France

Marie-Lise ALLARD (T. 2012) : Enseignante de Lettres modernes du secondaire à Paris, docteure en langue et littérature française comparée. Ses principales thématiques de recherche portent sur la poésie lyrique et l’écriture romanesque. Elle s’intéresse plus largement au traitement réservé à la Première Guerre mondiale dans la littérature féminine française dans le cadre des activités du Conseil International d’Études Francophones de San Francisco. En lien avec ces objets, elle travaille sur Marcel Proust, Anna de Noailles. Elle est l’auteure d’Anna de Noailles : entre prose et poésie. 

Monique ARMANDIN (NT. 2013) : Enseignante agrégée de Lettres modernes dans le secondaire à Tours. Ses principales thématiques de recherches concernent les Salons au XVIIIe siècle ainsi que l’adaptation théâtrale d’œuvres littéraires. Elle est présidente de la Compagnie du Théâtre des beaux jours, à Rochecorbon, dont le but est de prolonger le travail d'art dramatique du lycée en permettant à des jeunes et aussi des moins jeunes de pratiquer une activité théâtrale et de réaliser des spectacles ouverts au public. En lien avec ses objets, elle travaille sur Diderot, Tchékhov.

BARSOTTI Glaudi (NT. 2019) : Ancien ingénieur radio dans la marine marchande, contrôleur des assurances sociales, écrivain et journaliste, membre du PEN-Club occitan, il fut un homme de radio à Radio-France Provence et de télévision en tant que producteur à FR3 Méditerranée dans les années 1980. Il créa, en 1965, le journal La Sartan concernant l’actualité de sa région et il est l’auteur de près de 1300 chroniques biographiques publiées en français dans le journal quotidien La Marseillaise de 1961 à 2013. Bien que retraité, il milite toujours pour la défense de la langue et de la culture occitane au sein de l’association Lo Calen de Marseille et à l’Institut d’Etudes Occitanes. Il est connu pour avoir écrit, entre autres, l’Antologia des escrivans sociaus provençaus : 1875 a 1914 (Anthologie des écrivains sociaux provençaux : 1875 à 1914) et le roman Lo Comunard de la Mitidjà (Le Communard de la Mitidia).

Laurent BASTARD (NT. 2016) : Ancien directeur du Musée du Compagnonnage de Tours, il est l’auteur d’un grand nombre d’ouvrages autour du Compagnonnage tels que les Images des Compagnons du Tour de France ou les Compagnons au fil de la Loire. Il gère, dans le cadre de ses recherches quotidiennes, également au gré des rencontres qu’il est amené à faire lorsqu’il invite des conférenciers - eux-mêmes souvent Compagnons ou Universitaires - une base de données généalogiques sur des milliers d’ouvriers ayant été reçus dans cette prestigieuse communauté depuis plusieurs siècles. Site web : 

Annick BATARD (T. 2013) : Maître de conférences à l’Université Paris 13 et à la Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord, membre du Laboratoire des Sciences de l’Information et de la Communication et de la Société Pour l’Histoire des Médias. Elle travaille sur la presse française, la critique journalistique, le multimédia, les questions d’œuvres, d’auteurs et de genre dans le but d’interroger la dimension ludo-éduco-pratico-culturelle dans la presse et les nouveautés culturelles. Elle est l’auteur avec Marie-Christine Lipali-Vaissade de l’ouvrage Admis en grandes écoles : épreuves d’admissibilité et d’admission pour l’entrée en écoles de journalisme permettant de comprendre et de s’entraîner aux exigences du nouveau concours. Elle oriente notamment son travail sur le processus de légitimation de nouveaux médias (cédéroms, jeux vidéo) par le biais d’une critique spécifique dans la presse généraliste.

Alice BÉJA (T. 2012) : Maître de conférences à Sciences Po de Lille, traductrice, ancienne secrétaire de rédaction de la revue Esprit. Ses principales thématiques de recherches spécialisées en littérature américaine sont les liens entre fiction et politique dans l’Entre-deux-guerres aux États-Unis, la politique actuelle aux États-Unis. En rapport avec ces objets, elle travaille sur les œuvres de John Dos Passos, Grace Lumpkin, Henry Louis Mencken et sur la figure de Barack Obama. Elle présente à son actif une soixantaine de travaux et publications parus et à paraître dans plusieurs domaines depuis 2002 : ouvrages, articles critiques, traductions, organisation de conférences, participation à des colloques.

Pauline BOUCHET (T. 2023) : Maîtresse de conférences en Études Théâtrales à l’Université Grenoble-Alpes, elle a enseigné en France et au Québec. Spécialiste de dramaturgies contemporaines et en particulier de théâtre québécois, elle a publié en 2019 sa thèse remaniée sous le titre Les Voix du théâtre québécois dans la collection « Études Canadiennes » chez l’éditeur Peter Lang. Responsable d’un programme de recherche « Arts-Santé » au sein de l’UMR Litt&Arts, elle s’occupe de plusieurs dispositifs de simulations de consultations à la faculté de médecine, (4e, 5e année), d’un séminaire d’annonce de diagnostic pour les internes (7e année) et coordonne le séminaire « Arts-Santé » dans le cadre du Master Création Artistique-Arts de la scène. Elle dispense aussi un séminaire de médecine narrative pour les internes en médecine générale et en formation continue pour des médecins généralistes. Elle a mené des projets de recherche-création et recherche-action au CHU de Grenoble en oncologie et hématologie et lance un nouveau projet autour des troubles des conduites alimentaires avec l’autrice Pauline Picot. 

Véronique BRIENT (T. 2014) : Enseignante (qualifiée Maître de conférences en littératures comparées), poétesse, présidente de l’Alliance française de Touraine, commissaire d’expositions pour l’Association Regards d’Orient & d’Occident de Tours, Administratrice de l’Association Victor Segalen, trésorière adjointe de l’Association Francophone Internationale de Recherche Scientifique de l’Éducation. Spécialiste de l’œuvre de l’académicien François Cheng et de la littérature chinoise, elle consacre de nombreuses études sur ces sujets comme l’ouvrage François Cheng, pèlerin entre l’Orient et l’Occident, à l’écoute du monde ou encore l’article « L’influence de la Chine sur les Arts en France au XVIIIe siècle » paru dans Littérature et Nation. En tant que poétesse, elle publie ses productions dans des revues poétiques telles Phoenix, Archers, Étrave et en petits opuscules dont l’un des plus récents est intitulé À l’infini de soi suivi d’Éclats d’encres. Site web :

Pierre BRILLARD (NT. 2016) : Bibliophile, libraire en activité, à Tarascon, du 5 décembre 2008 au 12 février 2016, il dut fermer boutique à la suite d’une affection invalidante d’origine cérébrale qui débuta fin 2015 occasionnant une opération chirurgicale délicate suivie d’une rééducation progressive pour recouvrer une certaine mobilité. Depuis 2009, il tenait un blog très fourni et d’un caractère original. Au lieu de cataloguer, de décrire, d’indexer l’ensemble des livres qu’il acquerrait et revendait, il rédigeait presque un article d’ampleur par jour contenant, pour certains, des mélodies d’analyses pertinentes comme ce fut le cas le 17 juin 2010 pour son « Gabriel Belot, « homme orchestre » du livre ». Sa démarche ressemble fort à celle lancée par Ferdinand Fauchereau (1838-1916), le bouquiniste de l’Yonne de renommée nationale en son temps, qui rédigea des articles relativement conséquents, pour son catalogue, sur les livres et auteurs qui transitaient dans sa librairie ancienne et moderne auxerroise. Site web

Pierre BRUNEL (T. 2021) : Professeur émérite de l'Université Paris IV-Sorbonne et ancien directeur des cours civilisation française de la Sorbonne entre 1988 et 2017. Il est officier de la Légion d’honneur, officier dans l’ordre national du mérite et commandeur des Palmes académiques. Il fut élu à l'Académie des sciences morales et politiques de l'Institut de France le 16 mars 2015.

