Gendreau Henry-Miriel

Henri-Myriel Gendreau naît le 9 avril 1903, à Saint-François-de-Beauce. Fils d’Alfred Gendreau à Julien (1871-1954), menuisier-charpentier, voiturier du Québec Central Railway, et de Célina Doyon à Jean (1869-1927). Le 11 février 1930, Alfred Gendreau se remarie à Marie Bourque à Charles et Philomène Lapierre. Plus tard, Lionel Veilleux à Cléophas y sera locataire, au 614, 9e avenue, à Beauceville.

Henri-Myriel est le frère d’Armandine,  Auréa, Bernadette, Clermont et Roland Gendreau…et demi-frère d’Angéline Gendreau.

H.-Myriel fréquente l’école de son village, Saint-François-de-Beauce. Ensuite : Le Juvénat des Frères Maristes de Beauceville ,  le Collège du Sacré-Cœur de Beauceville  et le Séminaire de Terrebonne. Pendant un an, il suit des cours à l’Institut agricole d’Oka. Secrétaire du Frère Wilfrid ( du Collège Sacré-Cœur de Beauceville.) et dresseur de chiens danois, Henri-Myriel collabore au Journal L’Éclaireur de Beauceville.

 En 1925, il est à l’emploi de cet hebdomadaire beauceron. En 1927, on le retrouve journaliste à La Tribune de Sherbrooke.

À compte d’auteur, le journaliste Henri-Myriel Gendreau (1903-1980), publie en 1927 : La belle au bois chantant, Éditions populaires.

En 1928, Gendreau fait paraître la complainte de l’hécatombe du rang Saint-Pierre sud, entre Vallée-Jonction et Sainte-Marie-de-Beauce. Le 5 mars 1928, un terrible incendie détruit la demeure de Thomas Cliche et de Laura Jacques…10 victimes.