lieutadès, comme celle des communes voisines, est d'origine lozérienne.

A 1,5 km du bourg, le château de Laborie a dû être construit vers le xvie siècle. Il a été la propriété d'une famille de Raynal, et d'une famille de Chaudes-Aigues.

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Claude De Chazelles 1586

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Jean De Chazelles ca 1600-1673

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Catherine De Chazelles de Beauregard

& Antoine Raynal, Possesseur du Chateau de Laborie Lieutadès (15) 1648-1720

Le château de Pompignac près de Loubaresse, est une haute et puissant forteresse construite en 1342 par le comte d'Armagnac. Gaspard de Roquelaure épouse en premières noces Antoinette de Marcenat "dame de Pompignac" qui lui apporte en dot une partie de la seigneurie. En 1585, il transige avec François d'Apchier pour avoir l'autre partie. Ainsi d'achats en alliances se constitue la seigneurie de Pompignac au profit des Roquelaure en la personne de Gaspard de Roquelaure, seigneur de Montchanson et de Chaliers, de Pompignac, de Laval et autres places. En 1689, Claude-Gabriel de Roquelaure, seigneur de Pompignac et de Laval, est maintenu en noblesse. Suite à plusieurs alliances roturières, le domaine entra en 1760 en possession de Jean-Baptiste Lamouroux, riche négociant de Saint-Flour qui épousa Madeleine, la derniere héritière. A sa mort, son fils cadet Pierre Lamouroux de Pompignac garda le château et le domaine. Deux tourelles ont été rasées au niveau du corps de logis en 1790, ainsi que le chemin de ronde En 1794, l'ingenieur du distrinct de saint-Flour ordonna la démolition des machicoulis qui fesaient le tour de la bâtisse. L'idéologie révolutionnaire souhaitant voir abattre ces vestiges de la féodalité. Le rapport de l'époque montre que le château était alors trés bien conservé.

Bernard D'Armagnac, Comte D'Armagnac ca 1270-1319

&1298 Cécile De Rodez 1275-1313

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Jean D'Armagnac, Possesseur du Chateau de Pompignac Loubaresse (15) 1305-1373

Possesseur du Chateau de Requistat Jabrun (15)

Le château de Réquistat est un ancien fief avec château qui se trouve sur la commune de Jabrun dans le Cantal. Il ne doit pas être confondu avec le château de Réquista (sans "t") situé sur la commune de la Bastide-l'Évêque dans l'Aveyron.

Réquistat était d'abord un ancien prieuré, situé dans la montagne, loin du bourg de Jabrun. La paroisse, conservée en 1803, n'avait pas été érigée en commune, mais rattachée comme succursale à celle de Jabrun. Son église, qui était ancienne, a été reconstruite en 1823. Réquistat était aussi un château considérable, anciennement connue sous le nom de castrum vallatus et dont les ruines occupaient au début du xixe siècle une circonférence de plus de 120 mètres. Il comportait "des tours rondes, de meurtrières, de tourelles, et de cul de lampes appuyés au corps de logis et au donjon.". Un nouveau château a été reconstruit depuis.

Le fort, appelé Castelvallatus, était ruiné depuis longtemeps, mais il existait un nouveau château habité en 1406 par Pons de Beaumont, seigneur de Beaumont en Vivarais qui en était seigneur.

En 1532, le fief de Réquistat appartient à François d'Estaing, seigneur de Murol (63), puis à son fils Jean d'Estaing, vicomte d'Estaing, seigneur de Murol, Val (63), Cheylade (15). Personne n'habite l'ancienne forteresse qui est à l'abandon et tombe en ruine.

En 1590, un arrêt du parlement attribue les châteaux et fief de Réquistat à François Bourses (sans doute Bouyer) de Sainte-Geneviève, qui habitait non loin de Jabrun, au château de Montamat, à Chaudes-Aigues (15).

En 1669, Réquista est acquis par Jean d'Estaing, seigneur du Sailhant à Andelat (15), qui en dote sa fille : Marie-Anne d'Estaing qui l'apporte par mariage en 1693 à son fils : Philippe-Claude de Montboissier (Cunlhat 1674 - 1765), lieutenant des armées du roi, fils Jean-Gaspard, seigneur de Dienne, qui le vendit à : Pierre Boissière, puis en 1743 à Jean (Burin ?) des Rozières, seigneur du Buisson, paroisse de Saint-Babel, qui le revendit le 18 septembre 1751 à Pierre de Tassy de Montluc (Saint-Flour 1721 - 1796), fils de Jean-François, et Jeanne Chalvet de Rochemonteix, subdélégué de l'Intendant d'Auvergne.

Jean D'Estaing, Vicomte D'Estaing ca 1360-ca 1420

& Hélips De Pierre de Pierrefort 1365-

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Guillaume D'Estaing, Possesseur du Chateau de Val (15) 1397-1471

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Gaspard D'Estaing ca 1435-1479

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Louis D'Estaing ca 1457-

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Gabriel D'Estaing †1561

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François D'Estaing, Possesseur du Chateau de Requistat Jabrun (15) †1568/

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