Isabelle Rachel CASTA (T. 2011) : Professeure émérite en littérature française à l’Université d’Artois d’Arras, membre permanent de « Textes et cultures », membre de l’Association Internationale de la Critique Littéraire à Tours. Ses principales thématiques de recherches sont la littérature de jeunesse, les littératures noire, fantastique et criminelle. Elle a écrit un livre qui évoque le genre policier : Plein feux sur le polar. En lien avec ces objets majeurs, elle travaille également sur les œuvres de Victor Hugo, Alfred de Vigny, Alexandre Dumas, Jules Verne, Gaston Leroux, Ernst Jünger et surtout Julien Gracq. D’autres travaux portent sur la sérialité, le cinéma amércain, la novélisation, la fanfiction, la dark fantasy, les sagas vampiriques ainsi que sur l’exploration des protocoles médico-légaux transposés en littérature, c'est-à-dire ce qui concerne la thanatofiction. Dans ses Nouvelles mythologies de la mort, elle analyse par exemple la représentation du morbide en littérature, au cinéma, à la télévision.

Michel CASTA (T. 2015) : Maître de conférences hors classe en Histoire contemporaine de l’Université de Picardie Jules Verne d’Amiens. Ses domaines de recherches concernent l’historiographie, la biographie, l’histoire religieuse et culturelle, l’histoire de l’éducation aux XIXe et XXe siècles. Il est l’auteur de Le Prêtre corse au XIXe siècle et participe régulièrement à l’élaboration des manuels scolaires de la 6e à la Terminale (filières générales et professionnelles) chez Hachette et Magnard pour la partie Histoire-Géographie-Instruction civique.

Guillaume CHAMPEAU (2017) : Directeur Éthique et Relations Publiques de Qwant à Paris. Ancien journaliste fondateur et rédacteur en chef du web magazine Numerama.com, en avril 2002, dédié à l’actualité informatique et numérique, intégré au groupe Humanoid depuis 2015, il mit à profit sa formation de juriste pour traiter des questions spécialisées sur le droit international et européen des droits de l’homme sur fond de liberté et d’égalité. C’est le 1er novembre 2016 qu’il quitte le magazine pour se lancer dans l’aventure Qwant, le moteur de recherche français, dans la perspective d’apporter des solutions à la protection d’une éthique numérique qui respecte la vie privée et les droits à l’information.

Georges CHAPOUTHIER-FRIEDENKRAFT (T. 2015) : Directeur de recherche émérite au CNRS, ancien chercheur associé au Baylor College of Medicine à Houston aux États-Unis, il est à la fois neurobiologiste et philosophe, deux disciplines dans lesquelles il est Docteur d’État. Par ailleurs poète sous le pseudonyme de Friedenkraft, il reçut de nombreuses distinctions dont le Prix Blaise Cendrars décerné par la Société des Poètes français. Son originalité est d’avoir établi des correspondances entre le biologique et le philosophique, notamment à travers le concept de « mosaïque » qui met en jeu la notion de structure. En effet, ses études sur la complexité des organismes vivants trouvent des applications littéraires, surtout en poésie. Il écrivit, entre autres, L’Homme, ce singe en mosaïque, Kant et le chimpazé - Essai sur l’être humain, la morale et l’art, ainsi qu’un article, paru dans la Revue Indépendante, intitulé « Des parcours littéraires en mosaïque » où il est en partie question du « narratoème » bouraouïen. Il défend également les langues dialectales comme le saintongeais, affilié à la langue d’Oïl, et rédigea un livre de blagues en ce dialecte : O faut bin rigoler in p’tit ! L’ensemble de sa carrière, avec des intérêts en apparence diversifiés et étanches, témoigne des passerelles possibles entre des domaines d’activités différents et illustre parfaitement l’orientation avantageuse à tirer de l’interdisciplinarité. Cela fait de lui un spécialiste de la philosophie de la biologie.

Naïma CHARAFI (T. 2014) : Professeure de langue et littérature françaises, directrice du programme de langue et de communication de l’ONU aux États-Unis, rédactrice des discours des secrétaires successifs de l’ONU et membre honoraire de la Phi Beta Delta Society sise à l’Université d’État de Californie. Elle donne des cours de langue pour les diplomates et le personnel des Nations Unis et est principalement spécialisée en politique internationale, dans les enjeux mondiaux, dans les problèmes sécuritaires, informatiques et stratégiques, ainsi que dans les questions liées à la diplomatie. Par ailleurs, elle s’occupe des entrevues et des évaluations de candidats dans le cadre de missions auprès de différents ministères ou de contingents militaires et de police.

Jacques CHAUVIN (NT. 2015) : Ethnologue formé à l’EHESS de Toulouse, détenteur d’un DEA d’anthropologie sociale et d’ethnologie, dirigé par Daniel Fabre, sur Les Cordonniers et l’écriture : transmission des savoirs et identités. Parallèlement à l’exercice de la cordonnerie pour gagner sa vie, il établit un rapport d’étude pour la Mission du Patrimoine ethnologique, accessible sur le site du Ministère de la culture, qui synthétise ses recherches tout en présentant une bibliographie de cordonniers écrivains : Les cordonniers et la transmission des savoirs : anthropologie historique d’une identité professionnelle. Son domaine de recherche porte plus précisément sur les écrivains d’expression populaire comme Augustin Hérault, Margravou et Gaston Chaissac au sujet desquels il communique dans de nombreux colloques d’ethnologie régionale.

Sylvestre CLANCIER (T. 2021) : Professeur émérite de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, poète, essayiste et critique littéraire, il a été attaché culturel à l’Office de la Langue Française au Québec (Canada) où il a également enseigné la philosophie. Il a ensuite enseigné la littérature et la civilisation françaises dans les universités de Paris 13 et de Paris 1. Sa formation philosophique l'a amené à entreprendre des recherches sur l'allégorie et le symbolisme, ainsi que sur la patascience et l'imaginaire. Il est notamment l'auteur d'un Freud, concepts fondamentaux de la théorie et de la psychanalyse freudiennes, d'un ouvrage de politique fiction, une fable philosophique, Le Testament de Mao, d’un essai sur la poésie, La voie des poètes, ainsi que d'un essai socio-historique, La Vie quotidienne en Limousin au XIXe siècle (en collaboration avec son père Georges-Emmanuel Clancier). Il a surtout publié des poèmes et des fantaisies en prose.

