Dys 2011-07 à 12

Dyspraxie visuo-spatiale

Juillet à décembre 2011

28/12/11 _ Une anomalie à l'origine de la dyslexie ? Google 

10/12/11 _ L'institutrice m'a lâché que ma fille était une débile mentale. » Puis un pédopsychiatre : « Votre fille ne fera pas polytechnique, mais tout va bien. » Elle a simplement un « mauvais caractère » pour un autre enseignant. Finalement, après une énième consultation chez un neuropédiatre, la dysphasie de Théa est découverte. La Voix du Nord

31/10/11 _ Depuis 2005, le collège de l'Estran, à Saint-Marc, accueille des jeunes «dys». Loin d'être mis à part, ils sont complètement intégrés à la vie du collège. [...] Ces jeunes peuvent ainsi bénéficier de Plans personnalisés de scolarisation ou de Plans d'accueil individualisé, qui leur permettent de passer les mêmes examens que les autres, avec l'aide d'un secrétaire, d'un lecteur ou d'un ordinateur à commande vocale. Le Télégramme

24/10/11 _ Quatre parents du Champsaur-Valgaudemar et du Briançonnais veulent porter plainte auprès de l’Inspection d’Académie des Hautes-Alpes. Ils se battent pour que leurs enfants, atteints de dyspraxie, puissent être suivis par un ergothérapeute au sein des écoles, et non plus chez eux comme actuellement. Chose que refuse l’Inspection. Alpes 1

09/10/11 _ Au théâtre Jules-Verne, l'antenne Varoise de l'association Dyspraxique mais fantastique a organisé une conférence sur les troubles de l'apprentissage dans le cadre de la Journée nationale des "dys". [...] Une maman d'un enfant dyspraxique nous confiait: "Je suis venue pour m'informer. Avec nos enfants ce n'est pas toujours évident dans la vie de tous les jours, par exemple mon fils vient d'avoir son auxiliaire de vie scolaire qu'en octobre, il a dû s'en passer pendant près d'un mois, on doit se battre tous les jours". Six-Fours

10/09/11 _ « Nous allons devoir revenir à l’esprit de la loi de 2005 et aider en priorité les enfants dont la scolarité dépend entièrement d’un accompagnement. » L’inspection académique et la MDPH vont d’ailleurs mettre en place un groupe de travail pour définir plus précisément des critères objectifs donnant droit à des heures d’accompagnement. Les enfants « dys » (dysphasies, dyslexies, dyspraxies) pourraient par exemple ne plus bénéficier d’heures d’AVS.  Le Journal de Saône-et-Loire

03/08/11 _ Une étude montre qu'il est plus ardu pour un dyslexique de reconnaître une voix. 98,5 fm 

16/07/11 _ Christine est la maman d'Adrien, 11 ans, dyspraxique visiospatial et dysgraphique. Le moindre mouvement, comme prendre un couteau ou un stylo, le fatigue très rapidement. Résultat : il est incapable d'écrire. La scolarité et le suivi médical de son fils relèvent du « parcours du combattant ». « Personne ne connaît ça dans le milieu éducatif. Les centres spécialisés ont toujours voulu lui trouver un problème psychologique. » Son handicap neurologique a donc été diagnostiqué il n'y a que deux ans. Il bénéficie désormais d'une assistante pour prendre en note ses cours. Mais les enseignants n'ont pas toujours été aussi compréhensifs. « Pendant longtemps, il a été privé de récréation », témoigne la maman. Nicole Bardou, présidente de l'Aadys, est très remontée : « Ce sont des enfants en grande souffrance. La société veut en faire des robots. C'est de la maltraitance. » Sud-Ouest 

15/07/11 _ La loi de 2005 sur la scolarisation des enfants handicapés a signifié une grande amélioration dans la reconnaissance, la prise en charge et la scolarité des enfants dyspraxiques. Autrefois écartés de l'école comme des déficients, ils peuvent aujourd'hui suivre une scolarité normale. La maman d'Alexander tient à saluer cette initiative gagnante. Sud-Ouest

08/07/11 _ « Je ne sais pas où je vais aller l'an prochain. » Ce sont les mots d'un garçonnet de 12 ans, qui, à la rentrée 2011, doit passer en sixième. Jusqu'ici, rien de très compliqué. Sauf que, justement, la situation de Nicolas Vialis, domicilié à Pignans avec ses parents viticulteurs, est compliquée. Le jeune homme est atteint de troubles cognitifs « multidys » - dyspraxie, dysphasie, dyslexie... Un handicap reconnu comme tel par la Maison départementale pour le handicap (MDPH), qui préconise une Ulis « dys » (Unité localisée pour l'inclusion scolaire dédiée aux troubles « dys »). Et dans ce type de dispositif - rarissimes dans le Var -, il n'y a pas de place pour Nicolas. Brignoles.maville