Synthèse :
La France paraissait enfin engagée pour permettre l'intégration des élèves handicapés dans les écoles, certes contrainte par le Conseil de l'Europe.
Des difficultés apparaissaient cependant.
Maintenant, la suppression des auxiliaires de vie se généralise.
En effet, c'est la "logique" économique qui domine : les auxiliaires de vie sont remplacés par des emplois précaires dont les horaires et le nombre ont été sensiblement réduits. De plus, l'État se désengage de leur financement.
Une pétition de La Fédération nationale des Associations au service des Élèves présentant une situation de handicap (FNASEPH) a déjà recueilli 40 000 signatures.
On assiste à la création d'établissements privés.
Et pourtant, au niveau des élus, cette situation suscite des réactions.
Des élèves pouvaient enfin être scolarisés et on leur annonce que ce n'est plus possible.
Il ne reste que la voie juridique.