Hugo CLÉMOT (T. 2013) : Docteur en philosophie, professeur agrégé, chargé de cours de philosophie et de cinéma à l’Université de Tours et chercheur associé au Centre de philosophie contemporaine de la Sorbonne. Ses thématiques de recherche portent sur la philosophie (l’ontologie) analytique et anglo-saxonne du cinéma et à travers le cinéma, la philosophie du langage ordinaire, de l’action et des sciences humaines, la critique cinématographique, l’esthétique et les cultures populaires. Il aborde, par exemple, Edgar Morin, Stanley Cavell, Ludwig Wittgenstein, Howard Hawks, Éric Rohmer. Il est l’auteur de Les Jeux philosophiques de la trilogie Matrix. Par ailleurs, il s’attache à expliquer les mécanismes qui font paradoxalement associer un anti-héros (comme Dexter Morgan, personnage de la série télévisée américaine Dexter) aux mythes des super-héros.

Claudine COMBE (NT. 2016) : Historienne de formation et après quelques années au service de l’Éducation nationale comme enseignante, elle s’engage d’abord dans le développement touristique de l’Auvergne. Aujourd’hui chargée de mission au Conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes dans le domaine du sport, elle est aussi militante pour les droits des femmes et des personnes LGBT. Elle est l’auteure d’un ouvrage sur Rose Combe, la romancière garde-barrière et s’intéresse particulièrement la Région d’Ambert et de la vallée de la Dore (Puy-de-Dôme), ainsi qu’à la place de la femme dans la société française entre 1870 et 1930.

Éric COSTEIX (T. 2012) : Ancien ingénieur biologiste, spécialiste du cinéma et chargé d’enseignement à l’Université François-Rabelais de Tours. Ses recherches portent sur l’histoire du cinéma. Il travaille plus précisément sur Carpenter, Téchiné, Bazin, Deleuze, Resnais au sujet duquel il a écrit l’ouvrage Alain Resnais, la mémoire de l’éternité. Considérant que le cinéma, même s’il subit des influences extérieures, possède ses règles qui lui sont propres, il travaille autour d’outils spécifiques capables d’analyser son objet d’étude autour du pouvoir des images ou de la représentation du passé par des images présentes. Il en ressort des conclusions surprenantes qui dévoilent les défauts d’un film à succès ou les forces d’un autre difficile ou passé inaperçu. Membre du comité de rédaction des Carnets des cinémas Studio de Tours, il œuvra le premier à la mise en place de films mal considérés au départ : le film fantastique.

Jean-Luc DAUPHIN (NT. 2012) : Linguiste, historien, romancier, président de la Société archéologique de Sens. Ses principales thématiques de recherches se portent sur le récit romanesque dans l’Yonne, l’histoire et l’histoire littéraire au Siècle des Lumières et au XIXe siècle. En lien avec ces objets, il travaille sur Joseph Joubert, Denis Diderot et François-René de Chateaubriand. Il présente à son actif une centaine de publications parus et à paraître dans divers domaines depuis 1973 : articles, organisations de colloques, monographies, romans.

Luc DAVIN (NT. 2015) : Diplômé du Conservatoire d’art dramatique, certifié de lettres modernes, il est également jeune chercheur à l’Université Paul-Valéry-Montpellier 3 et l’Université Paris III-Sorbonne Nouvelle. Ses principaux intérêts de recherche portent sur le théâtre du XVIIIe siècle et du XIXe siècle naissant, et en particulier, dans le cadre des études shakespeariennes, ses imitations et ses réécritures en France, mais aussi sur le théâtre comique depuis le XVIIIe siècle à nos jours : il prépare à ce sujet un essai sur le théâtre de Feydeau, et une édition des OEuvres complètes de Ducis. Il a dirigé à Montpellier le premier colloque des jeunes chercheurs du département de littérature de la Faculté des lettres en 2016. Il a récemment publié un article dans la Revue du CRINI (2016) et donné dernièrement une conférence à l’Université d’Oxford sur les récits politiques dans le théâtre de Shakespeare (2018).

Alain DEFLESSELES (T. 2018) : Docteur en Sciences du langage spécialisé en didactique linguistique et formateur TICE. Il a enseigné, des sciences au français en passant par l’économie et le journalisme télévisé à des élèves handicapés en maternelle jusqu’aux professeurs de collège et lycée en formation continue. Il a également dirigé de nombreux mémoires de Licence et de Master. Formé aux Sciences (Master), au FLE (Master), aux arts (Master) et à la didactique (PEMF), il s’est particulièrement intéressé, ces dernières années, à l’enseignement / apprentissage du français par des étudiants chinois en universités chinoises. Influencé par la complémentarité transdisciplinaire des formations qui ont façonnées sa pensée, il aborde volontiers d’autres questions de façon systémique, mais toujours en étayant son propos par une observation / analyse / hypothèse / expérimentation / théorisation propre aux Sciences. Il s’intéresse à l’usage éducatif de l’informatique dans la pratique pédagogique et essaie ainsi de toujours développer un aspect de ses sujets dans ce sens. À présent, il tire profit de la méthodologie doctorale pour tenter de répondre à d’autres questions que soulève mon milieu professionnel.

Emmanuel DERONNE (T. 2014) : Maître de conférences en grec ancien et en linguistique à l’Université de Lorraine, membre du laboratoire de l’ATILF (CNRS-Nancy). Ses domaines de recherches portent sur la didactique, la littérature, les variations des constructions verbales au sujet desquelles il publia un certain nombre d’articles universitaires dont « Embarquement immédiat ». Depuis quelques années, il s’attache à tirer de l’oubli l’œuvre de son père Robert Reus.

Chantal DHENNIN-LALART (T. 2017) : Docteure en histoire contemporaine, membre du laboratoire HLLI à l’Université Lille Nord de France, correspondante de l’IHTP au CNRS de Paris. Ses articles et ouvrages traitent de thématiques liées à la guerre, la conquête, le phénomène migratoire. Elle est l’auteure d’Illies, Lieu de mémoire de la Grande Guerre.

Nicole DUBUS-VAILLANT (NT. 2012) : Ancienne enseignante de lettres modernes du secondaire, photographe, éditrice, conférencière, créatrice des Ateliers d’Expression Artistique en lecture-écriture avec des écrivains et des artistes renommés. Ses principales thématiques de recherches concernent la littérature de voyage et l’engagement des femmes de lettres, par exemple à travers son A l’ombre de Colette : la fidèle Pauline. En lien avec ces objets, elle étudie Chateaubriand, Pierre Loti, Albert Camus, Guillaume Apollinaire, Mac Orlan, Le Braz, Queffelec. Par ailleurs, ses travaux et écrits sur Jean Cocteau, au sujet duquel elle a réuni et publié les Lettres à Mario Brun, journaliste, sont particulièrement reconnus. Enfin, dans le cadre de son attachement à mettre en valeur l’évolution du statut de la femme dans la société, elle écrivit, avec Yvan de Wilde, Charlotte de Bourbon : à l’ombre du trône d’Espagne. Pour cette biographie, l’Académie des Lettres et des Arts du Périgord leur décerna le Prix d’Histoire 2014. Sa maison d’édition fait parfois l’objet de beaux articles parus dans le magazine historique Point de vue et est présente dans des salons littéraires prestigieux. Site web : 

Lolita DUCHATEL (NT. 2024) : Doctorante en Esthétique et Sciences de l’art à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne au sein du laboratoire ACTE (Arts, Créations, Théories, Esthétique) sous la direction de Barbara Formis. Après un mémoire sur les sentiments comme matériaux de l’œuvre littéraire et philosophique d’E. M. Cioran, elle s’oriente vers l’esthétique comme théorie de la réception. Sa thèse, intitulée Le Souci de soi par l’expérience de lecture, portera sur une vision renouvelée de l’expérience esthétique sous le prisme de la lecture et son implication dans la vie du sujet. 

