Élections législatives cruciales en Pologne
La Pologne a lancé ses élections législatives, un scrutin crucial pour l'avenir du pays, ses relations avec l'UE et l'Ukraine voisine. Le parti populiste "Droit et Justice" (PiS), au pouvoir, devrait remporter le plus grand nombre de voix selon les sondages, bien que la formation d'une coalition gouvernementale puisse s'avérer difficile, pouvant affecter l'État de droit, les droits des femmes et des migrants. Les résultats seront annoncés lundi, et en cas de victoire, les tensions avec Bruxelles et Kyiv pourraient s'intensifier. La campagne a été marquée par des attaques personnelles, et l'électorat exprime son exaspération face au climat tendu. La Pologne, un soutien clé de Kyiv, a récemment connu des tensions avec l'Ukraine liées à des problèmes commerciaux.
Le samedi 7 octobre au matin, Israël a été victime d’une offensive de grande ampleur du Hamas, mouvement terroriste palestinien prônant la destruction de l’Etat d’Israel. Baptisée “déluge d’Al-Aqsa”, cette opération visait à surprendre Israël s’est révélée être d’une violence inouïe. L’Israël a répondu à ces attaques avec l'opération ”Glaive de fer” avec l’objectif de détruire le Hamas en imposant un siège complet de Gaza. Des bombardements y ont également eu lieu conduisant l’ONU à parler d’une “catastrophe humanitaire inédite”.
Ursula Von Der Leyen a annoncé ce lundi 16 octobre qu’un couloir aérien humanitaire vers la bande de Gaza allait être ouvert depuis l’Egypte afin que les Palestiniens n’aient "pas à payer le prix de la barbarie du Hamas".
Haut-Karabakh: vers la fin du conflit?
Le président azerbaïdjanais Ilham Aliev s’est rendu ce dimanche dernier à Stepanakert, capitale du Haut-Karabakh, reprise aux séparatistes arméniens suite à l’offensive militaire éclair du 19 septembre. Ce dernier y a hissé le drapeau de l'Azerbaïdjan pour marquer symboliquement la fin du conflit avec l'Arménie. Ce succès militaire était espéré par l'Azerbaïdjan depuis les années 90 lorsque la région était tombée aux mains des séparatistes.
Alors que le Haut-Karabakh s’est vidé d’une grande partie de sa population depuis son annexion, l’Arménie craint également la possible volonté d’expansion de Bakou. Pour s’assurer d’une protection supplémentaire face à son voisin azerbaïdjanais, elle a adhéré à la Cour pénale internationale malgré l’opposition de son allié historique russe.
Ce lundi 17 octobre, les 27 membres de l’UE sont parvenus à trouver un accord sur la réforme du marché européen de l’électricité. Freiné par les divergences franco-allemandes sur la question de la régulation des prix de l'électricité nucléaire, cet accord était impensable il y a encore peu de temps.
Suite à l’envolée des prix de l’électricité l’an dernier, cet accord vise à limiter la volatilité des prix par contrats de long terme et aussi à encourager les investissements dans une énergie décarbonée. La réforme prévoit également la possibilité d’un soutien public aux centrales existantes. Une bonne nouvelle pour la France préoccupée par le financement de la réfection de son parc nucléaire vieillissant.
Retour breton après 7 semaines de déploiement
Le président azerbaïdjanais Ilham Aliev s’est rendu ce dimanche dernier à Stepanakert, capitale du Haut-Karabakh, reprise aux séparatistes arméniens suite à l’offensive militaire éclair du 19 septembre. Ce dernier y a hissé le drapeau de l'Azerbaïdjan pour marquer symboliquement la fin du conflit avec l'Arménie. Ce succès militaire était espéré par l'Azerbaïdjan depuis les années 90 lorsque la région était tombée aux mains des séparatistes.
Alors que le Haut-Karabakh s’est vidé d’une grande partie de sa population depuis son annexion, l’Arménie craint également la possible volonté d’expansion de Bakou. Pour s’assurer d’une protection supplémentaire face à son voisin azerbaïdjanais, elle a adhéré à la Cour pénale internationale malgré l’opposition de son allié historique russe.