Les Diplômes
Le système d’immigration au Canada en général, mais aussi au Québec, priorise les immigrants qui sont les travailleurs des métiers spécialisés et ceux qui ont des degrés post-secondaires. Un rapport de StatCan qui a résumé des recensements canadiens entre les années 2016 à 2021 a trouvé qu'environ 60 pour cent de la population immigrante ont un diplôme de baccalauréat ou plus. Cependant, un peu plus de 25 pour cent de la population qui ont des diplômes étrangers ont des travaux pour lesquels ils sont surqualifiés. Ce problème est prédominant dans les communautés d’origine non-occidentale, car leurs degrés sont moins respectés ou acceptés par les employeurs. Ça met en place deux grands problèmes potentiels pour les immigrants non-européens.
Ces immigrants gagnent moins d’argent que leurs pareils canadiens. Ils font un travail qui paye moins qu’ils peuvent gagner et cette disparité les rendre moins pauvres et donc, leurs familles ont mois de revenu disponible pour faire n’importe quoi.
2. Ces immigrants doivent refaire les cours d’université, ce qui prend beaucoup de temps et coûte de l'argent. On doit être un citoyen canadien pour obtenir les réductions du frais de scolarité. Et les frais pour les étudiants internationaux sont en moyenne six fois plus hauts que les citoyens canadiens. Mais, les français et les suisses peuvent payer les frais des canadiens hors du Québec, ce qui est vraiment moins chers que les étudiants internationaux d’autres pays. Ça existe seulement en Québec pour promouvoir la langue française, mais il est aussi important de noter que cette loi contient des préjugés, car il y a beaucoup de francophonie, mais le Québec inclut uniquement les européens qui déjà ont moins de discrimination en cherchant du travail. (En savoir plus, cliquer ici)
Ce problème nuit le Québec aussi parce qu’il y a un manque d'employés dans le secteur de santé ou d'éducation, par exemple, et ils ont une population de personnes qualifiées — ou dans certains cas surqualifiés — qui pourrait enlever un peu le stress sur le système, mais ils ne les utilisent pas. Les raisons incluent la préférence d'expérience de travail au Canada, et les employeurs ne connaissent pas les systèmes d'éducation dans les autres pays et donc, ils sont plus hésitants d'embaucher quelqu'un.
Pour améliorer ce dernier, ce qui n’est pas limité au Québec, l’ONU a créé un système de mise en place d'un standard universel pour les personnes avec des degrés. Cela peut réduire ce problème avec les immigrants parce que les employeurs savent que les immigrants sont qualifiés à leurs standards. Maintenant, vingt-huit pays ont ratifié ce document, mais le Canada n'en fait pas partie.