Dyspraxique Mais Fantastique

Année 2011

Site : http://www.dyspraxie.info/ 

09/10/11 _ Au théâtre Jules-Verne, l'antenne Varoise de l'association Dyspraxique mais fantastique a organisé une conférence sur les troubles de l'apprentissage dans le cadre de la Journée nationale des "dys". [...] Une maman d'un enfant dyspraxique nous confiait: "Je suis venue pour m'informer. Avec nos enfants ce n'est pas toujours évident dans la vie de tous les jours, par exemple mon fils vient d'avoir son auxiliaire de vie scolaire qu'en octobre, il a dû s'en passer pendant près d'un mois, on doit se battre tous les jours". Six-Fours

04/06/11 _ Dans le jargon des spécialistes, les dys, abréviation de l'imprononçable dyspraxie ou dyspraxique, sont des anomalies de la planification et de l'automatisation des gestes volontaires. Les gestes ne sont jamais automatiques pour les dys. Pour mieux comprendre ce handicap souvent méconnu, Patricia Boulay, déléguée de Dyspraxique mais fantastique en Mayenne, avait invité mardi soir deux pointures, les médecins Alain Pouhet et Michèle Mazeau. Ouest France

14/05/11 _ Leur association s'appelle Dyspraxique mais fantastique et génère une solide entraide entre les parents concernés. Ils se battent avec courage et obstination pour que le handicap de leurs enfants, à savoir la dyspraxie, soit enfin reconnu, pris en compte et secouru. [...] Pour ces enfants et leurs parents, c'est une galère au départ, surtout à l'école. Ils sont frustrés, se rabaissent et sont estampillés de fainéants par méconnaissance du trouble. « L'Éducation nationale se refuse à mettre des moyens, en auxiliaire de vie, en formation des enseignants et en matériel, racontent désabusés les parents. Ouest France

07/05/11 _ « Dysprakoi ? ». Au regret de Valérie Lemarié-Colineau, ce trouble de l'apprentissage est aujourd'hui peu connu. Confrontée à ce handicap en tant que parent, elle est déléguée territoriale de l'association Dyspraxique mais fantastique. Nord Éclair

Un enfant par classe non détecté souffrirait de dyspraxie. Trois à cinq pour cent des élèves scolarisés vivent au quotidien ce handicap qui n'est pas toujours diagnostiqué et fait souffrir enfant, parent et enseignant. Six-Fours