Le débarquement
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La voila, on est ici, il est 4:45AM il faut terminer le débarquement!. le heure-H du Jour-J peut être le 6:30AM ou 7:10AM, il faudra attendre beaucoup en mer!
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La plage est déserte et silencieuse, elle est disséminée d'obstacles bien visibles répandus un peu partout parce que il y a la basse marée.
Aujourd'hui journée très froide, humide, pluvieuse, et le ciel est couvert, il y a un vent froid qui provient de nord- Nord/Est vers sud- Sud/Ouest et pousse le brouillard le long de la cote et vers l'interieur, avec une direction sud-Ouest.
Heureusement le moment est arrive, l'attente a ete defibrante ; les moyens LC cherchent a s'aligner malgre la mer bougee, pour ensuite se diriger directs sur la cote. Le grondement des moteurs se fait plus puissant et continue, la route circulaire se fait d'abord lineaire et ensuite legerement zig-zag en ils se tenant plus ou moins en formation qu'assaut.
La mer a été toujours agitée dans les derniers 3 jours, mais dans a ces moyens les LC sont trop petits et remplis jusqu'à au bord de soldats. La sensation dans le LC est que ce couler au plus tôt a chaque vague, on est frappes dans la mer continuellement et personne peut fixer le regard hors vers l'horizon pour compenser la nausée de mal de mer, donc on est encore plus difficile a supporter un petit problème .
Il n'y a pas vers rester secs, entre les vagues qui de temps en temps pleuvoir dans, toujours les habitudes vêtues lourd portes de 3 jours défibrer attendue. La barbe longue qui démange, divisée souille pour le liquide anti-gaz qui ont asperge avant de saler sur les LC. Beaucoup probablement penseront a une douche chaude, a un savon de barbe, café chaud et petit pains et une lit avec des draps nettoyée. Ces son peu qui cette nuit on dormi pendant le voyage sur la manche. La tension, la mer, l'attente défibrante, ainsi l'excitation d'avoir beaucoup des bateaux autour, et milliers d'avions qui volaient sur la tête avec un grand bruit!.
Quelle heure est-il?! environ ces sont le 6:30AM, mais celle-ci est seulement le hure conventionnel du Jour-J de 06.06.44 ces sont quelque minutes d'abord le 7:30AM heure Paris. Mais peut être que ils pourraient être très bien les 7:10AM c'est-a-dire les 8:10AM heure a Paris.
Il n'y a pas mode de comprendre qu'est-ce que il y a sur la plage!. Il y a pue vomis, de cigarettes, de pétrole, le bateau saute continuellement a droite et a gauche. Beaucoup des soldats ont mal de mer et qui ne l'a pas, ils ne sont pas que vraiment en grande forme!.
Changer les points de Touchdown?!, il n'y a pas d' informations suffisantes sur l'état de la plage qui est donnée comme nettoyée, les ordres suis ordres, certain que ça sera difficile débarquer... les choses ne seront pas simples comme ils pensent les plupart, je crois que c'est mieux être dans 2 ou 3 compagnies plutôt que seuls, si on reste ensemble on donnera aide, au-delà on aura supporte du tank en plage!. Beaucoup des soldats chancelaient et a peine ils se résistent en pieds avec le 30kg d'équipement qui portent chacun sur les épaules, on agrippent aux cordages de sureté pour rester en pieds!. Le gros du bruit qui va partir d'une éclat, ils sont termine'. Les plupart des soldats ne parle plus, quelqu'un prie, quelque autre croque du chocolat, ou on boit d'eau, seulement ceux au fond du LC parfois vont parler encore, maintenant ne fume personne. Le bateau vise droite sur la plage en cherchant des points de référence, la tension est tres grand, mais elle est propre parce que c'est l'attente celle qui défibre les nerfs. Maintenant tous le monde comprennent que la plage n'est pas tout a fait propre. Il y a le silence, les visages sont sérieuses, on fait des matide même pour le froid de 2h d'exposition a l'eau aussi le vent glacial.
A l'improvise pleuvoir coupd des cannons et des mortier partout et hauts jets d'eau s'elevent comme fontaines!. Ils grelent des boules tirees du rivage qui sifflent partout et surtout frappent le long des cloisons.
Il est le morte qui frappe a la porte. Un LC plus en avant saute littéralement pour air centre en plein des mortiers et artillerie. Des autres LC commencent a faire fume pour étendre un rideau fumigène et protéger les autres vagues.
Un autre bruit grondement terrible a improvise sature l'air!