Olivier FACQUET (NT. 2015) : Enseignant en Histoire et en Histoire des Arts au Lycée Jean Monnet à Joué-lès-Tours. Auteur d’un mémoire sur Jean Royer et les débuts de la Cinquième République sous la direction de Michèle Cointet, il fut ensuite rédacteur et programmateur des Rendez-vous de l’Histoire à Blois (cinéma) en 1997 et 1998 puis devint, pendant toute la première décennie du XXIe siècle, membre de l’équipe de rédaction des Éditions du Studio (cinéma d’art et d’essai) de Tours qui publie Les Carnets des Cinémas Studio dans lesquels il proposa régulièrement des articles. Depuis avril 2006, il tient, de manière bimensuelle en moyenne, le blog tourangeau Pickachu de critique cinématographique. Site web : 

Jean-Luc FAVRE REYMOND (NT. 2021) : Ecrivain, critique et journaliste, il est un ancien collaborateur du Centre de Recherche Imaginaire et Création de l’université de Savoie, sous la direction du Professeur Jean Burgos. Il mène depuis de nombreuses années des travaux remarqués sur la littérature et publie dans de nombreuses revues.  Il est trésorier honoraire du Pen Club français. Il a dirigé la collection "Les Lettres du temps" (publication d’essais littéraires), chez l’éditeur Jean-Pierre Huguet, de 1998 à 2010, devenue un label indépendant. Il est par ailleurs membre du Conseil National d’Education Européenne, membre de l'AEDE France, Co-fondateur du Collège d’histoire et d’Analyse de la Radiodiffusion Française, Collaborateur de Cabinet (communication) au département de la Savoie et auteur de 38 ouvrages dont certains traduits en huit langues.

Séverine FÉRON (T. 2014) : Chercheure ATER agrégée en Éducation musicale et chant choral au sein du département de musicologie et chercheure associée au Centre Georges Chevrier de l’Université de Bourgogne (CNRS uB UMR 5605), membre de la Société des Études Romantiques et Dix-neuviémistes ainsi que du Centre International de Réflexion et de Recherche sur les Arts du Spectacle. Depuis sa soutenance de thèse doctorale sur Les Adaptations parisiennes du Don Juan de Mozart et Da Ponte (1805-1834) : contribution à l’histoire du goût musical, sous la direction de Jean Mongrédien (Paris-Sorbonne), elle travaille à une Monographie sur Castil-Blaze et la vie musicale en France aux éditions Aedam Musicae, sur les ballets ou encore sur Jos van Immerseel. Elle a récemment publié un article dans un numéro « spécial Baccalauréat 2013 » dans l’Analyse Musicale sur les « Réflexions sur l’évolution du timbre à travers le mythe de Don Juan de Mozart à Richard Strauss ».

Laurent FOURNIER (NT. 2018) : Cadre de la fonction publique territoriale, ancien chef du service aide sociale à l’enfance, actuellement chargé de mission au Conseil départemental de l’Isère. Ayant une formation de droit et de sciences sociales dans le domaine de la protection de l’enfance et plus de vingt ans d’expérience dans ce domaine, il est chargé de piloter l’accompagnement au changement des pratiques dans l’Isère à Grenoble.

Bernard FRANCO (T. 2021) : Professeur à l’Université Paris-Sorbonne, spécialiste de littérature française et comparée. Ses travaux portent sur la dramaturgie, dans les romantismes européens, les transferts littéraires franco-allemands au tournant du XVIIIe au XIXe siècle, les relations entre littérature et esthétique. Il est l’auteur de La Littérature comparée : Histoire, domaines, méthodes. Plus récemment, il a à cœur de défendre la discipline littéraire qu’il estime ne pas être qu’une « danseuse » des sciences sociales et humaines et qu'il pense être en mesure d’affiner le sens critique des lecteurs. Il réfléchit également aux modalités changeantes de la lecture depuis l’arrivée du numérique. 

Noé GAILLARD (NT. 2015) : Ancien enseignant de langue et littérature françaises pendant vingt-cinq ans, il s’adonna au journalisme dans la presse écrite comme Infomatin, Toulouse matin mais est plutôt connu pour ses nouvelles dont Le Souffleur de verre (en collaboration avec Richard Canalin) qui se trouve dans La Grande Anthologie de la Fantasy. Il traduisit, par ailleurs, des romans et nouvelles pour le compte des éditions J’ai Lu ou Rivages. Chez Presses Pocket, il traduisit de nombreuses nouvelles de science fiction et de fantasy contenues dans le cycle Isaac Asimov présente (vol. 6, 7, 9).

Charlotte GENDRON (NT. 2013) : Titulaire d’un Master 2 d’anglais obtenu à l’Université François-Rabelais de Tours, auteure du mémoire intitulé Les Représentations des femmes dans les suburbs aux États-Unis au travers de quatre séries télévisées dirigé par Georges-Claude Guilbert et assistante de français à l’Université de Bucknell aux USA, en Pennsylvanie. Elle s’intéresse à la civilisation américaine, aux « cultural studies », aux « gender studies » et au féminisme. Elle a plus récemment collaboré avec Marie-Christine Kreamer pour démontrer « Comment les séries télévisées américaines critiquent la femme au foyer par une analyse des genres » dans L’Évolution de la démarche critique dans le monde culturel.

Marie-Claude HUBERT (T. 2023) : Docteure en littérature française contemporaine et professeure certifiée à l’Inspé (formation des enseignants du premier degré) à l’Université de Lorraine, elle publie dans le domaine de la littérature jeunesse et des articles de recherche littéraires comme « Scholastique Mukasonga : se réfléchir dans l’histoire » dans L’Écriture du Je dans la langue de l’exil (2019) dirigé par Isabelle Grell-Borgomano ou encore « Réception croisée du Deuxième Sexe de Simone de Beauvoir par la philosophe Geneviève Fraisse et Annie Ernaux » dans Simone de Beauvoir : Réceptions contemporaines (2019).

Sylvie JACOBÉE-BIRIOUK (T. 2018) : Docteur ès lettres de l’Université Paris XII, spécialisée dans la littérature comparée du XIXe siècle, elle enseigne le français et le latin au lycée Bossuet de Meaux, ainsi que la communication à l’IUT de l’université de Marne-la-Vallée, antenne de Meaux. En compagnie d’Éric Sivry, elle a animé pendant de nombreuses années une émission sur R.V.M., « Le Pont des Arts » ; elle est cofondatrice avec lui du Groupe Intuitiste et présidente des éditions D’Ici et D’AilleurS. Elle a écrit des ouvrages critiques sur Le Horla de Maupassant, Les Planches courbes d’Yves Bonnefoy, a participé à un manuel scolaire de français pour le lycée, chez Nathan. Enfin, elle a publié plusieurs recueils poétiques et deux recueils de contes et nouvelles.

