Sans le latin : revue de presse

"Érudit et pugnace", c'est ainsi qu'un des nombreux articles paru sur notre ouvrage Sans le latin... caractérise ce dernier.

Depuis sa sortie, notre recueil de conférences a fait l'objet de comptes rendus fort élogieux dans la presse, indépendamment de tout clivage politique, avec, dans l'ordre de parution : La Croix, Le Figaro, La règle du jeu, Politis, Le Point, Le Monde des livres, Valeurs actuelles, Télérama, Philosophie Magazine, Le Figaro Littéraire.

France Culture lui a consacré une émission (Tout feu tout flamme de L. Adler), de même que Canal Académie (Jamais sans mon latin... avec R. Brague), Fréquence Protestante (Fréquence Livres de M. Bernasconi) ou Public Sénat ( Cecilia Suzzoni dans la Bibliothèque Médicis de J.-P. Elkabbach : rediffusions prévues les 31 août à 22 h, 1er septembre à 7h30, 13 h et 21 h et 4 septembre 2012). Notre secrétaire Hubert Aupetit était le 6 septembre Le Grand Témoin dans l'émission de Radio Notre Dame, où il a été largement question de Sans le latin... De même, Cécilia Suzzoni était l'invitée de l'émission La Marche de l'Histoire sur France Inter (18 mars 2013) consacrée aux mutations du latin.

Un bel article de notre collègue Chantal Labre, éminente latiniste, rendant compte de notre essai, est paru dans la rubrique Librairie de la revue Esprit de juillet 2012. Un compte rendu de la vice-présidente de la Revue de l'Association des professeurs de lettres (APL), Evelyn Girard, dans son numéro de septembre 2012. Article également, le 29 août, dans la revue Études et désormais aussi sur Fabula ("Le latin est mort, vive le latin", par Adeline Desbois). Une tribune, datée du 10 septembre, lui est consacrée dans L'Humanité ("Pour ne pas y perdre notre latin", par N. Mathey). La revue Vita Latina a également fait paraître une recension récemment (n° 187-188).

D'autres recensions sont attendues dans les revues Europe, Latomus... Sans le latin... figure en vitrine de nombreux libraires et en est à sa troisième réimpression. Cette parution arrive donc à point nommé pour saluer l'arrivée d'un nouveau ministre, qui sera, on l'espère, sensible au "rêve" qui clôt l'ouvrage.