Merde!, Dieu Saint ! des autres 30 vies casses dans un instant !, merde encore merde, il y aura encore plus difficile débarquer et arriver en colline. -Eh!, ceci il n'y avait jamais dans les exercices!- merde!, borde celle ne pas rire- quelqu'un répond -Tais toi merde!-silence!...-
Débarquer devant au piques de résistance! merde! c'est n'est pas une bonne idee! Le bruit du moteur c'est ferme', un lourd bruit de ferre anticipe de quelque seconde l'ouverture du portillon. La cloison tombe lourdement: on ouvre les portes d'un enfer!
Les véhicules plus a gauche réussissent a faire sortir les troupes, ébauchent une formation, sauf ensuite être frappes en plein du tir croise qui provient de la plage. Beaucoup des soldats sont frappes des mitrailleuses qui les fauchent directement a l'intérieur du LC, qui se relève entre les morts et qui va tenter de rejoindre la sortie est tôt ou tard coupe'.L'eau est froide gèle les os jusqu'à la moelle, les boules sifflent partout, pleuvoir canonnades et des coups de mortier sans pause. Il est massacre.
Des bateaux ils reculent de divers mètres, ceux qui reussissent a sortir sont tires sur le coups, on bougent trop, ça pour le poids, pour l'eau haute, parfois meme ils coulent et se noient.
La ligne de feu est lourde, provient sur devant que sur le flanc droite, en prenant toutes les troupes.
Il n'y a pas salut parce que il n'y a pas pratiquement des abris, c'est tous terrain a découvert pour au-delà de 270 mètres, il n'y a pas chariot arme active sur la plage qui aide les troupes dans ce secteur !
Beaucoup des soldats hurlent, des autres coulent, des autres meurent ou ils sautent pour air et brulent. Des coups de mortier et canonnades tirent sur la plage partout. Il est un désastre!. Il n'y a supporte, en communications, il n'y a pas coordination, il n'y a pas la chaine de commande pas. Des petits groupes avec les blesses restent en eau partout, ils se réparèrent comme ils peuvent du feu ennemi, ils attestent derrière les barrages en se couvrant avec des copains morts, des autres se déplacent longitudinalement en eau en allant sur la gauche pour s'éloigner du feu plus violent.
Autres groupes des soldats débarqués plus a gauche tentent de se déplacer en diagonal sur le flanc sinistre pour rejoindre la plage. Quelqu'un réussit finalement a gagner le rivage. Il y arrive épuisé, souvent ils sont blesse, toujours ils sont sous choc.
Les plus part d'eux il ne croyait pas que c'est vrai, il sont arrive vivant ou a moitie mort sur la plage, ça c'est plus que formidable, incroyable!.
La dépression, la frustration, va prendre très vite le dessus. Les soldats sur la plage vont penser, que on est content d'être vivant, mais au même temps ils ont vu des évènements horribles, et ils vont penser que l'être encore vie peut être un péché. Pour les troupes qui n'ont jamais été en combat il est un choc très lourd
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Il est difficile se reprendre de l'impact, meme pour les troupes plus experte les Ranger/2/C parce que les fusils sont souvent enrayes du sable, manque presque tout l'equipement qui a ete disperse en mer, parce au contrarie les sondats sont noye. Il y a tant de blesses epandus partout a secourir, mais le feu ennemi rend la chose impossible. Les LC se retirent, ils ne prennet pas les blesses, on laissent les troupes si des mêmes. Les blesses hurlent en eau et en plage en demandant il secourent, les boules sifflent et les bombes explosent. Les survivants desorganises on sent abandonne et l'initiative de ceux en colline qui ont l'avantage de la position.
Cet enfer dure des 10minutes aux 15 minutes environ et bien 2 fois de suivi en se répliquant comme une DÉJÀ VU
Sur DOG GREEN la première vague programme pour le H+1 (c'est-a-dire aux 6:31AM) pour les 6:45AM est déjà été anéantie, ils restent éparpillés seulement le moins de 40% des forces. Les soldats sont blesses, désorganisés, sous choc et avec les communications interrompues, ils espèreront dans supporte de la seconde vague. Celle-ci arrive a H+40 c'est-a-dire autour des 7:10AM. Mais il reste a passer encore 25minutes environ, et ils ne seront pas faciles. Ceux en colline entameront a tirer aux morts, lesquels ont beaucoup des munitions donc ils vont sauter pour air. En outre les nazis continuent a faire a feu sur tout ce qu'on bouge ou qu'il répond au feu, ils utilisent des mitrailleuses, des canons et des mortiers pendant que les survivants ont seulement quelque fusil fonctionnant parce que les mitrailleuses légères et lourds sont alles perdues. Il y a la seconde vague autour des 7:10AM et ils vont terminer la même fin de la première vague, pour les mêmes raisons technique- militaires.
