Amour
Dans notre vie, au centre et au cœur de tout, il faut placer Jésus. La charité est l'épanouissement de l'amour. « Aimez et faites ce que vous voulez », disait Saint Augustin. Tout dans notre vie est question d'amour. Car « là où est ton trésor, là aussi est ton cœur » (Matthieu 6:21). Si l'objet de notre amour est bon, tout sera bon ; s'il est mauvais, nos œuvres seront mauvaises. Si notre cœur n'est pas entièrement à Jésus, il est partagé, car nul ne peut servir deux maîtres. Un cœur partagé est un cœur ravagé, un cœur saccagé. Quand le cœur est partagé, il est la source du dégoût, du trouble, de l'inquiétude, il est la source du manque de paix et de joie chez l'homme.
Très souvent, si nous ne sentons pas Dieu comme il le faudrait, c'est parce qu'une image s'interpose entre Jésus et nous, c'est parce que le cœur est partagé. C'est que notre cœur désire le confort, il est ailleurs. Si vous ressentez du dégoût, examinez devant Dieu vers quoi votre goût vous porte. Un rien peut nous séparer de Dieu. Comme des fleurs, nos pétales, nos souvenirs, peuvent être en soi un rien, mais qui se garde précieusement et qui rappelle bien des choses. Cependant, c'est ce rien qui peut, peu à peu, dégoûter le religieux de son état et le déterminer à chercher son bonheur ailleurs. C'est terrible quand on se laisse dominer par le sens de ses passions, surtout lorsqu'il s'agit du cœur : il aveugle et mène aux plus terribles décisions. Et une fois qu'on se jette dans le fond de la réalité telle qu'elle est, le désespoir est produit. Oh ! Ne cédez jamais au sens de vos passions. Maîtrisez votre cœur, votre imagination. Faites attention. Ne vous laissez pas accrocher. Soyez libre.
Donnez votre cœur à Jésus, tout votre cœur. « Mon enfant, donne-moi ton cœur », disait l'Enfant-Dieu au Frère Théophore, et celui-ci sacrifia tout en retour. Jésus lui donna un cœur de Noël, qu'il garda pendant toute sa vie. Il fut aimé, il fut estimé, car en cette nuit-là, après tant de luttes, il avait dit oui à Jésus. Il s'était dégoûté de ses [propres] miracles — si gentil qu'il fût comme enfant de chœur —, et il avait entendu ces paroles du Saint Fondateur : « Nous sommes de pauvres Frères. » Oui, il était pauvre, mais la voix du Fondateur poursuivait : « Nous ne sommes pas considérés par les gens du monde. » Il acceptait aussi, mais : « Il n'y a que les pauvres qui viennent à nous ; ils n'ont que leurs causes à nous présenter. » Cela, non, ce n'est pas possible.
C'est pourquoi il nous faut nous attacher à Notre Seigneur Jésus-Christ, nous oublier, oublier toutes les créatures pour ne penser qu'à Lui. Cultiver l'amour de Jésus est le seul motif qui doive être le but de nos actions. Voir Jésus dans toutes les vertus. Lui seul est notre modèle en toutes choses. Charité : Jésus dans mes Frères et dans tous nos prochains. Dans mes Supérieurs : obéissance, voir en eux la volonté de Dieu. Humilité : Jésus en moi, c'est Lui qui agit et qui fait tout le bien. Quand je m'oppose à ses désirs, c'est le péché, j'en suis la cause. Mortification : je copie Jésus, je complète en moi la Passion de Jésus. C'est Jésus qui vient vivre en moi son état de victime. Je ne veux avoir d'autre amour que Jésus et Jésus crucifié. Régularité : c'est la volonté, le désir de Jésus. C'est Jésus aimé jusqu'à l'accomplissement de ses moindres désirs. C'est Jésus lui-même reproduisant en moi sa vie de fidélité et d'amour pour son Père. Pauvreté : c'est Jésus, mon seul trésor, ma seule richesse. Les créatures ne sont que des moyens pour atteindre Jésus. Je dois en profiter dans la mesure où elles répondent à leur but, et les supprimer dans la mesure où elles me gênent.
Notre Seigneur Jésus-Christ doit être quelqu'un de vivant dans ma vie. Lui seul me suffit et me suffira toujours. C'est l'amour de Notre Seigneur seul qui compte et, pour lui, aimer tous les hommes, le monde entier..