Éric JACOBÉE-SIVRY (T. 2012) : Enseignant de lettres et latin au Lycée international Bossuet à Meaux, chargé d'enseignement à l’Université de Paris-Est Marne-la-Vallée, membre du PEN-Club. Ses principales thématiques de recherches concernent la grammaire de la poésie, la transpoétique et le récit autobiographique poétique au XXe siècle. En lien avec ces objets, il étudie Marcel Proust, Yves Bonnefoy, Colette, Henri Bosco, Gérard de Nerval ou Hédi Bouraoui. Poète lui-même depuis les années quatre-vingts, il est le fondateur du « groupe intuitiste » pour lequel il a écrit un manifeste en 2003, Pour un art de l’Intuition. C’est par ce biais qu’il se rapproche et s’écarte à la fois des théories bouraouïennes sur l’intuition. Il a récemment écrit un essai, L’Arlequin de la lumière : l’univers poétique de Giovanni Dotoli.

Roger KLOTZ (T. 2012) :  Docteur ès Lettres, professeur honoraire de lettres modernes et de provençal à Marseille. Ses principales thématiques de recherches concernent le théâtre et les écrivains provençaux. En rapport avec ces objets, il travaille sur François Castil-Blaze, Armand Lunel, Félix Gouin, Victor Gelu. Il a écrit de très nombreux articles relatifs à l’histoire et la littérature contemporaines et s’intéresse également au félibrige au sujet duquel il écrivit, dans la Revue des études juives, un article consacré à « L’image du Juif dans le Trésor du Félibrige de Mistral ».

Marie-Christine KRAEMER (NT. 2012) : Retraitée de la banque, titulaire d’un Master 1 d’anglais de l’Université François-Rabelais de Tours, elle donne des cours particuliers de langue anglaise. Son principal domaine de recherche se porte sur la littérature anglo-américaine aux XIXe et XXe siècles. Elle travaille sur Edgar Poe et Winston Churchill. Elle a écrit un article sur « Oscar Wilde, une nature provocatrice » dans La Provocation en littérature à l’occasion d’un colloque international organisé par l’Association Internationale de la Critique Littéraire. Plus récemment, elle a collaboré avec Charlotte Gendron pour démontrer « Comment les séries télévisées américaines critiquent la femme au foyer par une analyse des genres » dans L’Évolution de la démarcher critique dans le monde culturel.

Monique W. LABIDOIRE (NT. 2015) : Née à Paris de parents hongrois émigrés en France, la poétesse, membre du PEN-Club français, fut lauréate du Grand Prix de la Ville de la Baule et reçut le prix du Président de la République de la SPAF en l’an 2000 pour Mémoire du Danube, puis obtint le prix Aliénor, en 2009, pour Requiem pour les mots. Sa rencontre avec Guillevic, en 1965, fut déterminante pour son avenir de poétesse. Une longue amitié les unit jusqu’à la mort du poète en 1997. Elle anima de nombreux ateliers de poésie tout en conduisant une vie professionnelle dans un cabinet d’études. Elle fut, pendant près de vingt ans, l’une des animatrices du Mercredi du Poète où elle présentait des poètes contemporains dans toute leur diversité et collabora à de nombreuses revues et colloques. Ses travaux critiques sont innombrables : Guillevic, Andrée Chedid, Marie-Claire Bancquart, Alain Duault, Marc Alyn, Jean-Michel Maulpoix, André Velter, Serge Wellens, Bernard Vargaftig, Claudine Helft, Hédi Bouraoui, Richard Rognet, Max Alhau, Gabrielle Althen, Maurice Couquiaud et beaucoup d’autres.

Gérard LECHA (T. 2013) : Docteur en psychologie sociale et en sociologie de la connaissance, docteur ès Lettres modernes, enseignant-chercheur retraité de l’Institut du Travail Social et de l’Université François Rabelais de Tours, membre de la Commission Pédagogique Nationale des I.U.T. Ses principaux domaines de recherches concernent l’éphémère mouvement autobusiaque (1967-1977), la sociologie des organisations et la psychosociologie autour des concepts et manifestations d’anomie et de marginalisation. En lien avec ces objets, il travaille sur Michel-Georges Micberth, Han Ryner et Eugène Bizeau. Il présente à son actif une trentaine de publications parues et à paraître depuis 1965 : poésie, théâtre, essais, chroniques, actes de colloques, articles pamphlétaires libertaires et de recherches critiques.

Bernard LÉGER (NT. 2012) : Enseignant d’histoire retraité, président de la Société d’Études d’Avallon, membre de l’Association Internationale de la Critique Littéraire. Ses principaux domaines de recherche concernent le patrimoine avallonnais sous l’angle historique, architectural et littéraire ; la sauvegarde de monuments. En lien avec ces objets, il travaille sur Savinien Lapointe, Jean-Louis Renaudot, Magravou. Il présente à son actif une trentaine de travaux et publications parus et à paraître dans divers domaines depuis 1986 : actes de colloques, articles.

François LE GUENNEC (NT. 2012) : Enseignant de Lettres hors classe retraité actuellement à l’Université du Temps Libre d’Orléans, conférencier agréé par l’Université de Bourgogne, membre de l’association Mix-cité 45 à Orléans. Sa principale thématique de recherche est la littérature féminine. En lien avec cet objet, il travaille sur Marie de France, René Vivien, Colette, Léon-Paul Fargue, Leoš Janaček. Il présente à son actif plus d’une dizaine de travaux et publications parus et à paraître dans divers domaines depuis 2007 : livres et études, actes de colloques, directions de colloques, recueils de fictions.

Yann LE PUITS (NT. 2012) : Enseignant d’anglais retraité, poète, romancier, nouvelliste, critique littéraire. Principalement intéressé par le langage bien ciselé, il travaille sur les œuvres de Jean-Marie Laclavetine, Jean Genet et Bernard Clavel qu’il a personnellement connu et dont il est l’un des spécialistes. Il écrivit un recueil de nouvelles, Reprise des vides, en gros caractères afin d’en faciliter l’accès aux les malvoyants. En 2011, la Société des Poètes Français lui a décerné le prix Aloysius Bertrand pour son recueil de poèmes en prose Sous le regard des étoiles, distinction que vint confirmer la publication, par ce même éditeur, l’année suivante. Ce livre fut partiellement traduit en allemand. Site web : 

Sylvain LOUET (T. 2018) : Agrégé de lettres modernes au Lycée Montaigne à Paris et docteur en études cinématographiques (Jurisfictions et tribunaux imaginaires cinématographiques : Enjeux poétiques, théoriques, historiques, sous la direction de M. Cerisuelo, LISAA EA 4120, soutenu en juin 2018 à l’ENS), membre du jury de l’Éducation nationale à Cannes, Sylvain Louet a contribué à une trentaine de publications scientifiques et à une vingtaine de colloques. Dernières publications : « Le regard sans paupière : du dégoût de la violence à la violence du dégoût dans la cinématographie américaine », in Albert Montagne (dir.), Violence, censure et cinéma, CinémAction (n° 167) et « Le portrait de la star dans Bombshell : une poétique de la métalepse et une autopromotion de Jean Harlow et de la MGM », in Jean-Loup Bourget, Françoise Zamour (dir.), Jouer l’actrice.

