Algérie

Atamena ABDELMALIK (T. 2018) : Maître de conférences à l’Université Abbès Laghrour à Khenchela au sein du Département de langue et littérature françaises, membre du laboratoire TRANDIS (traduction et analyse du discours). Ses préoccupations portent sur les sciences des textes littéraires, l’anthropologie sociale et culturelle, la sociologie de l’environnement ainsi que sur l’autobiographie et l’histoire chez Amin Maalouf. Il a participé à plusieurs colloques et congrès internationaux en Algérie, en France, au Canada, au Liban et en Tunisie, portant sur la littérature (écriture autobiographique, historique et mythique, engagement, création…), sur l’histoire et l’anthropologie (Mémoires et patrimoine, récits de vie, Transactions culturelles entre les Européens et les Algériens pendant la période coloniale, espace et sacré, guerre, mémoire et histoire). Il s’est récemment intéressé à l’œuvre d’Hédi Bouraoui et a effectué une note de lecture, « Hédi Bouraoui. Transpoétiquement vôtre : Anthologie (1966-2016) / Transpoeticamente vostro : Antologia (1966-2016). Edited and translated by Mario Selvaggio. Rome: Edizioni Universitarie Romane, 2016. 222 pp. », publiée dans la Revue Skené.

Aziza BENZID (T. 2018) : Maître de conférences en Sciences des textes littéraires à l’Université Mohamed Khider à Biskra et membre du projet de recherche universitaire CNEPRU « Les représentations linguistiques au carrefour des sciences humaines ». Ses travaux s’inscrivent essentiellement dans le domaine de la littérature comparée, la littérature policière et la géocritique. Elle a à son actif plusieurs articles, parmi lesquels : « La création littéraire au confluent de la littérature et de la géographie : de la textualité de l’espace à la spatialité du texte », « Le personnage khadraien entre réalité romanesque et effet de réel », « La mise en texte de la ville d’Alger dans la trilogie policière de Yasmina Khadra : Morituri, Double blanc et L’Automne des chimères », « Pour une approche épistémologique des théories de réception. Elle a pris part à des colloques et des journées d’étude en Algérie comme à l’étranger (Roumanie, France, Maroc, Tunisie, Italie) portant sur des thèmes variés autour de la littérature, du roman policier, de la photographie, de l’interculturel et de la didactique du FLE.

Chafika BOURAIOU (T. 2018) : Maître de conférences en philosophie arabe et chef du Département des Sciences Sociales et Humaines à l’Université Larbi Ben M’Hidi à Oum El Bouaghi. Ses publications autour de la phénoménologie sont des articles universitaires.

Fatma-Zohra HARIDI (T. 2018) : Maître de conférences à l’Université 8 Mai 1945 à Guelma, elle est responsable de la filière architecture. Elle obtint son savoir en architecture (option Villes orientales) à l’École d’Architecture de Versailles et en urbanisme à l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense doublé d’une formation similaire respectivement à l’Université de Constantine et de Guelma. Elle poursuit des recherches indépendantes et ponctuelles depuis l’année 2000 sur la mise en œuvre de la forme de ville de certaines villes en Algérie, telles que les oasis de la région de la Saoura, les villes de Guelma, d’Annaba et d’Alger. Les travaux de recherche entrepris sont des bilans prospectifs sur le mode de perception de la ville durable et son évaluation sociale, culturelle et environnementale. Elle a publié plusieurs articles dans divers domaines : la perception d’habitants, un décryptage « du monde de la vie », les effets de l’évaluation environnementale, la composition et la conception architecturale, le développement durable et la ville existante. Elle participe régulièrement à des colloques internationaux concernant la composition architecturale et son effet sur la transformation de ville actuelle.

Khemissa LAÏB (T. 2018) : Maître de conférences en philosophie générale à l’Université Larbi Ben M’Hidi à Oum El Bouaghi. Elle est engagée, depuis un certain nombre d’années, dans de multiples colloques internationaux où elle conjugue approche anthropologique et philosophie. Ses principales publications concernent des articles universitaires souvent autour de la figure de Gabriel Marcel.

Ala Eddine LAOUIER (NT. 2018) : Architecte stagiaire à Guelma.

Zineb MOUSTIRI (T. 2018) : Maître de conférences en sciences du langage à l’Université Mohamed Khider à Biskra et membre du projet de recherche universitaire CNEPRU « Les représentations linguistiques au carrefour des sciences humaines ». Ses travaux s’inscrivent essentiellement dans le domaine de la sociolinguistique, la politique linguistique et l’analyse de discours. Elle a à son actif plusieurs articles, parmi lesquels : « Le texte littéraire au service de l’enseignement / apprentissage du FLE dans le contexte algérien : objectifs et défaillances », (2017), « Le français et sa culture dans le milieu scolaire : objectifs et limites », « Représentations des langues en présence chez les enseignants algériens : « contact » ou « conflits » ? », « Pour une écologie des langues existantes en Algérie ». Elle a pris part à des colloques et des journées d’étude en Algérie comme à l’étranger (Roumanie, France, Maroc, Italie) portant sur des thèmes variés autour des discours épilinguistiques, de la littérature, de la photographie et de l’interculturel et la didactique du FLE.

Besma NACER (NT. 2016) : Doctorante à l’Université d’Angers, elle travaille sur l’écriture féminine, le mythe, la franc-maçonnerie, plus particulièrement sur Malika Mokeddem, Gérard de Nerval et George Sand. Elle est l’auteure de quelques articles dans le journal en ligne Al Huffington Post et de l’ouvrage Les Limites du corps et les arts.

Chahrazed OUAHAB (T. 2018) : Maître de conférences en sciences des textes littéraires à l’université Djillali Liabes de Sidi Bel Abbes (Algérie). Elle a à son actif plusieurs articles parmi lesquels : « Choc des civilisations ou choc des ignorances ? Regards croisés. Le malentendu productif dans l’œuvre d’Amara Lakhous », « L’empreinte à Crusoé de Patrick Chamoiseau ; de l’empreinte sur la plage à l’empreinte sur la page », « Si les mythes berbères m’étaient contés », « L’imitation, entre angoisse et richesse » et a fait l’objet de plusieurs communications parmi lesquelles : « L’approche intertextuelle dans L’empreinte à Crusoé de Patrick Chamoiseau », « Le livre comme objet de résistance chez Kamel Daoud/Kawther Adimi ».