2 BEP a TONG

A Tong, le 2e BEP se livre au parachutage de ses effectifs, immédiatement suivi par un exercice de combat, sous le regard d’autorités militaires.

Regroupement au sol des parachutistes du 2e BEP (Bataillon Etranger de Parachutistes) après un saut d'entraînement qui précède un exercice de combat à Tong.

Légionnaire-parachutiste d'origine viêtnamienne du 2e BEP (Bataillon Etranger de Parachutistes) peu après un saut d'entraînement à Tong, armé d'un pistolet-mitrailleur MAT 49 et vêtu d'une tenue camouflée Windproof, d'origine britannique. Pratique répandue au sein des troupes aéroportées en Indochine, une drisse est nouée à un pontet d'attache de jugulaire de son casque M1, destinée à éviter la perte de celui-ci en cas d'arrachage lors du saut.

 A Tong, au cours d'un saut d'entraînement suivi par un exercice de combat, des légionnaires-parachutistes du 2e BEP (Bataillon Etranger de Parachutistes) se précipitent vers un colis contenant une arme lourde.

A Tong, après un saut d'entraînement suivi d'un exercice de combat, une équipe (servant un mortier de 60 mm) de légionnaires-parachutistes du 2e BEP (Bataillon Etranger de Parachutistes) se rassemble pour faire mouvement. Le tireur se déplace avec sa pièce au complet sur l'épaule (elle peut être séparée en trois fardeaux pour le transport : bipied, tube et plaque de base) pour minimiser le temps de mise en oeuvre. Les servants transportent les munitions dans leurs emballages en carton goudronné.

Mise en batterie d'un canon de 75 mm sans recul sur son affût, au 2e BEP (Bataillon Etranger de Parachutistes) lors de l'exercice de combat suivant un saut d'entraînement à Tong.