Le vieux

Le vieux respire le bonheur, joyeux

D’allumer ce sourire dans tes yeux.

Il est heureux de son glorieux fait d’arme,

Car c’est à lui que tu offres tes charmes

Et quelques moments des plus délicieux.

Enchanté par ton rire mélodieux,

Ses jours sont baignés d’un soleil radieux

Qui brille depuis Copenhague à Parme,

Le vieux.

Tu l’admires tel on adore un dieu.

Même si je trouve ce sort odieux :

Je t’aime mais c’est lui qui te désarme ;

Il a raison de rire de mes larmes

Quand je m’en vais en te disant adieu,

Le vieux.