Camille Noé MARCOUX (NT. 2013) : Titulaire d’un double Master en Histoire et en Histoire de l’Art obtenu à l’Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand, actuellement rattaché à l’Univrrsité Lyon 3 Jean Moulin. En tant qu’historien, il est spécialiste du premier XIXe siècle français. Sa principale thématique de recherche porte sur la littérature prolétarienne et le journalisme littéraire durant les années 1830-1850. Il a notamment écrit plusieurs articles dans la revue Autour de Vallès sur le journal parisien et républicain Le Bon Sens publié dans les années 1830, et a aussi animé une émission radio autour du « Paris-Bohème, de Balzac à Vallès » (Radio-Campus), collaboré au tome 3 de la Correspondance générale d’Eugène Sue dirigé par J.-P. Galvan, ainsi que la première édition posthume d’écrits du poète romantique Louis-Agathe Bertaud (1810-1843) dont il est le spécialiste.

Salah MEJRI (T. 2021) : Professeur à l’Université Paris Nord, traducteur, linguiste et lexicologue, il est membre du laboratoire Lexique, Dictionnaires, Informatique (LDI) au CNRS. Il a publié des ouvrages concernant l’origine et la fonctionnement des locutions figées, des expressions idiomatiques ou encore les questions de la traduction. Il a écrit par exemple Les Pragmatèmes avec Carlos Blanco Escola dont l’enjeu est la mise en perspective d’énoncés autonomes – en fait une sous-classe de phrasèmes – avec leur signifié par la situation de communication à laquelle ils sont appropriés. Il est également l’auteur des Expressions idiomatiques françaises en deux volumes afin de souligner les difficultés particulières que rencontrent les traducteurs pour les transférer dans les langues cibles.

Pascale MONTRÉSOR TIMPESTA (T. 2018) : Docteure de l’Université de la Réunion, enseignante de Lettres modernes au collège Marcel Pagnol à Gravigny. Elle a écrit, entre autres, « La parole défragmentée » publié dans L’Esthétique de la résistance et de la relation dans les littératures africaine et antillaise et « L’hybris, vecteur d’héroïsation » dans les Carnets de l’Association Portugaise d’Études Françaises.

Bérengère MORICHEAU-AIRAUD (T. 2016) : Agrégée de Lettres modernes, maître de conférences en langue et littérature françaises, spécialisation en linguistique de l’énonciation et en stylistique. Depuis 2012, enseignante au sein de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour (UPPA), rattachée au Centre de Recherches en Poétique, Histoire Littéraire et Linguistique (CRPHLL). Auteure d’une thèse sur La représentation de discours autre et ses rapports avec l’ironie dans À la recherche du temps perdu. Publications notamment sur le discours rapporté sur le plan théorique, et sur le discours rapporté dans le texte proustien ; sur le comique proustien ; sur le polar ; sur les jeux de mots ; sur la didactique des Lettres ; sur la préparation aux concours.

Despoina NIKIFORAKI (T. 2023) : Elle est titulaire d’une thèse de doctorat soutenue à l’EHESS (Paris) en 2010 et auteur de l’ouvrage Théâtralités en émergence, publié par les Presses Universitaires du Midi en 2015, préfacé par Claire Nancy et Pierre Judet de La Combe. Spécialiste en dramaturgies anciennes et contemporaines, elle a été enseignante pendant de nombreuses années (Montpellier, Paris, Chypre). Après des études médicales, elle a commencé son internat en psychiatrie en 2019. Actuellement, elle est docteur junior dans cette discipline et elle s’intéresse plus particulièrement à la psychiatrie en milieu pénitentiaire.

Fabrice NOWAK (T. 2018) : Docteur en littérature française, chercheur associé au CELLF à l’Université Paris-Sorbonne et thérapeute psychocorporel. Ses recherches portent sur les études littéraires et les pratiques de la littérature en lien avec les neurosciences, l’anthropologie, la philosophie, la sociologie et la pédagogie Waldorf-Steiner. Après une activité enseignante et dix années des formations supplémentaires aux techniques de bien-être et de soin, désireux d’acquérir une certaine indépendance, il fonda son cabinet de thérapie psychocorporelle à Gentilly dans la visée de soigner l’esprit par le corps à travers le toucher sans abandonner la recherche qu’il mène en parallèle de manière complémentaire. Site web : 

Peter-Abraham OKWA-ONDO (T. 2018) : Docteur en socio-anthropologie et en philosophie, enseignant à l’Université de Cergy-Pontoise et chargé d’enseignement à l’Université de Tours et de Poitiers. Ses domaines de compétence portent sur les dynamiques interculturelles, la socio-anthropologie économique, l’anthropologie sociale et culturelle, la pédagogie interculturelle, l’exclusion, le lien social, la philosophie de l’existence, la philosophie de l'esprit, la logique, l’ontologie, l’éthique, la philosophie de l’éducation ainsi que l’enseignement spécialisé et la médiation culturelle des apprentissages pour public en difficulté. Il est l'auteur de Nouvel humanisme et ontologie africaine.

Cédric PÉROLINI (T. 2014) : Enseignant de Lettres dans le secondaire et à l’Université d’Avignon. Il étudie l’oeuvre de Léo Malet au sujet duquel il consacra sa thèse de Doctorat et écrivit un essai remarquable : Léo Malet, mauvais sujet : Nestor Burma passe aux aveux. Son enseignement est ainsi nourri de littérature savante tout autant que de littérature populaire trop souvent esquivée. Ainsi mit-il en valeur roman policier et activités douteuses et marginales avec l’article « Léo Mallet : le petit délinquant devenu parrain du polar ».

Ange-Toussaint PIETRERA (NT. 2014) : Chargé d’enseignement en Histoire à l’Université de Corse Pascal Paoli, en préparation d’un Doctorat en Histoire Contemporaine, membre de la Société des Sciences Historiques et Naturelles de la Corse. Il est l’auteur de plusieurs articles sur le colonialisme, la Résistance et Maria Gentile. Dans le cadre du projet d’une Nouvelle anthologie de la littérature corse, dirigé par Eugène F.-X. Gherardi et porté par l’UMR CNRS 6240 LISA dans lequel il est attaché, il aborde les domaines littéraire, historiographique et culturel corses. Il s’intéresse par ailleurs au cinéma.

Christophe PREMAT (T. 2014): Docteur en science politique, chercheur associé au Centre Émile Durkheim à l’Université de Bordeaux, enseignant à l’Université de Stokholm et enseignant d'histoire à l'école Franska Skolan. Son domaine de recherche concerne la théorie démocratique, l’insertion professionnelle, la formation tout au long de la vie, les stratégies d’internationalisation des systèmes éducatifs en Europe, le système politique suédois et la politique linguistique dans l’Union Européenne. Il dirigea notamment, avec Isabelle Guinaudeau et Astrid Kufer, le Dictionnaire des relations franco-allemandes qui parut simultanément en allemand. Parallèlement, il mène un engagement militant dans le parti socialiste français, concernant les Français de l’étranger, aux côtés d’Axelle Lemaire dont le but commun est l’égalité des femmes et des hommes. Il réfléchit, en outre, à l’amélioration d’un système universitaire valorisant les docteurs et exprime de sérieuses retenues sur les réformes du début du XXIe siècle visant à créer des pôles dits d’excellence dans les universités devenues autonomes qui cacheraient un désarroi intellectuel et qui éloigneraient des véritables préoccupations de la recherche.


