Cette mine exploitée depuis la fin du XIXe siècle recèle de nombreux vestiges d'exploitation, ainsi que des galeries aux formes et couleurs diverses, au travers des différentes couches de fer. Sans être immense, le réseau est assez vaste pour l'explorer durant des heures.
⚠ 💨 Risque gaz : Les mines de fer du secteur sont connues pour être en partie gazées au CO2, il est nécessaire d'être équipé d'un détecteur. ⚠
Dans le premier secteur, le fer a pris une belle couleur blanche sur la partie supérieure des galeries, brillant sous l'éclairage de nos lampes.
◾ Ci-dessus, nous marchons sur les ciels effondrés (potentiellement foudroyés volontairement).
◾ Nous sommes ensuite descendus le long d'un plan incliné, en suivant les câbles du treuil gisant au sol.
◾ Au fond, nous atteignons déjà quelques noyages.
◾Des écoulement d'eau forment peu à peu de remarquables concrétions le long des murs, des racines ont même été prises dedans (à droite).
◾Ci-dessus, cette berline retournée est la seule que nous avons croisé.
◾Ci-dessous, nous retrouvons des traces plus concrètes de l'exploitation, avec notamment un double aiguillage connectant le plan incliné aux voies inférieures. La roue du treuil est visible au fond.
◾Ce bâtiment à l'allure d'écuries aurait servi de bureaux. Les salles sont vides désormais.
◾Les cintres métalliques sont typiques des consolidations en mine de fer. Ils laissent cependant passer de nombreux petits éléments.
◾D'imposantes machines restent accessibles, comme cette bure (puit interne) avec sa cage d'extraction équipée d'un rail. Un peu plus loin, une roue assurait la traction des wagons sur un plan incliné à l'aide d'un câble. (Balance des blancs un peu foirée sur ces photos)