Après la comédie musicale Les Misérables, les chœurs d'opéras et Carmen, il a été choisi pour cette saison 2015-2016 de puiser dans le répertoire des succès les plus connus des Tri Yann, groupe vocal nantais apprécié en Bretagne et de réputation nationale.
Les choristes interprètent ces chants qui sont autant de tableaux vivants, illustrés par des mouvements scéniques et des costumes adaptés.
En plus du piano, flûtes, guitares et percussions issues de l'école de musique communautaire de Guingamp assurent l'accompagnement des choristes et des moments instrumentaux.
L'ensemble est dirigé par Denis Vanuxem chef du chœur Arpège et aussi chef de l'orchestre d'harmonie de Perros-Guirec. Evelyne Vanuxem a réglé la mise en place des mouvements scéniques.
1. La découverte ou l’ignorance (1976) (Texte de Morvan Lebesque dit par Michel Troalen)
2. Princes qu’en mains tenez (1976)
3. Si mort a mors (1981)
4. Complainte gallaise (1976)
5. Le mariage insolite de Marie la bretonne (1976) (soliste : Anaïg Tourbot ou Nadège Ohlott-Mesli)
6. An distro : textes et instruments. (Michel Kernéïs, Jeannine François et Eve Pastor)
7. Pelot d’Hennebont (1974)
8. Kerfank 1870 (1978)
9. Song for ye jacobites (1972) (soliste : Anaïg Tourbot ou Nadège Ohlott-Mesli)
10. Mrs Mac Dermott : instrumental (1976) (textes par Michel Troalen et Marie-Madeleine Denès)
11. Le soleil est noir (1978)
12. Les prisons de Nantes (1972)
13. La ville que j’ai tant aimée (1983) (soliste : Philippe Tourbot)
14. Hanter-dro macabre (1978) (l’Ankou : Jean Robin)
15. Chanson à boire (1983)
16. Les filles des forges (1972)
17. Sur la fosse au boulot (1990)
18. La jument de Michao (1976)
Bande annonce : clic ici
Page dédiée aux Tri Yann : clic ici
Photos du camp de Conlie (Kerfank) : clic ici
Le DVD
« Bonjour et merci de nous avoir adressé votre DVD. C’est un grand honneur et une belle émotion que de vivre en spectateurs ce que des passionnés de chant choral font de notre répertoire. Nous sommes très flattés et nous partageons le plaisir visible à l’écran des interprètes de la chorale Arpège.
Peut être aurons-nous le plaisir de partager une scène dans l’avenir et d’y interpréter un ou deux titres en commun si le contexte s’y prête.
Merci encore.
Félicitations et amitiés. »
J Chocun.
Le triskell est le symbole celte par définition. Son nom vient du grec "triskelês" qui veut dire à trois jambes. Le symbolisme du triskell a été interprété de plusieurs manières.
C'est avant tout un porte bonheur mais à l'origine ce devait être un symbole solaire. Ses trois branches réunies représente la triplicité (c.f. trinité) dans l'unité. Chez les celtes cette triplicité peut être matérialisée de diverses façons. Le panthéon des dieux celtiques au nombre de trois : Lúgh, Daghda, Ogme. La déesse unique sous ses trois aspects : fille, mère, épouse. Et bien d'autres encore.
On dit souvent que le triskell représente les trois éléments dynamiques : eau, air, feu. La terre en serait le centre. La courbure des branches serait symbole de vie. Le sens du triskell a aussi son importance. Celui représenté sur l'affiche du concert est, selon certain, dans le sens bénéfique, c'est à dire dextrogyre ou allant de gauche à droite. Le sens maléfique en serait donc son contraire. On le dit donc sénestrogyre.
On retrouve le triskell sur le drapeau de l'Ile de man ou de diverses organisations de l'entre deux guerre. Il est encore utilisé de manière officiel en Irlande et officieusement mais très affectueusement par les Bretons jeunes et anciens.