Version originale
Amour
Dans notre vie, au centre de tout, au cœur de tout, il faut mettre Jésus. La charité est l'épanoussement de l'amour. "Aimez et faites ce que vous voulez", disait Saint Augustin. Tout dans notre vie est question d'amour. Car "là où est ton trésor, là ausi est ton cœur". Si l'objet de notre amour est bien tout sera bien, s'il est mauvais, nos œuvres seront mauvaises. Si notre cœur n'est pas entièrement à Jésus, notre cœur est partagé, car persone ne peut pas servir à deux maîtres. Cœur partagé, cœur rabagé, cœur saccagé. Quand le cœur est partagé, il est la source degoût, dutrouble, de l'inquiétude , il est la source du manque de la paix et de la joie dans un homme. Très souvent si on ne sent pas Dieu comme il faut c'est parce queentre Jésus et nous une image s'interpose, c'est que le cœur est partagé. C'est que notre cœur veut sentir de la commodité, il est ailleurs. Si vous avez du dégoût examinez devant Dieu vers où vous porte votre goût. Un rien peut nous séparer de Dieu. Comme fleurs nos pétales, nos souvenirs, peut être en soi un rien. mais qui en garde précisement et qui rappelle bien des choses. Cependant c'est ce rien que peut à peu dégoûte le religieux de son éatet le détermine à chercher son bonheure ailleures. C'est terrible quand on domine dans le sens de ses passions, sutout qu il s'agit du cœur, il aveugle et mène aux plus terribles décisions. Et une fois qu'on se jette dans le fond de la réalité telle qu'elle est. Le désespoir est produit. Oh! ne donnez jamais dans le sense de nos passions. Maîtrisez votre cœur, votre imagination. Faites attention. Ne vous laissez pas accrocher. Soyez libre. Donnez votre cœur à Jésus, tout votre cœur. Mon enfant donnez moi votre cœur disait l'Enfant Dieu au Frère Théophore et il sacrifia tout en retour, Jésus lui donna un cœur de Noël, qu'il garda pendant toute sa vie. Il fut aimé, il fut estimé parce que en cette nuit là après tant de luttes, il avait dit oui à Jésus. Il s'était degoûté de ses miracles, para ailleurs si gentil comme enfant de chœur et il avait entendu ces paroles du Saint Fondateur: "Nous sommes des pauvres Frères." Oui, il était pauvre, mais la voix du Fondateur poursuivait: "pas considérés du gens du monde " il acceptait aussi mais "il n'y a que les pauvres qui vinnent à nous", Il n'ont que leurs causes à nous présentes, cela non, n'est pas possible.
C'est pour quoi il nous faut nous attacherà Nore Seigneur Jésus-Christ, oubliez-nous, oubliez les créatures toutes pour penser à Lui. Cultiver l'amour de Jésus c'est le suel motif qui doit être le but de nos actiones. VoirJésus dans toutes les vertus. Lui seul est notre modèle en toutes les choses. Charité, Jésus dans mes Frères et de tous nos prochains . Dans mesSupérieurs , obéissance voiren eux la volonté de Dieu. Humilité, Jésus en moi c'est Lui qui agit et qui fait tout le bien, quand je m'oppose à ses désires c'est le péché, je suis la cause. Mortification, je copie Jésus, je complète en moi la Passion de Jésus. C'est Jésus qui vient vivre en moi son état de victime. Je ne veux avoir d'autre amour que Jésus et Jésus crucifié. Régularité, c'est la volonté, le désir de Jésus. C'est Jésus aimé jusqu'à l'accomplissement de ses moindres désirs. C'est Jésus lui-même reproduisant en moi sa vie de fidélité et d'amour pour son Pêre. Pauvreté. C'est Jésus mon seul trésor, ma seule richesse, Les créatures ne sonquedces moyenspour attendre Jésus. Je dcoisenprofiter dans la mesure où elle reponde à leur but et les supprimer dans la mesure où elles me gênent.
Notre Seigneur Jésus Christ doit être quelqu'un de vivant dans ma vie. Lui seul me suffit et me suffira toujours. C'est l'amour de Notre Seigneur seul qui compte et pour lui, aimer tous les hommes, tout le monde.