Claire REACH (NT. 2024) : Doctorante au sein de l’école doctorale MAGIIE (Mondes Anglophones, Germanophones, Iraniens, Indiens et Études Européennes) à l’université Paris 3 Sorbonne Nouvelle, elle rédige une thèse sous la direction de Carle Bonafous-Murat et de Tiphaine Samoyault sur l’impact des avancées en médecine (plus précisément en neurologie) sur certaines œuvres de James Joyce : Dubliners, Portrait of the Artist as a Young Man et Ulysses. Également traductrice depuis une quinzaine d’années (art contemporain, sciences humaines), elle s’intéresse à la comparaison de traductions de mêmes œuvres, et aux enseignements qu’on peut en tirer sur le texte original et sur l’évolution de la perception et de l’interprétation des textes. Elle a écrit un article sur le « Regard médiéval, regard clinique : le Dublin de Joyce », dans Visages de villes de la Renaissance à nos jours (2023) dirigé par Olfa Abrougui et Senda Souabni Jlidi.


Nicolas DE RIBAS (T. 2023) : Docteur en Études ibériques et hispano-américaines de l’Université Paris 3-Sorbonne Nouvelle en 2008, et Maître de Conférences à l’Université d’Artois depuis 2009, ses recherches portent actuellement sur les voyages scientifiques en terres andines aux XVIIIe et XIXe siècles. Par le prisme des récits de voyage et de l’épistolarité en langues française et espagnole, ses objets de recherche révèlent les contours des projets scientifiques, politiques, économiques, et donc stratégiques de cette époque. À travers des figures françaises ou espagnoles de premier plan ou secondaires, il rappelle dans ses études les nouvelles opportunités qui s’offrent à l’Europe tant en matière de découvertes scientifiques que d’appréciation de leurs potentialités médicales et thérapeutiques. Connaître la nature, la posséder, et étaler les nouvelles connaissances en décrivant les plantes et en diffusant les illustrations des spécimens collectés sont des actes essentiels du champ d’action des gouvernements qui, grâce aux sciences naturelles, se placent au cœur du processus de globalisation du savoir pour cataloguer le plus grand nombre d’espèces possibles. Ses travaux lui permettent ainsi de mettre en commun ses recherches dans différents cadres institutionnels : l’équipe interne « Études transculturelles » qu’il co-dirige à l’UA, le centre de recherches CEAC (Centro de Estudios de la América colonial) de l’université de Barcelone, le collège d’enseignants du doctorat international de l’université de Naples « Parthenope » ou le Comité éditorial de la Revue HISAL (Histoire(s) de l’Amérique latine) auxquels il appartient. De même il participe régulièrement à de nombreux colloques internationaux, journées d’études et séminaires.

Céline RICHARD (NT. 2018) : Doctorante d’études portugaises, brésiliennes et de l’Afrique lusophone à l’Université Paris-Sorbonne. Elle a un chapitre dans Romantic Weltliteratur of the Western Hemisphere, “A “Dawn in tears” (V. Hugo). Aurora and twilight of History, in Allegorical Art and Literature, in Transnational Romanticism: in search of the Meaning of History”.

Agnès ROCHE (T. 2014) : Maître de Conférences en Science Politique à l’Université d’Auvergne de Clermont-Ferrand. Ses travaux de recherches sur le communisme et le monde paysan lui valurent le prix Émile Guillaumin, en 2007, pour son ouvrage Émile Guillaumin, un paysan en littérature. Cet écrivain paysan l’accompagna ainsi plusieurs années au cours desquelles elle travailla pour le Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français pour s’occuper des auteurs syndicalistes de l’Allier. Par ailleurs, ses écrits sur l’écologie politique représentent l’aspect le plus important de ses travaux. Elle publia L’Écologie au pouvoir en collaboration avec Daniel Boy et Vincent Jacques Le Seigneur.

Martine SAGAERT (T. 2015) : Professeure à l’Université du Sud Toulon-Var, essayiste, biographe, auteure d’ouvrages pour la jeunesse. Elle travaille sur la critique génétique et le récit autobiographique autour d’André Gide, Paul Léautaud, Christine Rochefort. Dans ce cadre, elle mit au jour la Correspondance André Gide - Charles-Louis Philippe ainsi que le Journal (1926-1950) d’André Gide. Elle vient de diriger un ouvrage collectif sur Le Sein : des mots pour le dire.

Claude SCHOPP (T. 2013) : Docteur d’État ès Lettres et Sciences humaines, ancien lecteur en langue et littérature françaises à l’Université (Moscou, Tchécoslovaquie, Norvège), ancien attaché culturel à l’ambassade de France de Tunis et de Camberra, enseignant, biographe et romancier. Sa principale thématique de recherche concerne les auteurs populaires du XIXe siècle et l’histoire de ce siècle. En lien avec ces objets, il travaille sur Victor Escousse et est un spécialiste reconnu mondialement d’Alexandre Dumas. Il présente à son actif plusieurs dizaines de publications parues et à paraître depuis 1982 : biographies, éditions critiques, essais romanesques.

Marion SIMONIN (T. 2014) : Docteure ès lettres modernes et chargée d’enseignement à l’Université - Sorbonne Nouvelle - Paris 3. Elle a enseigné en école préparatoire privée (épreuves de synthèse de textes et TAGE-MAGE pour les concours d’entrée aux grandes écoles de commerce), a écrit divers articles dont « La déformation du réel chez Jules Supervielle ou la quête poétique du corps » (Cahiers ERTA). Elle est par ailleurs orthophoniste en libéral.

Aliénor STRENTZ (T. 2017) : Membre associée du Centre de Recherche en Ethnomusicologie (UMR 7186-CNRS), elle est docteur d’une thèse d’ethnomusicologie ayant porté sur « le Ca trù », une musique connotée d’élitisme lettré au Viêt-Nam. Elle a suivi une riche formation en musique, musicologie, anthropologie et littérature (ancienne Khâgneuse du Lycée Fénelon, ancienne Sorbonnarde et étudiante de Nanterre). Ses intérêts de recherche étaient alors l’esthétique, la transmission et la fabrication musicale de distinction sociale. Pianiste classique de formation, elle a suivi, lors de ses enquêtes de terrain au Viêt-Nam, un apprentissage du chant et des instruments du Ca trù auprès de maîtres reconnus. Elle est aussi Lauréate de la Fondation de la Vocation depuis 2009, et ancienne boursière de l’École Française d’Extrême Orient. Après la soutenance de sa thèse de doctorat et la publication de divers articles d’ethnomusicologie, elle suit plusieurs formations à la pédagogie Maria Montessori, tant à Paris qu’en Suède. Désormais diplômée de cette pédagogie, elle envisage un projet de Collège-Lycée Montessori, avec une orientation spéciale sur l’éducation à la Paix. Elle est actuellement professeur de piano à Blois et s’intéresse également à la pédagogie pianistique.