Les points de résistance sur la plage n'ont été jamais frappes du bombardement aérien qui a précède le débarquement. Ni la demi minutes de canonnage des bateaux a été suffisant pour détruire les bunkers dans lesquels les nazis ils sont barricades. Les défenses nazies construites en 5 ans de conflit sont indemnes. Les chariots armes sont lances a H-5 (les 6:25AM) mais tous sont coules dans la mer qui est beaucoup d'agitée, ces peu qui sont réussis a rejoindre la plage ils sont frappes de l'artillerie nazis. Les troupes d'infanterie au lieu de faire d'elles débarquer plus loin de piques de résistance en mode a maximiser la dispersion sur le 6.5km de plage, les troupes sont faites concentrer et débarquer devant ai piques de résistance. vous y demanderez pourquoi? ! Parce que les points de touchdown du plan du Jour-J contemplent l'idée d'effectuer un heurte frontal rapide. Il y eut des fortes oppositions et critiques mais les suggestions ne furent jamais écoutées. En effets tout il y aura beaucoup de rapide, aux 7:10AM maintenant du Jour-J quelque chose comme les 8:10AM heure de Paris, dans 15minutes du feu très violent qui recouvriront les troupes de la seconde vague. 7:30AM le gros va terminer avec les mêmes résultats de la première vague. Les pertes totaux seront très lourdes. Rangers/2/C débarquent dans 2 LCA entre DOG GREEN & CHARLIE ils auront le 55% de pertes. La 29/116/A débarquent avec 5 LCA il ont eu 80% des pertes, la seconde vague 29/116/B dans 2 LCA débarquent sur DOG GREEN ont eu 75% de pertes, les autres 2 LCA ils prendront terre sur CHARLIE ils ont enregistre 70% de pertes. Pour combien il concerne les pertes des nazis barricades dans au bunker ou dans les tranches, ils seront pratiquement dérisoires ou nuls.
Quelque officiel de la seconde vague on sauve et cherche a coordonner un petit de resistance entre les survivants entre beacoup des problems. Entretemps la maree va saler lentement mais le feu ennemi reste letal et precise. Les communications restent toujours interrompues, toutes les radios ou sont coulees ou sont danneggite ou ont explose. Les survivants restent isoles jusqu'aux 10:00AM (autour des 11:00AM heure de Paris) lorsque ils ont vu s'approcher de gauche des chariots armes qui sont debarques sur DOG WHITE. Apres le choc du debarquement, les tir a la cible des nazis va continuer comme dans la premiere vague. En outre vite, vite il y a toujours beacoup des probleme serieux, que faire?! On peut rester en eau avec la haute maree qui va en croissant. Ca va signifier en effet, être frappe ou morir pour hypothermie ou noyer!. Il est un dilemme difficile, qui doit etre resolu, sous choc et avec beacoup de stress. On peut chercher a rejoindre le bord sinistre de la plage, mais ca ce n'est pas allechant. De le manipules de troupes en effets ont eu raison mais ils ont du parcourir a decouvert au-dela de 270 metres avant d'arriver pres du terre-plein. D'autre part courir en eau alourdis de 30kb d'equipement et ensuite sur le sable n'est pas facile, lorsque nazis tirent contre etils ont une excellente mire.
Personne ne pourrait pas resister a le long d'dans ces conditions.
Ces sont le 9:30AM probablement dans la campagne, les communications avec le commande ont ete etablies. On decide a quoi ca dois faire. La penetration en campagne s'est produite sur DOG WHITE et les choses sont allees décidément mieux.
Les points de touchdown des troupes qui sont debarquees sur DOG WHITE correctement ou pour de l'erreur a cause de le courant de la mer a pousse un peu toutes les bateaux vers Est, ca il est alle tout somme assez bien.
Certes debarquer sur omaha le 06.06.44 n'est pas une promenade dans la ville, et le feu nazis a ete modereement intense et ils provenant du flanc droite, mais il n'a pas ete violent comme sur l'autre portion de plage.
En outre il y a été une dizaine des shermans que ils ont réussis miraculeusement a rejoindre indemnes le rivage, en donnant un aide aux troupes d'infanterie.
La présence des tanks d'opérationnels en plage ensemble a une majeure distance (environ 1.3km) des points de touchdown, qui ont été assez plus loin des bunker nazis
ont été les causes militaires qui ont fait une grande différence en termes de résultats obtenus et des pertes souffertes.
Malheuresement les forces americaines dans la champagne ils ne sont pas encore suffisantes pour attaquer directement la sortie DOG ONE en passant de la route côtiere,
Il y a un echange d'idees tres fort a la radio, avec les officiers, sur DOG GREEN tous les communications sont interrompues mais le desastre n'est pas passe inapercu. On vocifere de parler de reembarque mais a la fin on decide de continuer, le debarquement continue. On attaque pour gagner la sortie de DOG ONE, l'action on avverra'par un encerclement, peut-etre comme il aurait dû etre de toujours. Initialement en visant a ouest les troupes ils chercheront a prendre les nazis aux epaules, peut-etre en coordonnant un assaut avec les survivants sur DOG-GREEN.
