Les Misérables, comédie musicale d'après le roman de Victor Hugo
Musique de Claude-Michel Schöenberg, paroles d'Alain Boublil et J.-M. Natel
Photos (représentation) : clic
(Photos Jacques Rossi pour Arpège)C'est avec plaisir que la chorale Arpège du Pays de Guingamp a accédé à l'invitation de l'Amicale Laïque de Pabu de jouer Les Misérables sur la scène de Grâces.
Pour Arpège, il s'agissait de la 7ème représentation de cette magnifique comédie musicale inspirée de l'œuvre de Victor Hugo.
C'est avec enthousiasme que tous les choristes, solistes ont à nouveau endossé leurs habits du XIXème siècle pour faire revivre ces heures tragiques des années 1832.
Le site Wikipédia définit ainsi le roman de Victor Hugo : [...] c'est un roman historique, social et philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo concernant la nature humaine. L'auteur lui-même accorde une grande importance à ce roman et écrit en mars 1862, à son éditeur Lacroix : « Ma conviction est que ce livre sera un des principaux sommets, sinon le principal, de mon œuvre ».
En effet, quels plus beaux moments que ceux où l'on peut se fondre dans la peau d'ouvrier(e)s d'usine, passer au cabaret des Thénardier exploitant Cosette, assister impuissant à la poursuite implacable de Valjean par Javert, découvrir les amours naissantes de Cosette et de Marius, sombrer dans l'abominable massacre de la barricade, enfin d'aller au mariage de nos jeunes héros. Ni Javert, Valjean, Eponine et Gavroche n'échapperont à leurs destins tragiques.
C'est cette émotion que la troupe a voulu faire passer aux spectateurs.
Cette comédie musicale de Claude-Michel Schönberg (musique), d'Alain Boublil et J.-M. Natel (paroles) aura été interprétée par une soixantaine d'acteurs-chanteurs, sous la direction musicale de Denis Vanuxem et accompagnée au piano par Tési Calloc'h, à la contrebasse par Karine et aux percussions par Jonathan.
Un grand merci à l'Amicale laïque de Pabu pour la qualité des relations entretenues tout au long de ce partenariat et de la confiance accordée à Arpège ainsi qu'aux techniciens et bénévoles pour leur efficacité et leur gentillesse.
Jean-Pierre Colivet
Cette fois, Javert, t'arrêteras plus personne
La mort t'a coffré à perpétuité
J'espère qu'là-haut, on s'ra pas dans l'même cachot
Sur terre déjà, on n'était pas du même combat.
Gavroche