Pascal-Philippe STRENTZ (NT. 2018) : Gérant de l’entreprise Mega Gloukoupis Metis - C.E. où il travaille comme consultant senior et manager de transition. Après avoir été diplômé comme ingénieur mécanique en Suisse et obtenu, au Royaume-Uni, un Master en Management stratégique international, il se spécialisa peu à peu dans le conseil des affaires et autres conseils de gestion. Il occupa dès lors des postes de consultant et de directeur dans des entreprises ou en cabinet d’avocat. Site web : 

Amirpasha TAVAKKOLI (NT. 2018) : Doctorant en Études politiques au Centre d’Études Sociologiques et Politiques Raymond Aron à Paris, animateur-conférencier professionnel. Dans le cadre de l’Association EVEIL, agréée par l’Éducation nationale, il intervient dans les établissements auprès de classes souhaitant aborder les questions liées aux « Préjugés », à la « Discrimination » et au « Stéréotype » dans le cadre éducatif en parallèle du programme lié sur l’éducation civique et celui de la vie scolaire de l’école. Le but étant d’éveiller les jeunes à la citoyenneté. Plus spécifiquement, il travaille sur la question morale dans les utopies littéraires.

François TÉZENAS du MONTCEL (T. 2012) : Docteur en littératures classiques et modernes, enseignant agrégé de Lettres classiques. Sa principale thématique de recherche porte sur la narratologie. En lien avec cet objet, il travaille sur Roger Martin du Gard. Il est également porté vers le récit autobiographique et rencontra à plusieurs reprises le co-fondateur de l’Association pour l’autobiographie Philippe Lejeune. Il y déposa un manuscrit qui fut édité depuis sous le titre Mon frère des limbes. Il s’est illustré par ailleurs en concevant un roman policier à deux mains avec Jean-Michel Auxiètre, L’Aristocrate et le Brayaud, ainsi, en tant que chroniqueur, que des récits acerbes sur sa vision de la société à travers ses Chroniques irascibles et Pamphlétudes.

Frédéric-Gaël THEURIAU (T. 2010) : Détenteur des Palmes académiques de la République française, enseignant de langue et littérature françaises, écrivain, critique littéraire et essayiste, chercheur associé à l’I.C.D. à l’Université de Tours, membre chercheur au Canada-Mediterranean Centre de York University à Toronto (Canada) membre et au Centre des Humanités Numériques à l'Université des Mascareignes à Beau-Plan à l'île Maurice. Il est membre actif (parfois dirigeant) de nombreuses associations littéraires (Association Internationale de la Critique Littéraire, Société des Amis du Centre d’Études Supérieures de la Renaissance, PEN-Club français, George Sand Association aux USA...). Il est titulaire d’un doctorat en lettres modernes consacré à l’édition analysée des poésies complètes de Savinien Lapointe (Université de Tours) et habilité à conduire des recherches en nouvelles humanités médicales (CHRU Bretonneau à Tours). Il est le directeur-fondateur du Centre d’Études Supérieures de la Littérature, une Unité Indépendante de Recherche située en Touraine. Spécialiste de la littérature populaire du Moyen Âge à nos jours et de la littérature romantique au XIXe siècle, il dirige le Dictionnaire littéraire des écrivains d’expression populaire et a mis en place la Bibliothèque Virtuelle de la Littérature d'Expression Populaire. Il s’intéresse aussi à la poésie sociale, à la critique littéraire et aux humanités médicales dont la médecine narrative. En lien avec ces objets majeurs, il travaille sur Savinien Lapointe, Bernard Palissy, Honoré de Balzac, Anatole France, Paul Valéry, Jules Verne, Loys Masson, Marguerite Audoux, George Sand, Fernand Cormon, Pierre-Fidèle Bretonneau. Il se consacre enfin à de nombreuses émissions de radio, à des conférences publiques et à des interventions universitaires (en France et à l'étranger) aussi bien sur des sujets littéraires que médicaux autour desquels il a rédigé presque deux cents articles et ouvrages.

Céline TISSEUR (T. 2023) : Docteure en Sciences de l’Art affiliée au laboratoire d’Études en Sciences de l’Art (LESA) d’Aix-Marseille Université, elle a récemment soutenu sa thèse qui s’intitule Un Cinéma de l’irreprésentable : Le trauma dans Hiroshima mon amour, H Story et L’expérience préhistorique sous la direction de Christine Buignet et Caroline Renard. Elle fait également partie du Laboratoire Rétines (Risques, Épidémiologie, Territoires, Informations, Éducation et Santé) à l’Université Côte d’Azur à Nice. Ses domaines de recherche se situent du côté de l’image-mouvement. D’une part, elle interroge les représentations du traumatisme au cinéma. D’autre part, elle questionne les liens entre art vidéo et cinéma pour mettre en lumière la complexité du monde contemporain et questionner les possibilités d’émancipation du spectateur à travers l’art. Elle est par ailleurs enseignante en Sciences Infirmières.

Thanh-Vân TON-THAT (T. 2012) : Professeure de littérature comparée et francophone à Paris-Est Créteil, poétesse. Ses principales thématiques de recherches portent sur l’écriture romanesque et autobiographique aux XIXe et XXe siècles ; les récits de la Commune de Paris. En lien avec ces objets, elle travaille sur Marcel Proust, Gustave Flaubert, Victor Hugo, Nathalie Sarraute, Théophile Gautier, Léon Cladel. Elle présente à son actif une soixantaine de travaux et publications parus et à paraître dans plusieurs domaines depuis 1994 : articles, livres, actes de colloques, poésies.

Marianne VILLIERE (NT. 2018) : Artiste compositrice de situations, elle tire de l'espace urbain quotidien de quoi nourrir sa créativité plastique. Elle expose et intervient depuis les années 2010 dans différentes galeries à Nancy, Paris, Genève (Suisse), Belfort, Strasbourg, Luxembourg. La place de l'artiste dans la société, les micro-pratiques urbaines, la liberté, les systèmes culturels sont ses principales préoccupations. Elle est l'auteure de quelques articles dont "Des gestes sur l'écran aux gestes de rue : City Lights de Charlie Chaplin" dans la Revue Multitudes. Site web : 

Frédérica ZÉPHIR (T. 2012) : Docteure en littérature comparée, enseignante de Lettres chargée de cours et chercheur associé au Laboratoire Interdisciplinaire Récits, Cultures Et Sociétés (LIRCES) à l’Université de Nice Sophia-Antipolis. Ses principales thématiques de recherches portent sur les rapports de l’éthique et de l’écriture, l’analyse et la théorie narratives. En lien avec ces objets, elle travaille également sur les œuvres de Virginia Woolf, Panaït Istrati, Stefan Zweig, André Gide, Romain Rolland et Pierre-Jean Jouve. Elle présente à son actif une douzaine de travaux et publications parus et à paraître dans plusieurs domaines depuis 2004 : articles et contributions à des ouvrages collectifs, actes de colloques.