Nell'action d'abord on ira sul flanc sinistre sur Vierville, ca pour eviter que le nazis puissent prendre entre 2 feux les americains. En meme temps un peu de chariots armes sur DOG WHITE iront vers DOG GREEN, lesquels avecv le chasse de la marine, ils attaqueront le bunker nazis qu'ils sont restes intacts et difficilement visibles de la plage, a cause de fume!. Ok, let's go!!.
Ces sont le10:00AM quand les 2 destroyers commencent a faire feu contre la plage et contre les bunkers nazis.
Le 2 bateaux de la marine en exploitant la haute maree, ils marchent a la côte de la plage jusqu'a a moins que 500mt en ils commecent a tirer avec les cannone elève a zero contre le bunker nazis que jusqu'a cet instant, ils ont restes indemnes a tous les attaques!.
D'abord sur la plage de CHARLIE et DOG-GREEN, ensuite sur le flanc droite de la plage FOX GREEN pour chercher a obtenir la sortie EASY-THREE
Clairement les nazis n'est pas qu'ils regardent l'action, en s'etant approches de beaucoup les 2 bateaux deviennent a eux tourne des deesses cibles et certains recoivent del feu en arrivee. Pour eviter de s'enliser ou d'etre frappe, les bateaux doivent rapidement manoeuvrer pour eviter les coups, les obstacles couverts de la haute maree et les seches.
Parfois le bunker sont frappes directement en plein et il tombent sur le terrain, autres fois ca est plus difficile a faire, parce que les points de resistance ces sont difficiles a determiner avec la visuelle de la mer et ils restent le plupart en silence derriere les fumes.
Entre DOG RED et EASY GREEN il y a la sortie "les moulins".
10:00AM cette portion de plage est un vrai chaos!
Un fosse anti tank et un mure de barrage dans cemente arme bloquent la sortie. Des nids de mitrailleuses, mortiers et canons anti tank, ils tirent sur la plage. Les debarquements des vagues succesisive continuent à roue, en s'amassant sur la plage, sans pour autre procéder d'un centimètre !.
La sortie centrale D3 est une des sorties clé de l'entière plage, si pas la principale sortie dont faire canaliser les troupes pour aller dans la champagne, et elle est encore fermée. Et la sortie restera' ferme encore pour beaucoup, beaucoup, temps !!. La sortie FOX ONE sur la plage FOX RED est par contre ouverte, est l'unique sortie qui a été relativement prise en mode facile de la première vague!.
Les troupes qui sont destinees à cette plage sont attestez dans l'interne!.
La sortie de Les Moulins DOG-THREE entre DOG RED et EASY GREEN est toujours fermée ! et la bataille fait rage sans trêve!
Les renforces continuent a affluer en les faisant debarquer sussi sur les plages latéraux
A voir le particuliers avec la vue aerienne de D3 et d'E1 aux 12:30PM!
pour reduire les pertes on appuie aussi sur EASY GREEN
et aussi sur DOG WHITE et la partie exterieure de DOG RED
On a voir de la mer la plage sur la sortie EASY ONE il apparait assez compliquee a rejoindre.
Quelque fois on cherche a secourir et ré-embarquer les blesses lorsque il est possible.
La sortie de Les Moulins DOG-THREE entre DOG RED et EASY GREEN est toujours fermée ! et la bataille fait rage sans trêve!
Les renforces continuent a affluer en les faisant débarquer sussi sur les plages laterales
A voir le particuliers avec la vue aérienne de D3 et d'E1 aux 12:30PM!
pour reduire les pertes on appuie aussi sur EASY GREEN
et aussi sur DOG WHITE et la partie exterieure de DOG RED
On a voir de la mer la plage sur la sortie EASY ONE il apparait assez compliquee a rejoindre.
Quelques fois on cherche a secourir et re-embarquer les blesses lorsque il est possible.
La sortie sur E3 poste sur la plage d'EASY RED est encore fermee!
La bataille pour E3 ça marche pour toute le matin et même le premier apres-midi du 06-06-44.
La première division Big Red One a debarquee sur le centre-gauche de la plage, cette division a ete plus experte que la 29 Division de le Gendarme National.
Le 1st ensemble au Ranger (ils ont debarques a la droite et aussi a gauche de la plage) ils ont ete deja sous le feu ennemi. Cette experience ne va pas a chaanger le resultat des faits, parce que ils sont tous bloques sur la plage d'OMAHA BEACH et des nazis en colline ils vont maintiener l'initiative et aussi l'avantage de la position.
La sortie de E3 sera ouvert en effet assez tard, et seulement après les 14:30PM.
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